Bombardier (entreprise)

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Modèle:Infobox/Notice avec wikidata Modèle:Infobox/Fin

Bombardier Inc. est une entreprise multinationale canadienne dont le siège social est situé à Montréal, au Québec (Canada)<ref>Modèle:Lien web Modèle:Citation.</ref>. Depuis 2021, l'entreprise est recentrée sur les avions d'affaires.

Avant une série de reventes, elle était présente dans la construction aéronautique (avions régionaux, avions d'affairesModèle:Etc via sa filiale Bombardier Aéronautique), dans la construction ferroviaire (Bombardier Transport), dans les services financiers (Bombardier Capital) et son activité la plus ancienne est dans le secteur récréatif (fabrication de divers véhicules de loisirs : motoneiges, motomarines, hors-bord, etc.).

Historique

Origine

Modèle:Article détaillé

Fichier:BlueBombardier.jpg
Autoneige Bombardier B12.
Fichier:BR100+sidea.jpg
Dameuse BR100+.

Joseph-Armand Bombardier<ref name="SRC">Modèle:Lien web</ref>, de Valcourt au Québec, eut l'ambition de faire de l'hiver une saison où il serait aussi facile de se déplacer que pendant les trois autres saisons. Il possède le garage Bombardier où il travaille depuis longtemps sur des prototypes de véhicules capables de circuler dans la neige. Finalement, il développe un véhicule à chenilles et durant l'hiver 1936-1937<ref name="Bio">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="SRC"/>, il vend ses premières autoneiges B7 (B pour Bombardier et 7 pour sept passagers). Devant le succès de son produit, il décide de fonder une société qui produira ces véhicules à grande échelle. La société fut originellement créée sous le nom de « L'Auto-Neige Bombardier Limitée » le 10 juillet 1942<ref name="Creation"/>.

L'autoneige B12 de 1941 fut produite en diverses versions jusqu'en 1982. Bombardier participa à la Seconde Guerre mondiale en produisant des versions militaires de ses autoneiges. Bombardier diversifie sa production après 1948 avec divers véhicules spécialisés dans le secteur forestier, le damage des pistes de ski, etc. Bombardier développe également la première motoneige moderne. Le Modèle:Date, la compagnie devient Bombardier Limitée et elle est inscrite aux bourses de Montréal et Toronto dès le 23 janvier 1969.

Développement

Déjà en 1970, Bombardier achetait la compagnie autrichienne Rotax, un fabricant de moteurs ainsi que de voitures de tramways. Cet achat avait pour but une intégration de la production de son meilleur vendeur. Ce fut également l'occasion de s'introduire par la bande dans le domaine ferroviaire. En 1972, Bombardier se diversifie dans les activités financières avec la création des filiales Crédit Bombardier Ltée, au Canada, et Bombardier Credit Inc., aux États-Unis. Cette diversification a pour but de promouvoir la vente de ses produits.

Ferroviaire

Modèle:Article détaillé

Fichier:IORE Kiruna.jpg
Une locomotive IORE en tête d'un train.

Bombardier entre ainsi dans le secteur ferroviaire en 1974 en remportant un contrat de fourniture de voitures pour le métro de Montréal<ref name="Bombardier">Modèle:Lien web</ref>. Il acquiert par la suite plusieurs sociétés de construction ferroviaire, notamment : BN en Belgique en 1988 qui lui ouvre le marché européen, ANF-Industries en France en 1989, Constructora Nacional de Carros de Ferrocarril au Mexique et UTDC au Canada en 1992, et en Allemagne Waggonfabrik Talbot GmbH en 1995 et Deutsche Waggonbau AG en 1998<ref name="Bombardier"/>.

En 1998, Bombardier s'implante en Chine par le biais d'une coentreprise, Sifang Locomotive & Rolling Stock Works, de Qingdao pour la fabrication de voitures à voyageurs pour le marché chinois. En rachetant Adtranz au groupe DaimlerChrysler en mai 2001, Bombardier devient le premier constructeur mondial de matériel roulant ferroviaire<ref name="Bombardier"/>.

