Magny-les-Hameaux

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Modèle:Infobox Commune de France

Magny-les-Hameaux est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France, située à Modèle:Unité au sud-ouest de Paris.

Géographie

Situation

La commune est située à environ Modèle:Unité au sud-sud-ouest de Versailles et à Modèle:Unité au nord-est de Rambouillet. Modèle:Multiple image

Hydrographie

La commune est arrosée par la rivière la Mérantaise.

Communes limitrophes

Les communes sont : Montigny-le-Bretonneux, Voisins-le-Bretonneux, Trappes et Guyancourt au nord, Châteaufort à l'est, Milon-la-Chapelle et Saint-Rémy-lès-Chevreuse au sud et Saint-Lambert à l'ouest, ainsi que Villiers-le Bâcle au sud-est.

Transports et voies de communications

Réseau routier

Le principal axe de circulation est la route départementale 938 qui passe dans Cressely, conduit vers le nord à Châteaufort et Versailles et vers le sud à Saint-Rémy-lès-Chevreuse. La commune est traversée d'est en ouest par la route départementale 195, dite route de Port-Royal des Champs, qui commence à Cressely et dessert la majeure partie des hameaux du plateau au sud-ouest de la Mérantaise, avant de se terminer à la route départementale 91 qui traverse l'extrémité ouest de la commune et relie Magny à Voisins-le-Bretonneux et Chevreuse par Port-Royal. Sur le plateau de Toussus-le-Noble (au nord-est de la Mérantaise), la route départementale 36 dessert le hameau du Bois des Roches et les zones d'activité des Jeunes Bois et de Mérantais, les reliant à Montigny-le-Bretonneux et à Saclay.

Desserte ferroviaire

Les gares les plus proches sont la gare RATP de Saint-Rémy-lès-Chevreuse (train-RER B) et la gare de Saint-Quentin-en-Yvelines - Montigny-le-Bretonneux (train-RER C, train-Transilien N et U).

Bus

La commune est desservie par :

Urbanisme

Typologie

Magny-les-Hameaux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 12,7 % 211
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 1,9 % 32
Équipements sportifs et de loisirs 4,6 % 76
Terres arables hors périmètres d'irrigation 40,0 % 666
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 11,6 % 193
Forêts de feuillus 29,2 % 488
Source : Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>

Morphologie urbaine

Outre le village, Magny-Village, cœur historique de la commune, le territoire comprend aujourd'hui sept hameaux : le Bois des Roches, Buloyer, Romainville, Brouessy, Villeneuve, Gomberville et Cressely. La fusion de plusieurs anciens hameaux à la suite d'une importante politique d'urbanisation autour de l'ancien hameau de Cressely a créé le centre de gravité actuel de la commune et comporte plusieurs quartiers : le quartier de l'Hôtel de Ville (quartier récent qui lie peu à peu Cressely et Gomberville), la Croix aux Buis, le Vieux Cressely, la Chapelle Lacoste et le Buisson. Parmi les nombreux lieux-dits de la commune, on peut notamment citer la Croix du Bois, le Clos Rose, le Mérantais, Port-Royal et les 25-Arpents.

Les principaux commerces se trouvent aujourd'hui dans les quartiers de l'Hôtel de Ville, de Cressely et du Buisson ; de nombreuses entreprises sont installées dans les parcs d'activité de Gomberville, du Bois des Roches, de Magny-Mérantais et des Jeunes Bois.

Magny-Village

Cœur historique de la commune, il est constitué en grande majorité de maisons en pierre meulière, typiques de la région. Structuré autour de l'église Saint-Germain, il est essentiellement orienté vers la vallée de la Mérantaise, le plateau de Magny ayant été jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle essentiellement marécageux.

Cressely

Regroupe les quartiers pavillonnaires, les commerces et services, répartis essentiellement au bord de la route de Versailles (route départementale 938). L'usage désigne le Vieux Cressely et la Chapelle Lacoste. Ces quartiers ont été construits en grande partie après la Seconde Guerre mondiale. Constitués majoritairement de maisons particulières modestes au centre de petits jardins, ils gardent un charme particulier hérité de l'époque où ils étaient les quartiers des résidences secondaires de parisiens à la recherche d'un cadre paisible, naturel et proche de Paris.

Quartier de l'Hôtel de Ville

Ce quartier est le nouveau centre-ville structuré autour de la mairie inaugurée en 2000. Il est composé de plusieurs lotissements (pavillons, maisons de ville, immeubles) récents (des années 1990 à aujourd'hui) et comporte une zone commerçante et de services.

