Coubert

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Modèle:Infobox Commune de France

Coubert (prononcé Modèle:MSAPI) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

Au dernier recensement de Modèle:Population de France/dernière année, la commune comptait Modèle:Nombre. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

La commune est située à environ Modèle:Unité au sud-est de Brie-Comte-Robert et Modèle:Unité par la route<ref>fr.distance.to, consulté le 22 novembre 2021</ref>,<ref group=Note>Les distances sont mesurées par la voie routière à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.</ref> au nord de Melun<ref group=Carte>Modèle:Géoportail.</ref>. Modèle:Encadré texte

Communes limitrophes

Géologie et relief

L'altitude de la commune varie de Modèle:Unité à Modèle:Unité pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ Modèle:Unité d'altitude (mairie)<ref>Modèle:Géoportail Carte IGN classique.</ref>. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Hydrographie

Réseau hydrographique

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Coubert.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de Modèle:Unité<ref name="siges">77127 Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 22 janvier 2019</ref>.

Gestion des cours d'eau

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du Modèle:Date-, plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie<ref name="GestRiv">Modèle:Lien web.</ref>.

La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le Modèle:Date-. Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de Modèle:Unité, parcouru par un réseau hydrographique de Modèle:Unité de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon<ref name="SAGE-yerres">Modèle:Lien web.</ref>. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »<ref>site officiel du Syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)</ref>.

Climat

Modèle:Encadré La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Fichier:77127-Coubert-ZNIEFF2.png
Carte des ZNIEFF de Modèle:Nobr localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Coubert comprend un ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>, la « forêt de la Léchelle et de Coubert » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Coubert est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Coubert, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Lieux-dits et écarts

La commune compte Modèle:Nobr lieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,6% ), forêts (20,5% ), zones urbanisées (9,4% ), zones agricoles hétérogènes (8,9% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,8% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Planification

La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Logement

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de Modèle:Nombre dont 56,7 % de maisons et 43,3 % d’appartements.

Parmi ces logements, 94,2 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 4,9 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 66,9 % contre 30,6 % de locataires<ref name="insee">Statistiques officielles de l'Insee.</ref> -<ref group="Note">En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.</ref>, dont 8,7 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)<ref group="Note">Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).</ref> et 2,6 % logés gratuitement.

Voies de communication et transports

Voies de communication

Modèle:…

Transports

La commune est desservie par la ligne d'autocars du réseau de bus du Pays Briard Modèle:N°maj (Tournan-en-Brie – Melun).

Toponymie

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Domus de Corbeart vers 120 <ref>Longnon, I, p. 103.</ref> ; T. de Corbaait vers 1210<ref>Histor. France, XXIII, 670.</ref> ; Corbaart en 1224<ref>Cartulaire de N.-D. de Paris, II, 473.</ref> ; Corbehart en 1225<ref>Cartulaire de N.-D. de Paris, II, 256.</ref> ; Corbart en 1234<ref>Cartulaire de N.-D. de Paris, III, 148.</ref> ; Courbaart en 1249<ref>Rôles des fiefs, 1521.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> ; Courbart en 1343<ref>Archives de la Seine-et-Marne, E 1119.</ref> ; Courbert et Cobert en Brye en 1407<ref name="Archives"/> ; Courtbart en 1413<ref name="Archives">Archives nationales, S 385.</ref> ; Cobart en Brye en 1417<ref name="Archives"/> ; Cobert en 1474<ref>Bibl. nat., ms. franç. 26183, n° 52.</ref> ; Coubart la ville en Brye en 1496<ref>Archives nationales, S 2023.</ref> ; Courbard en Brye en 1503<ref>Archives nationales, S 2148.</ref> ; Coubert la Ville en 1543<ref>Archives nationales, Y 19, fol. 109 v°</ref>.

Ce toponyme provient de l'agglutination du bas latin cortem et du nom de personne francique bedhard<ref>Ernest Nègre - 1996 - Toponymie générale de la France - page 984 - Modèle:ISBN.</ref> et signifie le « domaine de bedhard (aguerri à la patience, qui réfléchit fort<ref name="Paul Bailly">Paul Bailly, 1989, Toponymie en Seine-et-Marne, page 8, Modèle:ISBN.</ref>) » .

Histoire

Modèle:...

