Omar Karamé

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité politique

Omar Karamé (en Modèle:Lang-ar) est un homme d'État libanais né le Modèle:Date (ou le Modèle:Date) et mort le Modèle:Date de décès<ref name="DailyStar">Modèle:Lien web.</ref>. Karamé a été Premier ministre du Liban à deux reprises : de 1990 à 1992 et de 2004 à 2005.

Biographie

Héritier d'une famille de notable sunnites, Karamé fait ses études à l'université américaine de Beyrouth et obtient un diplôme en droit au Caire. Fils de l'ancien premier ministre Abdel Hamid Karamé, un des artisans de l'indépendance en 1943, et frère de l'ancien premier ministre Rachid Karamé, tué en 1987 dans un attentat. La carrière politique d'Omar Karamé débute à la mort de son frère Rachid, quand il prend la présidence du Parti de la Libération arabe, un parti influent dans la région de Tripoli<ref name="DailyStar" />. En 1989, il devient ministre de l'Éducation et de la Culture<ref name="DailyStar" />. Karamé est élu pour la première fois député de Tripoli, chef-lieu du Nord Liban, en 1992 puis réélu en 1996 et 2000.

Nommé chef du gouvernement pour la première fois le Modèle:Date, il doit démissionner le Modèle:Date sous la pression de la rue qui proteste contre la cherté de la vie.

Le Modèle:Date, il est à nouveau nommé premier ministre en remplacement du démissionnaire Rafiq Hariri. Il démissionne le Modèle:Date, son gouvernement étant accusé par une partie de la population d'être, d'une manière ou d'une autre, responsable de la mort de Rafiq Hariri dans un attentat, le 14 février<ref name="AP">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} PM's departure could delay Lebanese vote, Lin Noueihed, Reuters, Modèle:Date-.</ref>.

Le Modèle:Date, le parlement libanais choisit de nouveau Karamé comme premier ministre. Il est chargé de former un gouvernement pendant que la Syrie procède au retrait de ses troupes du Liban. Il a aussi pour objectif de préparer les élections législatives devant se tenir avant fin mai 2005. L'opposition « antisyrienne » accuse Karamé de chercher à retarder l'échéance électorale et refuse de participer à un gouvernement d'union nationale voulu par Karamé<ref name="AP"/>. À la suite de cet échec, Karamé démissionne le 13 avril<ref>Modèle:Article.</ref> et est remplacé le 15 par Najib Mikati<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il renonce à se présenter aux élections de juin 2005.

À partir de l’été 2006 et jusqu'à sa mort, il dirige le Rassemblement national, regroupant de nombreuses personnalités « prosyriennes », dont les anciens ministres Talal Arslan et Soleimane Frangié Jr.

Références

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