La Croix aux Buis

Quartier résidentiel, la Croix aux Buis se confond avec le quartier de Beauplan à Saint-Rémy-lès-Chevreuse, de l'autre côté du chemin de la Chapelle. Il est séparé du quartier de l'Hôtel de Ville par la route de Port-Royal des Champs.

Le Buisson

Quartier créé au cours des années 1970, composé essentiellement de maisons mitoyennes et d'immeubles de moins de quatre étages, en grande partie HLM. Il comporte une zone commerçante en son centre, autour de la place du Modèle:Date-. Le Buisson a malheureusement connu une vague de violence au cours des années 2005-2006 mais est resté discret lors des émeutes de Modèle:Date- (avec seulement deux voitures incendiées). L'année 2006 fut également marqué par le meurtre d'un buraliste. L'affaire avait créé une vive émotion dans la commune. Après une rénovation urbaine à la fin des années 1990 concernant les logements sociaux et les commerces de proximité, le cœur du quartier a été entièrement réaménagé (espaces verts, circulations douces, aires de jeux pour enfants et parkings) et inauguré le Modèle:Date-.

Buloyer, Romainville, Brouessy et Villeneuve

Ces quatre hameaux sont parcourus d'ouest en est par la route de Port-Royal, qui serpente sur le plateau céréalier de Magny. Structurés autour de grandes fermes en meulière, ils ne se sont pas encore beaucoup étendu au-delà de leurs limites historiques et gardent donc un caractère authentique. Dans la ferme de Buloyer, ancien siège de l'établissement public d'aménagement de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines, se développe aujourd'hui des associations de formation et d'insertion comme notamment un Jardin de Cocagne [1]. La charte du parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse protège le plateau et les hameaux de l’urbanisation jusqu'en 2023.

Gomberville

Ce hameau s'est étendu essentiellement grâce à une zone d'activité, qui accueille de nombreuses PME. Le hameau historique (en meulière, avec notamment une ferme-pépinière) est ainsi nettement séparé de ses extensions récentes. La progression du quartier de l'hôtel de ville et l'implantation de nouvelles entreprises dans la zone d'activité réduisent peu à peu la séparation de Gomberville du cœur actuel de la commune.

Le Bois des Roches

Le nom de ce lieu-dit est issu de l'exploitation d'une couche de grès dans le plateau situé entre l'Orge au nord et la Renarde au sud. La dernière grande carrière du Bois-des-Roches ferma en 1945.

Seul hameau au nord-est de la Mérantaise, il n'est pas accessible par la route depuis le reste de la commune sans passer par une autre commune (Voisins-le-Bretonneux ou Châteaufort). Il comporte actuellement quelques dizaines d'habitations. Attenant à Châteaufort, il se prolonge vers Voisins-le-Bretonneux par une zone d'activités (dite de Mérantais), ainsi que le Golf national de Saint-Quentin-en-Yvelines aux deux tiers sur la commune.

Logements

Modèle:…

Projets d'aménagement

Modèle:…

Toponymie

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle la paroisse, lorsqu'elle est citée en latin, on trouve Malliacum en 1204<ref name="Cocheris">Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.</ref>, Magneium au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Cocheris" />, puis Magniacum en 1193<ref name="Cocheris" />, Magniacum Lessard en 1626<ref name="Cocheris" />, en 1288 apparaît Magny-l'essart et en 1370 Magny-les-Hameaux. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Magnaum-Lessardi et Magnaco-Lessardi. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la forme romane de Magny-Lessard ou Magny-Lessart apparaît, dans les actes écrits en français. Entre le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle jusqu'à l'époque révolutionnaire les deux noms, Magny-l'essart et Magny-les-Hameaux sont utilisés, Magny-l'essart semblant l'emporter. À partir de 1793, Magny-les-Hameaux est le seul à être employé.

Modèle:Page h' correspond à un archétype fréquent en France dont les formes anciennes sont du type Maniacum ou Magniacum, nom de domaine gallo-romain composé avec le suffixe -acum de propriété et le nom du propriétaire Manius « né le matin » ou Magnus « le Grand ». Ces noms latins étaient bien sûr portés par des personnages d'origine gauloise.

Le territoire de la commune comprend aujourd'hui sept hameauxModèle:Refnec.

Histoire

La commune est surtout marquée par l'histoire de l'abbaye de Port-Royal des Champs (à l'extrême ouest du territoire communal) qui accueillit des religieuses cisterciennes et fut un haut-lieu du jansénisme jusqu'en 1709, date de l'expulsion des religieuses par Louis XIV.

Abbaye de Port-Royal

Modèle:Article détaillé La commune présente encore quelques ruines de l'abbaye de Port-Royal. Au bout de la plaine de Trappes, dans un vallon retiré nommé Borroy, qui, en celtique, signifiait broussailles, et dont on fait Port-Roi, puis Port-Royal, Eudes de Sully, en 1204, avait réuni une communauté de religieuses, dotée par les plus puissants seigneurs du temps et dirigée en 1316 par Béatrix de Dreux, princesse de la maison royale ; le cloître avait été abandonné pendant les longues guerres civiles, et l'établissement, transféré à Paris, rue Saint-Jacques, lorsque, en 1630, l'abbesse Angélique Arnauld obtint que la communauté fût soustraite à l'ordre de Cîteaux et soumise à une règle nouvelle dont la base était l'adoration perpétuelle du Saint Sacrement.

Le mysticisme de la nouvelle doctrine, la réputation méritée de la fondatrice lui attirèrent de nombreux adeptes ; le couvent de Paris ne pouvant les contenir, on se souvint du vieux cloître des champs ; plusieurs pieux solitaires, presque tous parents ou admirateurs de la mère Angélique Arnauld s'y étaient retirés, pour y vivre en philosophes chrétiens dans l'étude et la méditation ; ils cédèrent les bâtiments de l'ancien monastère, qui furent réparés, à la sainte colonie de la rue Saint-Jacques, mais ils ne s'éloignèrent pas : la science et le talent de ces hommes vinrent rehausser la piété et la vertu des religieuses.Cet éclat leur devint funeste : les doctrines de Jansénius, qu'ils défendaient, furent attaquées et condamnées par le pape Clément XI. Louis XIV, guidé par les rivalités hostiles, exagéra, dans l'exécution, les rigueurs de la sentence : l'établissement fut rasé jusque dans ses fondements, et la persécution vint ajouter une nouvelle aura à la renommée de Port-Royal.

Il ne reste plus de l'abbaye que l'étang d'où sort le Rhodon, petit ruisseau qui se jette dans l'Yvette ; le moulin, le colombier, une partie des murs de clôture et des tourelles, les caves du petit palais que la duchesse de Longueville y avait fait construire, la fontaine d'Angélique Arnauld, et les fondations des murs de l'église avec la base des piliers et des colonnes. Dans un petit pavillon (Modèle:S mini) qui occupe l'emplacement du chevet de l'église, on a pieusement réuni une collection de plans, de gravures de l'ancienne abbaye, et des débris de tombes<ref>Source : Victor-Adolphe Malte-Brun, La France illustrée. Géographie, histoire, administration, et statistique., 1883 (fascicule du département de Seine-et-Oise)</ref>.

Du site d'origine, seuls restent debout la ferme (granges de Port-Royal), rattachée a posteriori (1709) et le bâtiment des Petites Écoles (Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle), accueillant depuis 1962 le musée national des Granges de Port-Royal.

Depuis 2006 un groupement d'intérêt public culturel réunissant État et collectivités territoriales gère les deux sites et sert de structure juridique de gestion et de projets au musée national de Port-Royal des Champs.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Antérieurement à la loi du Modèle:Date-<ref>Loi Modèle:N°64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF Modèle:N°162 du 12 juillet 1964, Modèle:P.6204–6209, fac-similé sur Légifrance.</ref>, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Rambouillet après un transfert administratif effectif au Modèle:Date-.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription des Yvelines.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Chevreuse du département de Seine-et-Oise puis des Yvelines<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Maurepas.

Intercommunalité

La commune fait partie de la ville nouvelle organisée dans le cadre de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

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Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 40,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 17,6 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 50,65 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Économie

Deux centres commerciaux de taille moyenne se trouvent sur le territoire de la commune :

  • dans le quartier de l'Hôtel de Ville, autour d'un supermarché Intermarché et d'une annexe Magasin bio,
  • dans le quartier du Buisson, autour de la place du 19-Mars-1962.

Quatre zones d'activités se trouvent sur le territoire communal<ref>Source : Ville de Magny-les-Hameaux > Vie économique > Parcs d'activités</ref> :

  • au Bois des Roches (1978, Modèle:Unité), bordée par la RD 36, où sont admises les activités tertiaires, les industries légères non polluantes, et les activités de recherche,
  • à Gomberville (1980, Modèle:Unité), où sont admises industries, tertiaire, et stockage ; le parc est essentiellement occupé par des PME industrielles et des artisans, ainsi que par des PME commerciales au bord de la RD 195,
  • au Mérantais (1986, Modèle:Unité), où sont acceptées activités artisanales, tertiaires, industrielles ou de service, qui accueille plusieurs sièges d'entreprises de renom,
  • aux Jeunes Bois (1996, Modèle:Unité dont 6 sur Magny, zone partagée avec Châteaufort), qui accueille des activités tertiaires et de haute technologie.

La commune accueille de grandes entreprises comme Hilti, Colas (siège social) et la Snecma au sein du parc de Mérantais. Un campus d'innovation du groupe Safran va être installé, à la suite du rachat des locaux occupés auparavant par Nortel, dans le parc des Jeunes Bois. L'entreprise Telehouse Europe s'est installée dans les anciens locaux de l'Aérospatiale (EADS) en centre bourg.

Enseignement

Santé

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Sports

Fichier:Magny les Hameaux Skate Parc 2008.JPG
Skate Parc (2008).

Il y a 28 clubs sportifs à Magny-les-Hameaux<ref>liste sur le site de la commune</ref>. Par ailleurs, la commune dispose de nombreuses infrastructures sportives<ref>Source : Ville de Magny-les-Hameaux > Vie culturelle et sportive</ref> :

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

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}}. Des travaux importants de rénovation ont lieu en 2007 en 2008 (clocher, sol, électricité, chauffage) et permettront une réinstallation historique cohérente de la trentaine de dalles funéraires, patrimoine propriété de la commune, issu de l'abbaye de Port-Royal.

Fichier:Magny-les-Hameaux Porte de Mérantais 2011 08.jpg
La porte de Mérantais.

On pourra également découvrir sur le site de l'abbaye de Port-Royal :

  • les ruines de l'abbaye (fondations de l'abbatiale, pigeonnier, ancien moulin),
  • le bâtiment des Petites Écoles, construit en 1651 par les Solitaires de Port-Royal, auquel fut ajoutée une aile à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle,
  • le logis des Solitaires, qui devrait accueillir<ref>Source : Musée national de Port-Royal des Champs</ref> prochainement la bibliothèque du musée et un centre de recherches consacré au jansénisme et à l'histoire de la spiritualité,
  • un petit oratoire néo-gothique (fin Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) construit à l'emplacement du chevet de l'ancienne abbatiale, qui accueillit le premier musée,
  • la ferme des Granges, qui fut rattachée dès 1709 à Port-Royal, où l'on peut voir l'ancienne grange à blé et un ensemble de bâtiments agricoles des {{#switch: XIX
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}}, ainsi que le puits dit de Pascal,

  • un verger (reconstitution du verger planté par Robert Arnauld d'Andilly, frère de la mère Angélique Arnauld retiré aux Champs) et des jardins historiques (potager, jardin médicinal et bouquetier).

Verger, jardins potager, médicinal ou bouquetier sont animés par l'association des Amis du dehors, qui les entretient, y organise conférences, animations, et activités socio-pédagogiques ou jardinthérapie.

Les deux sites sont maintenant gérés par un groupement d'intérêt public culturel approuvé par le ministère de la Culture et de la Communication (arrêté du Modèle:Date- portant approbation de la convention constitutive d'un groupement d'intérêt public pour une durée de 7 ans Modèle:Quoi.

Fête de la musique concert à l'estaminet.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason commune

Voir aussi

Bibliographie

  • Véronique Belle, Maryse Bideault, Annie Blanc, [et al.], sous la dir. de Jean-Marie Pérouse de Montclos, Guide du Patrimoine Île-de-France, Direction du patrimoine CNMHS, Conseil régional d'Île-de-France, Hachette, Paris, 1992, 750 p. ill. Modèle:ISBN, Modèle:P.
  • Alexandre Delarge, Jacques de Givry, Yves Gontier, La Haute Vallée de Chevreuse, coll. L'esprit des lieux Modèle:ISSN, JDG Publications, Les Loges-en-Josas, 1992, 118 p. ill. Modèle:ISBN
  • Inventaire général des Monuments et des Richesses artistiques de la France, Région de Paris/Île-de-France, Les Communes du Parc naturel régional de la haute vallée de Chevreuse, Association pour le patrimoine de l’Île-de-France, Paris, 1987, 80 p. ill. Modèle:ISBN, Modèle:P.
  • Victor-Adolphe Malte-Brun, L'ancien département de Seine-et-Oise, les Éditions du Bastion, Bourg-en-Bresse, 1990, 253 p. ill., fac-similé de l'édition de 1883, Modèle:P.
  • M. et Modèle:Mme Vatan, Magny-les-Hameaux, des origines à 1900, édition privée Modèle:ISBN, 1989, 2000 exemplaires, 126 p.
  • Christophe Ferré, Magny d'un monde à l'autre, le village du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, 2000, 108 p.

Articles connexes

Modèle:Autres projets

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail