Loire (département)

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Modèle:Voir homonymes

Modèle:Infobox Subdivision administrative

Le département de la Loire (Modèle:MSAPI<ref>Prononciation en français standard retranscrite phonémiquement selon la norme API.</ref>) est un département français de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Il doit son nom au fleuve qui le traverse du sud au nord sur plus de Modèle:Unité. Les habitants sont appelés Ligériens, dérivé du nom latin du fleuve Liger. L'Insee et la Poste lui attribuent le Modèle:Nobr. Sa préfecture est Saint-Étienne.

Il est limitrophe des départements du Rhône, de l'Isère, de l'Ardèche, de la Haute-Loire, du Puy-de-Dôme, de l'Allier et de Saône-et-Loire.

Il est très étiré du nord au sud (Modèle:Unité séparent la commune d'Urbise au nord dans le canton de Renaison et Saint-Sauveur-en-Rue près de Bourg-Argental) mais ne s'étend que sur Modèle:Unité de largeur entre les monts du Forez à l'ouest et les monts du Lyonnais à l'est. Sa superficie de Modèle:Unité en fait un département plus petit que la moyenne.

Histoire

Des origines à la création du département

La Préhistoire

Fichier:Luriecq (Loire, Fr), le dolmen.JPG
Dolmen de Roche-Cubertelle (Luriecq), Modèle:Classé MH<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Dans le département, Modèle:Unité ont été identifiés, principalement le long du fleuve, des rivières et sur des hauteurs<ref>Modèle:Article.</ref>. La présence humaine remonterait jusqu'à 100 000 ou Modèle:Nombre<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> voire au moins Modèle:Nombre dans le Roannais avec des sites datés de la fin de l'Acheuléen<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.

Pour la période du Paléolithique, les Modèle:Unité recensés<ref>Modèle:Chapitre.</ref> se trouvent principalement dans le Roannais et, tout particulièrement, pour les plus importants d'entre eux, dans les Gorges de la Loire, aujourd'hui immergés sous les eaux du barrage de Villerest<ref>Huguette Deloge, "État actuel des recherches préhistoriques dans la région de Roanne (Loire)", In Revue archéologique du Centre de la France, tome 21, fascicule 2, 1982. Modèle:P.. lire en ligne.</ref> : gisement gravettien de la Vigne-Brun<ref>Modèle:Article.</ref> et gisement magdalénien de la Goutte-Roffat à Villerest ; gisement magdalénien du rocher de la Caille et gisement moustérien du Champ-Grand<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> à Saint-Jean-Saint-Maurice-sur-Loire. Dans le Forez, cette période est représentée par un abri sous-roche à Chalmazel et une grotte à Sail-sous-Couzan<ref name="Marie-Agnès Gaidon-Bunuel p.80">Marie-Agnès Gaidon-Bunuel, op.cit., Modèle:P..</ref>. Cette grotte dite des fées a révélé une centaine de silex taillés, issus pour une partie du Magdalénien (17 000 à 12 000 Modèle:Av JC)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Pour la période du Néolithique, plusieurs habitats ont été identifiés, dont des campements chasséens dans la plaine du Forez et un habitat fortifié à Chambles, ainsi que quatre menhirs, un dolmen, un tumulus, dix ateliers de taille et deux enceintes<ref name="Marie-Agnès Gaidon-Bunuel p.80"/>.

La Protohistoire

Modèle:Article détaillé Des habitats de l'Âge du bronze ont été découverts sur les terrasses alluviales de la Loire<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, notamment à Chambéon, Saint-Laurent-la-Conche et Craintilleux<ref name="Marie-Agnès Gaidon-Bunuel p.80"/>.

À l'Âge du fer, le peuple des Ségusiaves occupe le territoire qui s'étend, globalement, sur les départements actuels du Rhône et de la Loire. Dans ce dernier département, leurs oppidums ont été identifiés à Chatelard de Lijay (Débats-Rivière-d'Orpra), Essalois (Chambles), Crêt Chatelard (Saint-Marcel-de-Félines) et Joeuvre (Saint-Jean-Saint-Maurice-sur-Loire). De gros bourgs ont été découverts à Feurs, Poncins et Saint-Romain-le-Puy ainsi qu'un réseau d'habitats intercalaires, notamment à Cleppé. Deux nécropoles (Roanne et Feurs) et une tombe à char du monde celtique (Saint-Laurent-la-Conche) ont également été mises au jour par les archéologues<ref>Marie-Agnès Gaidon-Bunuel, op.cit., Modèle:P..</ref>.

L'Antiquité

Fichier:Vestiges de la curie.JPG
Forum segusiavorum : vestiges de la Curie.

Modèle:Article détaillé Dans le Livre VII des Commentaires sur la Guerre des Gaules par César, les Ségusiaves sont décrits comme un peuple autonome, allié des Éduens.