Politique et administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Équipements et services

Eau et assainissement

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au Modèle:Date-, mais la loi Ferrand-Fesneau du Modèle:Date- a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au Modèle:Date-<ref name="EauAss">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Assainissement des eaux usées

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Coubert est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée<ref name=EaufranceCom>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=EaufranceCol>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel<ref name="ANC-Info">Modèle:Lien web.</ref>. La communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Eau potable

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le Modèle:Date-<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Santé

La commune possède un centre de réadaptation avec soins de suite spécialisés : système nerveux, appareil locomoteur, brûlés, douleur, avec un important plateau technique de réadaptation<ref>Centre de réadaptation de Coubert</ref>.

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de Modèle:Nombre, représentant Modèle:Nombre et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 050 euros<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consultée le 23 novembre 2021.</ref>.

Emploi

En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone était de Modèle:Nombre, occupant Modèle:Nombre résidants (dont 17,2 % dans la commune de résidence et 82,8 % dans une commune autre que la commune de résidence).

Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 70,2 % contre un taux de chômage de 6 %. Les 23,8 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,3 % de retraités ou préretraités et 11,2 % pour les autres inactifs<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2018», consultée le 23 novembre 2021.</ref>.

Secteurs d'activité

Entreprises et commerces

En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de Modèle:Nobr dont Modèle:Nobr dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, Modèle:Nobr dans la construction, Modèle:Nobr dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, Modèle:Nobr dans l’Information et communication, Modèle:Nobr dans les activités financières et d'assurance, Modèle:Nobr dans les activités immobilières, Modèle:Nobr dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, Modèle:Nobr dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et Modèle:Nobr étaient relatifs aux autres activités de services<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 23 novembre 2021.</ref>.

En 2020, Modèle:Nobr ont été créées sur le territoire de la commune, dont Modèle:Nobr individuelles.

Au Modèle:Date-, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 23 novembre 2021.</ref>.

Agriculture

Coubert est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économiqueModèle:Note de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage<ref name="AgriGéné"/>.

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de Modèle:Unité par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 8 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010<ref name="AgriGéné"/>. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Coubert, observées sur une période de Modèle:Unité :

Évolution de l’agriculture à Coubert entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique<ref name="AgriGéné">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.</ref>
Nombre d’exploitations (u) 8 5 4
Travail (UTA) 21 17 19
Surface agricole utilisée (ha) 524 492 478
Cultures<ref name="Expl">Modèle:Lien web.</ref>
Terres labourables (ha) 506 482 441
Céréales (ha) 347 264 s
dont blé tendre (ha) 186 220 219
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 87 s
Tournesol (ha) 0
Colza et navette (ha) s s s
Élevage<ref name="AgriGéné"/>
Cheptel (UGBTA<ref group=Note>L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).</ref>) 161 47 0

Culture locale et patrimoine

Monuments et lieux remarquables

Autre lieux et monuments

Fichier:Orangerie du chateau de coubert 77 Franck Devedjian.jpg
Proposition de restitution de l'Orangerie du château de Coubert.

Personnalités liées à la commune

  • Le latiniste Léon Herrmann (1889-1984) est mort à Coubert.
  • Nicolas de L'Hospital, seigneur de Vitry-en-Brie (Vitry-Coubert à Guignes) puis duc de Vitry, maréchal de France, seigneur de Coubert sous Louis XIII.
  • Frédéric Armand de Schomberg, maréchal de France en 1675. La même année, il achète la seigneurie de Coubert au fils du précédent. Il conserve Coubert jusqu'à la révocation de l'Édit de Nantes, en 1685, qui l'oblige à quitter la France. En 1711, Coubert est restitué à son fils, Maynard de Schomberg, mort en 1719. Les héritières de Maynard de Schomberg vendent alors Coubert à Samuel Bernard.
  • Le banquier et financier Samuel Bernard achète en 1719 le comté de Coubert et fait reconstruire le château de 1724 à 1727. Il le conserve jusqu'à sa mort, en 1739, et le lègue à l'aîné de ses fils.
  • Samuel-Jacques Bernard, fils aîné de Samuel Bernard, il est comte de Coubert après son père et meurt en 1753. Il a pour successeur comme comte de Coubert son fils Olivier Samuel Jacques Bernard (1730-1801), qui émigre à la Révolution. Son château de Coubert est alors vendu comme bien national, puis détruit sous la Restauration.
  • George Charles Potter, fils du manufacturier Christophe Potter (1751-1817) et mari de Laurence Viénot de Vaublanc, fille du comte de Vaublanc, sont propriétaires du château jusqu'en 1834.

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette Modèle:Portail