Villefort (Lozère)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Villefort est une commune française, située dans l'est du département de la Lozère en région Occitanie.
Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Villefort est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1866. Ses habitants sont appelés les Villefortais ou Villefortaises.
Géographie
Villefort se trouve a 1h de trajet de la ville de Mende (préfecture du département) ainsi que de la ville d'Alès (plus grande ville a proximité qui se situe dans le Gard).
Les locaux ont pour habitude de se déplacer jusqu'à la ville des Vans dans l'Ardèche 30 min) pour avoir accès à plus de commodités.
Description
Villefort, à l'entrée des gorges de l'Altier, est un calme centre de villégiature des Cévennes lozériennes. Il se situe sur l'ancien chemin de Regordane, au pied du mont Lozère, fief des Châteauneuf de Randon puis des barons du Tournel. Village très touristique durant la période estivale, Villefort est dans la zone périphérique du parc national des Cévennes.
Elle est traversée par la Chemin de Regordane, dite chemin de Saint-Gilles (GR 700), un sentier de grande randonnée qui constitue le tronçon cévenol de la route qui reliait l’Île-de-France au Bas Languedoc et à la Méditerranée avant que la vallée du Rhône ne s'ouvre, politiquement parlant, vers le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il coupe par le col de Villefort entre le Mont Lozère à l'ouest et le Mas de l'Aire à l'est. Modèle:Article détaillé
Communes limitrophes
Hydrographie
La rivière Altier traverse la commune de Villefort. Le barrage de l'Altier, situé sur la commune, a créé le lac de Villefort dont une branche va vers le nord sur la commune de Pourcharesses, et l'autre branche remonte l'Altier vers l'ouest, également sur la commune de Pourcharesses.
La commune est également drainée par le ruisseau de Paillère et par divers autres petits cours d'eau.
Climat
La commune est exposée à un climat de montagne.
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc national des Cévennes<ref group=Note>La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.</ref>. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune fait également partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de Modèle:Unité reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec Modèle:Unité animales, Modèle:Unité de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : la « tourbière de la Cham des Balmelles » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Nobr du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> et trois ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> :
- les « gorges du Chazesac, de la Borne et de l'Altier » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Nobr dont deux dans le Gard et cinq dans la Lozère<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- le « massif du Mont Lozère » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Nobr dont trois dans le Gard et 19 dans la Lozère<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- les « vallées amont de la Cèze et de la Ganière » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Nobr dont neuf dans le Gard et deux dans la Lozère<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 à Villefort.
-
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Villefort est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,4 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (8,7 %), zones urbanisées (6,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 679, alors qu'il était de 666 en 2013 et de 615 en 2008<ref name="LogT2" group="I"/>.
Parmi ces logements, 39,8 % étaient des résidences principales, 36,5 % des résidences secondaires et 23,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 58,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 39,7 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villefort en 2018 en comparaison avec celle de la Lozère et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (36,5 %) supérieure à celle du département (32,2 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 59,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (56,2 % en 2013), contre 65,6 % pour la Lozère et 57,5 % pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.
Typologie | Villefort<ref name="LogT2" group="I"/> | Lozère<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lienweb.</ref> | France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lienweb.</ref> |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 39,8 | 57,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 36,5 | 32,2 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 23,8 | 10,4 | 8,2 |
Voies de communication et transports
Modèle:... La commune est desservie par le rail par la gare de Villefort, sur la ligne de Clermont-Ferrand à Nîmes (où passe notamment le train Cévenol). Elle est desservie par des trains TER Occitanie ou TER Auvergne-Rhône-Alpes, qui effectuent des missions entre les gares de Clermont-Ferrand et de Nîmes ou de Montpellier-Saint-Roch ; de Mende et de Nîmes.