Lors de la réorganisation de la Gaule et en particulier de la Gaule lyonnaise dont ils dépendent, les Ségusiaves se voient accorder, par la Rome d'Auguste, le statut politique privilégié de peuple libre (Civitas Segusiavorum Libera). Le territoire se structure alors autour d'une capitale, Forum segusiavorum (Feurs), et de plusieurs agglomérations dont Izieux (poste de garde de l'Aqueduc du Gier, qui alimentait la ville antique de Lyon en eau), Moingt, Saint-Galmier et Sail-les-Bains (stations thermales) ou encore Roanne<ref>Marie-Agnès Gaidon-Bunuel, op.cit., Modèle:P..</ref>.

Du comté de Forez au royaume de France

Modèle:Article détaillé Après la disparition de l'Empire romain d'Occident, le Forez, lié au Lyonnais et au Beaujolais, faisait partie du royaume Burgonde, puis de Royaume de Bourgogne. Un comté de Forez se créé par division du comté de Lyon lors du Permutatio (1173). Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le Forez entre dans le domaine royal puis intègre la Généralité de Lyon.

La création du département

Modèle:Article détaillé

Fichier:Loire et provinces.svg
La Loire et les provinces qui occupaient son territoire avant 1790.

Le département de la Loire a été créé pendant la Révolution française, en 1793, par scission du département de Rhône-et-Loire en Rhône et Loire. Il est largement issu de l’ancienne province française du Forez.

Ses chefs-lieux ont été successivement :

Après la victoire des coalisés à la bataille de Waterloo (Modèle:Date-), le département est occupé par les troupes autrichiennes de juin 1815 à novembre 1818 (voir occupation de la France à la fin du Premier Empire).

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Au Modèle:Date- la région Rhône-Alpes, à laquelle appartenait le département, fusionne avec la région Auvergne pour devenir la nouvelle région administrative Auvergne-Rhône-Alpes.

Emblèmes

Blason

C'est le blason des comtes de Forez.Modèle:Référence nécessaire

Modèle:Blasonnement

Vie politique et administration

Administration

Administration générale

Les divisions administratives

Modèle:Article détaillé

Le département de la Loire compte Modèle:Unité et Modèle:Unité. Il est divisé administrativement en trois arrondissements :

Vie politique et élections

La Loire est un département plutôt marqué à droite même si les élections y sont souvent disputées notamment dans les agglomérations de Saint-Étienne et de Roanne. On peut opposer des zones urbaines (bassin stéphanois, vallée de l'Ondaine, vallée du Gier, Pays Roannais), à traditions ouvrières, qui votent à gauche aux communes rurales (Monts du Lyonnais, Forez, Pilat) accordant leur voix à la droite.

Fichier:Hôtel de Ville(1)-TG2012.jpg
Hôtel de ville de Rive-de-Gier.

Durant les années 1990, le Front national a récolté de très bons résultats. Jean-Marie Le Pen arrivant même en tête au premier tour de l'élection présidentielle de 2002. Après les élections municipales de 2008 les grandes agglomérations sont dirigées par la gauche. Mais depuis les élections municipales de 2014, un revirement de tendance sur les principales villes du département s’opère et sont dirigées par des maires de droite :

Sauf

Le Conseil départemental

Modèle:Article détaillé

Le Conseil départemental de la Loire est présidé par Georges Ziegler depuis le Modèle:Date.

Politique nationale

Les députés de la Loire sont au nombre de 6:

  • 1 pour le PS ([[Première circonscription de la Loire|Modèle:1re]] circonscription - nord de l'agglomération stéphanoise) ;
  • 4 pour le LREM ([[Deuxième circonscription de la Loire|Modèle:2e]], [[Troisième circonscription de la Loire|Modèle:3e]], [[Cinquième circonscription de la Loire|Modèle:5e]], [[Sixième circonscription de la Loire|Modèle:6e]] circonscriptions) ;
  • 1 pour LR ([[Quatrième circonscription de la Loire|Modèle:4e]] circonscription - sud-ouest du département).

Les sénateurs de la Loire sont au nombre de 4, dont :

  • 1 pour le PCF ;
  • 1 pour le PS ;
  • 2 pour LR.

Le 14 juin 2008, le maire Jean-François Barnier est élu président des maires de la Loire.

Géographie

Hydrographie

Le réseau hydrographique du département est structuré par la Loire qui lui a donné son nom et le traverse du sud-ouest au nord-est sur une distance de Modèle:Unité. Le bassin versant de la Loire s'étend sur plus de 80 % du territoire du département et collecte les eaux d'affluents venus des montagnes qui l'encadrent, parmi lesquels, sur la rive droite, la Coise ou, sur la rive gauche, le Lignon.

Le bassin versant du Rhône au sud-est du département draine les eaux du massif du Pilat et du versant est des monts du Lyonnais collectées principalement le Gier et ses affluents, parmi lesquels la Durèze et le Couzon.

Environnement, milieux et paysages

Le département abrite des milieux d'importance majeure pour la trame verte nationale<ref>Modèle:Lien brisé</ref>. La Loire possède une grande diversité de paysages, depuis le nord du Roannais qui fait penser aux paysages bourguignons, jusqu'au sud-est du département, au bord du Rhône, avec un type de climat faisant penser à la Provence, en passant par les montagnes du soir ou celles du matin. Ce département, traversé dans sa longueur par la Loire, peut être vu comme un "condensé" des paysages français.

Les montagnes

Les monts du Forez

Modèle:Article détaillé

Fichier:Forez Pierre-sur-Haute.jpg
Pierre-sur-Haute (Modèle:Unité), point culminant des monts du Forez.

À l'ouest du département, les monts du Forez, appelés localement montagnes du Soir, marquent la limite et le contact entre les anciennes régions Rhône-Alpes et Auvergne. La chaîne culmine à Modèle:Unité d'altitude au sommet de Pierre-sur-Haute, qui constitue également le point le plus haut du département.

Le socle des monts du Forez est constitué de roches magmatiques (granites) et métamorphiques (gneiss). L'édification de la chaîne s'est réalisée à l'Ère primaire. Au Tertiaire, le cycle alpin a créé le relief actuel avec des monts et des vallées. Cet épisode se termine par une phase volcanique Miocène. Puis les glaciations du Quaternaire ont érodé le paysage pour donner la forme actuelle.

Vers Modèle:Unité d'altitude, les vastes forêts de hêtres et de sapins, laissent place à des landes et tourbières à la diversité floristique remarquable<ref name="srtetie" /> : les Hautes Chaumes, site classé Natura 2000<ref name="natura2000">Modèle:Ouvrage</ref> qui abrite également la réserve naturelle régionale des Jasseries de Colleigne. Le climat des Hautes Chaumes se caractérise par la présence de la burle, vent du nord formant d'importants amas neigeux et expliquant l'absence d'arbres sur les plateaux sommitaux, ainsi que de brouillards fréquents (Modèle:Nombre par an) occasionnant du givre<ref name="srtetie">Modèle:Ouvrage</ref>.

En descendant vers la plaine du Forez, le climat est plus chaud et la pluviométrie devient relativement faible (effet de foehn). Cela permet la culture de vignobles (Côtes-du-Forez).

L'hiver, on pratique le ski alpin, à Chalmazel, sur Modèle:Unité de pistes de descente évoluant entre Modèle:Unité d’altitude, desservies par un télésiège débrayable à bulles et sept téléskis, et équipées de Modèle:Unité<ref name="domaine">Modèle:Lien web</ref>. On pratique également le ski de fond au col de la Loge, sur les Modèle:Unité de pistes du domaine nordique du haut Forez<ref name="nf">Modèle:Lien web </ref>.

Cinq communes de la Loire font également partie du Parc naturel régional du Livradois-Forez<ref>Décret Modèle:N°2011-874 du 25 juillet 2011 portant classement du parc naturel régional du Livradois-Forez (régions Auvergne et Rhône-Alpes)</ref>.

Les monts de la Madeleine

Modèle:Article détaillé

Les monts de la Madeleine sont situés dans le prolongement nord des monts du Forez. Ils dominent la plaine de Roanne et marquent la limite entre les départements de l’Allier et de la Loire. Le point culminant des monts de la Madeleine dans le département est le rocher de Rochefort avec Modèle:Unité d'altitude<ref name="ignmadeleine">Modèle:Ouvrage</ref>, situé à deux kilomètres du sommet du massif, Pierres du Jour (Modèle:Unité), qui se trouve dans le département de l'Allier.

Les monts du Lyonnais et de Tarare

Modèle:Article détaillé

Fichier:Mont Boussuivre.jpg
Le mont Boussuivre (Modèle:Unité), point culminant ligérien des montagnes du Matin.

Les monts du Lyonnais et de Tarare correspondent à la limite est du département et à la retombée orientale du Massif central sur les couloirs de la Saône et du Rhône. Ils constituent deux entités géographiques distinctes de part et d'autre de la vallée de la Brévenne. Pour autant, l'ensemble topographique jumelant les deux massifs est repris sous l'appellation locale de montagnes du Matin.

Les monts du Lyonnais culminent au crêt Malherbe, situé sur de la commune de Marcenod. Haut de Modèle:Unité, il offre un panorama sur la chaîne des Alpes et le massif du Pilat. Pour autant, le point culminant ligérien des montagnes de l'est de la plaine du Forez est le mont Boussuivre à Modèle:Unité sur la commune de Violay, au sommet duquel est installé la tour panoramique Matagrin.

Le Pilat

Modèle:Article détaillé

Fichier:Les Trois Dents 1.jpg
Le pic des Trois Dents dans le Pilat.

Le Pilat marque la limite sud-est du département. Il est frontalier avec le Rhône, l'Isère, l'Ardèche et la Haute-Loire.

Entre la dépression du Gier et la vallée du Rhône, les massifs boisés du Pilat dominent des collines couvertes d'arbres fruitiers (notamment des pommiers) et de vignobles. Au-dessus de Modèle:Unité, les versants nord sont marqués par la présence d'éboulis rocheux localement appelés chirats, formés lors de la dernière glaciation. Ils peuvent recouvrir plus d'un kilomètre de versant.

C'est dans cette région que sont produits deux fromages caractéristiques : la rigotte de Condrieu (AOC et AOP au lait de chèvre) et la bûche du Pilat (au lait de vache). De plus, une partie des fromages industriels des marques Fromager d’Affinois et Pavé d’Affinois y sont produits.

La majeure partie du territoire est classé Parc naturel régional. En été, on y pratique le tourisme vert (vélo, VTT, randonnée) et en hiver, le ski de fond sur l'espace nordique des monts du Pilat qui regroupe les communes du Bessat, de Burdignes, de Saint-Régis-du-Coin et de Graix et dispose de Modèle:Unité de pistes évoluant entre Modèle:Unité d’altitude.

Les plaines

La plaine du Forez

Modèle:Article détaillé

Fichier:Plaine et Mts du Forez.jpg
La plaine et les monts du Forez vus depuis la table d'orientation de la Madone de Rozier-en-Donzy.

La plaine du Forez est un effondrement de l'époque Tertiaire encadré par les montagnes du Matin (monts du Lyonnais et monts de Tarare) et les montagnes du Soir (monts du Forez et monts de la Madeleine). L'ensemble est recouvert d'une forte épaisseur d'alluvions et traversé du sud au nord par la Loire dont les limites sont très lisibles. Le sud se rattache par ses activités industrielles et la rurbanisation à l'agglomération stéphanoise, le nord a gardé un caractère plus rural, polarisé par les villes de Feurs et de Montbrison.

Le bassin roannais

Le bassin roannais est situé au nord du seuil de Neulise et des gorges de la Loire. Il est entouré par les collines du Brionnais, du Charolais et du Beaujolais à l'est et par les monts de la Madeleine à l'ouest. Par son ouverture vers le Bourbonnais, c'est un territoire de transit entre le nord et le sud de la France parcouru par la route nationale 7, la Loire et le canal de Roanne à Digoin.

Sur les communes de Noailly, Saint-Forgeux-Lespinasse et Vivans se situe la forêt de Lespinasse. Cette forêt essentiellement composée de feuillus s'étend sur Modèle:Unité et se trouve au nord du département. Elle est propriété du département de la Loire.

Les vallées

Les vallées du département de la Loire sont des espaces d'industrialisation ancienne, très fortement urbanisés le long des rivières. L'urbanisation linéaire suit en effet le tracé de cours d'eau descendus du Pilat : l'Ondaine et le Furan, affluents de la Loire et le Gier affluent du Rhône. Les paysages présentent des contrastes entre les fonds des anciennes vallées industrielles au bâti dense et complexe et les versants encore voués aux cultures mais gagnés par le mitage pavillonnaire.

La vallée de l'Ondaine
Fichier:Firminy.jpg
Aux confins de la Loire et de la Haute-Loire, Firminy et la vallée de l'Ondaine.

La vallée de l'Ondaine est située au sud-ouest du département, aux confins de la Loire et de la Haute-Loire. Quelques villes importantes y sont présentes, dont le développement s'est fait surtout au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par la sidérurgie, la métallurgie et l'exploitation de la houille. Ainsi, des villes comme Firminy et Unieux accueillaient une importante usine sidérurgique qui comptait Modèle:Nombre en 1960 dans ce qui était appelé l'Usine de l'Ondaine.

Les forges et fonderies se sont également développées dans toute la vallée, à Fraisses, au Chambon-Feugerolles, à La Ricamarie, bien aidée par l'exploitation du charbon dans ces mêmes villes. La vallée connue une forte expansion démographique au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle grâce aux paysans des régions et départements environnants, la Haute-Loire toute proche notamment. Cet apport migratoire se remplaça peu à peu au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par l’arrivée d’étrangers comme dans le reste du bassin stéphanois.

Autre caractéristique, la vallée de l'Ondaine reste un bastion important du Parti Communiste Français : 3 communes, Firminy, Unieux et La Ricamarie ont actuellement un maire affilié au PCF.

La vallée du Gier

La vallée du Gier traverse le département de Saint-Chamond à Rive-de-Gier puis se prolonge dans le département du Rhône jusqu'au confluent de Givors.

La vallée comporte des villes importantes comme Saint-Chamond et Rive-de-Gier, ainsi que d'autres villes plus petites dont le développement s'est fait entièrement et donc plus tardivement grâce à la révolution industrielle. Le développement en fond de vallée le long de la rivière fait que le tissu urbain entre Saint-Chamond et Rive-de-Gier est continu, et s'étend de plus en plus en remontant le flanc de la vallée par l'habitat pavillonnaire. Contrairement à Saint-Étienne et à la vallée de l'Ondaine, la vallée du Gier a peu perdu d'habitants depuis les années 1970, début de la crise industrielle.

La plus grande ville, Saint-Chamond était déjà un important bourg avant de voir l'industrie se développer jusqu'à former un important complexe d'aciéries, qui de reconversion en reconversion ferma en 2003. L'industrie du textile, avec ses teintureries et ses fabriques de lacet était installée massivement le long du Gier. Elle souffrit aussi énormément au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avec la concurrence étrangère, mais la ville n'eut pas à subir la fermeture des houillères contrairement au reste de la région, puisque Saint-Chamond n'a eu qu'une exploitation houillère limitée. Avec Modèle:Nombre en 2016, Saint-Chamond est la Modèle:2e ville de la Loire, entre Saint-Étienne et Roanne.

Rive-de-Gier comptait Modèle:Nombre en 2009. Située en bordure du département, important bourg elle aussi avant la révolution industrielle, la ville se développa plus tard comme le reste de la vallée et compta parmi les plus grands établissements sidérurgiques de la région, les usines Marrel sur la commune de Châteauneuf, aujourd'hui propriété d'Arcelor-Mittal. L'industrie du verre se développa également grâce à l'exploitation du charbon dans un premier temps. Cette industrie s'éteindra peu à peu avec la fermeture de la dernière verrerie de la vallée, Duralex, en 2006.

L'industrie permit le développement de communes plus petites avec L'Horme, La Grand-Croix et Lorette dans le fond de vallée le long du Gier.

Climat

alternative textuelle
La plaine du Forez en hiver sous le brouillard.

Si le climat du département de la Loire est de type semi-continental, les contrastes d'altitude, d'exposition des versants et l'étirement en latitude induisent des nuances sensibles où l'on différencie les espaces de moyenne montagne, les plaines et le versant rhodanien.

Démographie

Modèle:Article détailléModèle:Population de France/introduction

Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la Loire était un département rural et sans grande ville. En effet, Saint-Étienne comptait à peine Modèle:Nombre vers 1800. Mais la révolution industrielle très marquée dans la Loire entraîne une immigration des départements voisins surtout de l'Auvergne et de l'Ardèche et une explosion démographique jusqu'aux années 1960. Puis, durant les années 1970-1980, l'expansion démographique commence à s'essouffler avec la fermeture des mines et le début de la désindustrialisation. Dans les années 1990, l'accélération de la désindustrialisation et la reconversion difficile ont entraîné une baisse de la population. Depuis 1999, les bassins stéphanois et roannais ont continué à perdre de la population, mais de façon moins marquée qu'entre les précédents recensements. Le renouveau des campagnes et le dynamisme de certaines villes principalement dans la plaine du Forez ont permis une légère augmentation de la population (+Modèle:Nombre entre 1999 et 2009, soit +0,25%/an). Cependant, selon les populations légales de 2012, entrées en vigueur le Modèle:1er janvier 2015, la Loire a perdu sa place de troisième département le plus peuplé de l'ancienne région Rhône-Alpes, au profit de la Haute-Savoie (Modèle:Nombre).

Modèle:Population de France/tableau Modèle:Population de France/graphique

Communes les plus peuplées

Modèle:Composition Division de France

Économie

Modèle:Article détaillé

Le département de la Loire s'est fortement industrialisé aux {{#switch: XX

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}}, surtout dans la région de Saint-Étienne, dans la vallée du Gier et de l'Ondaine et dans la région de Roanne. Puis la plaine du Forez s'industrialisa, d'abord timidement avec les verreries de Saint-Romain-le-Puy et de Veauche, les fonderies de Feurs, la mécanique à Montbrison, Boën et Saint-Just, enfin Andrézieux-Bouthéon dans les années 1970 et 80.

Les activités étaient alors principalement l'exploitation de la houille, dont le bassin de Saint-Étienne fut le deuxième plus important de France après celui du Nord-Pas-de-Calais en termes de quantités de houille extraite. Le dernier puits de mine ferma en 1983 à La Ricamarie dans la vallée de l'Ondaine. Le textile connut également son heure de gloire au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dans les passementeries, produisant rubans et lacets à Saint-Étienne et Saint-Chamond, avant de se rétracter puis de disparaître pendant le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Enfin, la sidérurgie et la métallurgie s'installa fortement dans les vallées du Furan, de l'Ondaine et du Gier grâce au savoir-faire stéphanois et à la présence de la houille, indispensable à l'époque pour la production d'acier et la demande d'énergie des usines. Cette industrie se désagrégea peu à peu après la Seconde Guerre mondiale à travers les établissements de la CAFL (Compagnie des Forges et Ateliers de la Loire), puis de Creusot-Loire qui, dans les années 1980, fut réparti entre GIAT, Framatome et Usinor.

Aujourd'hui la Loire comporte encore une part importante d'activités industrielles, notamment dans la mécanique, le textile médical, l'optique et garde encore de nombreuses installations de sidérurgie. Elle se distingue par sa multitude de PME et la faible présence de grands groupes industriels. Elle ne comporte également aucune usine automobile, malgré la présence très importante de sous-traitants automobiles.

Depuis les années 1970 et 80 le département se tertiarise peu à peu. Saint-Étienne accueille aujourd'hui le siège du Groupe Casino, groupe de distribution qui a opéré chiffre d'affaires de 34 milliards d'euros en 2011, avec près de Modèle:Nombre dans le monde<ref>Site du Groupe Casino, Positionnement et modèle économique: Modèle:Lien brisé</ref>.

La viticulture est représentée par trois vignobles classés AOC : Côte-roannaise, Côtes-du-forez et Côtes-du-rhône septentrionaux (Château-grillet, Condrieu et Saint-joseph). Des vins de pays dits vins classés IGP sont également présents avec les vins de pays d'urfé en forez et roannais, et les Comtés-rhodaniens|vins de pays des Comtés-rhodaniens au sud-est du département, sur les coteaux des Monts du Lyonnais et sur ceux de Condrieux.

Tourisme

Lits marchands

Le département de la Loire dispose en 2015 de 25 780 lits marchands. 7 110 lits (28 % de l'offre) se répartissent dans les campings, 6 490 (25 % de l'offre) dans l'hôtellerie, 5 780 (22 % de l'offre) dans les hébergements collectifs, 4 260 (17 % de l'offre) dans les gites et meublées et 2 140 (8 % de l'offre) en chambres d'hôtes<ref name="loirepro1">Modèle:Pdf Agence du développement touristique de la Loire - Département de la Loire : chiffres clés du tourisme 2015</ref>.

Toujours en 2015, la fréquentation de ces hébergements s'est établie à 1 172 670 nuitées, dont 764 200 nuitées en hôtellerie homologuée<ref name="loirepro1" />.

Sites touristiques marchands principaux

L'Espace zoologique de Saint-Martin-la-Plaine s'impose largement comme le premier site touristique marchand du département avec plus de Modèle:Nombre enregistrées en 2015, suivi par le Château de Bouthéon (Modèle:Nombre), le Musée de la mine de Saint-Étienne (Modèle:Nombre) et la station de sports d'hiver de Chalmazel (Modèle:Nombre)<ref name="loirepro1"/>.

Fréquentation annuelle des principaux sites touristiques de la Loire<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>
Rang 2016 Sites touristiques 2011 2012 2013 2014 2015 2016
1 Espace zoologique de Saint-Martin-la-Plaine Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn
2 Château de Bouthéon Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn
3 Musée de la mine de Saint-Étienne Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn
4 Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn
5 Musée d'art et d'industrie de Saint-Étienne Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn
6 CCSTI La Rotonde Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn
7 Station de sports d'hiver de Chalmazel Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn
8 Espace Eau vive à Saint-Pierre-de-Bœuf Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn
9 Musée des Verts Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn
10 Planétarium de Saint-Étienne Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn Modèle:Smn

Les résidences secondaires

Selon le recensement général de la population du Modèle:1er janvier 2008, 4,8 % des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires.

Ce tableau indique les principales communes de la Loire dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 10 % des logements totaux.

Modèle:Boîte déroulante/début

Commune Population SDC Nombre de logements Résidences secondaires % résidences secondaires
Chalmazel 437 496 232 46,89 %
Apinac 384 364 150 41,15 %
Usson-en-Forez 1 441 1 125 380 33,78 %
Estivareilles 653 487 151 30,92 %
Marlhes 1 382 721 192 26,57 %
Périgneux 1 305 795 183 22,95 %
Saint-Genest-Malifaux 2 901 1 466 333 22,73 %
Belmont-de-la-Loire 1 517 936 197 21,07 %
Saint-Maurice-en-Gourgois 1 698 833 150 18,06 %
Noirétable 1 704 975 169 17,30 %

Sources :

  • Insee, chiffres au 01/01/2008.

Modèle:Boîte déroulante/fin

Transports

Modèle:Article détaillé

Culture

Langues traditionnelles

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Carte linguistique de la Loire selon l'Atlas sonore des langues régionales (2022) : Vert : Francoprovençal ; Jaune orangé : Nord-occitan.

Le département connaît deux grandes langues traditionnelles :

En francoprovençal, Loire se dit Lêre, Leu<ref>Modèle:Ouvrage</ref> ou Léger en occitan.

La langue d'oïl est très peu parlée dans la Loire (autour d'Urbise seulement). Sa limite sud étant à peu près l'actuelle limite entre les départements de la Loire et de Saône-et-Loire.

L'État a imposé la pratique majoritaire du français depuis le début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.

Lieux et équipements culturels et sportifs

Musées

Modèle:Article détaillé

Fichier:Musée d'art et d'industrie de Saint-Étienne.jpg
Le musée d'art et d'industrie de Saint-Étienne.
Fichier:Stade firminy vert.JPG
Le stade de Firminy-Vert.

En 2015, le département de la Loire comptabilise au moins 47 musées ouverts au public dont 17 sont labellisés musée de France<ref>Modèle:Lien web</ref>.

De nombreux musées de la Loire mettent en valeur le savoir-faire local, passé ou présent, comme à la maison du Passementier (rubans), au musée du tissage et de la soierie, à l'Atelier-Musée du Chapeau (chapeaux de feutre de poils de lapin), à la maison des tresses et lacets, au musée d'art et d'industrie de Saint-Étienne (armes, rubans, cycles), au musée de la mine de Saint-Étienne (charbon) ou au musée des vignerons du Forez.

Dans le domaine des arts et des civilisations, trois musées se distinguent particulièrement : le musée d'art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole, le musée des beaux-arts et d'archéologie Joseph-Déchelette et le musée des civilisations de Saint-Just-Saint-Rambert.

Quant à l'histoire locale, elle s'expose dans des structures aussi diverses que le mémorial de la Résistance et de la Déportation de la Loire, le musée des transports urbains de Saint-Étienne et sa région, le musée du vieux Saint-Étienne ou encore le musée des Verts.

Par ailleurs, certaines structures, sans être des musées au sens classique du terme, œuvrent à la diffusion de la culture scientifique et technique. Il en est ainsi du centre de culture scientifique La Rotonde, de la Cité du design, du Planétarium de Saint-Étienne et de La Diana, société historique et archéologique du Forez à Montbrison.

Depuis juillet 2016, la maison de la culture de Firminy-Vert est l'une des 17 œuvres architecturales de Le Corbusier classée au Modèle:Patrimoine mondial de l'UNESCO<ref>Modèle:Lien web.</ref>. On peut également découvrir l'ensemble du site conçu par le célèbre architecte, Le Corbusier, où l'on peut notamment découvrir l'église Saint-Pierre et le stade.


Parcs de loisir et zoos

Châteaux

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Le château de La Roche.

Modèle:Article détaillé

Salles de spectacle

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La station de ski de Chalmazel-Jeansagnière.

Lieux et équipements sportifs

Médias

La presse s’est développée au XIXème siècle grâce au progrès technique puis à la loi de la liberté de la presse. De nombreux titres ont fait leur apparition avec plus ou moins de longévité. Ces périodiques sont très intéressants pour la généalogie, en effet on peut souvent y lire les publications de naissance, de décès ou des mariages. Les faits divers peuvent aussi des sources d’informations précieuses...

Hier
Le Petit Stéphanois

Le Petit Stéphanois est paru du 14 juillet 1881 au 31 décembre 1886. C’est un quotidien d’influence républicaine. Le petit stéphanois devient Le Stéphanois en 1889. Le journal appartient à Noël Bouchardy depuis 1886. Sa parution cessera en 1916.

Le Républicain de la Loire

Le Républicain de la Loire est un quotidien républicain publié du 1er avril 1873 au 15 août 1893. Il est diffusé dans le département de la Loire et de la Haute-Loire. L’ensemble des numéros est numérisé.

Le Mercure ségusien

Le Mercure ségusien est créé en octobre 1825 par Aimé Royet. Ce journal est d’orientation libérale. Il sera publié jusqu’en juillet 1848. La sentinelle populaire prend sa suite à partir du 12 juillet. Il est dirigé par Henri Leneveux. Le journal est suspendu en juin 1849. (1) (2) La rédaction est installée à Saint-Etienne, au numéro 52 de la rue d’Artois. Il parait deux fois par semaine : le mercredi et le samedi. Le prix de l’abonnement pour les stéphanois est de 7 francs pour 3 mois en 1830 (des frais supplémentaires sont comptés pour les abonnés en dehors de la ville). Le numéro du 10 juillet 1830 est disponible en ligne.

les autres périodiques
  • Le journal de Saint-Etienne et de la Loire, avec 3 publications par semaine en 1838.
  • L’indicateur Stéphanois est un hebdomadaire. Sa parution a commencé en 1833.
  • L’Avenir républicain (1848-1852)
  • L’industrie (1852-1853)
  • La Loire (1868-1869)
  • L’Eclaireur (1869-1872)
  • Le Défenseur (1870-1871)
  • La Commune (1870-1871)
  • La République des paysans (1871-1886)
  • Le mémorial de la Loire
  • La Loire Républicaine : un quotidien créé en 1855. Son siège est à Saint-Etienne. Son immeuble construit en 1908 a été occupé par le journal La tribune-Le progrès. Il est classé monument historique depuis 1991.
  • Le journal de Roanne
  • L’union républicaine de Roanne
  • La Sentinelle populaire (juillet 1848- février 1849).
  • La Voix du peuple (avril 1848)
  • L’éclaireur de Saint-Chamond
  • Le journal de Montbrison
  • Le Montbrisonnais est un hebdomadaire radical. (1897-1940)
  • L’avenir Montbrisonnais (1901-1924)

Les archives départementales conservent des exemplaires de nombreux journaux ainsi que d’autres documents comme les statuts des sociétés... Elles sont classées aux côtes : 1 M 553 à 1 M 556

