Locmaria-Berrien

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Ancienne commune de France

Locmaria-Berrien {{#ifeq:1|0|[lɔkmaʁja bɛʁjɛ̃]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} est une ancienne commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France, intégrée depuis le Modèle:Date à la commune de Poullaouen. Elle était membre de la communauté de communes Monts d'Arrée Communauté.

Géographie

Fichier:Locmaria-Berrien 14 L'Aulne.JPG
L'Aulne et sa vallée en aval de la gare de Locmaria-Berrien.
Fichier:Locmaria-Berrien 10 Longère avec son puits et son auge dans le bourg.JPG
Longère avec son puits et son auge dans le bourg.

Faisant partie du parc naturel régional d'Armorique, la commune est située à Modèle:Unité au sud-est de Morlaix et à Modèle:Unité au nord-ouest de Carhaix et est limitrophe de Berrien, Poullaouen, Huelgoat, Plouyé et Scrignac. Elle est drainée par l'Aulne et son affluent la rivière d'Argent.

Le bourg est à Modèle:Unité d'altitude mais la commune connaît des dénivelés assez importants en raison de la proximité des monts d'Arrée situés un peu plus au nord : alors que le point le plus haut est à Modèle:Unité d'altitude, le point le plus bas situé à l'endroit où l'Aulne quitte le finage communal est à Modèle:Unité d'altitude seulement.

La commune est très verdoyante : Modèle:Unité de bois et de landes pour une superficie totale de Modèle:Unité<ref name="PNR-Armorique">Modèle:Lien web.</ref>. Deux massifs forestiers importants se trouvent en partie sur le territoire communal : la forêt domaniale de Saint-Ambroise (bois du Hélas et bois du Meinguen) au nord-ouest et celle de Huelgoat (bois de Botvarec) au sud.

La ligne de chemin de fer, malgré la brièveté de son exploitation, a provoqué la création d'un hameau autour de la gare qui fut prospère (plusieurs commerces existaient)<ref>Modèle:Lien web</ref> jusqu'à la fermeture de la voie ferrée.

Toponymie

Le nom de la localité est mentionné sous la forme Tref de Locmaria en 1543<ref name="Infobretagne">http://www.infobretagne.com/locmaria-berrien.htm</ref>.

Du breton lok qui signifie lieu saint et de Maria, « lieu dédié à Marie »<ref>E. Peiffer, Recherches sur l'origine et la signification des noms de lieux, page 186.</ref>.

Le suffixe Berrien, du nom de l'ancienne paroisse-mère, a été ajouté en 1955<ref>Par décret en date du Modèle:Date- la commune portera désormais le nom de Locmaria-Berrien Journal officiel du Modèle:Date-, page 5602</ref> pour différencier la commune des nombreux autres Locmaria bretons.

La présence près du bourg d'un lieu-dit Liors-an-Drindet (le courtil de la Trinité) s'explique par le fait que l'église paroissiale, placée sous le vocable de Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle l'a été secondairement sous le vocable de la Trinité.

Histoire

Le Modèle:Date-, Locmaria-Berrien est absorbée par Poullaouen à la suite d'un arrêté préfectoral du Modèle:Date-<ref name=création>Modèle:Lien web</ref>.

Le passé lointain

Deux stèles de l'âge du fer dans la forêt de Botvarec témoignent d'une implantation ancienne de l'homme.

L'ancienne voie romaine entre Carhaix (Vorgium) et Morlaix] passait par Locmaria. Ce fut ensuite le tracé de la route royale qui lui succéda : le Pont ar Goret fut construit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle pour lui faire franchir l'Aulne<ref>[1]</ref>.

La motte féodale de Castel ar Valy<ref name="Canton-Huelgoat">Modèle:Lien web.</ref>, forteresse dominant le chemin de Carhaix à Morlaix, bâtie au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, fut le domaine du baron Keraliou de Loscoat. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le seigneur de la Haie-Douar construit une chapelle consacrée à la Vierge Marie. C'est de là que provient le nom de la paroisse, puis de la commune. Les seigneurs des manoirs de la Haye et de Kerambellec ainsi que de la métairie noble de la Haie-Douar étaient les gros propriétaires terriens.

La Haie-Douar présente une tour d'escalier en saillie sur le mur gouttereau (mur porteur) de sa façade.

Yves de Coatanscour, devenu en 1598 propriétaire du manoir de la Haie-Douar, obtient en 1630 la création de la trève de Locmaria au sein de la paroisse de Berrien. Locmaria est devenue une paroisse le Modèle:Date-<ref name="Infobretagne"/>.

