Lanneuffret

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Modèle:Infobox Commune de France

Lanneuffret {{#ifeq:1|0|[lanøfʁɛt]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Géographie

Localisation et présentation

Fichier:Map commune FR insee code 29116.png
Carte de la commune de Lanneuffret et des communes avoisinantes.

Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France En 2023 Lanneuffret est la plus petite commune du département du Finistère pour le nombre de ses habitants (136 habitants). La commune n'a plus de commerce, ni d'entreprise, et son école est fermée depuis 1972. Elle possède encore 3 exploitations agricoles<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Relief et hydrographie

Lanneuffet, commune de petite superficie (2,24 km²) a une altitude maximale de 106 mètres (près du hameau de Kerprigent, à peu près ay centre du finage communal) ; l'alttitude la plus basse s'abaisse à 46 mètres dans la vallée du Justicou, petite affluent de rive droite de l'Élorn, qui forme un temps la limite ouest avec Plouédern, à l'endroit où cette rivière quitte la commune. Un autre modeste affluent de l'Élorn, le ruisseau de Kerantraon, sert pendant une partie de son tracé de limite orientale à la commune, la séparant de Plounéventer.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 0,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 0,8 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 17,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Landivisiau », sur la commune de Saint-Servais, mise en service en 1966<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Transports

La voie express Route nationale 12 travernse la commune approximativement en son milieu, passant au ud du bourg, mais aucun échangeur ne se trouve sur le territoire communal, les plus proches étant en direction de l'ouest celui de Kériel (en Plouédern) et en direction de l'est celui de Prat Lédan (en Plounéventer).

La commune n'est desservie par ailleurs que par des routes secondaires, la plus importante étant la D 86 qui côté sud, va en direction de Landerneau.

Paysages et habitat

Lanneuffret présente un paysage agraire traditionnel de bocage avec un habitat dispersé formé de hameaux (dénommés loclement "villages") et fermes isolées. Le bourg, excentré dans la partie ouest du territoire communal, est tout petit.

Le château de Kerantraon est situé dans la partie sud de la commune, ainsi qu'une partie du monastère de Kerbénéat dont la partie la plus importante est en Plounéventer. Modèle:Article détaillé

Urbanisme

Typologie

Lanneuffret est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,1 %), zones agricoles hétérogènes (35,6 %), forêts (17,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Lan Uuiurett au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Languefret vers 1330, Lanevret en 1467, Laneuffret en 1516, Laneuvret en 1689, Lanneuffret en 1924<ref name="De l'ancien prieuré bénédictin de Lanneuffret">Modèle:Article.</ref>.

Lanneufret vient du breton lann (ermitage) et de saint Gwévret.

Histoire

Origines

Fichier:026 Carte de Plounéventer et Lanneuffret.JPG
Carte des paroisses de Plounéventer et de Lanneuffret.

La paroisse de Lanneuffret faisait partie de l'archidiaconé de Kemenet-Ily relevant de l'évêché de Léon et était sous le vocable de saint Guévroc. Elle est issue d'un démembrement de la paroisse primitive de Plounéventer.

Un prieuré de l'Ordre de Saint-Benoît aurait existé sur des terres données par le comte Even à saint Guénolé en 955 et qui seraient à l'origine de la création de la trève de Lan-Sancti-Wivreti [Lanneuffret], citée dans le Cartulaire de Landévennec ; les moines auraient résidé dans la ferme de Keranmanach, dénommée Caer-Menedech dans le Cartulaire ; d'autres noms de lieux-dits de la commune de Lanneuffret attestent de la présence du prieuré : un champ est dénommé 'le Cloître', une ferme Ar Prioldi ("la maison du prieur")<ref name="De l'ancien prieuré bénédictin de Lanneuffret" />. « On montre encore (..;) l'emplacement et le cloître de ce monastère » écrit l'abbé Le Guen en 1888<ref>Modèle:Article.</ref>.

Avec ses Modèle:Unité enclavés dans la paroisse de l'Armorique primitive de Plounéventer et son nom commençant par lann, le nom de la paroisse de Lanneuffret rappelle son origine monastique. Selon la notice 38 du cartulaire de Landévennec, le tref de lann Uuivret, comprenant 12 fermes au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle aurait été donné, avec ses revenus et ses dépendances qui s'étendaient jusqu'à l'Élorn et à l'est jusqu'au gué de Rodoed Carn et un chemin se dirigeant vers le sud par le comte Even à saint Guénolé<ref>Notice d'information se trouvant dans le Musée de l'ancienne abbaye de Landévennec</ref>.

Voici le texte en latin de la « notice 38 » du cartulaire de Landévennec : Modèle:Citation bloc

Du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Pendant les Guerres de la Ligue, le Modèle:Date-, Yves du Liscouët, après avoir pris et pillé le manoir de Mézarnou, s'empara « des croix, calices et patènes d'or massif, enrichis de pierreries, des églises de Plounéventer, Lanneuffret, Plouédern et Trémaouézan » qui avaient été confiés à la garde du sieur de Mézarnou<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le manoir de Kerantraon appartenait à la famille de Penancoët, puis à la famille de Kerléan, avant de passer aux mains de la famille de Rodellec du Porzic lors du mariage en 1731 à Lanneuffret de Roberte de Kerléan<ref group=Note>Roberte de Kerléan, née le Modèle:Date- au manoir de Kerantraon en Lanneuffret, décédée le Modèle:Date au château du Porzic en Saint-Pierre-Quilbignon.</ref> avec Ronan Le Rodellec du Portzic<ref group=Note>Ronan Le Rodellec du Porzic, né vers 1702 au château du Porzic en Saint-Pierre-Quilbignon, décédé le Modèle:Date- au château du Porzic en Saint-Pierre-Quilbignon.</ref>.

Fichier:Cassini Lanneuffret.jpg
Carte de Cassini de la paroisse de Lanneuffret (1783).

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Lanneufret en 1778 : Modèle:Citation bloc

Des lettres et autres documents d'Yves Kerdoncuff<ref group=Note>Yves Kerdoncuff, né le Modèle:Date- au bourg de Plouédern, décédé le Modèle:Date- au manoir de Kerrioual [Kerloual] en Lanneuffret.</ref>, , qui habitait le manoir de Kerloual (un manoir désormais disparu) dans la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, sont évoqués dans un article publié en 1940<ref>Modèle:Article.</ref>.

D'après l'"Enquête sur la mendicité dans le Léon" qui date de 1774, la paroisse de Lanneuffret « compte trente-deux feus, vingt-huit aisés, huit qui achètent le blé et n'en vendent pas, un seul mendiant laboureur journalier devenu infirme depuis sept ou huit mois. Sa femme est tisserande, ils ont quatre enfants dont l'aîné âgé d'environ douze ans sera en état d'être aussi tisserand à l'âge de quatorze ou quinze ans tout au plus tard »<ref>Cité par Andrée Le Gall-Sanquer, Jean-Luc Richard, Marie-Louise Richard, "L'or bleu (An aour glaz) : le lin au pays de Landerneau-Daoulas", Association Dourdon, Cloître Imprimeurs, 2005, [[[:Modèle:ISBN]]]</ref>.

La cure de Lanneuffret était en 1786 l'une des plus pauvres du diocèse de Léon avec moins de 300 livres de revenu, pas plus que la portion congrue à cette date<ref name="Rohou 2012">Modèle:Ouvrage.</ref>.

Huit kanndi pour le blanchiment du lin et du chanvre ont été recensés sur le territoire de la commune de Lanneuffret.

La Révolution française

Les deux députés représentant la paroisse de « Laneuvret » (Lanneuffret), lors de la rédaction du cahier de doléances de la sénéchaussée de Lesneven le Modèle:Date, étaient Jacques Mével et Jacques Troadet<ref>J. Madival et E. Laurent, "Archives parlementaires de 1787 à 1860 : recueil complet des débats législatifs et politiques des Chambres françaises" , imprimé par ordre du Corps législatif. Modèle:1re série, 1787-1799, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k480097g/f495.image.r=Locquenole.langFR</ref>.

Jean Cadiou, recteur de Lanneuffret depuis le Modèle:Date-, fut insermenté en 1791 et s'exila depuis Roscoff en Angleterre<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Lanneuffret en 1843 : Modèle:Citation bloc En 1844, six communes du Finistère (Rumengol, Guipronvel, Lanneuffret, Le Drennec, Loc-Eguiner et Tréouergat) refusèrent d'ouvrir une école, refusant d'appliquer la loi Guizot de 1833<ref>Louis Ogès, L'Instruction primaire dans le Finistère sous le régime de la loi Guizot, 1833-1850, 1935, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3339264j.r=Guipronvel?rk=836914;0</ref>.

Lanneuffret fut à nouveau érigée en paroisse par l'ordonnance du Modèle:Date-.

En 1878 des moines bénédictins venus de l'Abbaye Sainte-Marie de la Pierre-qui-Vire s'installent aux confins des communes de Plounéventer et Lanneuffret, créant le monastère de Kerbénéat, dont ils furent expulsés en 1903 en vertu de la loi sur les congrégations.

En 1879 la maison d'école mixte étant en très mauvais état, la commune de Lanneuffret, « dénuée de toute ressource », « une des plus pauvres du département », sollicite l'aide du département pour son projet de construction nouvelle<ref>Modèle:Article.</ref>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La Belle Époque

Le journal Le Petit Parisien raconte ainsi la querelle des inventaires à Lanneufret en novembre 1906 : Modèle:Citation bloc

Le journal La Dépêche de Brest et de l'Ouest publie le Modèle:Date- un récit détaillé des événements survenus lors des opérations d'inventaire des biens du clergé à Lanneuffret le Modèle:Date-<ref>Modèle:Article.</ref>. Une première tentaive d'inventaire avait eu lieu le Modèle:Date-, mais avait échoué, le recteur, l'abbé Richard, et les membres du conseil de fabrique refusèrent d'ouvrir les portes de l'église et l'agent du fisc n'insista pas ce jour-là<ref>Modèle:Article.</ref>.

Le pardon de Saint-Guévroc, « un des plus importants de la région (...), attire chaque année beaucoup de monde », indique un article de journal en septembre 1907<ref>Modèle:Article.</ref>. Un article de presse indique que le Modèle:Date- « les routes de Lanneuffret présentaient une vive animation, en raison de la multitude de promeneurs de Landerneau, La Roche, Plounéventer, Saint-Servais, Plouédern » venant au pardon<ref>Modèle:Article.</ref>.

La petitesse de la commune explique que pour l'année 1909 la commune de Lanneuffret n'eût aucun conscrit à présenter au conseil de révision<ref>Modèle:Article.</ref>.

La Première Guerre mondiale

Fichier:Lanneuffret - Enclos paroissial - Église Saint-Guévroc - Monument aux morts 14-18 et 39-45.jpeg
Plaque commémorative des morts des deux Guerres mondiales dans l'église Saint-Guévroc.

Un article publié le Modèle:Date- dans le journal La Dépêche de Brest et de l'Ouest décrit la générosité des habitants de la « bretonnante commune de Lanneuffret, d'une population si minime de 206 habitants » à l'occasion des diverses œuvres de soutien pour les blessés et orphelins de la guerre<ref>Modèle:Article.</ref>.

En l'absence de monument aux morts, la plaque commémorative située dans l'église en tient lieu : elle indique les noms de Modèle:Nobr morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale : Pierre Mével (mort de maladie en novembre 1914) ; Jean Berthou (tué à l'ennemi en septembre 1915 à Sommepy-Tahure (Marne)), Jean Le Bras (mort des suites de ses blessures le Modèle:Date- dans la Somme) et Jean Péron (mort le lendemain dans le même département) et Olivier Mével (mort de maladie le Modèle:Date- dans l'Oise)<ref name="Lanneuffret. Plaques commémoratives de l'église (Relevé n° 37238)">Modèle:Lien web.</ref>.

L'Entre-deux-guerres

Le dimanche 9 novembre 1919 une grande fête célébra le retour dans leurs foyers des poilus de la Grande Guerre. Un comité avait été formé, avec à sa tête comme président d'honneur Édouard de Rodellec du Portzic, capitaine de frégate dans les fusiliers marins, mutilé lors des combats de Dixmude, chevalier de la Légion d'honneur et avec Jean-Pierre Broudin<ref group=Note>Jean-Pierre Broudin, né le Modèle:Date- à Lanneuffret, décédé le Modèle:Date- à Landerneau.</ref> comme président effectif<ref>Modèle:Article.</ref>.

Une mission fut prêchëe en 1921 ; le recteur était alors M. Guéguen.

La Seconde Guerre mondiale

Jean Kerdoncuff est mort pour la France pendant la Bataille de France le Modèle:Date- à Raismes (Nord)<ref name="Lanneuffret. Plaques commémoratives de l'église (Relevé n° 37238)" />.

L'Après Seconde Guerre mondiale

Fichier:Lanneuffret - Enclos paroissial - Église Saint-Guévroc - Monument aux morts guerre d'Algérie.jpeg
Plaque commémorative des morts de la Guerre d' Algérie dans l'église Saint-Guévroc.

Deux soldats originaires de Lanneuffret (François Martin et Henri de Rodellec du Portzic, capitaine au 10e régiment d'artillerie coloniale, tous les deux décorés de la Médaille militaire et de la Croix de la Valeur Militaire, Henri de Rodellec du Portzic l'étant aussi de la Légion d'honneur) sont morts pour la France en 1957 pendant la Guerre d'Algérie<ref name="Lanneuffret. Plaques commémoratives de l'église (Relevé n° 37238)" />.

En 1988 la revue Sites et monuments écrit que le manoir de Kerantraon risque de disparaître sous peu à la suite d'une absence d'entretien<ref>Modèle:Article.</ref>.

Démographie

Modèle:Population de France/tableau

Modèle:Population de France/graphique

Politique et administration

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

L'église paroissiale Saint-Guévroc
L'enclos paroissial
  • La fontaine Saint-Guévroc, déplacée récemment dans le centre bourg.
  • Cinq croix ont été recensées dans la commune dont celle située sur la place du bourg et les deux croix de l'enclos paroissial.

Événements

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Personnalités liées à la commune

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Liens externes

Modèle:Autres projets Modèle:Liens

Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

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Modèle:Palette Communauté de communes du Pays de Landerneau-Daoulas Modèle:Portail