Vendargues
Modèle:Infobox Commune de France
Vendargues est une commune française située dans l'est du département de l'Hérault en région Occitanie. La ville est située à l'est de Montpellier en direction de Lunel.
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Salaison, la Cadoule, le ruisseau de la Balaurie. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Vendargues est une commune urbaine qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Montpellier et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Vendarguois ou Vendarguoises.
Géographie
Située à Modèle:Unité à l'est de Montpellier au croisement des routes nationales 110 (vers Sommières) et 113 (vers Lunel et Nîmes), cette commune a appartenu au district, puis à la communauté d'agglomération de la préfecture héraultaise.
Le territoire communal comprend une zone de garrigues au nord des routes principales. La ville elle-même et l'importante zone industrielle sont situées dans les secteurs Est et Ouest d'un « X » formé par les deux nationales et une importante route départementale (en direction du nord de l'agglomération de Montpellier). Le village s'est étendu aux limites d'un triangle formé de la N 113, la N 110 et la liaison intercantonale d'évitement nord (Lien) pour en occuper tout l'espace.
Hydrographie
Le Salaison coule à l'ouest de la ville, il sert de limite communale avec la ville du Crès. Ses affluents, le Routous, le Teyron et le Bourbouisse traversent également le territoire de la commune, ainsi que la Cadoule qui va, comme le Salaison, se jeter dans l'étang de l'Or à Mauguio. D'ordinaire très calmes ces ruisseaux peuvent sortir de leurs lits lors des orages cévenols, provoquant ainsi des inondations essentiellement dans la partie occidentale de la commune. L'autre partie de la commune est protégée des inondations car elle est construite sur une butte<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web.</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : la « rivière de la Cadoule à Castries et Vendargues » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Vendargues est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Montpellier, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (43 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (33,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (22,1 %), cultures permanentes (22 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (20,9 %), zones agricoles hétérogènes (18,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,2 %), forêts (7,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Vendargues est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Montpellier-Lunel-Maugio-Palavas, regroupant Modèle:Nobr du bassin de vie de Montpellier et s'étendant sur les départements de l'Hérault et du Gard, un des Modèle:Nobr qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée<ref>Modèle:Lien web</ref>, retenu au regard des risques de submersions marines et de débordements du Vistre, du Vidourle, du Lez et de la Mosson. Parmi les événements significatifs antérieurs à 2019 qui ont touché le territoire, peuvent être citées les crues de septembre 2002 et de septembre 2003 (Vidourle) et les tempêtes de novembre 1982 et décembre 1997 qui ont touché le littoral. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr), moyen (temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr) et extrême (temps de retour de l'ordre de Modèle:Unité, qui met en défaut tout système de protection)<ref>Modèle:Lien web</ref>. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2003, 2006, 2014 et 2015<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Vendargues est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de Modèle:Unité de celles-ci. L’arrêté du Modèle:Date- réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du Modèle:Date- rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit<ref group=Note>Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de Modèle:Unité (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de Modèle:Unité de part et d’autre des voies privées y donnant accès.</ref>,<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 84,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 1 592 sont en aléa moyen ou fort, soit 79 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Risques technologiques
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque industriel.</ref>.
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
Toponymie
La légende veut que le premier habitant de Vendargues fut un vétéran de la légion romaine d'Auguste qui aurait reçu des terres sur lesquelles se trouve le village actuel. Ce vétéran se serait appelé Venerianicus, ce qui aurait donné par évolution phonétique le nom actuel du village.
C'est en 924, que pour la première fois, il est fait mention du village dans un écrit sous la forme Venerianicus<ref>Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France (Larousse 1963, épuisé, réimpression Librairie Guénégaud 1979), p. 704a sous Vénarey.</ref>, puis dans le cartulaire de Gellone en 961<ref>Modèle:Ouvrage {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9909575%7C{{ #if: bpt6k9909575 |{{ #if: Cartulaires des abbayes d'Aniane et de Gellone | Cartulaires des abbayes d'Aniane et de Gellone | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>, le village est mentionné sous la forme villa que vocant Venranichos. Au début du IIe millénaire, en 1005, il est fait mention du nom de Venraneges<ref>Cartulaire de Gellone p.7 {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9909575%7C{{ #if: bpt6k9909575 |{{ #if: Cartulaires des abbayes d'Aniane et de Gellone | Cartulaires des abbayes d'Aniane et de Gellone | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>. Plus tard, en 1051, sous la forme villa que dicitur Venranicus<ref>Cartulaire de Gellone p.277 {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9909575%7C{{ #if: bpt6k9909575 |{{ #if: Cartulaires des abbayes d'Aniane et de Gellone | Cartulaires des abbayes d'Aniane et de Gellone | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>, puis au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Vendranicis. À partir de 1536, on parle de Vendrargues<ref>Gallia christiana t VI c. 391</ref> qui évolue en Vendargues dès 1626<ref>Jean De Beins, Carte du Bas-Languedoc, 1626 {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b7710659j%7C{{ #if: btv1b7710659j |{{ #if: Carte du Bas-Languedoc | Carte du Bas-Languedoc | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>.
Il s'agit d'un composé en -anicum, suffixe latin qui explique les terminaisons en -argues du sud est de la France, précédé d'un nom de personne latine Venerius<ref name="ad">Albert Dauzat et Charles Rostaing, Op. cit.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref> qui peut avoir été porté aussi bien par un indigène. On retrouve cet anthroponyme à de nombreuses reprises en Gaule, généralement suivi du suffixe d'origine gauloise -acum cf. Venarey, Vénérieu<ref name="ad" />.
Histoire
Époque gallo-romaine
Avant la création des premières habitations à Vendargues, le territoire de l'actuelle commune était traversé par la voie Domitienne. Cette route rectiligne servait de référence aux géomètres romains pour découper les terres en parcelles appelées « centuries ». C'est sur l'une de ces centuries que Vénérianicus aurait fait construire une villa. D'autre part, des découvertes archéologiques dans l'actuel Jardin Serre tendent à prouver que les premières habitations se trouvaient à proximité de cet endroit. Au sud du village, on trouvait des cultures de blé, de seigle et d'avoine mais aussi de vigne ou d'olivier. La garrigue était dévolue aux chèvres. Enfin, des moulins se trouvaient sur les différents cours d'eau autour du village.
Actuellement, une partie de la voie Domitienne à Vendargues s'appelle le chemin de la Monnaie.
Époque carolingienne
À la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'ensemble du territoire était divisé en pagi, eux-mêmes appartenant à un comté. Vendargues et les bourgs environnants appartenaient au pagus de Septantio (qui deviendra Castelnau-le-Lez) plus tard. Ce pagus était une partie du comté de Melgueil (l'ancien Mauguio).
Le christianisme se répand dans la région à l'aube du IIe millénaire alors que le comté est sous domination gothe et ce malgré les invasions des Sarrasins.
À cette époque, Vendargues n'est qu'un domaine agricole composé d'une villa gallo-romaine et de quelques maisons autour. Le hameau comporte également une chapelle.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Modèle:…
Liste des maires
Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Vie locale
Enseignement
Sports
Le complexe sportif (stade) Guillaume-Dides, un ancien maire qui fit don du terrain à la commune, qui accueillit l'équipe de France de football en 2004 au stade du Point-d'Interrogation vendarguois, le club de football local.