Depuis Paris et Marseille, une correspondance est nécessaire à Nîmes.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Villefort est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels et technologiques
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Altier et le ruisseau de Paillère. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1994, 2008 et 2014<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Villefort est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023<ref name=Feux>Modèle:Lien web</ref>. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de Modèle:Nobr de celles-ci. L’arrêté du Modèle:Date-, complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du Modèle:Date-, abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit<ref group=Note>Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de Modèle:Nobr (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de Modèle:Nobr de part et d’autre des voies privées y donnant accès.</ref>,<ref name=Feux/>,<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des glissements de terrain<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Nobr dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2019<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Villefort, un ouvrage de classe AModèle:Note. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Villefort est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
Vilafòrt en occitan.
De l'occitan vila et de l'adjectif féminin semblable au masculin, fôrt « fortifié, facile à défendre »<ref>Ernest Nègre - Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1432, Modèle:ISBN.</ref>.
Histoire
Temps modernes
Révolution française et Empire
Villefort est chef-lieu du district de Villefort de 1790 à 1795<ref name="Cassini"/>.
Époque contemporaine
En 1964, la construction du barrage de Bayard apporte à la commune une prospérité nouvelle, bien qu'elle a été douloureuse : en effet, le village voisin de Bayard est démoli avant d'être englouti par les flots de l'Altier<ref>Modèle:Article</ref>.
Le Modèle:Date-, le militant anarchiste Pierre Conty braque l'agence bancaire Crédit agricole à Villefort, raflant 40 000 francs français (Modèle:Unité en 2017)<ref>Modèle:Lien web.</ref> avec deux complices. Leur équipée est surnommée Modèle:Citation. Dans sa fuite en voiture, Pierre Conty tue trois personnes qui se sont trouvées sur son chemin, d'abord le gendarme Dany Luczac (21 ans) croisé dans une estafette puis une famille de Pont-de-Labeaume en tuant Cyprien Malosse (21 ans) et son père Roland (54 ans) pour voler leur voiture<ref name="lemonde">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Mende du département de la Lozère.
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Villefort<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Étienne-du-Valdonnez Modèle:Article détaillé Pour l'élection des députés, elle fait partie de la circonscription de la Lozère. Modèle:Article détaillé
Intercommunalité
Villefort était le siège de la petite communauté de communes de Villefort, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Unité, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le Modèle:Date-, la communauté de communes Mont-Lozère, dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu
Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Équipements et services publics
Enseignement
La commune administre une école maternelle et élémentaire publique. Le département gère un collège.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 20,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 45,0 % la même année, alors qu'il est de 32,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 51,47 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (50,04 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Cultes
Les fidèles catholiques disposent de l'église Saint-Victorin.
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte Modèle:Nobr fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nobr. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nobr, parmi lesquelles on compte 74,1 % d'actifs (65,3 % ayant un emploi et 8,8 % de chômeurs) et 25,9 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Nobr en 2018, contre 298 en 2013 et 314 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 195, soit un indicateur de concentration d'emploi de 156,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,8 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 195 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 133 travaillent dans la commune, soit 68 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 67,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 18,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le barrage et retenue de Bayard sur l'Altier : d'une superficie de Modèle:Nobr et d'une capacité de Modèle:Unité, il alimente l'usine hydroélectrique de Pied-de-Borne.
- Le viaduc ferroviaire sur l'Altier conçu par l'ingénieur Charles Dombre.
- Le château de Castanet, à la pointe du lac sur la route de Mende.
- Le belvédère du Chassezac, à la Garde-Guérin, sur la route de Langogne.
- La chapelle Saint-Loup-et-Saint-Roch de Villefort du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
- L'église paroissiale Saint-Victorin de Villefort (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle). L'église est dédiée à saint Victorin<ref>Modèle:Lien web</ref>. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Le village du Pouget, à Modèle:Unité en direction du Mas de la Barque.
- Maison gothique.
Personnalités liées à la commune
- Charles Luc Paulin Clément Borrelli (1771-1849), général français ;
- Odilon Barrot (1791-1873), homme politique français ;
- Pierre Conty (1946), anarchiste de Chanéac (Ardèche), tue trois personnes, au cours de sa fuite après le braquage du Crédit agricole de Villefort, le 24 août 1977 ; il est condamné à mort par contumace.
Héraldique
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Site de l'office de tourisme Mont Lozère, bureau d'information touristique de Villefort
- Fiche Station Verte de Villefort
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes