Gonesse
Modèle:Infobox Commune de France
Gonesse est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.
Les habitants sont appelés les Gonessiens. Elle est située dans l'arrondissement de Sarcelles. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
À Modèle:Unité au nord-nord-est de Paris, Gonesse se situe de part et d'autre de la vallée du Croult, aux portes de la Plaine de France.
Communes limitrophes
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France Modèle:Maplink
-
Carte de la commune. -
Occupation des sols
Hydrographie
La petite rivière Croult (ou Crould pour l'IGN) traverse la commune du nord-est vers le sud-ouest sur Modèle:Unité<ref name="siges">Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 03/2019</ref>.
Son lit canalisé et bétonné depuis plus de cinquante ans sur toute la traversée de la ville a retrouvé son lit d'origine fin 2018<ref>Gonesse : le Croult retrouve son lit naturel - Le Parisien, 14 septembre 2018</ref>.
Relief et géologie
Son territoire légèrement vallonné s'étend, à une altitude moyenne de Modèle:Unité, sur 2 009 hectares. Il mesure, dans ses plus grandes dimensions, Modèle:Unité dans le sens nord-ouest/sud-est et près de Modèle:Unité dans le sens nord-est/sud-ouest.
Partant du fond de la vallée, on rencontre successivement les étages géologiques suivants, participant principalement du cycle sédimentaire bartonien de la période éocène (qui va de -65 à -45 millions d'années environ) :
- Alluvions modernes
- Bartonien inférieur : Auversien (sables d'Auvers et de Beauchamp)
- Bartonien moyen : Marinésien (calcaire de Saint-Ouen)
- Bartonien supérieur : Ludien (marnes à pholadomies, Modèle:4e du gypse)
- Limon lœssique ou limon des plateaux
Ces éléments ont joué un rôle important dans la prospérité ancienne de la région :
- le limon des plateaux fournissait des terres agricoles fertiles, propices à la culture des céréales.
- les sables de Beauchamp dont les nappes aquifères sont à l'origine de nombreuses sources apparues au contact des marnes et caillasses, au flanc des pentes descendant vers la rivière le Croult.
Cette abondance d'eau a permis le développement, en fond de vallée, de cultures maraîchères, notamment de cressonnières. La plupart de ces sources sont désormais taries, d'autres ont simplement disparu. Quant aux marnes, elles ont de longue date été utilisées pour l'amendement des terres de culture.
Voies de communication et transports
À 20 minutes de Paris, la commune est desservie par l'autoroute A1, A3 et la A104 également la nationale 2.
La commune est desservie par le RER D (gare de Villiers-le-Bel - Gonesse - Arnouville) également par bus, lignes 152 et 250 du réseau de bus RATP. Par les lignes 11, 11.5 et 95.02 du réseau Kéolis, et le réseau Trans Val d'Oise composé des lignes 22, 23, 24, 24 sco, 25, 36, 37 et plus récemment la ligne 20 reliant la gare de gare de Villiers-le-Bel - Gonesse - Arnouville et celle de Parc des expositions à Villepinte.
Occupation des sols simplifiée
Le territoire de la commune se compose en 2017 de 50,66 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 14,25 % d'espaces ouverts artificialisés et 35,09 % d'espaces construits artificialisés<ref name="iau-idf">Modèle:Pdf Fiche communale d'occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) sur le site cartoviz.iau-idf.fr.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Gonesse est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Histoire
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Gaunissa en 832, Gonesa en 1110, Gonessa en 1226<ref>Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.</ref>.
Gonesse constitue l'héritière de l'ancienne Connicia villa. Le hameau primitif s'est donc développé à partir du « domaine de Connicius », un important propriétaire terrien<ref>Jean-Marie Cassagne, Mariola Korsak, Origine des noms de lieux de Paris et grande couronne (91-92-93-94-95), page 181.</ref>.
Chronologie
Avant même que Gonesse n'apparaisse, en 832, sous le nom de Gaunissa, il existait déjà une occupation humaine en ces lieux aux époques préhistoriques, comme en témoignent les nombreuses découvertes fortuites ou les résultats de fouilles archéologiques. Les trouvailles faites à ces occasions attestent la présence continue d'un habitat traversant le Néolithique, l'âge du fer, l'époque gallo-romaine et le Moyen Âge, jusqu'à nos jours.
Gonesse fut réuni au domaine de la couronne par Hugues Capet.
De nombreuses plumes s'accordent pour y faire naître Philippe Auguste, roi de France, le Modèle:Date-, d'autres le font naitre à Melun<ref>Monographie communale de Melun aux AD du 77</ref> ou à l'abbaye du Jard près de Melun<ref>21 août 1165 : Naissance du futur Philippe Auguste à Jard (4 km de Melun) sur le site des AD du 77.</ref>.
Un Hôtel-Dieu fondé en 1208, par Pierre de Theillay, témoigne de la place importante qu'occupait alors Gonesse dans la région. Il n'en reste que des vestiges.
Saint Louis affranchit les habitants de Gonesse<ref name="P">Dictionnaire historique des environs de Paris du docteur Ermete Pierotti.</ref>.
L'église date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Du Modèle:S mini- au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Gonesse se fait connaître, pour son drap de laine, appelé la « gaunace », dont la fabrication doit beaucoup au Croult et à ses moulins, les moulins à drap, installés sur le cours du ruisseau. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, on y faisait un grand commerce en draps et en peaux.
En 1358, Charles le Mauvais, roi de Navarre, campe à Gonesse, les Anglais y viennent la même année et y passent le mois de septembre.
À partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les farines et les pains de Gonesse sont fort recherchés.
Du Modèle:S mini- au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le village se taille une solide réputation pour la qualité de son pain fabriqué avec le blé du terroir, le pain mollet de Gonesse, qui est aussi connu sous le nom de « pain de chapitre », ainsi nommé du fait que le boulanger du chapitre de Notre-Dame de Paris aurait été le premier à le fabriquer. Quelques corps de bâtiments comme La Malmaison et Coulanges, mais aussi les pigeonniers de Coulanges, de Garlande et d'Orgemont, témoignent encore de ce passé agricole et industrieux de la ville.
Fortifié au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le village voit passer Jeanne d'Arc en 1429. L'héroïne nationale aurait posé pied à terre pour se désaltérer à la fontaine Dame-Jeanne, aujourd'hui disparue, qui se trouvait sur le chemin conduisant à la Patte-d'Oie. Autre fait légendaire, non formellement prouvé.
Sous Louis XI, en 1465, les Bourguignons s'en emparent et ravagent tout ce qui appartient au roi.
Après avoir échoué dans sa deuxième tentative contre Paris, Henri IV se retire à Gonesse.
Pendant les troubles de la Fronde, le prince de Condé s'en empare<ref name="P" />.
En dehors de l'église Saint-Pierre-Saint-Paul datant des Modèle:S mini- et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il existe à Gonesse une autre paroisse et son église, sur la rive gauche du Croult, Saint-Nicolas. Datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, cette église fut démolie à la Révolution. Des yeux perspicaces peuvent encore trouver des vestiges de cet édifice en remploi dans les murs de certaines maisons de ce quartier. À l'occasion de la construction, dans les années 1970, d'une maison dans le haut de la rue de Savigny, le creusement des fondations a mis au jour des tombes du cimetière établi près de l'église Saint-Nicolas.
C'est à Gonesse que, le Modèle:Date, le premier ballon à gaz de l'histoire, construit par Jacques Charles et les frères Robert, s'écrase après un vol de Modèle:Unité<ref>Il y 234 ans, le premier ballon gonflé à l’hydrogène s’écrasait à Gonesse</ref>,<ref>Le premier crash aérien de l'histoire a eu lieu à Gonesse, 217 ans avant le Concorde </ref>,<ref>Fulgence Marion : Les ballons et les voyages aériens, page 55</ref>.
Elle est chef-lieu de district de 1790 à 1795.
En 1815, le maréchal Grouchy arrive à Gonesse à la tête de Modèle:Nombre et de 120 pièces d'artillerie ; mais [[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]] ayant abdiqué, le 2 juillet, le duc de Wellington y établit son quartier général, traite la reddition de Paris, et, le 5 juillet, se retire à Neuilly-sur-Seine<ref name="P" />.
Durant le siège de Paris en 1870 le quartier général de la Garde prussienne est installé à Gonesse.
Plus récemment, le Modèle:Date-, Gonesse entre avec fracas dans une autre rubrique de l'histoire, celle des catastrophes aériennes, avec la chute du Concorde sur son territoire, à quelques centaines de mètres seulement des habitations, écrasant néanmoins un hôtel, entraînant dans la mort, avec les passagers et l'équipage de l'avion, quatre personnes au sol.
Les Templiers et les Hospitaliers
On retrouve l'origine du domaine templiers dans un acte de 1284 dans lequel Pétronille Du Change donne aux Templiers un petit domaine en échange, sa vie durant, de la moitié des récoltes du domaine<ref name="AN7">Archives nationales S5091, supplément n.7</ref>,<ref name="EM19">Mannier (1873) p. 19</ref>.
Les terres et seigneurie de Stains, village près de Gonesse, avait été cédée, en janvier 1239, à la commanderie de Gonesse par Gervais de Chaumont, avec le contentement de Guillaume de Flaucourt, pour le prix de Modèle:Nb<ref name="AN7"/>,<ref>Mannier (1873) p. 20</ref>.
En 1448, la maison de la commanderie de Gonesse tombe en ruines. Le prieur la donne à Nicole Saint-Homme, un frère de l'Ordre, sa vie durant en échange de Modèle:Nb par an. Il a aussi la charge de restaurer la bâtisse. Mais en 1465, frère Nicole obtient du prieur l'exemption de sa redevance au prétexte que la guerre avec les Bourguignons avait eu pour conséquence la destruction des récoltes. Apparemment la commanderie ne fut pas reconstruite car « où soloit jadis avoir une maison appelée le temple de Gonesse »<ref name="EM19"/>.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
- Rattachements administratifs
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964<ref>Loi Modèle:N°64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF Modèle:N°162 du 12 juillet 1964, Modèle:P.6204–6209, fac-similé sur Légifrance.</ref>, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles après un transfert administratif effectif au Modèle:Date-.
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Gonesse de Seine-et-Oise puis du Val-d'Oise<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Gonesse est le siège d'une juridiction d’instance. La commune fait partie de la juridiction de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise<ref>Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise</ref>,<ref>Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise</ref>.
- Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Villiers-le-Bel Modèle:Article détaillé Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription du Val-d'Oise. Modèle:Article détaillé
Intercommunalité
Gonesse était membre de la communauté d'agglomération Val de France, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, et, pour les communes de la grande couronne, capables de dialoguer avec la Métropole du Grand Paris, cette intercommunalité a fusionné avec la communauté d'agglomération Roissy Porte de France et a intégré une partie des communes de la communauté de communes Plaines et Monts de France, formant le Modèle:Date- la communauté d'agglomération Roissy Pays de France dont Gonesse est désormais membre.
Tendances politiques et résultats
Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, la liste PS-PCF-EELV menée par le maire sortant Jean-Pierre Blazy obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec Modèle:Unité, 27 conseillers municipaux élus, dont 8 communautaires), devançant nettement les listes menées respectivement par<ref>Résultats officiels pour la commune Gonesse</ref> :
- Claude Tibi (UDI, Modèle:Unité, 22,21 %, 4 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Karim Ouchikh (FN, Modèle:Unité, 20,97 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Mohamed Ouerfelli (EELV, 399 voix, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin, 50,35 % des électeurs se sont abstenus.
Modèle:Article détaillé
Lors du second tour des élections municipales de 2020<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>, la liste menée par le maire sortant, Jean-Pierre Blazy (DVG) Modèle:Incise obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec Modèle:Unité (50,34 %, 27 conseillers municipaux élus, dont 6 communautaires), devançant de 42 voix la liste menée par le socialiste Cédric Sabouret Modèle:Incise qui a obtenu Modèle:Unité (49,65 %, 8 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire)<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.
Le recours formé par Cédric Sabouret contre ces résultats<ref>Modèle:Article.</ref> est rejeté par le tribunal administratif (France) de Cergy en mars 2021, confirmant la régularité du scrutin de 2020<ref>Modèle:Article.</ref>. Modèle:Article détaillé
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Jumelages
La commune est jumelée à Modèle:Jumelage.
Archives
Entre 1990 et 1994, parmi les premières de France, la commune informatise son service de l'état civil en l'indexant et en numérisant les registres avec un scanner et enregistrement sur un disque optique<ref>Gonesse préserve ses vieux registres - la municipalité du Val-d'Oise établit des copies de son état civil au scanner. In Le Monde du dimanche 13 mars 1994.</ref>.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Près de l'A1 et la D 170G (Triangle de Gonesse), Immochan prévoit (2010-2020) de transformer Modèle:Unité de terres agricoles en Modèle:Unité de quartier d'affaires, Modèle:Unité d'EuropaCity et Modèle:Unité en parc de loisirs<ref>« Le Triangle de Gonesse », plainedefrance.fr 29 novembre 2012.</ref>. La proposition a cependant fait l’objet d’un avis défavorable de la part du commissaire-enquêteur le Modèle:Date-<ref>Enquête publique № E10000057/95.</ref>.
Le projet EuropaCity (500 enseignes soit Modèle:Unité, base de loisirs avec un parc aquatique et une piste de ski soit Modèle:Unité, hôtels Modèle:Unité, espaces publics Modèle:Unité, culture Modèle:Unité, restaurants et palais des congrès chacun Modèle:Unité) représente plus de trois milliards d'euros d’investissements ; il promet la création de Modèle:Unité<ref>GEO Modèle:N° d'octobre 2012 Modèle:P..</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Toutefois l'enquête publique conduite en Modèle:Date- sur la révision du plan local d'urbanisme a abouti à un avis défavorable du commissaire-enquêteur au projet d'urbanisation de Modèle:Unité de terrain en faisant état Modèle:Citation et en soulignant notamment les conséquences de l’imperméabilisation des sols et les atteintes à la biodiversité<ref name="PLU">Modèle:Lien web.</ref>.
Des agriculteurs, des commerçants et des citoyens opposés au projet sont regroupés au sein du Collectif pour le Triangle de Gonesse<ref name="PLU"/>.
Ce projet a été abandonné en novembre 2019<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Gonesse compte quatre monuments historiques sur son territoire : Modèle:Article détaillé
- Église Saint-Pierre-Saint-Paul, rue du Général-Leclerc (classée monument historique par liste de 1862<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>) : Édifiée autour de l'an 1200 dans le style de la transition entre le roman et le gothique, elle est remarquable pour la relative homogénéité de son style. Seuls les deux premiers niveaux romans du clocher sont antérieurs et datent du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, quand une première église avait été construite au même endroit. Le plan est assez simple, comportant une nef à huit travées et bas-côtés, avec un chœur à déambulatoire et faux triforium, sans transept et sans absides, mais avec une petite chapelle latérale au sud. La construction a commencé par le chœur à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, ressemblant à celui de la basilique de Saint-Denis, puis a continué par la façade nord au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Puis elle s'est interrompue entre 1208 et 1248, quand les travaux de la façade sud ont repris. La nef n'a jamais été achevée ; elle devait comporter un troisième niveau au-dessus du triforium, avec des fenêtres hautes et certainement un plafond voûté. En effet, la nef a toujours conservé sa fausse voûte en berceau continue, qui est en réalité exécutée en bois. La façade occidentale n'est symétrique qu'au premier regard : les deux travées latérales présentent des portails différents et une position différente des contreforts, et la tourelle de droite ne date que de la première Renaissance. La partie haute de la travée centrale et la travée de gauche ont été remaniées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le tympan du portail central conserve une inscription de la période révolutionnaire, « Le peuple français reconnait l'Être suprême et l'immortalité de l'âme », renvoyant au culte de la Raison et de l'Être suprême<ref>Cf. Modèle:Base Mérimée ; Modèle:Ouvrage ; p. 22-23 ; et Modèle:Article ; p. 309-312. Cf. aussi la plaque explicative sur place.</ref>.
- Ruines de l'ancien Hôtel-Dieu, rue Bernard février (anciennement rue Pierre-de-Theilley), à l'angle avec la rue de l'Hôtel-dieu Pierre-du-Thillay (inscrites monument historique par arrêté du Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>) : Fondé en 1208 par Pierre du Thillay, son bâtiment principal de la forme d'une chapelle a été remplacé par un édifice plus grand en 1621, qui a servi au bureau du district de Gonesse sous la Révolution, puis démoli en 1827. Agrandi et remanié au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'Hôtel-dieu a été remplacé par un nouveau bâtiment construit entre 1839 et 1841 de l'autre côté de la rue. L'Hôtel-dieu d'origine médiéval a finalement été démoli en 1955, seules les arcades du cloître étant protégées au titre des Monuments historiques. Ce sont les derniers vestiges, présentant des chapiteaux sculptures sur trois piliers<ref name="Hôtel-dieu">Modèle:Base Mérimée ; Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Gonesse, Modèle:Opcit, p. 313.</ref>.
- Colombier d'Orgemont, 1 rue de Paris (inscrit monument historique par arrêté du Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>) : Une ferme avait existé en ces lieux au moins depuis le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, quand elle appartenait à Pierre d'Orgemont (1315-1389). Elle a été détruite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et reconstruite par une autre famille au siècle suivant. Bien qu'encore assez récente, cette seconde ferme a elle aussi été démolie après 1819, à l'exception du colombier qui en reste le dernier vestige. Il se divise en deux niveaux et comportait environ 1 800 boulins. Transformé en logement au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle puis abandonné, il s'était trouvé en mauvais état avant son inscription au titre des Monuments historiques. Lors de sa restauration, il n'a pas été remis dans son état d'origine et conserve deux grandes fenêtres du temps qu'il était habité. Le manoir à proximité date d'autour de 1900 et se situait sur la même propriété<ref>Modèle:Base Mérimée ; En pays de France, Modèle:Opcit, p. 62 ; et Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Gonesse, Modèle:Opcit, p. 317 ; cf. aussi la plaque explicative sur place.</ref>.
- Colombier de Garlande, 1 rue de Chauvart, à l'angle avec la rue de la fontaine Saint-Nicolas, sur un terrain vague (inscrit monument historique par arrêté du Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>) : Il faisait partie d'une ferme attestée dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, appelée ferme de Miville et appartenant aux Garlande. L'ensemble de la ferme a été démoli, ne laissant en place que le colombier, qui a été construit pendant le dernier quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ou le premier quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. De plan rond, son toit est conique et couronné par un lanterneau. À l'intérieur, le colombier possède deux étages totalisant 1 658 boulins pour la nidification des pigeons<ref>Modèle:Base Mérimée ; Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Gonesse, Modèle:Opcit, p. 313.</ref>. Le colombier est aujourd'hui en mauvais état. Il a longtemps été enclavé sur un terrain industriel, avec des hangars métalliques au nord et à l'est ; puis ces hangars ont été démolis et le terrain proche du centre-ville attend une nouvelle affectation.
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L'église Saint-Pierre-Saint-Paul, façade occidentale, rue du Général-Leclerc.
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La façade orientale et le chœur sur la rue de l'Hôtel-Dieu.
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Les ruines de l'Hôtel-Dieu du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, rue Bernard-Février.
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Le colombier d'Orgemont, 1 rue de Paris, probablement du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
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Le colombier de Garlande de l'ancienne ferme de Miville, 1 rue de Chauvart.
On peut également signaler :
- L'ancienne poste, 3 bis rue de Paris : Ce bâtiment de 1913 avec une façade de brique jaune a été financée entièrement par la ville de Gonesse et porte donc ses armoiries sur le fronton au-dessus de l'entrée. L'architecte fut M. Frappart<ref>Modèle:Base Mérimée ; Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Gonesse, Modèle:Opcit, p. 320.</ref>. Après le déménagement du bureau de poste vers le bâtiment actuel rue d'Orgemont, l'ancienne poste a été utilisée comme école municipale de musique.
- L'ancien moulin de la Ville, 6 rue Saint-Nicolas : Ce fut l'un des cinq moulins à eau établis à Gonesse sur la rivière Croult, et c'est le dernier à conserver à peu près son aspect d'avant la cession des activités, malgré la transformation en immeuble de logements au dernier quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le bâtiment a probablement été construit à la fin de l'Ancien Régime et modifié autour de 1800, avec adjonction d'un deuxième corps démoli depuis. La petite rivière, divisée ici en deux bras, passe toujours sous l'ancien moulin<ref>Modèle:Base Mérimée ; Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Gonesse, Modèle:Opcit, p. 317 ; voir aussi la plaque explicative sur place.</ref>.
- Le manoir et le colombier-porche de l'ancienne ferme de Coulanges, 24 rue de Paris : Le colombier-porche donne sur la rue de Paris et se situe à côté de l'arrêt de bus « Saint-Nicolas », où l'on voit également les murs d'un bâtiment de ferme non encore restaurés. Le colombier est mieux visible depuis la cour accessible par l'entrée du centre culturel de Coulanges, dont la bibliothèque est établi dans l'ancien manoir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le pigeonnier a probablement été construit après la rectification des façades sur la rue de Paris en 1763<ref>Modèle:Base Mérimée ; Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Gonesse, Modèle:Opcit, p. 315-316 ; voir aussi la plaque explicative sur place.</ref>.
- La porte de l'ancienne ferme Saint-Christophe, rue du Châtel, près de la rue de Paris : la ferme du Châtel ou du Grand Hôtel puis ferme Saint-Christophe est attestée dès 1662 et appartenait à l'hôtel-Dieu de Paris. La ferme a été transformé en sucrerie et distillerie en 1855, et les anciens bâtiments agricoles ont été démolis en 1917. L'usine a cessé ses activités pendant le troisième quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, et hormis la petite porte subsistant du grand portail, n'en reste plus un immeuble de logements issu du logis de l'ancienne ferme<ref>Modèle:Base Mérimée ; Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Gonesse, Modèle:Opcit, p. 316.</ref>. La porte a été conservée puisqu'elle porte une plaque commémorative pour Modeste Camille Debue, dit Debrixe, mort ici sous les balles des soldats allemands le Modèle:Date-.
- L'église Saint-François-d'Assise.
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L'ancien bureau de Poste, de 1913-1914, puis école de musique, 3 bis rue de Paris.
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L'ancien moulin de la Ville sur le Croult, 6 rue Saint-Nicolas.
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L'ancien manoir de la ferme de Coulanges, actuelle bibliothèque, 24 rue de Paris.
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Le colombier-porche de l'ancienne ferme de Coulanges, 24 rue de Paris.
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Porte de la ferme Saint-Christophe, où Modeste Camille Debue fut fusillé en 1940.
- L'Hôtel de ville dit château Frappart, 64 rue de Paris, avec grille d'entrée monumentale, gloriette et jardin public : Il s'agit d'un ancien hôtel particulier bourgeois, construit entre 1895 et 1900, probablement par l'architecte Frappart (concepteur aussi de l'ancienne poste) qui y vécut longtemps avec sa famille. Les façades en pierre de taille comportent des éléments sculptés et présentent des trumeaux en briques rouges, dans un style néo-Renaissance rappelant plus particulièrement le style Louis XIII relativement austère de la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. L'intérieur est très soigné et comporte des boiseries sculptés et peints, de style rocaille, en vogue un siècle plus tard, ainsi qu'une rampe d'escalier en fer forgé. Les lignes de faîte de la toiture était à l'origine ornées de balustrades. La commune a acquis la demeure peu avant la Seconde Guerre mondiale, mais ne put y installer la mairie qu'en 1948. Sont à signaler également la grille d'entrée monumentale près du carrefour rue de Paris / rue de l'Hôtel-Dieu, le parc d'environ Modèle:Unité et la gloriette à l'extrémité nord-est du parc<ref>Modèle:Base Mérimée ; En pays de France, Modèle:Opcit, p. 82 ; et Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Gonesse, Modèle:Opcit, p. 319-320 ; voir aussi la plaque explicative sur place.</ref>.
- L'ancienne ferme de la Malmaison, 13 rue de la Malmaison : Cette ancienne ferme doit son nom à un ancien écart de la commune. Elle appartenait à la famille Garlande au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, tout comme la ferme de Miville, dont reste le colombier de Garlande (voir ci-dessus, Monuments historiques). Les bâtiments actuels datent surtout des {{#switch: e
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| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
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}} et s'organisent autour d'une cour carrée. Une distillerie a été établie dans la ferme en 1881, mais sa haute cheminée en brique a aujourd'hui disparu. L'ancienne grange à blé donne sur la rue et présente une façade austère, garnie de contreforts sommaires. Certains éléments dateraient encore du Moyen Âge, mais la grange n'a pris son aspect actuel qu'en 1832. Le portail au sud de la grange est le plus ancien ; il est encadré par deux pilastres en pierres d'appareil. Après la désaffectation de la ferme, la commune l'a acquise en 1978 pour y installer les services techniques municipaux<ref>Modèle:Base Mérimée ; Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Gonesse, Modèle:Opcit, p. 315 ; voir aussi la plaque explicative sur place.</ref>. La ferme reste assez authentique, mais attend toujours une restauration complète.
- La fontaine Saint-Pierre, rue de la Fontaine-Saint-Pierre, au sud de la place du 8 mai 1945, près du tribunal : Une fontaine Saint-Pierre est connue à Gonesse depuis 1387, mais elle ne se situait pas tout à fait au même endroit. L'actuelle fontaine néoclassique fut commandée par un M. Bauchal à l'architecte Aubry et a été inaugurée en 1794, tout d'abord comme fontaine Jean-Jacques Rousseau. Puis elle a repris son nom historique après la Révolution, et a été disloquée vers son emplacement actuel en 1864. Pour accéder à la source, il faut descendre quelques marches<ref>Modèle:Base Mérimée ; Le Patrimoine des communes du Val-d’Oise : Gonesse, Modèle:Opcit, p. 317.</ref>
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Hôtel de ville, 64 rue de Paris ; façade sud sur le parc.
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La grille du parc de l'Hôtel-de-Ville à l'est, rue de Paris.
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La gloriette de l'hôtel de ville, à l'angle des rues de Paris et Furmaneck.
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Grange de la ferme de la Malmaison, 13 rue de la Malmaison.
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La fontaine Saint-Pierre, place du 8-Mai-1945.
- Une ancienne maison de notaire, 47 rue du Général-Leclerc : Cette demeure face au portail occidental de l'église a été édifié autour de 1800 et garda sa fonction jusqu'en 1990. La façade de la maison à un étage est structuré par un corps central avec un balcon, et surmonté d'un fronton cintré. Les deux parties de la façade sont encadrées par des pilastres, et les combles sont à surcroît, avec des belles lucarnes<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. L'on notera la hauteur plus importante des fenêtres de l'étage « noble » par rapport à celles du rez-de-chaussée.
- Une ancienne ferme avec porche, 47 rue Claret : Au centre-ville de Gonesse, cette ancienne ferme est la dernière dont la façade n'a quasiment pas changé depuis l'abandon de l'activité agricole, et elle conserve un porche caractéristique de la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, dit style Louis XVI<ref>Cf. Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Gonesse, Modèle:Opcit, p. 316.</ref>.
- L'Hôtel-dieu de 1839, rue Bernard-Février (anciennement rue Pierre-de-Theilley) : Grand bâtiment à un étage avec deux ailes latérales en retour d'équerre, de style néoclassique, avec une chapelle néogothique. Il est entouré d'un parc avec des parterres fleuris, et de vieux arbres au nord. Édifié entre 1839 et 1841, il remplaça l'ancien Hôtel-dieu dont les ruines subsistent de l'autre côté de la rue. L'utilisation comme hôpital prit fin avec la construction du nouveau centre hospitalier général à partir de 1969, selon les plans de l'architecte Rabaud<ref name="Hôtel-dieu"/>,<ref>Cf. En pays de France, Modèle:Opcit, p. 87 ; et Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Gonesse, Modèle:Opcit, p. 319.</ref>.
- Le monument aux enfants de Gonesse morts pour la libération de la France, au cimetière, rue du Thillay : Ce monument financé par souscription honore les trois jeunes résistants fusillés par les Allemands au Mont Valérien, pendant l'occupation allemande, le Modèle:Date- et le Modèle:Date-. Pierre Lorgnet, Louis Furmanek et Jean Camus moururent à l'âge de vingt-deux, dix-sept et dix-huit ans respectivement ; l'on peut voir leurs portraits au pied du monument. La ville de Gonesse a baptisé des rues selon chacun de ces résistants.
- Monument pour 122 soldats allemands tombés lors de la bataille du Bourget, au cimetière, rue du Thillay : La bataille du Bourget eut lieu près de Gonesse fin Modèle:Date-, lors de la guerre franco-prussienne. Les 122 soldats prussiens qui y tombèrent furent enterrés au cimetière de Gonesse, au début de l'occupation allemande, les Allemands firent ériger un monument funéraire en leur mémoire. Il porte des inscriptions en allemand et est orné par trois croix de fer. Les tombes ont été transférées en 1959 dans l'Eure<ref>Cf. Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Gonesse, Modèle:Opcit, p. 318.</ref>.
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Ancienne maison de notaire, 47 rue du Général-Leclerc, face au portail de l'église.
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Le portail de l'ancienne ferme de la rue Claret, de style Louis XVI.
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L'Hôtel-dieu, bâtiment ancien du centre hospitalier général de Gonesse.
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Monument aux enfants de Gonesse morts pour la libération de la France.
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Monument pour 122 soldats allemands tombés lors de la bataille du Bourget, en 1870.
Gonesse dans les arts
Modèle:Article détaillé C'est à Gonesse que le compositeur Luigi Cherubini situe une partie de l'action de son opéra les Deux journées ou le Porteur d'eau, créé en 1800.
Personnalités liées à la commune
- Philippe II dit Philippe Auguste (1165-1223), roi de France, né à Gonesse, mort à Mantes-la-Jolie.
- Bernard Lancret (1912-1983), acteur français né à Gonesse.
- Simon Abkarian (1962-), acteur de théâtre et de cinéma français, d'origine arménienne, né à Gonesse.
- Charly Nestor (1964-), ancien présentateur du Hit Machine sur M6, réalisateur et producteur.
- Thierry Rupert (1977-2013), joueur français de basket-ball, né à Gonesse.
- Grégory Alcan (1979-), ancien gymnaste aérobic professionnel, né à Gonesse.
- Bastien Sipielski (1980-), rugbyman professionnel, né à Gonesse.
- Annabelle Euranie (1982-), vice-championne du monde de judo en moins de Modèle:Unité, née à Gonesse.
- Dany Lo (1984-), pongiste français, né à Gonesse et devenu champion d'Europe en 2001.
- Mohamed Fofana (1985-), joueur de football professionnel, né à Gonesse.
- Magalie Vaé (1987-), de son vrai nom Magalie Bonneau, né à Gonesse.
- Louis Labeyrie (1992-), joueur de basketball professionnel, né à Gonesse.
- Aboubakar Kamara (1995-), joueur de football professionnel, né à Gonesse
- Dylan Saint-Louis (1995-), joueur de football professionnel, né à Gonesse.
- Grejohn Kyei (1995-), joueur de football professionnel, né à Gonesse.
- Zacharie Chasseriaud (1996-), acteur français, né à Gonesse.
- Axel Disasi (1998-), joueur de football professionnel, né à Gonesse.
- Isaak Touré (2003-), joueur de football professionnel, né à Gonesse.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
- Les Amis de Gonesse avec la collaboration de Guy Bonnamour, Gonesse, un bourg de la plaine de France : recueil de cartes postales anciennes, Bibliothèque européenne, Zaltbommel (Pays-Bas), 1974.
- André Bernard et Roger Théry (illustrations), Témoin d'une époque, 1999.
- Jean-Pierre Blazy, Gonesse, la terre et les hommes, 1982.
- Jean-Pierre Blazy et Daisy Guglielmetti, Le Pays de France en 1900, Éditions du Valhermeil, 1992.
- Jean-Pierre Blazy, Daisy Guglielmetti et Denis Savineaux, L'hôpital de Gonesse, Huit siècles de patrimoine et d'histoire, Éditions du Valhermeil, 2009.
- Daniel Bontemps, L'église Saint-Pierre Saint-Paul de Gonesse (Val-d'Oise), Société d'histoire et d'archéologie de Gonesse et du Pays de France, 1981.
- Vanessa By, Jean Claude Corvisier, Gonesse, Modèle:Coll., Editions Sutton, 2005 Modèle:ISBN
- Marie Cartier, Isabelle Coutant, Olivier Masclet et Yasmine Siblot, La France des « petits-moyens » : enquête sur la banlieue pavillonnaire, coll. « Enquêtes de terrain », La Découverte, 2008 Modèle:ISBN Modèle:Commentaire biblio
- Collectif, Les paysans et la Révolution en Pays de France : Actes du colloque de Tremblay-lès-Gonesse, 15-Modèle:Date-, Association pour la célébration du bicentenaire de la Révolution française en Pays de France, 1989.
- Karim Douaoui, L'église Saint-Pierre Saint-Paul de Gonesse dans l'actuel département du Val-d'Oise, mémoire de maitrise, 2004. Modèle:Commentaire biblio
- Daisy Guglielmetti, Jean-Pierre Blazy (préface), Gonesse au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : un bourg devient une ville, Éditions du Valhermeil, 2000.
- Modèle:Article
- Eugène Mannier, Les commanderies du grand-prieuré de France, Paris, Aubry - Dumoulin, 1872
- Jean Meunier, 1932 à nos jours, tome 1 - D'un siècle à l'autre, tome 2 - Les années 50 et la Bataille d'Alger, Éditions La Bruyère, 2007-2008. Modèle:Commentaire biblio
- Adrien-Henri Théry, Gonesse dans l'histoire, seconde éd., 1970.
- Modèle:PDF Marie Cartier, Isabelle Coutant, Olivier Masclet, Yasmine Siblot, Pavillonnaires de la banlieue Nord - Une ethnographie des petites mobilités sociales, rapport pour la mission à l'ethnologie, direction de l'architecture et du patrimoine du ministère de la Culture et de la Communication, Modèle:Date-, 441 Modèle:P.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
Références
Modèle:Références nombreuses Nota : les références des Archives nationales ont été reclassées et les références actuelles sont changéesModèle:Lire en ligne