Vie associative
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>). 57 % des ménages fiscaux sont imposés<ref group=Note>La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.</ref> (45,8 % dans le département).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 77,6 % d'actifs (69,3 % ayant un emploi et 8,3 % de chômeurs) et 22,4 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 4 031 en 2013 et 3 817 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 809, soit un indicateur de concentration d'emploi de 157,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,8 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 2 809 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 567 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 86,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,6 % les transports en commun, 6,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
Modèle:Nombre<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Vendargues au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 1 051 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
105 | 10 % | (6,7 %) |
Construction | 176 | 16,7 % | (14,1 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
280 | 26,6 % | (28 %) |
Information et communication | 33 | 3,1 % | (3,3 %) |
Activités financières et d'assurance | 33 | 3,1 % | (3,2 %) |
Activités immobilières | 59 | 5,6 % | (5,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
190 | 18,1 % | (17,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
113 | 10,8 % | (14,2 %) |
Autres activités de services | 62 | 5,9 % | (8,1 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,6 % du nombre total d'établissements de la commune (280 sur les 1051 entreprises implantées à Vendargues), contre 28 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- Privatesportshop, vente à distance sur catalogue spécialisé (Modèle:Unité)
- Kawneer France SA, commerce de gros (commerce interentreprises) de minerais et métaux (Modèle:Unité)
- Info.u, location et location-bail de machines de bureau et de matériel informatique (Modèle:Unité)
- Mialanes SA, fabrication d'éléments en béton pour la construction (Modèle:Unité)
- Aer Trading, commerce de gros (commerce interentreprises) de boissons (Modèle:Unité)
La zone industrielle est active, mais handicapée par l'éloignement relatif de l'échangeur autoroutier de Baillargues-Vendargues : les camions doivent longer la ville par la nationale 113 pour parvenir à la zone. Elle comprend néanmoins une des centrales d'achat des supermarchés U.
Agriculture
La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la viticulture<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 75 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 34 en 2000 puis à 26 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 16 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 79 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de Modèle:Nobr en 1988 à Modèle:Nobr en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 7 à Modèle:Nobr<ref name=Agreste/>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Théodorit de Vendargues, construite sur l'emplacement d'une ancienne église, date de 1886<ref>Modèle:Pdf La paroisse Saint Théodorit de Vendargues, 55 pages, publié le Modèle:Date- par Richard Pouget, sur le site de la mairie de Vendargues (consulté le 3 juillet 2019)</ref>. Saint Théodorit, Prêtre et martyr à Antioche (✝ 362)<ref>https://nominis.cef.fr/contenus/saint/8715/Saint-Theodorit.html</ref>.
- Chapelle de Vendargues.
- Chapelle des Chevaliers de Malte de Meyrargues.
- Le hameau de Meyrargues surplombe le village. Ce lieu historique est signalé en 981, 1111 et 1248, sur des actes relatifs à la chapelle Saint-Sébastien. Cet édifice, toujours visible, fait partie d'un domaine appelé le château de Meyragues qui fut autrefois une vaste ferme plus ou moins fortifiée. Son premier propriétaire connu fut Jean de Saint-Ravy, ancien maître d'hôtel ordinaire du roi Henri IV, qui se faisait appeler seigneur de Meyrargues ;
- La maison du général Pierre Berthezène est située sur la place du village ;
- Le bois de Saint-Antoine.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Berthezène (1775-1847), général, baron d'Empire, pair de France (1775-1847).
- Marcelin Albert (1851-1921), séjourne au mazet de Montmaris, leader de la révolte viticole, est le Modèle:Refnec.
- le baron Pierre Le Roy de Boiseaumarié (1890-1967), fondateur des appellations d'origine contrôlées, vigneron à Châteauneuf-du-Pape.
- André Chassefière (1908-1942), membre du parti communiste français.
- Alexandre Grothendieck (1928-2014), mathématicien français ayant reçu la Médaille Fields et considéré comme l'un des fondateurs de l'écologie politique en France avec le groupe « Survivre et vivre ». A vécu de 1945 à 1948 au hameau de Meyrargues (à ne pas confondre avec la commune homonyme des Bouches-du-Rhône) avec sa mère Hanka Grothendieck.
- Jérôme Bonnissel (1973-), joueur de football professionnel.
- Laurent Ballesta (1974-), biologiste marin, plongeur, photographe, collaborateur de Nicolas Hulot.
- Sabri Allouani (1978-), raseteur (septuple vainqueur du championnat de France de la Course camarguaise aux As 2000-2007).
Galerie
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Vue aérienne de Vendargues.
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Vue du complexe sportif.
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Vue de l'église Saint-Théodorit et de la Mairie.
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Vue de l'Hôtel de Ville.
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Vue de l'église Saint-Théodorit.
Héraldique
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes