Paul Signac

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Paul Signac<ref>Modèle:Référence nécessaire.</ref>, né le Modèle:Date de naissance à Paris, où il meurt le Modèle:Date de décès, est un peintre paysagiste français, proche du mouvement libertaire<ref>Vincent Noce, « Signac met les voiles », in: Libération, Modèle:Date-, texte intégral.</ref>, qui donna naissance au pointillisme, avec le peintre Seurat. Il a aussi mis au point la technique du divisionnisme. Cofondateur avec Seurat de la Société des artistes indépendants dont il fut président, il est ami avec Victor Dupont, peintre fauve et vice-président du Salon.

Biographie

Découverte de l'impressionnisme

Paul Signac naît à Paris en 1863 dans une famille prospère de marchands Modèle:Lh installés à Asnières (aujourd'hui Asnières-sur-Seine). En 1879, âgé de Modèle:Nobr, il visite la quatrième exposition impressionniste où il remarque Caillebotte, Mary Cassatt, Degas, Monet et Pissarro ; il commence même à peindre, mais Gauguin le met à la porte de l'exposition avec ces mots : Modèle:Citation En Modèle:Date-, il perd son père. Esprit anticonformiste, Signac est adoré de sa mère qui veut faire de lui un architecte ; mais lui décide de quitter le lycée à la rentrée d'Modèle:Date- pour se consacrer à une vie de peintre. Elle respecte ses choix. Il visite la cinquième exposition impressionniste, et admire Édouard Manet au Salon. La même année, il peint à Montmartre et loue un atelier.

Il commence à peindre en 1880 à Montmartre (atelier d'Émile Bin [1825-1897], où il rencontre le père Tanguy), dans l'atelier de la rue Constance et se perfectionne seul sous l'influence des impressionnistes. La même année il rencontre Berthe Roblès (1862-1942), une cousine éloignée de Pissarro. Il l'épousera douze ans plus tard<ref>Voir l'article.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Fichier:Paul Signac, ca. 1883.jpg
Paul Signac vers 1883.

Il se lie d'amitié avec les écrivains symbolistes, demande des conseils à Monet qui accepte de le rencontrer et dont il restera l'ami jusqu'à la mort du maître. Le jeune Signac participe au premier Salon des Indépendants en 1884 avec deux toiles : Le Soleil au pont d'Austerlitz et L'Hirondelle au Pont-Royal<ref name="a">Jacques Lassaigne, La Grande Histoire de la peinture, Skira, Modèle:Vol., 1974, Modèle:P.62.</ref> ; il participe aussi à la fondation de la Société des artistes indépendants. Il rencontre Georges Seurat qui expose Une baignade en 1884 à Asnières. Une constante de sa vie est le besoin d'évasion.

Le théoricien du néo-impressionnisme

Signac travaille avec Seurat et Pissarro, avec qui il va former le groupe des « impressionnistes dits scientifiques ». Il se convertit très vite à la pratique de la division scientifique du ton. La technique empirique du pointillisme consiste à diviser les tons en de toutes petites taches de couleurs pures, serrées les unes contre les autres, afin que l’œil du spectateur, en les recomposant, perçoive une unité de ton. Signac et les néo-impressionnistes pensent que cette division des tons assure d'abord tous les bénéfices de la coloration : le mélange optique des pigments uniquement purs permet de retrouver toutes les teintes du prisme et tous leurs tons. La séparation des divers éléments (couleur locale, couleur d'éclairage et leurs réactions) est aussi assurée, ainsi que l'équilibre de ces éléments et leur proportion, selon les lois du contraste, de la dégradation et de l'irisation. Enfin, le peintre devra choisir une touche proportionnée à la dimension du tableau<ref>Jacques Lassaigne, La Grande Histoire de la peinture, Modèle:P.58.</ref>. En 1885, son intérêt pour Modèle:Citation le pousse à se rendre aux Gobelins où il assiste à des expériences sur la réflexion de la lumière blanche<ref>Cahier Paul Signac, supplément du Nouvelliste du 13 juin 2003, Modèle:P.7.</ref>.

