Chaîne de Belledonne

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La chaîne de Belledonne est un massif des Alpes françaises dont une partie est proche de Grenoble, constituant une région naturelle française. Le massif est principalement situé dans le département de l’Isère, mais son versant nord-est se trouve en Savoie. Son plus haut sommet, le Grand pic de Belledonne, culmine à Modèle:Unité.

Toponymie

Belledonne s'écrit sans article, contrairement à la plupart des autres massifs, et au singulier ; son étymologie a plusieurs versions.

D'après P.-L. Rousset, il faudrait chercher les origines de la toponymie dans les langues indo-européennes d'Asie centrale ; Belledonne aurait donc une origine préceltique associée aux racines bel, bal, bol signifiant « hauteur », « rocher », « belvédère » avec l'ajout plus tardif de la finale done<ref>PL. Rousset, Les Alpes et leurs noms de lieux - 6000 ans d'histoire Modèle:ISBN</ref>,<ref name="Arvillard">Arvillard ses lieux-dits, ses légendes</ref>.

C'est l'arrivée du latin bellus qui aurait induit un glissement de sens en faisant perdre la signification première de « rocher élevé » au profit du qualificatif de « beauté ». Il aurait alors fallu expliquer ce qui était « beau », on décida un rapprochement imagé avec donna, la « mère ». Cette version poétique de la mère à l'enfant interprétable depuis le versant est par la relative ressemblance du Grand Pic à une femme ayant à ses côtés un enfant est très souvent évoquée.

Raymond Joffre accrédite cette hypothèse de bella donna, « la belle dame », que les émigrants italiens venant travailler en Oisans en passant par le col du Glandon auraient initiée<ref>Raymond Joffre, La Fabuleuse Histoire de Belledonne, des origines au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, éditions de Belledonne</ref>. Il légitime cette origine par son caractère récent, ne trouvant trace de ce toponyme qu'à partir du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. En effet, en 1414 apparaît « mons frigidus fontis inclusis pratis de Freydana » traduit par « la montagne de la source cachée dans les prés de Freydane ». Freydana est une appellation qui se retrouve versant Grésivaudan en plusieurs lieux (au Moutaret : Frédon, Freydières, Freydon en 1260 ; à Sainte-Agnès : Freydone en 1413 ; à Morêtel-de-Mailles : cabannaria de freyduri en 1260 ; à Chapareillan : Freydière, Freydier), mais jamais dans la vallée de l'Eau d'Olle. Le Pic de Belledonne n'est évoqué que sous l'appellation de Freydane jusqu'au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, et uniquement côté ouest. La carte de Bourcet de 1749 entérine le nom de Belledonne pour désigner le point culminant, tandis que celle de Cassini, terminée en 1789, fait une union toponymique en écrivant Roc de Freydane ou de Belledone.

J. Bruno mentionne un mons belli dignarii de 1444, qui désigne la montagne de Bédina, et associe bedina, beldina et belledone. Selon lui, il faudrait remonter à l'ancien beldina / bel done, dont seules les formes anciennes du mot donnent son sens : bel = « obscur » + di du gaulois divos = « sacré » + na du gaulois nantos = « vallée » : c'est « la vallée sacrée »<ref>J. Bruno, Le Graisivaudan, toponymie et peuplement d'une vallée des Alpes</ref>.

Autre hypothèse trouvant racine dans la langue gauloise : belo signifie « puissant », « imposant » et dunon désigne soit un lieu fortifié, soit une muraille ou un mouvement de terrain assez fort pour constituer un obstacle difficile à vaincre. Le nom Belledonne serait alors issu de belodunon, datant de Modèle:Unité au moins, dont le sens se serait perdu au fur et à mesure que d'autres langues s'imposèrent.

G. Tuaillon rappelle que les gens du pays ne donnaient pas de noms aux massifs montagneux. Belledonne serait d'abord le nom d'un petit torrent. Ce n'est qu'au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle que le nom a désigné le massif<ref name="Arvillard"/>. Cependant, d'après le dictionnaire de Pilot de Thorey, il n'existe aujourd'hui pas de torrent ayant le nom de Belledonne.

Le sommet du massif portait un nom différent selon le versant : le Roc de Freydone côté Grésivaudan (qui évoluera en orthographe et en lieu, pour être aujourd'hui le col de Freydane) désignait le point culminant, nommé Pic de Belledonne côté Eau d'Olle.

Une autre hypothèse a aussi cours, il s'agit du rapprochement avec la plante Atropâ BelladonaModèle:Référence nécessaire, surnommée « belle dame » en référence aux romaines de l'Antiquité se servant d'extraits utilisés pour donner du brillant aux yeux ou comme fard.

Vers la Savoie, certains désignent parfois le massif en y ajoutant l'article « les », Belledonne semblant évoquer un pluriel à consonance italienne.

Dans la partie centrale de Belledonne, le massif des Sept Laux comprend un ensemble de sommets et de lacs ; il a d'abord été connu sous le nom de « montagne abîmée » en 1622 (parois et vallons donnant sur de profondes vallées), puis de Cælo sur la carte de Tillemon en 1690 : en latin, Cælum-i-o signifie « montagne du ciel » (reflets des lacs ou sommets élevés ?). Ensuite, en 1803, le comte de Barral fit dresser une carte pour figurer dans son contrat de Modèle:2e où l'on trouve l'orthographe Ceylau qui, déformée phonétiquement, devint Sept Laux. Ainsi, Laux ne serait pas le pluriel de « lac », d'autant plus que le plateau central de ce massif comporte quatorze lacs nommément désignés, et non sept. Les Sept Laux ne désignent donc pas « les sept lacs »<ref>D'après une synthèse d'un document de communication EDF - Pôle Industrie UP Alpes - Groupe d'exploitation hydraulique Vallée de la Maurienne</ref>.

Géographie

Situation

Le massif s'étend sur Modèle:Unité de long et Modèle:Unité de large.

Il est bordé par de profondes vallées, notamment au nord-est avec la Maurienne (Arc) qui la sépare des massifs de la Lauzière et de la Vanoise, au nord par la combe de Savoie (Arc et Isère) qui la sépare du massif des Bauges, à l'ouest du Grésivaudan (Isère) qui le sépare du massif de la Chartreuse, au sud-ouest du Y grenoblois (Drac et Romanche) qui le sépare du massif du Vercors et au sud de la basse vallée du Drac et de l'Oisans (Romanche) qui le sépare du massif du Taillefer. Au sud-est, les vallées de l'Eau d'Olle et des Villards séparées par le col du Glandon, moins profondes que les autres vallées, isolent la chaîne de Belledonne des Grandes Rousses et du massif des Arves. L'extrémité septentrionale du massif est constituée de la colline sur laquelle s'élève le château de Chamousset, son extrémité orientale par celle sur laquelle s'élève le château de Charbonnières, son extrémité méridionale est marquée par la croix du Moutet et son extrémité occidentale est constituée du plateau de Champagnier.

Les sommets enneigés de Belledonne constituent le décor naturel des deux plus grandes villes des Alpes françaises, Grenoble et Chambéry.

Fichier:Karte Belledonne-Gruppe.png
Carte de la chaîne de Belledonne avec les principaux éléments géographiques.

Topographie

Le massif se compose de trois chaînons principaux. Du sud au nord :

  • le massif de Belledonne, à proprement parler : s'étend (du sud au nord) de la vallée de la Romanche au pas de la Coche ; le point culminant est le Grand pic de Belledonne.
  • le massif des Sept Laux : s'étend (du sud-ouest au nord-est) du pas de la Coche au col de la Croix ; le point culminant est le rocher Blanc.
  • le massif d'Allevard : s'étend (du sud au nord) du col de la Croix à la vallée de l'Arc ; le point culminant est le puy Gris.

Principaux sommets

Fichier:Grand Pic de Belledonne.jpg
Le Grand pic de Belledonne (gauche), le pic Central de Belledonne (centre) et la Croix de Belledonne (droite).

Modèle:Colonnes

Principaux cols

Fichier:Col de la pra.jpg
Le col de la Pra.

Véritable barrière naturelle, Belledonne n'est franchie par aucun col routier. Une caractéristique du relief de la chaîne est en effet que les cols sur la crête principale sont proches en altitude des sommets voisins.

Le pas de la Coche, séparant le massif de Belledonne proprement dit du massif des Sept-Laux, est le seul véritable point faible où la crête faîtière (ligne de partage des eaux entre l'Isère à l'ouest, l'Arc et la Romanche à l'est) s'abaisse en dessous de Modèle:Unité d'altitude.

Les principaux cols de la chaîne de Belledonne sont : Modèle:Colonnes

Hydrographie

Principaux glaciers

Modèle:Colonnes

Principaux lacs

Fichier:Grand domenon082004.jpg
Le lac du Grand Doménon.
Fichier:Lac du Crozet.jpg
Lac du Crozet avec vue sur le massif de la Chartreuse.

Modèle:Colonnes

Géologie

Le massif de Belledonne est un massif cristallin externe. Le granite est présent dans certaines zones (vallon de Bourbière), mais on trouve principalement du gneiss amphibolique. Le massif est très travaillé tout au long de l'hiver par des gels et dégels successifs (cryoclastie ou gélifraction). Dans les soubassements du massif, le schiste est dominant.

La chaîne de Belledonne fait partie de l'arc alpin qui prend de l'altitude, à raison d'un millimètre par an en moyenne<ref>Raymond Joffre, La fabuleuse histoire de Belledonne, Éd. de Belledonne (2006), p. 32 Modèle:ISBN</ref>. Elle se déplace également vers le sud-est à une vitesse relativement élevée de plusieurs centimètres par an. Ce dernier phénomène se manifeste par des éboulements et des glissements de terrain relativement fréquents dans la vallée de la Romanche, lesquels menacent en particulier le secteur des Ruines de Séchilienne.

Faune

Outre la faune classique des Alpes (marmotte, chamois, bouquetin, lagopède…), le loup est aussi présent depuis quelques années, principalement dans le massif d'Allevard à cheval entre l'Isère et la Savoie.

Le bouquetin avait totalement disparu de Belledonne. Une vingtaine d'individus d'origine suisse (treize femelles et sept mâles) ont été réintroduits au printemps 1983 au-dessus du barrage de Grand'Maison dans la combe de l'Âne. Au printemps 2002, la population s'élevait à 900 têtes réparties sur l'ensemble du massif<ref>Population de Belledonne - Bouquetins des Alpes</ref>.

L'ours était aussi présent dans le massif. Mais chassé, il en disparut complètement dans les années 1920. Certains toponymes témoignent encore de cette présence passée, comme la cascade de l'Oursière au-dessus d'Uriage ou le Plan de l'Ours dans la vallée du Veyton<ref>Belledonne38 - le massif - Faune</ref>.

Histoire

Très largement utilisé avant l'apparition de l'automobile par les populations locales pour passer d'une vallée à l'autre, voire se rendre en Maurienne par le col du Glandon, le pas de la Coche aurait été utilisé par Hannibal lors de sa traversée des Alpes<ref>Geoffroy de Galbert, Hannibal en Gaule, Editions de Belledonne (2006) Modèle:ISBN</ref>. Il a failli être traversé par une route. Sous l'impulsion de Joseph Paganon (1880-1937), maintes fois ministre, la D 528 devait relier Laval au Rivier-d'Allemont, mais le projet s'est arrêté à la cote 1336 côté Grésivaudan, alors que côté vallée de l'Eau d'Olle, rien n'avait été encore entrepris<ref>Pascal Sombardier, Randonnées au cœur des Alpes, Glénat Modèle:ISBN Modèle:BNF</ref>.

Outre les traditionnelles activités pastorales encore présentes, Belledonne a connu une activité minière jusque récemment ; en témoignent certains toponymes (col de la Mine de Fer). Tournant principalement autour de l'exploitation du fer (vallée du Bréda), il y eut aussi des mines d'argent sous la Grande Lance d'Allemont, au lieu-dit des Chalanches. Les mines des Chalanches furent exploitées de 1767 à 1890, d'abord clandestinement, puis légalement à la suite de nombreux accidents. Étienne Favier, premier alpiniste ayant gravi le Grand pic de Belledonne le Modèle:Date, y travaillait comme contremaître<ref>Raymond Joffre, La Fabuleuse Histoire de Belledonne, Éd. de Belledonne (2006), p. 21 Modèle:ISBN</ref>. Cette activité minière, grande consommatrice de bois, fut la principale responsable de la déforestation du massif.

Belledonne a aussi été un des berceaux de la houille blanche grâce à Aristide Bergès et à ses papeteries à La Combe-de-Lancey, ou sur la commune de Livet-et-Gavet. En effet, le massif de Belledonne cumule plusieurs facteurs favorables à l'exploitation de l'énergie hydroélectrique :

  • pluviométrie abondante, et présence de neiges persistantes et de glaciers garantissant le débit des torrents à longueur d'année ;
  • versant abrupts permettant des installations hydroélectriques avec une hauteur de chute importante ;
  • proximité de la vallée du Grésivaudan et des agglomérations de Grenoble et Chambéry.

Alpinisme

Activités

Hydroélectricité

Les principales installations hydrauliques et hydroélectriques du massif sont :

  • barrages « hydronucléaires » de Grand'Maison et du Verney ;
  • installations historiques sur le torrent du Doménon, le lac du Crozet et le torrent de Lancey. Ces installations datent de l'époque des pionniers de l'hydroélectricité au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle ;
  • plateau des Sept Laux : les nombreux lacs de ce plateau d'altitude ont été rehaussés par des barrages et constituent un réservoir pour la centrale située à Fond-de-France, en contrebas, mise en service en 1918 et qui produit chaque année l'équivalent de la consommation de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref> ;
  • plus une multitude de microcentrales sur de nombreux torrents.

Tourisme

Bien qu'étant proche de grandes agglomérations, le massif de Belledonne a su garder son côté sauvage et se prête l'été à la randonnée (le GR 738 fait le tour du massif<ref>Modèle:Lien web</ref>) et l'hiver au ski de randonnée.

Depuis quelque temps, les cols de certaines stations attirent une nouvelle catégorie de sportifs : les descendeurs, qu'ils soient en roller, longskate, streetluge, buttboardModèle:Refnec

Stations de sports d'hiver

La chaîne de Belledonne comporte, du nord au sud, quatre stations de sports d'hiver :

La station de Val Pelouse a fonctionné de 1970 à 1986 au-dessus d'Arvillard.

Dans la culture

Peinture

Fichier:Entre deux pluies, Lac Robert (Chamrousse) par Charles Bertier Musee de Grenoble.jpg
Entre deux pluies, Lac Robert (Chamrousse), Charles Bertier, Musée de Grenoble.

Les peintres de l'École dauphinoise comme Charles Bertier et Édouard Brun ont abondamment peint le massif de Belledonne, en particulier ses lacs.

Cinéma

Le somptueux décor des pics enneigés de Belledonne a été utilisé dans plusieurs films :

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Bibliographie

  • Gilbert Coffano, Belledonne, sur les traces d'un balcon fleuri, éditions des trois Roses, 2002 Modèle:ISBN
  • Francis Helgorski, Le Balcon de Belledonne, éditions Musée dauphinois
  • Marie Tarbouriech, Alexis Nouailhat, Le massif de Belledonne, Éditions du Fournel, coll. « AQUARELLE », 2006 Modèle:ISBN
  • Lionel Montico, Belledonne, escapade en pays de lumière, Vu pour vous, 2003 Modèle:ISBN
  • Jean-Luc Grossi, La Chaîne de Belledonne, Conservatoire Rhône-Alpes des Espaces Naturels, Guides du patrimoine naturel de la région Rhône-Alpes, 2004 Modèle:ISBN
  • Jean Daumas, Je m'appelle belledonne, une Alpe secrète, Publialp, 2001 Modèle:ISBN
  • Raymond Joffre, La Fabuleuse Histoire de Belledonne, Éditions de Belledonne, 2006 Modèle:ISBN
  • Raymond Joffre, Belledonne, l'histoire d'une conquête (tome 2), Éditions de Belledonne, 2008

Randonnée

  • Pierre Pardon, Belledonne pour tous, Oros, 1994
  • Jean-Michel Pouy, Belledonne et Sept-Laux les plus belles randonnées, Glénat, coll. « Montagne Randonnée », 2004 Modèle:ISBN
  • Philippe Velut, Belledonne à petits pas, Génie des glaciers, coll. « Guide de Randonnée », Modèle:2e, 2004 Modèle:ISBN
  • Jean-Michel Pouy, Randonnées dans le massif de Belledonne, Glénat, coll. « Rando-Evasion », 2007 Modèle:ISBN
  • Jean-Michel Pouy, Lacs du Dauphiné, randonnées de Belledonne aux Ecrins, Glénat, coll. « Montagne-Randonnée », 2006 Modèle:ISBN
  • Jean-Michel Pouy, Refuges du Dauphiné, chemins d'accès et randonnées alentour, Glénat, coll. « Montagne-Randonnée », 2011 Modèle:ISBN
  • Jean-Michel Pouy, Massif de Belledonne, randonnées vers les sommets, Glénat, coll. « Rando-Evasion », 2020 Modèle:EAN

Alpinisme

  • Volodia Shahshahani, Belledonne : Isère-Arc-Romanche, Volopress, coll. « Toponeige », 2005 Modèle:ISBN
  • Sébastien Escande, Jérôme Weiss, Alpinisme hivernal en Dauphiné, tome 1: Belledonne, Taillefer, Grand Armet, Éditions Patrick Col, coll. « Topo », 2007 Modèle:ISBN
  • Lionel Tassan, Belledonne Escalade, VTOPO, coll. « VTOPO Roc », 2010 Modèle:ISBN

Articles connexes

Liens externes

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