En 2006, Bombardier et la SNCF signent un contrat pour la fourniture de près de Modèle:Unité (Nouvelle Automotrice Transilien ou Z 50000) sur les réseaux de Paris Nord, Paris Saint-Lazare et Paris Est afin de remplacer les rames inox à l'origine de la vétusté de certaines lignes de banlieue. La première de ces Modèle:Unité a été livrée sur le réseau de Paris Nord le 12 décembre 2009 pour être mise en service entre Luzarches et Paris Nord.

Fichier:TRAM DE NANCY.jpg
Bombardier TVR, actuel tramway de la ville de Nancy inauguré en 2000.

À l'avenir, ces automotrices remplaceront également les rames tractées VB2 Duplex.

Durant l'année 2020, Alstom planifie le rachat de Bombardier Transport, ce rachat permettant à Bombardier d'éponger une partie de ses dettes et Alstom de devenir un acteur de poids dans l'industrie ferroviaire.

Depuis le 29 janvier 2021, Bombardier Transport est racheté et intégré à Alstom. À terme Bombardier Transport sera complètement intégré à Alstom : les produits Bombardier Transport seront estampillés Alstom, le PDG d'Alstom expliquant qu'il n'est pas possible de « proposer deux trains lorsqu’il y a un appel d’offres »<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Aéronautique

Modèle:Article détaillé

Bombardier est entré dans le secteur aéronautique en rachetant la société Canadair le 23 décembre 1986. Trois ans plus tard, soit en mars 1989, Bombardier donne le feu vert à un programme qui marque un virage dans son histoire : le programme du Regional Jet portant sur la mise au point d'un avion de ligne à réaction de 50 places conçu pour le transport régional : ce sont les Bombardier CRJ. L'appareil reçut l'homologation de type canadienne le Modèle:Date.

En 1989, Bombardier acquiert la société Short Brother PLC en Irlande du Nord à Belfast, puis, en juin 1990, prend possession de Learjet Corporation constructeur des célèbres avions Learjet (américains). En 1992, c'est l'achat de la société canadienne De Havilland Canada située à Toronto en Ontario.

Services financiers

Modèle:Article détaillé Bombardier Capital (BC) fut créé en 1973 pour offrir auprès de ses clients des services de financement d'achat, de prêt-bail et de gérance de flottes<ref name=IB>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>,<ref name=TU>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}Modèle:Article</ref>. Son siège social original était à Colchester (Vermont), États-Unis, pour desservir les deux Amériques. Le siège social a été transféré à Jacksonville (Floride) à partir de 1997<ref name=TU/>. Après les événements du 11 septembre 2001, Bombardier Capital a vu ses activés être restreintes et Bombardier Inc. s'est graduellement départi de ses intérêts dans le secteur<ref name=TU/>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>. En mai 2005, les stocks financiers de Bombardier Capital ont été vendus à GE Commercial Finance<ref name=Communiqué3>Modèle:Lien web</ref>. En novembre de la même année, Bombardier a vendu ses opérations dans le domaine des maisons usinées à Green Tree Servicing LLC<ref name=Communiqué4>Modèle:Lien web</ref>. Depuis 2006, Bombardier Inc. se défait graduellement des actifs restants et ne prend plus de nouveaux clients.

Années 2000

À la suite des problèmes causés au secteur aéronautique par les attentats du 11 septembre 2001, Bombardier éprouve des difficultés financières et doit se réorganiser<ref name=Communiqué1>Modèle:Lien web</ref>. En décembre 2003, il abandonne le secteur des véhicules de loisirs, qui fut à l'origine de la société, en vendant cette activité pour Modèle:Unité à un consortium composé de Bain Capital, des membres de la famille Bombardier ainsi que de la Caisse de dépôt et placement du Québec<ref name="Communiqué2">Modèle:Lien web</ref>. L'activité cédée comprend notamment les motoneiges Ski-Doo et les moteurs hors-bord Johnson et Evinrude. Elle forme la nouvelle société Bombardier Produits récréatifs.

La partie aéronautique commence à refaire des profits en 2006.

Le secteur ferroviaire est demeuré solide, mais doit faire face à une certaine surproduction en Europe. Le groupe Bombardier met au point un plan de restructuration incluant la fermeture de certaines usines dans cette région, mais se heurte aux lois assez contraignantes dans ce domaine.

Ferroviaires

Train Acela

La réputation de Bombardier a été temporairement ternie dans l'est des États-Unis par la mauvaise qualité de fabrication de certaines composantes du train Acela à grande vitesse commandé par Amtrak. En août 2002, peu après son entrée en service, l'Acela Express fut mis hors-service quand on trouva que les attaches des amortisseurs de certains bogies avaient des fissures<ref name="CNN">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>. Le remplacement des attaches fautives et un programme d'inspections plus fréquentes permirent la remise en service. Depuis ce temps, la conception des attaches et des amortisseurs a été modifié pour les rendre plus sûres. Le Modèle:Date, les trains Acela ont cessé de circuler pendant plusieurs mois, à cause de fêlures découvertes dans les disques des freins<ref name="USA-Today">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>. Les trains Metroliner, que l’Acela remplace, comblèrent le vide. Le consortium Bombardier-Alstom remplaça les disques selon la garantie et un service restreint reprit en juillet avec les rames ayant été mises à niveau. Le 21 septembre, Amtrak annonça la reprise totale du service.

Métro de Montréal
Fichier:MPM-10 - Azur - 33.jpg
MPM-10 du métro de Montréal.

En avril 2006, un contrat évalué à environ Modèle:Unité de dollars canadiens pour renouveler environ trois cents voitures (MPM-10) du métro de Montréal, devient disponible. Deux des sociétés qui ont le potentiel pour remplir ce contrat sont Bombardier Transport et la française Alstom. Comme le matériel doit être remplacé le plus tôt possible, le gouvernement du Québec a décidé de ne pas faire d'appel d'offres pour accélérer la livraison. De plus, Bombardier est le seul soumissionnaire ayant des installations au Canada pour ce genre de travail. Le gouvernement a donc autorisé Bombardier Transport à être le seul à discuter avec la Société de transport de Montréal en vue d'un contrat de gré à gré pour le renouvellement<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Alstom a contre-attaqué en demandant à la Cour supérieure du Québec de se pencher sur le sujet et a requis le Modèle:Date une injonction pour faire cesser les discussions entre Bombardier et l'opérateur du Métro (STM) afin de ne pas rendre son action en cour caduque<ref name="La Presse">Modèle:Lien web</ref>. Un juge a entendu la demande en septembre 2007 et a rendu une décision en faveur de Alstom en janvier 2008. Le Modèle:Date, le ministre du développement économique du Québec, Raymond Bachand, a déclaré que le gouvernement du Québec ne ferait pas appel de la décision de la Cour supérieure et a décidé d'aller en appel d'offres afin de ne pas retarder la livraison<ref name="Reuters">Modèle:Lien web</ref>.

Métro de Chicago

Le Modèle:Date, elle obtient un contrat de Modèle:Nombre de dollars américains pour la construction de voitures de métro destinées à la ville de Chicago<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Métro de New York

Bombardier est également connu pour avoir fourni des voitures pour le renouvellement du matériel roulant du Métro de New York de 1984 à 2003 et doit en livrer à nouveau pour 2014.

Trains de la SNCF

À la suite d'un appel d'offres, le Modèle:Date, Bombardier Transport signe un contrat de Modèle:Nombre d'euros avec la SNCF pour le remplacement de ses automotrices Transilien (Trains Île-de-France) portant sur une commande de Modèle:Unité qui circuleront sur les réseaux Paris-Nord, Paris-Est et Paris-Saint-Lazare à partir de décembre 2009. Ce matériel sera construit dans l'usine ex-ANF de Crespin (département du Nord, France). Cette décision a suscité une polémique en France, car Bombardier était accusé par Alstom d'être favorisé sur son marché local pour ainsi pouvoir vendre moins cher sur les marchés étrangers. Il semble qu'en octroyant une part du contrat des trains de l'Île-de-France à Alstom, Bombardier a apaisé ce conflit<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Aéronautique

2008 : C Series

Modèle:Article détaillé

Fichier:CS100-FTV1-Taxi-TO.jpg
Bombardier CS100.

Après des années de suspens et d'hésitation, Bombardier Aéronautique a annoncé le Modèle:Date, au Salon aéronautique de Farnborough, que les avions de la C Series verraient le jour et que l'assemblage final des appareils se ferait à Mirabel au Québec, le fuselage de l'appareil sera construit en Chine, tandis que ses installations de Belfast, en Irlande du Nord, se chargeront des ailes. L'usine Canadair de Bombardier de l'arrondissement Saint-Laurent, à Montréal, construira le fuselage arrière et le poste de pilotage. L’entrée en service était prévue en 2013 mais a été retardé en 2016. La valeur approximative de chaque avion est de Modèle:Nombre $US. L'investissement total sera de Modèle:Nombre $Can dans la mise au point dont un tiers proviendra de Bombardier, un tiers des fournisseurs et un tiers des gouvernements. Les retombées au Québec seront de Modèle:Nombre d'ici 2013 et de 3 500 au maximum de la production vers 2017.

Depuis l’annonce du programme d’avions C Series au salon aéronautique de Farnborough en 2008, Bombardier a reçu des commandes fermes de Deutsche Lufthansa AG, du Lease Corporation International Group et de Republic Airways, totalisant 33 CS100 et 57 CS300. De plus, des options ont été prises sur un total de 90 autres avions C Series. Au 19 juillet 2010, 50 pour cent des commandes nettes dans le segment de marché des avions de Modèle:Unité au cours des deux dernières années<ref name="Status programme">Modèle:Lien web</ref>.

Années 2010 : difficultés financières

Au début de février 2009, Bombardier a décidé de supprimer Modèle:Nombre. Au début d'avril 2009, à cause de l'instabilité des marchés et malgré des profits records pour l'exercice 2008-2009, Bombardier a annoncé la suppression de Modèle:Unité supplémentaires dans sa division aérospatiale<ref>Modèle:Article</ref>.

Le 15 janvier 2015, Bombardier annonce la suppression de 1 000 postes supplémentaires, la troisième vague de licenciements en à peine un an, pour faire face à la baisse de la demande en jets d'affaires<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 29 octobre 2015, le gouvernement du Québec a annoncé l'investissement de Modèle:Unité (1 milliard $US) dans le programme C Series, en échange d'une participation de 50 % dans ce programme, après une perte de Modèle:Nombre de dollars $US au troisième trimestre 2015 chez Bombardier dû aux délais et augmentation des coûts dans ce programme<ref>Modèle:Lien web</ref>. En novembre 2015, la Caisse de dépôt et placement du Québec annonce un investissement de Modèle:Unité dans les activités ferroviaires contre une participation de 30 % dans celles-ci<ref>Quebec pension fund to buy stake in Bombardier rail arm for Modèle:Unité, Allison Lampert et Euan Rocha, Reuters, 19 novembre 2015</ref>.

En février 2016, Bombardier annonce la suppression pour les deux années à venir de Modèle:Unité (10 % de sa main-d’œuvre) dont 1 300 au Royaume-Uni, situés en grande partie à Belfast où il emploie Modèle:Nombre, et 2 400 au Québec. Les licenciements toucheront Modèle:Nombre de la division ferroviaire, Modèle:Unité des activités d'aérostructures et des services d'ingénierie, Modèle:Nombre de l'ingénierie et du développement de produits (aéronautique) et Modèle:Nombre des avions d'affaires<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.

En octobre 2016, Bombardier annonça une autre suppression de Modèle:Nombre, soit plus de 10 % de sa main-d’œuvre, selon le plan de redressement financier sur cinq ans de l'entreprise. Les deux tiers des coupes seraient au sein de la division ferroviaire, Bombardier Transport, et le tiers dans les activités aéronautiques. Ces coupes affectèrent quelque Modèle:Unité au Canada, dont Modèle:Unité au Québec. La plupart des postes abolis sont administratifs ou non reliés directement à la production. L'effet net est amoindri par des embauches liées à des programmes en croissance comme ceux des avions C Series et Global 7000, ainsi qu'à des contrats ferroviaires majeurs comme celui des tramways de Toronto<ref>Modèle:Article.</ref>.

