Georges Siffredi

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}
Révision datée du 12 septembre 2023 à 14:54 par >Wikicapitaineben (→‎Jeunesse et vie familiale)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité politique

Georges Siffredi, né le Modèle:Date à Marseille (Bouches-du-Rhône), est un homme politique français. Membre des Républicains (LR), ancien maire de Châtenay-Malabry, il est président du conseil départemental des Hauts-de-Seine et vice-président de la Métropole du Grand Paris.

Biographie

Jeunesse et vie familiale

Fils de Francis Siffredi, Corse d’origine et secrétaire général des Hauts-de-Seine, nommé en 1973 par Charles Pasqua<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>, Georges Siffredi est né le Modèle:Date à Marseille<ref>Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Référence nécessaire et s'oriente à la sortie du Lycée vers des études de droit à la faculté de droit d'Assas, avant d'entrer en 1981 dans la vie politique en devenant l’assistant parlementaire de Charles Pasqua<ref name=":0" />.

Parcours politique

En 1989, Georges Siffredi conduit une liste aux élections municipales de Châtenay-Malabry, ville gérée par les socialistes depuis Modèle:Unité. Il échoue au second tour face au maire PS sortant Jean Vons, mais devient le chef de file de l’opposition au sein du conseil municipal.

En 1992, toujours face à Jean Vons, il se présente aux élections cantonales (canton de Châtenay-Malabry). Il est élu avec 55,31 % des voix. Âgé de Modèle:Unité, il est non seulement le benjamin du conseil général mais aussi, à l’époque, le plus jeune conseiller général de l’histoire des Hauts-de-Seine. Deux ans plus tard, il est élu vice-président du conseil général chargé du logement.

En Modèle:Date-, il est élu maire de Châtenay-Malabry après que la liste qu'il conduisait remporte les élections municipales dès le premier tour avec 50,82 % des voix. Le slogan de sa campagne est Modèle:Citation.

Il est battu aux cantonales de Modèle:Date- par la socialiste Michèle Canet, mais réélu maire de Châtenay-Malabry à l'issue du premier tour du scrutin municipal de 2001 avec 53 % des suffrages<ref>Site du ministère de l'Intérieur.</ref>. Son slogan de campagne est Modèle:Citation. Michèle Canet (Parti socialiste) et Philippe Laville (Citoyens Unis), les autres candidats, recueillent respectivement 29,51 % et 17,21 % des voix.

Suppléant aux élections législatives de juin 2002, Georges Siffredi devient député de la treizième circonscription des Hauts-de-Seine, le Modèle:Nobr, lorsque Patrick Devedjian est nommé ministre délégué aux libertés locales. À la suite du remaniement ministériel de Modèle:Nobr, il démissionne de son mandat de député en juillet afin de permettre à Patrick Devedjian de retrouver les bancs de l’Assemblée nationale.

Il est élu président de la communauté d’agglomération des Hauts-de-Bièvre qui regroupe sept communes (Antony, Bourg-la-Reine, Châtenay-Malabry, Le Plessis-Robinson, Sceaux, Verrières-le-Buisson et Wissous) et près de Modèle:Nombre .

Candidat à sa succession aux élections municipales de 2008 à Châtenay-Malabry, il est réélu dès le premier tour, face à trois autres listes, avec 52,77 % et Modèle:Nombre d’avance sur le candidat suivant. Son slogan de campagne est Modèle:Citation<ref>Site du ministère de l'Intérieur.</ref>. Il est ensuite réélu à l’unanimité président de la communauté d’agglomération des Hauts-de-Bièvre.

La nomination en Modèle:Date- de Patrick Devedjian, comme ministre auprès du premier ministre chargé du plan de relance, conduit Georges Siffredi à siéger, une nouvelle fois, à l’Assemblée nationale jusqu’en Modèle:Date-.

En Modèle:Date-, il se présente aux élections cantonales face à Michèle Canet, conseillère générale sortante et présidente du groupe PS à l’Assemblée départementale. Georges Siffredi manque l’élection dès le premier tour en obtenant le meilleur score des candidats UMP du département avec plus de 49 % des voix. Au second tour, il remporte l’élection avec 58 % des suffrages<ref>Site du quotidien Le Parisien.</ref>. Parmi les Modèle:Nombre renouvelés lors de ce scrutin, celui de Châtenay-Malabry est alors le seul du département à basculer de gauche à droite<ref>Site du quotidien Le Parisien.</ref>. La Modèle:2e du conseil général est confiée à Georges Siffredi, avec une délégation qui couvre la politique de la ville.

En Modèle:Date-, il est candidat aux élections sénatoriales en Modèle:3e sur la liste officielle de l'UMP dans les Hauts-de-Seine : il n'est pas élu et se retrouve, de fait, premier suppléant de cette liste.

Lors des élections législatives de juin 2012, il se présente à nouveau en tant que suppléant de Patrick Devedjian qui est réélu député de la Modèle:13e des Hauts-de-Seine. Cependant, cette élection est annulée le Modèle:Date- par le Conseil constitutionnel du fait que Georges Siffredi était déjà suppléant du sénateur et que cette candidature n'était pas conforme à l'article LO 134 du Code électoral.

En Modèle:Date-, il est tête de la liste « Union de la droite » aux élections municipales à Châtenay-Malabry. Sa liste est réélue dès le Modèle:1er obtenant 66,60% des suffrages, contre 22,74% des voix pour la liste « Union de la gauche » (PS-PCF-EELV) de Sylvie Delaune, 8,87% pour la liste Front de gauche de Geneviève Colomer et 1,76 % pour la liste « Divers gauche » de Delfina De Matos<ref>Site du ministère de l'Intérieur.</ref>. Modèle:Article connexe

Il est élu le Modèle:Date- Modèle:11e de la métropole du Grand Paris<ref name="Localtis25012016">Modèle:Article.</ref>. Il est aussi élu Modèle:1er vice-président de l'établissement public territorial Vallée Sud Grand Paris.

En 2017, il est candidat de l'union de la droite et du centre (Les Républicains-UDI) aux élections législatives dans la Modèle:Circonscription fr (Antony, Bourg-la-Reine, Châtenay-Malabry, Sceaux). En ballotage défavorable au premier tour, il est battu par Frédérique Dumas (LREM).

Lors des élections municipales de Châtenay-Malabry de 2020, sa liste, « Bien vivre notre ville », l’emporte au premier tour avec 65,7 % des suffrages<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Article connexe

Le 29 mars 2020, à la suite de la mort de Patrick Devedjian, il assure l'intérim du président du conseil départemental des Hauts-de-Seine<ref>Modèle:Lien web.</ref> puis en est élu président le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En raison de la loi sur le cumul des mandats, il abandonne le 28 mai suivant sa fonction de maire de Châtenay-Malabry, son adjoint Carl Segaud lui succédant<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Il est réélu conseiller départemental de Châtenay-Malabry lors des élections départementales de 2021 dans les Hauts-de-Seine puis, le Modèle:Date-, est également réélu président du conseil départemental des Hauts-de-Seine<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>.

Détails des mandats et fonctions

Mandats nationaux

Mandats locaux

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Modèle:Références

Modèle:Portail