Samuel Schmid

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Samuel Schmid, né le Modèle:Date de naissance- à Rüti bei Büren (originaire d'Attiswil), est un homme politique suisse, membre de l'Union démocratique du centre (UDC), puis du Parti bourgeois-démocratique (PBD).

Député du canton de Berne au Conseil national de 1994 à 1999 puis au Conseil des États de 1999 à 2000, il est conseiller fédéral du Modèle:Date- au Modèle:Date-, à la tête du Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS), et président de la Confédération en 2005.

Biographie

Originaire d'Attiswil, Samuel Schmid naît le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il est le fils d'un instituteur et président de commune<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>.

Après son gymnase à Soleure (il est aujourd'hui membre d'honneur de l'Alt-Wengia), il étudie le droit à l'Université de Berne, puis exerce la profession d'avocat et de notaire.

Il est marié depuis 1971<ref name=":0" /> et père de trois enfants. Peter, son frère aîné, a été membre du Conseil exécutif du canton de Berne.

Parcours politique

Devenu maire de sa commune natale de Rüti bei Büren entre 1973 et 1982, il est ensuite élu député au Grand Conseil bernois de 1982 à 1993 puis conseiller national de 1994 à 1999 — période durant laquelle il préside le groupe UDC de l'Assemblée fédérale en 1998-1999 — et conseiller aux États de 1999 à 2000.

Appartenant alors à l'aile modérée de l'UDC, il est élu au Conseil fédéral le Modèle:Date- au sixième tour (Modèle:105e conseiller fédéral de l'histoire<ref>Modèle:Lien web</ref>), après avoir éliminé les candidats officiels, Rita Fuhrer et Roland Eberle. Toutefois, par la suite, il est souvent vilipendé par son parti qui le qualifie de « demi-conseiller fédéral » jusqu'à la scission effectuée par une partie de la section bernoise au mois de Modèle:Date-, à laquelle Schmid se rallie<ref name="Sam" />.

Responsable à partir du Modèle:Date- du DDPS, il gagne, contre les milieux isolationnistes, une votation sur l'engagement de soldats à l'étranger dans des missions de promotion de la paix le Modèle:Date- et réussit à faire adopter la réforme Armée XXI par le peuple le Modèle:Date-.

Président de la Confédération en 2005, il effectue des visites surprise sur le terrain, ce qui lui permet de rencontrer différents milieux de la population (pompiers, douaniers, personnel des hôpitaux, etc.). En Modèle:Date-, il prononce un discours très applaudi à Tunis, lors du Sommet mondial sur la société de l'information, où il défend fermement la liberté d'expression. Son discours est immédiatement censuré par la télévision tunisienne<ref>« Samuel Schmid en Guillaume Tell de Tunisie », Swissinfo, 17 novembre 2005</ref>.

En 2008, il rejoint le PBD et devient, dès lors, le premier conseiller fédéral de cette nouvelle formation politique.

Selon le sondage de L'Illustré paru en Modèle:Date-, Samuel Schmid serait le conseiller fédéral le moins apprécié des Romands, prenant la dernière place du classement à Pascal Couchepin, relégué au dernier rang depuis 2002<ref>« Samuel Schmid : ministre le moins populaire », Télévision suisse romande, Modèle:1er octobre 2008</ref>. Samuel Schmid annonce le Modèle:Date- au matin qu'il démissionne de ses fonctions de conseiller fédéral, avec effet au Modèle:Date-, en invoquant son état de santé<ref name="dem_cf">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="dem">Modèle:Lien web</ref>.

Activités après le Conseil fédéral

En 2009, il est membre du comité d'experts de la commission mise en place par l'Union européenne pour enquêter sur la deuxième guerre d'Ossétie du Sud<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Notes et références

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Sources

Liens externes

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