Bombardier a annoncé deux transactions lui permettant de récolter environ Modèle:Unité le Modèle:Date-, soit la vente de la série Q à Viking Air (Modèle:Unité) et le transfert de ses activités concernant la formation de techniciens et de pilotes pour ses avions d’affaires à la multinationale québécoise CAE (Modèle:Unité)<ref name=Droit>Modèle:Article.</ref>. Bombardier, qui avait déjà cédé en juin 2016, sa branche hydravions amphibies (CL-215, CL-215T et CL-415) à Viking (filiale de Longview Aviation Capital) et la CSeries à Airbus en 2017, comptait entre autres redéployer des ingénieurs vers son secteur des jets d’affaires. En même temps, la compagnie annonçait la suppression de Modèle:Unité dans le monde, dont la majorité au Canada avec 2 500 au Québec<ref name=Droit/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. En juin 2019, Bombardier annonce la vente de sa série CRJ à Mitsubishi Heavy Industries pour Modèle:Unité de dollars<ref>Modèle:Lien web</ref>. En octobre 2019, Bombardier annonce la vente de sa filiale spécialisée dans les pièces détachées d'avions présente en Irlande du Nord et au Maroc pour 1 milliard de dollars à Spirit AeroSystems<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En février 2020, Airbus annonce l'acquisition de la participation restante de 25 % de Bombardier dans le programme A220, passant sa participation à 75 %, pour Modèle:Unité de dollars canadiens<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le même mois, Alstom annonce l'acquisition des activités ferroviaires de Bombardier pour Modèle:Unité d'euros, à la suite des difficultés financières de ce dernier<ref>Modèle:Lien web</ref>. Fin juillet 2020, cette acquisition est approuvée par la commission européenne à la condition qu'Alstom se sépare de son site de production de Reichshoffen en Alsace afin d'éviter une situation monopolistique<ref>Modèle:Article</ref>.

Principaux actionnaires

En date du 8 mars 2021<ref>Modèle:Lien web</ref> Bombardier comptait 2 128 112 189 actions subalterne de classe B en circulation et 308 735 929 actions de classe A en circulation.

Actionnaires principaux
Nom de l'actionnaire Action de Classe A Action de classe B
Nombre d'actions % de la classe Nombre d'actions % de la classe
Janine Bombardier 61 973 491 20,07 % 7 110 137 0,33 %
Claire Bombardier-Beaudoin 61 373 490 19,88 % 8 695 136 0,41 %
Huguette Bombardier-Fontaine 60 701 887 19,66 % 7 070 136 0,33 %
J.R. André Bombardier 65 401 042 21,18 % 7 335 910 0,34 %
Autres membres de la famille 12 413 275 0,75 % 5 959 226 n.d.
  • Les actions de classe A comportent 10 droits de votes chacune.
  • Les actions de classe B ne comportent qu'un seul droit de vote chacune.
  • Les quatre membres principaux de la famille Bombardier contrôlent 48,41 % de l'ensemble des droits de vote.
  • Les autres membres de la famille contrôlent 2,49 % de l'ensemble des droits de vote.


Organisation

Modèle:Section à actualiser Le groupe est organisé en un secteur et trois sous-secteurs :

Membres du conseil d'administration de Bombardier Inc. élus lors de l'assemblée annuelle du 6 mai 2021<ref name="admin">Modèle:Lien web</ref> : Modèle:Colonnes

Activité de lobbying

Aux États-Unis

Selon le Center for Responsive Politics, les dépenses de lobbying de Bombardier aux États-Unis s'élèvent en 2017 à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Auprès des institutions de l'Union européenne

Bombardier est inscrit depuis 2018 au registre de transparence des représentants d'intérêts auprès de la Commission européenne. Il déclare en 2018 pour cette activité des dépenses annuelles d'un montant compris entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En France

Pour l'année 2019, Bombardier déclare à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique exercer des activités de lobbying en France pour un montant compris entre Modèle:Unité et 300 000 euros<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Controverses

Investissement gouvernemental

En octobre 2021, il est annoncé que l’investissement de 1,3G$ du gouvernement du Québec dans l’ex-C Series n’a plus aucune valeur comptable<ref>Modèle:Lien web</ref>. En février 2022, le gouvernement annonce qu’il investira à nouveau, atteignant la somme de 380M$, dans l’ex-C Series, ce qui a été critiqué comme une mauvaise gestion des fonds publics <ref>Modèle:Lien web</ref>.

Notes et références

Modèle:Références nombreuses

Bibliographie

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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