Parti vert du Québec

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}
Révision datée du 5 octobre 2023 à 14:56 par >Apollinaire93 (Annulation de la modification de 66.130.9.193 (d))
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

Modèle:Infobox/Début Modèle:Infobox Parti politique Modèle:Infobox Parti politique/Représentation Modèle:Infobox modulaire/Fin

Le Parti vert du Québec (PVQ) est un parti politique écologiste œuvrant sur la scène politique provinciale québécoise.

Il n'a jamais été représenté à l'Assemblée nationale du Québec.

Les principes du Parti vert du Québec s’inspirent des six valeurs communes exprimées dans la Charte des Verts mondiaux, c’est-à-dire la sagesse écologique, la non-violence, la justice sociale, le développement durable, la démocratie participative et le respect de la diversité<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Fondé en 2001 dans sa forme actuelle, le Parti vert a aussi eu une première version de 1985 à 1994, qui s’est éteinte lorsque son chef, Jean Ouimet, quitta pour le Parti québécois après l'élection de 1994<ref name="quebecpolitique" />. Le chef actuel est Alex Tyrrell, qui a été nommé le Modèle:Date-. Alors âgé de Modèle:Nombre, il devient le plus jeune chef de parti sur la scène politique québécoise et canadienne<ref name="choisi">Modèle:Lien web.</ref>.

Histoire

Premier Parti vert du Québec (1985-1994)

Une première version du Parti vert du Québec a été fondée en 1985 et a présenté 10 candidats lors des élections québécoises de 1985. L'équipe de cette époque n'y donne pas suite. En 1985, une nouvelle équipe relance le parti. Sous le leadership du chef Jean Ouimet, le PVQ présente 43 candidats en 1989, obtient dans la plupart de ces circonscriptions plus de voix que le NPD Québec. À l’époque, le Parti vert du Québec connut le plus grand succès pour un Parti vert canadien. Malgré un faible budget, le parti tenta de mener une campagne électorale à travers le Québec, avec des organisateurs à Montréal, Québec et Sherbrooke, mais aussi avec des campagnes locales relativement indépendantes dans les campagnes. Plusieurs tentatives ont été faites par le parti pour recevoir le support de divers groupes environnementaux, mais la plupart ont refusé d’appuyer publiquement le PVQ pour conserver la neutralité politique et ainsi ne pas nuire au financement privé. Dans la campagne de 1998, la souveraineté et la neutralité économique étaient priorisées sur toutes politiques de gauche sous le slogan « ni à gauche, ni à droite, mais d’avant», ce qui causa des divisions au sein du parti. Le parti a perdu sa reconnaissance officielle après que Jean Ouimet, son chef de l'époque, le quitta pour le Parti québécois après l'élection générale de 1994<ref name="quebecpolitique">Modèle:Lien web.</ref>.

Parti vert du Québec actuel (depuis 2001)

La deuxième (et actuelle) version du Parti vert a été fondée en 2001 par Richard Savignac<ref name="quebecpolitique" />.

En 2002, trois partis politiques de gauche, soit le Rassemblement pour l'alternative progressiste, le Parti de la démocratie socialiste et le Parti communiste du Québec, ont fusionné pour former l'Union des forces progressistes (UFP). Sans fusionner avec l'UFP, le PVQ promet alors d'essayer d'éviter de présenter des candidats dans les circonscriptions où il y a un candidat de l'UFP, se réservant cependant le droit de faire campagne où bon lui semble (même dans des circonscriptions avec un candidat d'UFP). Cette entente n'est toutefois pas satisfaisante aux yeux de certains membres du PVQ, puisqu'elle limite le nombre de candidats du Parti vert et qu'elle n'est pas respectée dans certains cas.

En Modèle:Date-, le PVQ élit un nouveau chef Scott McKay, et rejette (par motion) tout rapprochement avec Québec solidaire (fusion de l'UFP et d'Option citoyenne), réaffirmant son indépendance et son désir de devenir une alternative crédible sur la scène politique québécoise.

Le Modèle:Date-, Guy Rainville est élu nouveau chef du PVQ (avec 54,4 % des voix), battant le chef sortant Scott McKay (45,6 % des voix). Ce dernier a depuis joint le Parti québécois et fut élu député de L'Assomption lors de l'[[élections générales québécoises de 2008|élection du Modèle:Date-]].

Cette élection marque un net recul du PVQ et Guy Rainville effectue son mandat de deux ans sans néanmoins se représenter. Lors du congrès national du Modèle:Date-, Claude Sabourin remporte la chefferie par un peu plus de 50 % des voix au second tour sur Paul-André Martineau, le président sortant du parti.

Le Modèle:Date- Claude Sabourin, alors chef du PVQ, démissionne au cours du congrès du parti qui s'est déroulé au collège Maisonneuve, à Montréal, les 23 et Modèle:Date-, quelques heures avant le dévoilement du résultat d'un vote de confiance. La démission de Claude Sabourin intervient le deuxième jour du congrès<ref>Modèle:Article.</ref>. Quelques heures plus tard, Jean Cloutier est alors élu chef par intérim avec 51 % des voix au premier tour.

Lors d'un congrès extraordinaire le Modèle:Date-, Alex Tyrrell est élu chef du PVQ. À Modèle:Nombre, il est le seul jeune chef de parti sur la scène provinciale<ref name="choisi" /> jusqu'à l'élection du nouveau chef d'Option nationale, Sol Zanetti (Modèle:Nombre), un mois plus tard.

Suivant l'élection d'Alex Tyrrell, des mesures sont prises pour renouveler l'image du parti, son unité et clairement camper le parti à gauche avec un programme éco-socialiste<ref>Modèle:Article.</ref>.

En Modèle:Date-, le groupe Réforme PVQ lance une pétition demandant la tenue d’une assemblée générale où aurait lieu un vote de confiance quant à la chefferie d'Alex Tyrrell. Les militants lui reprochent de s’être voté un salaire et de ne pas s’être soumis à un vote de confiance<ref>Modèle:Article.</ref>. En Modèle:Date-, six membres de l'Exécutif national du parti retirent leur confiance en Alex Tyrrell et demandent sa démission, l'accusant de mal préparer le parti en vue des élections de 2022 et d'être responsable des mauvaises relations du parti avec son équivalent fédéral, le Parti vert du Canada<ref>Modèle:Article.</ref>. Alex Tyrrell obtient 64,6 % (taux de participation de 65,5 %) lors de son vote de confiance et le Modèle:Date-, cinq membres de l'Exécutif démissionnent en bloc, affirmant que le résultat n'est pas unificateur, que le processus a été entaché de multiples problématiques et que le chef aurait fait preuve d’une mauvaise foi continue tout au long du processus<ref>Modèle:Article.</ref>. En Modèle:Date-, Alex Tyrrell expulse du parti cinq membres de l'Exécutif national et les militants Chad Walcott et Catherine Polson, les accusant de nuire à l'avancement du parti<ref>Modèle:Article.</ref>.

Chefs

Liste des chefs du Parti vert du Québec
Chef Mandat
Yves Blanchette (intérim) 1987 - 1989
Jean Ouimet 1989 - 1993
Marian Lé Grant 1993 - 1994
Éric Ferland 1994 - 1996
Saloua Laridhi 1996 - 1998
Vacant 1998 - 2001
Richard Savignac 2001 - 2006
Scott McKay 2006 - 2008
Guy Rainville 2008 - 2010
Claude Sabourin 2010 - 2013
Alex Tyrrell 2013 - Présent

Identité visuelle

Idéologie

Environnement

Le chef actuel, Alex Tyrrell, participe beaucoup aux mouvements d’opposition aux pipelines. Dans un panel appelé Modèle:Citation étrangère qui s’est déroulé à l’Université Concordia en Modèle:Date-, il s’est opposé à toute nouvelle infrastructure d’exploitation des énergies fossiles au Québec<ref>Modèle:Article.</ref>.

Contamination des sols

Alex Tyrrell est très mobilisé par rapport aux enjeux de contamination des sols, notamment par rapport à la question des sols contaminés au BPC à Pointe-Claire<ref name="Navneet ">Modèle:Article.</ref>. Les résidents et les environnementalistes de la région attendent depuis quelques années que le sol soit décontaminé ou que, du moins, des tests soient conduits afin de déterminer si la contamination s'est répandue ou pas<ref name="Navneet " />. Depuis l'annonce d'un déversement en 2013, Alex Tyrrell a fait de nombreuses pressions pour que l'ancien site de la compagnie Reliance Power Equipment Ltd. ainsi que les sols résidentiels et industriels avoisinants soient examinés de près<ref name="Greenaway ">Modèle:Article.</ref>. En Modèle:Date-, Montreal Gazette annonçait que des tests avaient été conduits sur les sols contaminés<ref name="Greenaway " />.

Campagnes électorales

Résultats électoraux

Résultats électoraux du Parti vert du Québec<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Élections Chef Sièges Voix Gouvernement Slogan
Candidats Obtenus +/- Votes % +/-
1985 Vacant Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Stagnation 0 4 613 Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Stagnation Modèle:8e Modèle:NC -
1989 Jean Ouimet Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Stagnation 0 67 675 Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Augmentation Modèle:4e Modèle:NC Le progrès, oui, mais pas à n’importe quel prix!
1994 Éric Ferland Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Stagnation 0 5 499 Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Diminution Modèle:8e Modèle:NC -
1998 Le parti perd sa reconnaissance officielle de 1994 à 2001
2003 Richard Savignac Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Stagnation 0 16 975 Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Stagnation Modèle:6e Modèle:NC Pour nous et pour nos enfants
2007 Scott McKay Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Stagnation 0 152 885 Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Augmentation Modèle:4e Modèle:NC Je vote
2008 Guy Rainville Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Stagnation 0 70 393 Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Diminution Modèle:5e Modèle:NC Votons pour l'avenir
2012 Claude Sabourin Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Stagnation 0 43 394 Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Diminution Modèle:6e Modèle:NC Se donner une voix
2014 Alex Tyrrell Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Stagnation 0 23 163 Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Stagnation Modèle:6e Modèle:NC L'option éco-socialiste pour le Québec!
2018 Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Stagnation 0 67 870 Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Augmentation Modèle:5e Modèle:NC Bien plus qu'une couleur
2022 Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Stagnation 0 31 054 Modèle:Infobox Pari politique/Jauge Modèle:Diminution Modèle:6e Modèle:NC Le parti vraiment vert

1989

Modèle:Style

Lors de l'élection générale de 1989, le Parti vert du Québec recueille 1,99 % des votes<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il présente 46 candidats et obtient une moyenne de 5,56 % des votes dans ces 46 circonscriptions<ref name="générales">Modèle:Lien web.</ref>. Il obtient même des résultats significatifs de 15,45 % dans Saguenay et de 10,28 % dans Beauce-Sud<ref name="générales" />. Dans la plupart des circonscriptions (32 des 46), il arrive troisième directement derrière le Parti québécois et le Parti libéral du Québec<ref name="générales" />. Avec Jean Ouimet à sa tête, le PVQ connait donc une montée considérable sur la scène provinciale cette année-là<ref name="sep89">Modèle:Lien web.</ref>. Ce succès survient parallèlement à la montée des Verts en Europe et est habituellement vu comme une prise de conscience de l'importance des problèmes environnementaux<ref name="sep89" />. D'ailleurs, une partie de la campagne électorale du PVQ en 1989 était fondée sur la saga des BCP envoyés en Grande-Bretagne, puis ramenés au Québec et entreposés à Baie-Comeau<ref>Modèle:Lien web.</ref> Modèle:Incise<ref name="sep89" />.

2007

Les Verts ont présenté 108 candidats (sur une possibilité de 125) lors des élections générales de 2007<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il s'agit du plus grand nombre de candidats dans l'histoire du PVQ. C'est Scott McKay qui est alors à la tête du Parti vert du Québec.

Selon la plateforme, le Parti vert du Québec s'engage à<ref name="nousomm">Modèle:Article.</ref> :

  • Exiger des résultats concrets du gouvernement en matière d'environnement
  • Prévenir la crise imminente des changements climatiques
  • Arrêter la destruction du patrimoine écologique
  • Prendre nos responsabilités envers les générations futures

Dans son programme électoral Modèle:Citation, le PVQ souligne l'importance d'une approche préventive plutôt que l'approche curative des gouvernements précédents, en plus de mettre l'accent sur l'équité entre les Québécoises et Québécois de toute origine, toute condition et toute génération<ref>Modèle:Lien web</ref>.

2008

Le PVQ présente 80 candidats lors de cette élection et remporte Modèle:Unité (moins de la moitié que le nombre de vote obtenu à l'élection de 2007), ce qui représente 2,17 % des voix<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Guy Rainville, alors chef du parti, obtient 4,21 % des voix dans la circonscription de Deux-Montagnes<ref name="genettou">Modèle:Lien web.</ref>. La meilleure performance est une fois de plus dans Notre-Dame-de-Grâce, où le candidat Peter McQueen obtient 14,39 % des voix, arrivant en deuxième position, derrière le Parti libéral du Québec<ref name="genettou" />. Le Parti vert du Québec arrive également en deuxième place dans les circonscriptions de Jacques-Cartier et D'Aray-McGee<ref name="genettou" />.

Il propose un projet de société basé sur le développement durable. Les propositions exposées dans la plateforme incluent, entre autres<ref name="avenir">Modèle:Lien web.</ref> :

  • une réforme du mode de scrutin
  • une décentralisation des pouvoirs vers les régions
  • réaliser un plan de transport québécois de Modèle:Nombre de dollars étalés sur une période de Modèle:Nombre
  • miser sur un fonds négaWatt
  • réformer le régime forestier
  • miser sur un système de coopératives de services de santé
  • réduire le nombre d’élèves par classe dans les écoles publiques

2012

Le Parti vert du Québec n’obtient que 0,99 % des voix à l'élection générale de 2012, c’est-à-dire Modèle:Unité, alors qu’il a présenté 66 candidats<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il affiche donc, une fois de plus, une diminution des appuis depuis les élections précédentes. Les meilleures performances se font dans Notre-Dame-de-Grâce, où le chef de l’époque, Claude Sabourin, obtient 5,72 % des voix et dans Jacques-CartierAlex Tyrrell arrive en troisième position avec 4,54 % des voix<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

2014

Disposant d'environ quatre mois pour organiser l'élection générale, à la suite d'une course à la chefferie mouvementée, le PVQ est aux prises avec des luttes internes qui nuisent à sa préparation électorale. Aux élections de 2014, le Parti vert du Québec connait donc une autre diminution des voix remportées. Alors qu’il présente 44 candidats, il recueille Modèle:Unité, pour un total de 0,55 % des votes<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Seuls le chef, Alex Tyrrell, et Lisa Julie Cahn remportent plus de 3 % des votes, soit respectivement 4,52 % dans Notre-Dame-de-Grace et 4,02 % dans Westmount-Saint-Louis<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le parti, sous la chefferie d'Alex Tyrrell s'établit clairement comme étant à gauche, écosocialiste et se détache des modèles passés, plus centristes<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le parti présente sa plateforme « L'option éco-socialiste pour le Québec » qui vise surtout à replacer le parti à gauche sur l'échiquier politique tout en proposant des moyens de luttes aux changements climatiques, en proposant, entre autres : le revenu minimum garanti, la gratuité du transport en commun, hausser les impôts des grandes entreprises, une assurance médicament universelle et une réforme du mode de scrutin<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le parti manifeste également son opposition au projet de Charte des valeurs québécoises du gouvernement Marois<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

2018

Les élections d'Modèle:Date- marquent un retour du parti sur la scène politique québécoise, après un recul marqué, non seulement en termes de candidatures, mais également d'attention médiatique. Le parti assemble une équipe de 97 candidats, la deuxième plus grande de son histoire, aux quatre coins de la province et dans des circonscriptions où il n'y avait jamais eu de candidat vert auparavant. Le parti présente d'ailleurs, malgré une équipe réduite, le pourcentage le plus élevé de candidate, tous partis confondus, à 58 % et l'un des plus grands nombres de candidatures féminines, avec 56 candidates (en plus de deux agenres, donc qu’ils ne s’identifient à aucun des deux genres traditionnels), dépassant ainsi le Parti libéral du Québec (55) et le Parti québécois (51)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le PVQ présente une nouvelle plateforme : « Le Nouveau Plan Vert pour le Québec », proposant et prônant une transition écologique, une lutte plus efficace aux changements climatiques, la défense du système public, des investissements massifs en santé, éducation et dans les services publics.

Le parti propose notamment :

  • La gratuité du transport en commun<ref name="TransportPVQ">Modèle:Lien web.</ref>.
  • Une taxe sur le carbone à Modèle:Unité la tonne dès 2019<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
  • Atteindre la carboneutralité d'ici 2050<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
  • La construction d'un réseau de trains à grande vitesse<ref name="TransportPVQ" />.
  • Une cible de réduction de la consommation de viande<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
  • Une réforme du mode de scrutin et des réformes démocratiques (vote à Modèle:Nombre, vote par anticipation sur internet, cours de participation civiqueModèle:Etc)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le PVQ profite également de l'élection pour présenter une nouvelle plateforme concernant le droit des animaux, plus moderne, inspiré par les propositions du milieu activiste. Le programme propose des réformes de fond massives, l'ajout de plus d'inspecteur, l'interdiction de la vente de chiens et de chats en animalerie, la protection juridique des animaux destinés à la consommationModèle:Etc<ref>Modèle:Lien web.</ref> Le programme est d'ailleurs déclaré le meilleur par la SPCA Montréal<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le parti dénonce également son exclusion des débats publics. Avec le chef du Parti conservateur du Québec, Adrien D. Pouliot, Alex Tyrrell demande une formule qui permettrait d'inclure les deux formations politiques, étant donné qu'elles présentent plus de 90 candidats<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le PVQ obtient 1,70 % des voix, avec Modèle:Unité. Dans Jacques-Cartier, Catherine Polson termine troisième avec 6,73 %, dans Notre-Dame-de-Grâce Chad Walcott termine quatrième avec 6,67 % et dans Mont-Royal–Outremont, Vincent J. Carbonneau termine cinquième avec 4,31 %. Plusieurs autres candidats dépassent les Modèle:Unité dans leur circonscription : Valérie Fortier dans Blainville, Giuseppe Cammarrota dans Nelligan, Jean-Pierre Duford dans Saint-Henri–Sainte-Anne et Kimberly Salt dans Marquette, entre autres.

Le chef du parti, Alex Tyrrell, termine cinquième dans Verdun avec 3,72 %, soit Modèle:Unité. Il affrontait notamment Isabelle Melançon, députée sortante et ministre de l'environnement sous le gouvernement Couillard. C'est également la première fois dans l'histoire du parti qu'un chef est à la tête de la formation pour plus d'une élection générale.

Élections partielles

Depuis la nomination d'Alex Tyrrell à la tête du Parti vert du Québec en Modèle:Date-, le PVQ a participé à plusieurs élections partielles. Les résultats affichent une augmentation de la popularité du parti après les élections de 2014. En effet, dans huit des neuf circonscriptions où le PVQ participe à des élections partielles à partir de 2015, les résultats obtenus sont supérieurs à 2 %. Après les 0,55 % des voix obtenus aux élections générales de 2014, il s'agit d'une remontée pour le parti, qui atteint même jusqu'à 3,5 et 4 % dans certaines circonscriptions. Présentant leur chef, Alex Tyrrell, comme candidat dans une majorité de ces partielles, notamment en région, les verts tentent de faire connaître leur chef, encore méconnu du grand public ainsi que développer le parti dans des régions où il est moins actif ou inactif.

Résultats du Parti vert du Québec aux élections partielles depuis 2013<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Année Circonscription Candidat Résultats (%)
2013 Outremont Alex Tyrrell 3,79
Viau Morgan Crockett 1,67
2014 Lévis Alex Tyrrell 1,10
2015 Richelieu Vincent Pouliot 1,74
Jean-Talon Elodie Boisjoly-Dubreuil 2,40
Fabre Kim Raymond 3,67
Saint-Henri–Sainte-Anne Jiab Zuo 3,54
2016 Chicoutimi Alex Tyrrell 2,47
Arthabaska 2,11
Marie-Victorin Vincent J. Carbonneau 2,62
Saint-Jérôme Émilianne Lépine 2,06
Verdun David Cox 4,28
2017 Gouin Alex Tyrrell 4,57
Louis-Hébert 2,07
2018 Roberval 0,52
2019 Jean-Talon Émilie Coulombe 2,80
2022 Marie-Victorin Alex Tyrrell 0,87
2023 Jean-Talon Kadidia Mahamane 0,59

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Modèle:Palette Modèle:Portail