Il fait son premier tableau divisionniste en 1886. Par comparaison avec Seurat, Signac construit le tableau de façon plus spontanée, intuitive, et sa couleur est plus lumineuse. Il sympathise avec le symbolisme littéraire, surtout en Belgique. Il en retient plusieurs éléments, notamment l’idée d’une harmonie à mi-chemin du paradis perdu de l’âge d’or et de l’utopie sociale et l’ambition d’un art total. Sur ce dernier point, il est d’accord avec Hector Guimard, et il est à noter qu’il loge dès la création vers 1897 dans l'un des ateliers du Castel Béranger construit par ce dernier, rue La Fontaine. En 1886, il participe à la huitième exposition impressionniste, la dernière, à l'invitation de Berthe Morisot. L'année suivante, il se lie d'amitié avec Vincent Van Gogh et ensemble ils peignent sur les berges de la banlieue parisienne.

Au cours des années 1890, après un voyage en Italie et un séjour à Cassis puis à Saint-Briac en Bretagne, il devient le chef de file du néo-impressionnisme : apôtre enthousiaste du mouvement, il se livre à une véritable campagne de prosélytisme pour lui gagner de nouveaux adeptes<ref name="a"/>.

Le mouvement néo-impressionniste est remis en cause à la mort de Seurat en 1891, Signac tente donc de le légitimer avec son ouvrage De Delacroix au néo-impressionnisme, publié en 1899. La publication du Journal de Delacroix entre 1883 et 1895 a également beaucoup influencé Signac puisqu’il décide de faire son propre journal en 1894, qu'il ouvre avec une réflexion sur les relations entre Delacroix et le néo-impressionnisme. Signac légitime donc les néo-impressionnistes en les plaçant comme héritiers de Delacroix dont le talent n’est pas remis en doute, décrit comme le père des coloristes.

En 1894, il s’essaye à la grande peinture décorative, surtout pour un immense tableau Modèle:Incise, Au temps d'harmonie. Néanmoins, s’il est vrai que Signac a de bonnes relations personnelles avec les nabis, notamment Bonnard, il ne partage pas du tout leurs vues esthétiques, et n’adhère pas au credo religieux de Maurice Denis. Il se veut personnalité impartiale, au-dessus des écoles, ami des uns et des autres, souple et convivial, et devient président de la Société des artistes indépendants en 1908.

Les impressionnistes sont ainsi les intermédiaires entre Delacroix et les néo-impressionnistes pour le progrès de l'art qui consiste pour Signac à faire une œuvre la plus colorée et la plus lumineuse possible. De Delacroix aux néo-impressionnistes est un manifeste considéré dans un premier temps comme une source fiable puisque Signac avait été un des plus proches amis de Seurat, avant d’être remis en cause notamment par William Homer<ref>Mentionné par Georges Roque, « Signac et la théorie des couleurs », dans Signac. Les couleurs de l'eau, Gallimard, Paris, 2013 [en ligne], URL : http://www.academia.edu/8104787/Signac_et_la_th%C3%A9orie_de_la_couleur, Modèle:P..</ref>. Selon lui, l’ouvrage de Signac est trop simplifié, et il souligne le fait qu’entre le début du néo-impressionnisme (1886), et la date de publication, (1899), ses idées auraient évolué et ne seraient plus fidèles à Seurat. Signac aurait également voulu se donner le rôle de cofondateur du mouvement alors qu’il aurait été relégué au second plan du vivant de Seurat. En effet, dans son ouvrage, Signac minimise paradoxalement l'importance des théories scientifiques, mais cela est pour répondre à la critique d'être trop dogmatique. Il insiste sur le fait que la science n’est qu’un outil au service de l’artiste et qu’elle ne limite en rien sa créativité. Ces techniques sont faciles, et peuvent s’apprendre selon lui dès l’école primaire.

Les néo-impressionnistes influencent la génération suivante : Signac inspire notamment Henri Matisse et André Derain, jouant ainsi un rôle décisif dans l'évolution du fauvisme<ref>Modèle:Article</ref>. Au Salon des Indépendants de 1905, Henri Matisse expose la première peinture fauve Luxe, Calme et Volupté. La composition aux couleurs vives a été peinte en 1904 après un été passé à travailler à Saint-Tropez sur la Côte d'Azur aux côtés des peintres néo-impressionnistes Henri-Edmond Cross et Paul Signac. La peinture est l'œuvre la plus importante de la période néo-impressionniste de Matisse dans laquelle il a utilisé la technique divisionniste préconisée par Signac, que Matisse avait adoptée en 1898 après avoir lu l'essai de ce dernier, D'Eugène Delacroix au Néo-Impressionnisme. En tant que président de la Société des Artistes Indépendants, de 1908 jusqu'à sa mort, Signac encourage les jeunes artistes en exposant les œuvres controversées des Fauves et des Cubistes. Signac fut le premier mécène à acheter un tableau de Matisse, ainsi c’est lui qui achète Luxe, Calme et Volupté.

Signac l'anarchiste

Dès 1888, il est attiré par les idées anarchistes. En 1891, lors du salon des indépendants, il présente un portrait de son ami Félix Fénéon avec qui il partage son engagement anarchiste ; le portrait fait sensation. Il se lie d'amitié avec Jean Grave et collabore aux Temps nouveaux, à partir de 1896, à qui il fait don de quelques-unes de ses œuvres aux tombolas organisées pour aider financièrement le journal. En 1902, il donne des dessins pour Guerre-Militarisme, préfacé par Grave et illustré également par Maximilien Luce et Théophile Alexandre Steinlen. Il collabore également à l’Almanach du Père Peinard (1894-1899), d'Émile Pouget<ref name=Dictionnaire2>Dictionnaire biographique, mouvement ouvrier, mouvement social, « Le Maitron » : Notice biographique.</ref>. Dans une perspective plus ou moins socialisante, il peint Le Démolisseur en 1897. En 1914, Signac demeuré fidèle à ses conceptions internationalistes est très affecté par le ralliement de beaucoup d'anarchistes à l’union sacrée, en particulier par la signature de Jean Grave au Manifeste des Seize<ref name="Dictionnaire2" />.

Saint-Tropez

En 1892, il découvre Saint-Tropez, où il achètera cinq ans plus tard la villa La Hune, et organise les expositions posthumes de Seurat à Bruxelles et à Paris. Les Signac quittent Paris pour Saint-Tropez où ils reçoivent dans leur villa leurs amis artistes néo-impressionnistes, Matisse ou Maurice Denis. Il est passionné par la mer et possède un petit yacht avec lequel il navigue le long des différentes côtes françaises.

Fichier:Exposition Paul Signac P-FG-ES-05693.jpg
Exposition consacrée à Paul Signac à la galerie Druet, 1904. Bibliothèque municipale de Nancy.

Par la suite, il engage son talent sur des paysages sans personnage, avec une palette de plus en plus libre et une grande passion des couleurs (recréer la nature). Parmi les toiles : Portrait de Félix Fénéon, Le Grand-Père, Le Petit Déjeuner à la salle à manger, Femmes au puits, des paysages de Bretagne et de Normandie, des toiles méditerranéennes (Vue de Collioure, La Voile jaune à Venise).

Il est nommé peintre officiel de la Marine en 1915. À partir de 1913, il se sépare de Berthe et séjourne régulièrement à Antibes avec sa seconde épouse, Jeanne Selmersheim-Desgrange, peintre elle aussi. En 1915 leur naît une fille, Ginette<ref>Future mère de Françoise Cachin.</ref>. Cette période est troublée pour Signac, car il vit très douloureusement la Première Guerre mondiale.

