Fats Waller

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Thomas Wright Waller, dit Fats Waller, né le Modèle:Date de naissance à New York, mort le Modèle:Date de décès à Kansas City (Missouri), est un pianiste, chanteur, organiste, compositeur et chef d’orchestre américain de jazz.

C'est un des musiciens les plus influents et les plus appréciés du public et de la critique, tant aux États-Unis qu'en Europe, à une époque où le jazz peinait à être considéré comme une musique « sérieuse ». Il a écrit plusieurs centaines de chansons, dont une bonne partie sont devenues des standards de jazz. Pianiste de « stride » virtuose, son jeu a influencé de nombreux jazzmen, dont Art Tatum, Count Basie ou Thelonious Monk.

Biographie

Jeunesse et formation

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"Fats" Waller and his Rhythm: Functionizin'

La famille Waller est originaire de Virginie et s'est installée à Harlem au tournant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècleModèle:Sfn pour s'assurer un avenir plus favorable. Son grand-père est violoniste ; son père, Edward Martin Waller, est un prédicateur baptiste marié à Adeline LockettModèle:Sfn, organiste de son égliseModèle:Sfn. De 1890 à 1910, ils auront onze enfants<ref>Modèle:Lien web.</ref> dont cinq seulement survivront.

Thomas Wright Waller naît à New York le Modèle:Date de naissanceModèle:Sfn. Vers l'âge de 6 ans, il apprend les rudiments du piano auprès de sa mère et du directeur musical de l'égliseModèle:Sfn qui lui fait découvrir les œuvres de Jean-Sébastien Bach que Thomas jouera toute sa vieModèle:Sfn. Thomas ne travaille pas réellement et n'apprend pas à lire la musique, puisqu'il est capable de mémoriser les leçons immédiatementModèle:Sfn. Vers 6 ou 7 ansModèle:Sfn, il reçoit quelques leçons d'une certaine Miss PerryModèle:Référence souhaitée qui lui apprend à lire et à écrire la musique. Il suit souvent ses parents qui prêchent au coin des rues. Au temple, il accompagne les chants sur l'orgueModèle:Sfn, instrument auquel il restera attaché toute sa vie.

Dans l'orchestre de l'école dirigé par Edgar SampsonModèle:Sfn, il se distingue en jouant des airs à la mode. À 14 ans, il gagne un concours de talents au Roosevelt TheatreModèle:Sfn en jouant Carolina Shout de James P. Johnson, morceau qu'il a appris en observant un piano mécanique le jouerModèle:Sfn.

Son intérêt pour la musique grandit et l'acquisition d'un piano dans le foyer confirme sa vocation, il sera pianiste, malgré l'opposition de son père qui aurait rêvé pour lui d'une carrière religieuseModèle:Sfn,<ref name="Britannica"/>. Il quitte l'école et fait de petits boulotsModèle:Sfn, tout en jouant de plus en plus et traînant aux abords des night-clubs afin d'approcher ses idoles.

À 15 ansModèle:Sfn, il décroche son premier engagement en tenant l'orgue du Modèle:Langue durant les projections de films muetsModèle:Sfn, il gagne alors Modèle:Unité par semaineModèle:Sfn.

En 1920, alors qu'il est âgé de 16 ans, sa mère Adeline décèdeModèle:Sfn. Au désespoir de son père avec lequel il se brouilleModèle:Sfn, Thomas emménage chez son professeur de piano, Russell Brooks. Il rencontre Willie « the lion » Smith et James P. Johnson, alors maîtres incontestés du Modèle:LangueModèle:Sfn. Johnson le prend sous son aile et en fait son élèveModèle:Sfn, pendant que Smith lui fait découvrir les compositeurs impressionnistesModèle:Sfn, tout en le poussant à développer ses talents d'entertainer, par exemple en faisant des grimaces en jouantModèle:Sfn.

Il étudie également avec le pianiste et compositeur Leopold GodowskyModèle:Sfn et Karl BöhmModèle:Sfn.

Années 1920

Thomas Wright Waller, qu'on appelle déjà « Fats » en raison de sa corpulence, se révèle très doué. Il trouve naturellement sa place dans le milieu professionnel et sa notoriété ne cesse de grandir tant dans les night-clubs que dans le circuit des soirées privées.

En 1921, il accompagne les films muets à l'orgue dans un autre cinéma, où il gagne Modèle:Unité par semaine.

En 1922, à l'âge de 18 ansModèle:Sfn, il grave ses premiers enregistrements pour le label OkehModèle:Sfn, Modèle:Langue puis Modèle:Langue, deux de ses compositionsModèle:Sfn. En 1923Modèle:Sfn, pour la QRS Company, il grave des « Modèle:Langue » (rouleaux pour piano mécanique)Modèle:Sfn. À 20 ans, c'est un artiste reconnu sur toute la scène de Harlem. Sa carrière décolle quand il signe avec RCA Victor en 1926, pour qui il enregistre en piano solo ses succès Handful of Keys ou Smashing Thirds (1929)Modèle:Sfn. Il enregistre également Modèle:Lien, Honeysuckle Rose ou The Joint is Jumpin'Modèle:Sfn.

Il donne des conseils à Count Basie pour le jeu à l'orgueModèle:Sfn.

Il joue avec Bessie SmithModèle:Sfn, Sara Martin, Alberta Hunter, Anna Jones ou Modèle:LienModèle:SfnModèle:Quand. Il enregistre également avec Fletcher Henderson, Jack Teagarden, les Modèle:Lien et Ted LewisModèle:SfnModèle:Quand.

En 1926, on raconte qu'il a été enlevé par des gangsters après un concert, afin qu'il joue à l'anniversaire d'Al CaponeModèle:Sfn.

En 1927, il joue avec l'orchestre de Fletcher HendersonModèle:Sfn. Il joue également avec Erskine Tate à Chicago au Théatre Vendome, au Metropolitan et au RegalModèle:Sfn. Il compose avec James P. Johnson la musique de son premier spectacle, Keep Shufflin<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La même annéeModèle:Sfn, il se lie d'amitié avec Andy Razaf, poète et parolier à la Tin Pan Alley. Ensemble, ils écrivent des comédies musicales pour Broadway notamment le célèbre Modèle:Lien (1929), qui rencontre un succès tant critique que publicModèle:Sfn, notamment grâce à la chanson Modèle:LangueModèle:Sfn. De ces spectacles sont nés des thèmes qui sont aujourd'hui des standards de jazz, comme Modèle:Lien, Black and Blue ou Honeysuckle Rose.

En 1928, il joue pour la première fois au Carnegie HallModèle:Sfn.

Années 1930

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Fats Waller en 1936

Dans les années 1930, sa popularité en tant que pianiste, compositeur et chanteur est immense. Il enregistre ses plus beaux solos de piano, apparaît dans des films. Chaque apparition en public déclenche les rires et la bonne humeur tant la personnalité de Fats est explosive et truculente.

Il tourne en France en 1931Modèle:Sfn et fonde son orchestre « Fats Waller and his Rhythm », avec Herman Autrey (tp), Ben Whittet (anches), Al Casey (g), Modèle:Lien (b) et Harry Dial (dm)Modèle:Sfn. Le groupe sillonne les États-Unis et grave près de 500 titresModèle:Sfn.

En 1934, il signe un contrat d'exclusivité avec RCA Victor, qu'il a rejoint 8 ans plus tôtModèle:Sfn.

Durant sa tournée triomphale en Europe en 1938-1939Modèle:Sfn,Modèle:Sfn, notamment à Londres et au DanemarkModèle:Sfn. Il est notamment invité dans l’une des premières émissions de télévision de la BBC. Il y fait aussi quelques enregistrements, avec un orchestre du nom de Fats Waller & His Continental Rhythm. Il enregistre également sa London Suite pour piano et percussionsModèle:Sfn. Le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale le contraint à rentrer aux États-Unis en 1939Modèle:Sfn.

Il tente sans succès de monter un big band, formation populaire dans les années 1930Modèle:Sfn.

Années 1940

Dans les années 1940, il est un musicien reconnu et vivant confortablementModèle:Sfn qui tourne de plus en plus à travers les États-UnisModèle:Sfn. À la demande des producteurs, il ajoute à son répertoire de plus en plus de chansons populaires sans intérêt particulier, qu'il interprète avec les grimaces et pitreries réclamées par le public. Sur la fin de carrière, il confie à ses amis qu'il est las de son image d'amuseur burlesque et qu'il souffre de ne pas être considéré avant tout comme un musicien. Seuls ses proches et un public plus averti savaient que derrière le clown se cachait un pianiste complet et d'une grande sensibilité.

Il dirige un grand orchestre en 1941Modèle:Sfn.

En 1942, il est la tête d'affiche d'un concert au Carnegie HallModèle:Sfn.

En 1943Modèle:Sfn, il compose la musique de Early to Bed, première comédie musicale non-Noire à être écrite par un NoirModèle:Sfn,Modèle:Sfn. Le même année, il joue dans Symphonie magique, un film réalisé par Andrew L. Stone dans lequel des musiciens afro-Américains se produisent dans leur propre rôleModèle:Sfn.

Décès

En décembre 1943, il attrape une grippe en jouant au Zanzibar Room à Hollywood, qui le contraint à rentrer chez lui plus tôt que prévuModèle:Sfn.

Alcoolique, obèse, épuisé par ses tournées harassantes, sa santé est défaillante, et la grippe entraîne des complicationsModèle:Sfn. Dans le train du retour à New York, à proximité de Kansas City, il décède le Modèle:Date de décès dans un wagon-lit du Santa Fe Chief TrainModèle:Sfn d'une pneumonie, à la suite d'une cure de désintoxication alcooliqueModèle:Sfn, alors qu'il est âgé de 39 ansModèle:Sfn,Modèle:Sfn.

Vie privée

Thomas Wright Waller s'est marié deux fois. De son premier mariage il eut un fils, Thomas Jr., sa seconde femme donna naissance à deux enfants, Maurice et RonaldModèle:Sfn. Son arrière petit-fils, Darren Waller, est joueur professionnel de football américain.

Postérité

Fichier:Fats Waller.jpg
Fats Waller en 1943.

Fats Waller, à son époque, est un des musiciens les plus influents et les plus appréciés tant du public que de la critique, aussi bien aux États-Unis qu'en EuropeModèle:Sfn, à une époque où le jazz peinait à être considéré comme une musique « sérieuse »<ref name="Britannica">Modèle:Lien web.</ref>.

Le piano stride est tombé en désuétude peu après la mort de Waller, le conduisant dans un oubli relatifModèle:Sfn. Sa réputation d'amuseur et la joie qu'il met dans sa musique l'ont sans doute desservi, en donnant l'impression qu'il ne s'agit de rien de sérieux<ref name="Rickert">Modèle:Lien web.</ref>. En ajoutant sa mort prématurée, cela explique en partie pourquoi il est aujourd'hui moins connu que Louis Armstrong ou Duke Ellington<ref name="Rickert"/>.

Pour autant, la puissance rythmique de sa main gauche est devenue légendaireModèle:Sfn, et son jeu a influencé de très nombreux pianistes, comme Count Basie (qui a étudié avec luiModèle:Sfn), Art Tatum, Mary Lou Williams, Teddy Wilson, Thelonious Monk ou encore Dave BrubeckModèle:Sfn,Modèle:Sfn.

Les chanteurs retiennent sa simplicité dans la diction, et la façon de placer des accentsModèle:Sfn.

Distinctions

Style

L'image de clown de Fats Waller, imposée par la société blanche<ref name="universalis">Modèle:Lien web.</ref>, a souvent masqué son talent musical<ref name="Britannica"/>. C'était un pitre truculent, un chanteur irrésistible parfois désigné comme Modèle:CitationModèle:Sfn qui se vengeait de son rôle de bouffon en moquant la sentimentalité de ses rengaines<ref name="Britannica"/>, ce qui ne l'empêchera d'être secrètement amer<ref name="Britannica"/>. Il rêvait d'écrire des morceaux plus ambitieux, notamment pour grand orchestre, à la manière de George Gershwin, mais c'était très certainement impossible à cause des barrières racialesModèle:Sfn.

Alcoolique, il avait en permanence une bouteille sous ou sur le piano, qui faisait partie des éléments de ses spectacles, sans que cela affecte son jeuModèle:Sfn.

Au clavier

Fat Waller s'inscrit dans le style du « piano stride », un genre hérité du ragtimeModèle:Sfn.

Doté de mains immenses, capable d'écarts de douze touches, il possède une redoutable maîtrise technique qui impressionnait même Art Tatum<ref name="universalis"/>. Son jeu est orchestral<ref name="universalis"/> ; sa main gauche, qui généralement alterne basses (souvent en dixièmes) et accords, dans le style stride, est brillante, souple et rythmiquement imparable<ref name="universalis"/>. Elle est capable d'enchaîner des octaves et des dixièmes à un rythme élevé sans jamais dévier du tempoModèle:Sfn.

Sa main droite est particulièrement déliée<ref name="universalis"/>, embellissant les mélodies avec grâce et virtuositéModèle:Sfn.

C'est un des premiers musiciens à avoir enregistré du jazz à l'orgue<ref name="universalis"/> et à l'orgue HammondModèle:Sfn. Il swingue avec les pédales, joue staccato à la main droite tout en surprenant par des changements de registrationModèle:Sfn.

Au chant

Fats Waller produit régulièrement des effets comiques dans son chant, comme sa façon d'accentuer la première syllabe de « baby » dans son enregistrement de I'm Crazy About My Baby<ref name="Santella">Modèle:Lien web.</ref>. Il fait aussi des accents, roucoule en falsetto, claque la langueModèle:Sfn

Il est aussi capable d'une grande subtilité et d'expressivité, comme sur Lost Love<ref name="Santella"/>.

En groupe

Avec Fats Waller and his Rhythm ou dans des ensembles plus larges, sa musique s'inscrit dans l'ère du swing<ref name="Santella"/>. Les musiciens prennent de courts solos, pendant que Waller accompagne solidement et encourage ses musiciensModèle:Sfn.

Compositions

Fats Waller a écrit plus de 400 de chansons<ref name="songhall"/>, dont une bonne partie sont devenues des standards de jazzModèle:Sfn. Ses morceaux sont toujours mélodiquement inventifs, joyeux et attachantsModèle:Sfn.

Parmi ses chansons les plus connues, citons Modèle:Lien (1925), Ain't Misbehavin' (1929), Honeysuckle Rose (1929), Modèle:Lien (1929), Black and Blue (1929), Modèle:Lien (1929), Modèle:Lien (1930), Keepin’ Out of Mischief Now, The Joint is Jumpin ou I’m Crazy “Bout My Baby<ref name="songhall"/>.

On peut également citer les morceaux instrumentaux Minor Drag, Harlem Fuss, Handful of Keys, Viper’s Drag, St. Louis Shuffle, Numb Fumblin, Valentine Stomp ou Modèle:Lien (1942)<ref name="songhall"/>.

Enregistrements clés

Parmi les nombreux enregistrements de Fats Waller, on peut citer<ref name="redhotjazz.com">Modèle:Lien web</ref> :

Titre Date d'enregistrement Lieu d'enregistrement Label
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Victor 24830 (réédité Bluebird B-10115)
[[After You've Gone (chanson)|Modèle:Langue]] Modèle:Date- New York Victor 22371-B
Modèle:Langue Modèle:Date- Camden, New Jersey Victor V-38508
[[Ain't Misbehavin' (chanson)|Modèle:Langue]] Modèle:Date- Camden Victor 22092, 22108
Modèle:Langue Modèle:Date- Londres, Angleterre Victor 27460
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Victor 24830 (réédité Bluebird B-10098)
Baby Brown Modèle:Date- New York (émis uniquement sur LP)
Modèle:Langue Modèle:Date- Camden Victor inédit, émis sur LPV-550
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Bluebird B-10115
Modèle:Langue Modèle:Date- New York RFW
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Okeh 4757-B
Modèle:Langue Modèle:Date- Camden Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- New York, Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Victor 25015
Modèle:Langue (voix de Adelaïde Hall) Modèle:Date- Londres HMV B8849
Modèle:Langue Modèle:Date- Londres Victor 27459
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- Camden Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- Londres Victor 27458
Modèle:Langue<ref>Modèle:YouTube.</ref> Modèle:Date- New York Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- Camden Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- Camden Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Bluebird 10099
Modèle:Langue Modèle:Date- Camden Victor 20357-B
Modèle:Langue Modèle:Date- Londres Victor 27459
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- Camden Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Victor
Modèle:Langue' Modèle:Date- Camden Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- Camden Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- Camden Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- Camden Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- Camden Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- Camden Victor 23260
Modèle:Langue Modèle:Date- Camden Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Victor
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Victor 24892
Modèle:Langue Modèle:Date- New York Victor

Filmographie

Fats Waller apparaît dans plusieurs films<ref name="redhotjazz.com"/> :

Hommages

Musique

En 2014, sort l'album Modèle:Lien du pianiste Jason Moran. L'album est issu d'une commande du N.Y.C. performing arts venue Harlem Stage Gatehouse, qui cherchait à rendre hommage au pianiste et showman, dans le cadre de la série Harlem Jazz Shrines. Le résultat intitulé The Fats Waller Dance Party, mêlait piano, chant et danse<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Cinéma

Le film Soyez sympas, rembobinez, de Michel Gondry, est parcouru par le récit de la création d'un documentaire/fiction amateur consacré à la vie de Fats Waller<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Bande dessinée

Le scénariste Carlos Sampayo et le dessinateur Igort ont réalisé une bande dessinée intitulée Fats Waller, publiée chez Casterman. Le premier tome, La Voix de son maître Modèle:ISBN est paru en 2004, le second, Chocolat Amer Modèle:ISBN, en 2005. La bande dessinée se concentre sur la période 1937-1943, et mêle la biographie de Waller aux évènements contemporains : Guerre d'Espagne, Anschluss, ségrégation raciale aux États-Unis… On y croise Art Tatum, Earl Hines, Sigmund Freud, Igor Stravinsky ou encore Pablo Picasso<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Bibliographie

Modèle:Légende plume

Biographies
Partitions et analyse du jeu
Émissions de radio

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Liens internes

Liens externes

Modèle:Liens

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