La mine de plomb argentifère

Exploitée vraisemblablement du temps des Celtes au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Av JCModèle:Vérification siècle, puis par les Romains, la mine de plomb argentifère de Locmaria<ref name="Mine-LB">Modèle:Lien web.</ref>, ainsi que celle de Poullaouen, fut exploitée<ref>J. Monot, L'Ancienne mine de plomb de Locmaria-Berrien Huelgoat : regard sur l'ancienne mine de Poullaouen, sl, ASAM, 1998.</ref> surtout à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et principalement aux Modèle:S mini- (Modèle:Souverain2 en confie l'exploitation à Jean Du Châtelet, qui employa de la main-d'œuvre allemande) et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècles par la Compagnie des mines de Basse Bretagne créée en 1732<ref name="Canton-Huelgoat"/>, le personnel d'encadrement étant anglais et allemand, la main-d'œuvre non qualifiée étant locale. Fin 1770, Modèle:Nombre travaillaient sur le site, plus 400 à l'extérieur pour l'obtention du charbon de bois, le transport du mineraiModèle:Etc.<ref>Edmond Monange, Une entreprise industrielle au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : les mines de Poullaouen et du Huelgoat, thèse de doctorat de Modèle:3e, UBO, 1972</ref>. C'était la plus grande mine du royaume pour ce type de minerai.

Fichier:Cassini carte Locmaria-Berrien.jpg
Carte de Cassini : les environs de Locmaria-Berrien.

Dans les monts d'Arrée, les mines de Huelgoat, Poullaouen et Locmaria<ref>http://www.poher.com/upload/agenda374contenu4530.pdf</ref> déjà exploitées par un ingénieur et des ouvriers allemands au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, font une nouvelle fois appel aux maîtres mineurs et ingénieurs allemands<ref>Modèle:Lien web.</ref>, tandis que des étudiants de l'École des mines de Paris viennent y effectuer leur stage. Dans les années 1860, James Ladame, ingénieur suisse, devient sous-directeur de la mine de Locmaria-Berrien<ref>http://www.generiques.org/images/pdf/TOME-I-Odris-rapport-final-H&M-immigration-Bretagne.pdf</ref>, qui ferme définitivement en 1868.

Fichier:079 Locmaria-Berrien.jpg
Le terril de l'ancienne mine d'argent et de plomb.

Près de vingt puits, dont certains profonds de 200 à Modèle:Unité et des kilomètres de galerie furent creusés. Des machines hydrauliques, dont les roues avaient Modèle:Unité de diamètre, servaient à actionner les pompes assurant l’exhaure des eaux d’infiltration souterraines de ces puits. La remontée du minerai en surface se faisait à flanc de coteau ou à l’aide d’une machine à molette actionnée par des chevaux<ref name="PNR-Armorique"/>.

Les tentatives fugitives de réexploitation au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle furent des échecs, l'arrêt définitif survenant en 1934<ref name="Mine-LB"/>.

Depuis Modèle:Date-, l'Espace muséal minier Albert Le Guern a ouvert ses portes dans le bourg de Locmaria-Berrien, racontant l'histoire de ce lieu quelque peu oublié. Il est ouvert pendant l'été et sur RV pour les groupes tout au long de l'année<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Modèle:Article détaillé Cette activité minière<ref>Modèle:Lien web</ref> a laissé des traces visibles dans le paysage, mais aussi dans les sols, avec une teneur en métaux lourds élevée significative d'une pollution notable encore perceptible<ref>E. Camizuli (2009) – Les conséquences actuelles d’anciennes activités minières et métallurgiques au niveau des sols – Teneurs en métaux lourds dans les sols des communes de Locmaria-Berrien, Huelgoat et Poullaouen (Finistère), mémoire de Master 2 spécialité Gestion des sols sous la direction de C. Le Carlier, UMR 6566, CReAAH, Rennes, Modèle:Nb p.</ref>. Les Mines de Locmaria-Berrien<ref>Modèle:Lien web.</ref> sont désormais protégées dans le cadre de la directive Natura 2000 par un arrêté préfectoral de protection de biotope en date du Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref> car elles abritent diverses espèces naturelles protégées de chauves-souris comme le grand rhinolophe, le grand murin, le vespertilion à moustaches, le vespertilion de Daubenton, le vespertilion de Bechstein, la barbastelle, l'oreillard roux et la pipistrelle commune<ref>http://inpn.mnhn.fr/docs/apb/FR380051319990409.pdf</ref>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Locmaria-Berrien en 1843 : Modèle:Citation bloc À Locmaria-Berrien, « les hommes négligent le devoir de la religion », écrit le recteur de Châteaulin en 1852<ref>Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, [[[:Modèle:ISBN]]]</ref>.

Un soir de Modèle:Date- une cinquantaine de jeunes gens de Locmaria-Berrien donnèrent charivari à un cultivateur de la commune, un veuf de 58 ans, peu avant son remariage avec Jeanne Le Dall, une tailleuse d'habits de 49 ans, pour sanctionner leur concubinage notoire. Les jeunes gens montèrent sur le toit de leur maison, jetèrent de grosses pierres par la cheminée, plongèrent la femme dans la mare et livrèrent l'homme à la risée du public. Les malheureux portèrent plainte pour violences et violation de domicile ; mal leur en prit car le village entier, maire et curé en tête, soutinrent les agresseurs, le couple étant chargé d'opprobre<ref>Annick Le Douguet, "Violence au village", Presses universitaires de Rennes, 2014, Modèle:ISBN</ref>.

En 1879, Locmaria-Berrien est l'une des six communes du Finistère à n'avoir encore aucune école<ref>Rapport de l'inspecteur d'académie, dans Rapports et délibérations du Conseil général du Finistère, Modèle:Date-, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5668228b.r=Plouy%C3%A9.langFR [archive]</ref>.

Une voie ferrée du Réseau breton construite entre Morlaix et Carhaix, ouverte en 1891, permit à Locmaria-Berrien d'avoir une gare, qui desservait aussi Huelgoat, distante de six kilomètres. Le président de la République Félix Faure y fit une brève halte en 1896. La fermeture de la ligne survint dès le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, mais la gare trouva temporairement une deuxième vie à partir de 1971 car elle devint le siège de « Cheval Bretagne » qui fit rouler une cinquantaine de roulottes hippomobiles sur neuf itinéraires de la région pendant quelques années<ref name="Canton-Huelgoat"/>. Cette activité a cessé avant d'être reprise par un particulier, mais à une échelle beaucoup plus modeste.

Le téléphone parvient à Locmaria-Berrien en 1909<ref>Bulletin Postes, Télégraphes, Téléphones no 1910-12 consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5520706n.r=Locmaria-Berrien.f61.langFR.hl</ref>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La Belle Époque

En réponse à une enquête épiscopale organisée en 1902 par François-Virgile Dubillard, évêque de Quimper et de Léon en raison de la politique alors menée par le gouvernement d'Émile Combes contre l'utilisation du breton par les membres du clergé, le recteur de Locmaria-Berrien écrit que les habitants ne savent « pas ou presque pas le français »<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

La Première Guerre mondiale

Trente soldats de Locmaria-Berrien sont morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale, soit 3,3 % de la population de 1911 (Modèle:Nombre) et 3,7 % de celle de 1891 (Modèle:Nombre)<ref>http://www.grande-guerre-1418.com/index.php?option=com_content&task=view&id=55&Itemid=27</ref>.

La Seconde Guerre mondiale

Le Modèle:Date, M. Coant est mortellement blessé à Locmaria-Berrien par un coup de pistolet tiré par un militaire allemand<ref>Éric Rondel, Crimes nazis en Bretagne (Modèle:Date--Modèle:Date-), Astoure éditions, 2012, [[[:Modèle:ISBN]]]</ref>.

Le Modèle:Date, un groupe d'avions mitraille la route nationale 164, dont le tracé d'alors passait par Locmaria-Berrien, et incendie deux camions allemands. Le Modèle:Date, un camion allemand est mitraillé à hauteur du passage à niveau de Kerviniou en Locmaria-Berrien, deux civils sont blessés<ref>Éric Rondel, La Bretagne bombardée, 1940-1944, éditions Ouest et Cie, 2011, [[[:Modèle:ISBN]]]</ref>.

Roger Péron, de Locmaria-Berrien, franc-tireur partisan de la compagnie Barbusse pendant l'été 1944 témoigne : « Durant toute la guerre, je ne me suis jamais vraiment engagé contre l'occupant... jusqu'au jour où en sortant du cinéma d'Huelgoat un groupe d'Allemands me passe à tabac sans raison. Je dois laver l'affront. Le soir même je m'engage dans les FTP. Rapidement, parachutages d'armes, maquis, attaque de convois ou de soldats isolés. Le Modèle:Date, lors d'une mission de reconnaissance, je tombe nez à nez avec l'ennemi. Juste le temps de me réfugier dans une maison. Avec [ma] mitraillette j'abats le premier poursuivant, blesse le second et ce n'est qu'après avoir perdu leur officier, tué, qu'ils battent en retraite »<ref>Témoignage de Roger Péron, "Musée Mémoires 39-45" à Plougonvelin.</ref>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La commune fusionne le Modèle:Date- avec Poullaouen pour former une commune nouvelle au mépris de l’avis de la population (contre à plus de 80 %) et de plusieurs élus des communes voisines soulignant ce déni de démocratie. À cette date, le nom charmant de Locmaria-Berrien a disparu ainsi que sa richesse patrimoniale et son histoire<ref>Recueil des actes administratifs de la préfecture du Finistère, Modèle:Date-</ref>.. Mais cette fusion est annulée le Modèle:Date- par le tribunal administratif de Rennes pour vice de forme<ref>Journal Le Télégramme de Brest et de l'Ouest, n° du Modèle:Date-.</ref>.

Politique et administration

Fichier:Locmaria-Berrien 9 la mairie et l'école.JPG
La mairie et l'école.

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

Commentaire : le déclin de la population de Locmaria-Berrien est spectaculaire : la commune a perdu Modèle:Unité entre 1793 et 2010, soit - 83,5 % en Modèle:Nombre. Et le déclin continue : entre 1999 et 2008, la population a baissé de 18,6 % en neuf ans, ce qui est la baisse la plus forte de toute la région Bretagne après l'Île-Molène<ref>Journal Le Télégramme n° du Modèle:Date-, d'après les données de l'Insee, population municipale</ref>.

Le maximum démographique de Locmaria-Berrien a été atteint dès 1793, et probablement bien avant, mais les statistiques manquent pour les périodes précédentes (pas de recensements), ce qui est très rare en France et s'explique par l'activité minière florissante aux Modèle:S mini- et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. La fermeture des mines expliquant a contrario le déclin démographique ultérieur, la population oscillant dans le courant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle au gré de l'évolution de l'activité minière, celle-ci cessant définitivement en 1868. Si la baisse est modérée de 1861 à 1946 (Modèle:Nombre en Modèle:Nombre, soit un rythme annuel moyen de moins quatre personnes par an environ), elle s'est accélérée depuis la Seconde Guerre mondiale (Modèle:Nombre en Modèle:Nombre entre 1946 et 2008, soit un rythme annuel moyen de moins dix personnes par an).

Le déclin démographique est dû à la fois à un accroissement naturel négatif depuis plusieurs d'années et qui continue : le solde naturel a été par exemple de -1,0 % l'an entre 1999 et 2007, la commune comptabilisant entre 1999 et 2008 21 naissances seulement, aucune en 2007 et 2008, pour 58 décès pendant la même période. Et le solde migratoire est lui aussi redevenu négatif (après avoir été momentanément positif entre 1975 et 1999) : - 1,1 % l'an entre 1999 et 2007. Le vieillissement de la population est très important : 36,8 % de Modèle:Nombre et plus en 2007 pour seulement 13 % de moins de Modèle:Nombre en 2007<ref>http://www.recensement.insee.fr/chiffresCles.action?zoneSearchField=&codeZone=29129-COM&idTheme=3&rechercher=Rechercher</ref>.

Le nombre des résidences principales décline : 118 en 2007 contre 183 en 1968, au profit des résidences secondaires dont le nombre a triplé passant de 44 en 1968 à 133 en 2007 et est désormais supérieur à celui des résidences principales. Sept nouvelles résidences principales seulement ont été construites entre 1990 et 2004<ref>http://www.recensement.insee.fr/chiffresCles.action?zoneSearchField=&codeZone=29129-COM&idTheme=6&rechercher=Rechercher</ref>.

Économie

Monuments, sites et curiosités

Fichier:Locmaria-Berrien 1 Eglise paroissiale.JPG
L'église paroissiale.
Fichier:Locmaria-Berrien 4 Le calvaire face nord.JPG
Calvaire, face nord : la Vierge de Pitié.
La porte d'entrée et les lucarnes d'un ancien couvent de femmes contigu à l'église paroissiale sont classés.
Fichier:Locmaria-Berrien 6 Deux chênes pédonculés classés arbres remarquables de France.JPG
Les deux chênes pédonculés classés arbres remarquables de France.

Événements

  • Chaque année, au mois de mai (week-end de la Pentecôte), se déroule une coupe de Bretagne de descente VTT sur le magnifique site de l'ancienne mine organisé par les descendeurs de la mine<ref>[2]</ref>.
  • Le semi-marathon Huelgoat-Carhaix<ref>Courses Huelgoat-Carhaix</ref> traverse la commune au niveau de l'ancienne gare chaque année au mois de mai.

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes

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Références

Modèle:Références

Modèle:Autres projets

Voir aussi

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Liens externes

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