Régiment de Béarn (1684-1762)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Unité militaire Le régiment de Béarn est un régiment d’infanterie du Royaume de France créé en 1684 et licencié en 1762.

Création et différentes dénominations

Colonels et mestres de camp

Historique des garnisons, combats et batailles du régiment

Arrivé en Modèle:Date- en Nouvelle-France, le deuxième bataillon du régiment de Béarn est envoyé dès le début du mois de juillet au fort Frontenac et, un an plus tard, il contribue à la victoire au fort Oswego, en compagnie des autres régiments, de la milice et des Amérindiens. Après la capitulation des Britanniques, le Modèle:Date-, une compagnie est envoyée au fort Bull et une autre au fort William Henry. L’année suivante, l’unité entière se dirige au fort Carillon, pour ensuite revenir à William-Henry et prendre part à cette bataille.

En Modèle:Date-, le deuxième bataillon du régiment de Béarn, comprenant environ 410 hommes participe à la défense du fort Carillon<ref name="Ticonderoga 1758 p29">Ticonderoga 1758 Montcalm's victory against all odds, René Chartrand, Osprey Publishing, p. 29, 2000</ref>. Le jour de la bataille, le Modèle:Date-, il fait partie de la brigade commandée par le Chevalier de Lévis. Cette dernière est composée des régiments de Béarn, de La Reine et de Guyenne et forme l'aile droite du dispositif français. En début de journée, ces trois régiments repoussent un premier assaut des grenadiers du 60th Foot et d'un régiment colonial de New York. Entre 17h00 et 18h30, les troupes du Béarn repoussent un assaut soutenu donné cette fois par des troupes écossaises du [[Black Watch|Modèle:42e royal des Highlands (Black Watch)]]. L'échec de ce dernier assaut britannique confirme la victoire française<ref name="Ticonderoga 1758 p78-79">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Ticonderoga 1758 Montcalm's victory against all odds, René Chartrand, Osprey Publishing, Modèle:P., 2000</ref>.

En 1759, il est présent lors du siège de Québec, à l’exception de 35 soldats mobilisés au fort Niagara. Le régiment prend aussi part à la victoire française lors de la bataille de Sainte-Foy l’année suivante<ref name="Nouveau Monde p145">Jean-Claude Germain, Nous étions le Nouveau Monde, Hurtubise, Modèle:P., 2009 Modèle:ISBN.</ref>.

Drapeaux

3 drapeaux, dont un blanc Colonel, et 2 d’Ordonnance « isabelles et rouges par opposition, & croix blanches »<ref name="LJ">Pierre Lemau de La Jaisse, Cinquième abrégé général du militaire de France, sur terre et sur mer, Paris, 1739.</ref>.

Habillement

Fichier:Régiment de Béarn.jpg
Reconstitution du régiment de Béarn.

Notes et références

Modèle:Références

Annexes

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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