Après la guerre

En 1929, il initie une série d’aquarelles des ports de France, avec le soutien de son mécène Gaston Lévy, co-créateur des magasins Monoprix. Ce projet l’amène à visiter une centaine de ports à bord d'une Citroën C4 et s'achève en 1931. Il peint deux aquarelles dans chaque port : une pour lui et une pour son mécène, soit près de 200 peintures au total<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En 1930, il loue une maison de pêcheur à Barfleur, dans la rue Saint-Nicolas.

Il meurt en 1935, à l'âge de Modèle:Nobr, d'une longue maladie. Il repose au cimetière du Père-Lachaise, division 67.

Œuvres

Peintures

Voir aussi le paragraphe Collections publiques ci-dessous.

Dessins et aquarelles

Le peintre est assis de profil, chapeau sur la tête, barbe et petites lunettes.
Paul Signac, Maximilien Luce lisant « La Révolte » (1891)<ref>Dessin paru en première page de la revue Les Hommes d'aujourd'hui, no 376, juillet 1890. Marina Ferretti-Bocquillon, Modèle:Opcit, Modèle:P.12, 118.</ref>.

Pour ses aquarelles, la palette de Signac était composée des couleurs suivantes et dans cet ordre de succession : d'abord les jaunes (cadmium pâle, clair, foncé et orangé), puis les rouges (vermillon, garance rose dorée, garance rose et garance foncée), le violet de cobalt, les bleus (outremer, cobalt, cæruleum) et enfin les verts (vert Véronèse, émeraude, vert de Prusse, vert de Hooker)<ref>Marina Ferretti-Bocquillon, Signac aquarelliste, Adam Biro, 2001, Modèle:Nb p. Modèle:ISBN.</ref>. Il variait également ses teintes en ajoutant une pointe de blanc de Chine, qui donne Modèle:Citation. Ses aquarelles représentent souvent des paysages et scènes extérieures aux bords des fleuves ou sur des bords de mer. De très nombreux musées du monde entier en sont les détenteurs et des expositions<ref>Modèle:Lien web</ref> sont régulièrement organisées mettant en valeur sa grande maîtrise technique.

Galerie

Collections publiques

Avec plus de cinquante musées disposant d'œuvres dans leurs fonds, Paul Signac fait partie des artistes français particulièrement présents dans les collections du monde entier. Au-delà des peintures et aquarelles indiquées ci-dessous, on y trouve aussi beaucoup de dessins et de lithographies, comme l'Application du Cercle chromatique de M.Charles HenryModèle:Note, qui ont contribué à une grande diffusion de son œuvre et de son approche artistique.

Sont indIqués ci-dessous, les musées permettant d'accéder aux œuvres en ligne sur leur site internet ou sur des sites auxquels ils participent. Listes non exhaustives. Les sources indiquées donnent accès à la visualisation des œuvres. Les lieux sont classés par ordres alphabétiques (pays puis ville et noms).

Afrique du Sud

Johannesburg Art Gallery

Allemagne

Berlin, Staatliche Museen

Cologne, Wallraf-Richartz Museum und Fondation Corboud

Essen, Museum Folkwang

Francfort, Städel Museum

Hanovre, Niedersächsisches Landesmuseum

Mannheim, Kunsthalle

Munich, Bayerische Staatsgemäldesammlungen - Neue Pinakothek

Remagen, Arp Museum Bahnhof Rolandseck

Saarbrücken, Saarlandmuseum

Stuttgart Staatgalerie

Wuppertal, Von der Heydt-Museum

Australie

Melbourne, National Gallery of Victoria

Autriche

Vienne, musée Albertina

Belgique

Bruxelles, musées royaux des Beaux-Arts de Belgique

Canada

Toronto, Art Gallery of Ontario

Danemark

Copenhague, Ny Carlsberg Glyptotek

Copenhague, Statens Museum for Kunst

Espagne

Madrid, Museo Nacional Thyssen-Bornemisza

États-Unis

Baltimore Museum of Art

Boston, Museum of Fine Arts

Cambridge (Massachusets), Harvard Art Museums

Chapel Hill, Ackland Art Museum, The University of North Carolina

Chicago, Art Institute

Cleveland Museum of Art

Dallas Museum of Art

Denver Art Museum

Des Moines Art Center

Detroit Institute of Arts

  • Port-Louis 1922(?) aquarelle, graphite et crayon noir sur papier vergé blanc cassé collé sur papier vélin beige et crème Modèle:Dunité<ref>Modèle:Lien web</ref>
  • La Seine (non daté) crayon noir et aquarelle sur papier vélin blanc cassé, collé sur une feuille de papier vélin crème, puis sur une feuille de papier vélin blanc cassé épais Modèle:Dunité<ref>Modèle:Lien web</ref>

Huntington Museum of Art

Kansas City, The Nelson-Atkins Museum of Art

Los Angeles County Museum of Art

Minneapolis Institute of Art

New York, The Metropolitan Museum of Art

New York, Museum of Modern Art

Norfolk, Chrysler Museum of Art

Pasadena, Norton Simon Museum

Philadelphie, Barnes Foundation

Pittsburgh, Carnegie Museum of Art

San Diego Museum of Art

Santa Barbara Museum of Art

Seattle Art Museum

Stanford University, Cantor Art Center

Toledo Museum of Art

Washington, National Gallery of Art

Finlande

Helsinki, musée d'Art Ateneum

France

Bagnols-sur-Cèze, musée Albert-André

Besançon, musée des Beaux-Arts et d'Archéologie

Chambéry, musée des Beaux-Arts

Cherbourg-en-Cotentin, musée Thomas Henry

Giverny, musée des Impressionnismes Giverny<ref>Modèle:Lien web</ref>

  • Étude Port-en-Bessin (étude n°5, l'avant-port), 1882, huile sur toile, Modèle:Dunité
  • La Trinité, 1929, graphite et aquarelle sur papier, Modèle:Dunité
  • Barfleur (carton préparatoire pour le tableau éponyme FC 596), 1931, lavis d'encre de Chine sur papier, Modèle:Dunité

Granville, musée d'Art moderne Richard Anacréon

Grenoble, musée de Grenoble

Marseille, musée Cantini

Nancy, musée des Beaux-Arts

Nantes, musée d'Arts

Paris, musée Carnavalet

Paris, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris

Paris, musée Marmottan Monet

Paris, musée d'Orsay

Saint-Malo, musée d'Histoire de la ville et d'Ethnographie du pays malouin

Saint-Tropez, musée de l'Annonciade

Strasbourg, musée d'Art moderne et contemporain

Toulouse, Fondation Bemberg

Hongrie

Budapest, Szépművészeti Múzeum

Irlande

Dublin, National Gallery of Ireland

Japon

Hakone, musée d'Art Pola

Hiroshima Museum of Art

Matsue, Shimane Art Museum

Tokyo, musée national de l'Art occidental

Mexique

Mexico, museo Soumaya

Norvège

Oslo, Nasjonalmuseet

Pays-Bas

Amsterdam, musée Van Gogh

Otterlo, musée Kröller-Müller

La Haye, Kunstmuseum

Rotterdam, musée Boijmans Van Beuningen

Pologne

Varsovie, musée national

Roumanie

Bucarest, musée national d'Art

Royaume-Uni

Cambridge, The Fitzwilliam Museum

Glasgow, Kelvingrove Art Gallery and Museum

Leeds Art Gallery

Londres, The Courtauld Gallery

Russie

Moscou, musée Pouchkine

Saint-Pétersbourg, musée d'État de l'Ermitage

Suisse

Bâle, Kunstmuseum

Zürich, Sammlung Emil G.Bührle

République tchèque

Distinctions et hommages

Notes et références

Modèle:Références nombreuses

Voir aussi

Bibliographie

En 1899, Signac publie D'Eugène Delacroix au néo-impressionnisme, une sorte de manifeste de ce qu'il considère comme nouvelle peinture, réédité chez Hermann en 1998.

Articles connexes

Liens externes

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Notices

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