Joël Sarlot

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Modèle:Infobox Personnalité politique

Joël Sarlot, est un homme politique français, né le Modèle:Date de naissance à Belfort (Territoire de Belfort) et mort le Modèle:Date de décès<ref name="of">Modèle:Lien web</ref> à Nalliers (Vendée)<ref>État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970</ref>.

Biographie

Vétérinaire<ref>Il soutient sa thèse sur La Maladie de Marburgh en 1973.</ref>, il est élu député le Modèle:Date dans la [[Cinquième circonscription de la Vendée|Modèle:5e de la Vendée]]. Il appartient alors au groupe parlementaire Union pour la démocratie française et du centre.

Réélu en 1997, il quitte l'UDF en 1998 et participe à la création du groupe Démocratie Libérale et indépendants.

Réélu en 2002, il siège sur les bancs des non inscrits.

Membre du Mouvement pour la FranceModèle:Depuis quand, il en démissionne en 2006.

Réélu en 2007, il s'inscrit comme « apparenté » au groupe parlementaire de l'UMP.

Il est successivement membre de la commission de la production et des échanges (Modèle:Date- à Modèle:Date-), de la commission des affaires étrangères (Modèle:Date- à Modèle:Date-), et de la commission de la défense (à partir de Modèle:Date-)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale à partir du Modèle:Date-, rapporte dans son livre Un député ça compte énormément que Joël Sarlot était rarement présent à l’Assemblée<ref>Jean-François Copé, Un député, ça compte énormément, Albin Michel, 2009, page 63.</ref>. Entre 2002 et 2006, il ne s'était pas exprimé une seule fois dans l'hémicycle, bien que cela ne préjuge rien de son activité en commission<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le Conseil constitutionnel le déclare démissionnaire d'office et inéligible pour une durée d'un an à compter du Modèle:Date-, en application des dispositions du code électoral relatives à la gestion du compte de campagne<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il devient alors l'assistant parlementaire de son successeur, le MPF Dominique Souchet.

À nouveau candidat lors des élections législatives de 2012, sous l'étiquette UMP, il se présente avec le soutien du président du conseil général Bruno Retailleau ; mais il est battu au second tour, Modèle:Nombre s'étant portées sur son nom contre 24 733 à Hugues Fourage, maire (PS) de Fontenay-le-Comte.

Mandats locaux

Notes et références

Modèle:Références

Liens externes

Modèle:Liens

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