Aujourd’hui
  • La tribune-Le Progrès est un quotidien d’information régionale. Quatre éditions couvrent le département. http://www.leprogres.fr/ Le premier numéro est paru le 12 décembre 1859. Ce numéro est disponible sur le site généawiki.
  • TL7 - Télévision Loire 7 est aussi considéré comme un média à part entière car son site internet tl7.fr est reconnu CPPAP.
  • La Gazette de la Loire paraît depuis 2000. C’est un hebdomadaire d’information locale. http://www.lagazettedelaloire.fr/
  • La Liberté, le journal du Forez et de la Loire.
  • Saint-Etienne & moi est un bimestriel gratuit d’information locale et sportive créé en 2008.
  • Sports Forez Vert est un magazine sportif gratuit.
  • L’Essor de la Loire est un hebdomadaire d’information locale depuis le 1er septembre 1946. Il est habilité pour publier les annonces légales. http://lessor.fr/
  • Le pays Roannais : sa parution est hebdomadaire.
Les autres médias

Le XXème siècle a vu apparaître de nouveaux médias que sont la radio et la télévision. Avec la création de FR3 (devenue France 3 depuis septembre 1992), et l’avènement des radios libres, de nombreuses stations locales sont lancées dans les années 80.

Les télés locales :

TNT Chaîne Modèle:N°
Satellite Non
IPTV Oui

Freebox TV : canal Modèle:N° SFR TV : canal Modèle:N°

Orange : canal Modèle:N° Bouygues : canal Modèle:N°

Sosh : canal n° 384

http://www.tl7.fr/

  • France 3 Rhône-Alpes http://rhone-alpes.france3.fr/
  • TéléLoire http://www.teleloire.com/

Les radios locales, consultez l’annuaire.

Quelques personnalités liées au département

Artistes, écrivains et personnalités des médias

Gastronomie

Industriels et ingénieurs

Militaires

Personnalités politiques

  • Jean-Baptiste Nompère de Champagny (1756-1834), homme d'État sous Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} (ministre de l'Intérieur puis ministre des Affaires étrangères), officier de marine qui prit part à la guerre d'indépendance des États-Unis, député, sénateur, duc de Cadore.
  • Duc de Persigny (1808-1872), homme d'État du Second Empire, président du Conseil Général de Loire, ministre et ambassadeur.
  • Vicomte Alfred de Meaux (1830-1907), homme d'État de la {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIIe{{#if:|  }} }} République (plusieurs fois ministre de l'Agriculture et du Commerce), député et sénateur de la Loire.
  • Michel Rondet (1841-1908), syndicaliste, secrétaire de la Fédération nationale des Mineurs.
  • Ferdinand Foch (1851-1929), général puis maréchal de France durant la Seconde Guerre Mondiale, il a étudié à l’Externat Saint-Michel, à Saint-Étienne.
  • Ravachol (1859-1892), ouvrier et militant anarchiste, coupable de plusieurs délits, assassinats et attentats.
  • Antoine Durafour (1876-1932), homme d'État de la {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIIe{{#if:|  }} }} République (ministre du travail), maire de Saint-Étienne, président du Conseil Général et député de la Loire.
  • Antoine Pinay (1891-1994), homme d'État des {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IVe{{#if:|  }} }} et {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ve{{#if:|  }} }} République (plusieurs fois ministre), né dans le Rhône, a passé une grande partie de sa vie dans la Loire où il est mort.
  • Michel Durafour (1920-2017), homme d'État de la {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ve{{#if:|  }} }} République (plusieurs fois ministre), maire de Saint-Étienne, président du Conseil Régional, sénateur et député de la Loire.
  • Lucien Neuwirth (1924-2013), président du Conseil Général, député et sénateur de la Loire, connu pour avoir proposé la loi Neuwirth pour l'autorisation de l'utilisation de la contraception orale en 1967.
  • Huguette Bouchardeau (1935-), femme d'État (ministre de l'environnement), universitaire et éditrice.
  • Jean Auroux (1942-), homme d'État (deux fois ministre), né dans le Rhône, maire de Roanne, député de la Loire, président du groupe socialiste à l'assemblée nationale.

Sportifs

Scientifiques et médecins

Notes et références

Notes

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Références

Modèle:Références

Voir aussi

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Bibliographie

  • Atlas des paysages de la Loire, collectif, conseil général de la Loire, 2001, Modèle:ISBN
  • La loire, Jean Tibi, Connaître et comprendre un Département, Lec édition, 1996, Modèle:ISBN
  • Jérôme Sagnard La Loire Mémoire en images Éditions Alan Sutton, 2008, 192 p.
  • Gilbert Gardes (sous la direction de), Grande encyclopédie du Forez et des communes de la Loire, cinq volumes, Horvath, 1984-1986.
  • Gilbert Gardes, La Cité industrielle, Rive-de-Gier, Mémoire d'un patrimoine, Azossi (Mémoire Sculptée Association internationale), 782 pages, 2010.

Articles connexes

Liens externes

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