Université de Genève

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Université

L’Université de Genève (en abrégé UNIGE ou parfois UniGE, ou UGE) est l'université publique de la ville et du canton de Genève en Suisse. Elle est fondée en 1559 par Jean Calvin, sous le nom d'« Académie de Genève », originellement comme un séminaire théologique et humaniste protestant, avant de subir un long processus de laïcisation.

L'UNIGE est la troisième plus grande université de Suisse en nombre d’étudiants et compte pratiquement 40 % d'étudiants internationaux en 2017<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle propose plus de Modèle:Unité, Modèle:Unité et Modèle:Unité. En 2016, l'Université est classée au Modèle:53e des universités mondiales du Classement académique des universités mondiales par l'université Jiao Tong de Shanghai, au Modèle:95e par le classement mondial des universités QS et au Modèle:131e rang par le classement [[Times Higher Education World University Rankings|Modèle:Lang]]<ref name="dernierepublication1">Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte neuf facultés et quatorze centres et instituts interfacultaires<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L'UNIGE est entre autres membre de la LERU, du groupe de Coimbra, du G3 de la francophonie<ref>Modèle:Lien web.</ref> et de l'Agence universitaire de la Francophonie. Elle collabore également, tant au niveau de l’enseignement que de la recherche, avec de nombreuses institutions internationales telles que le [[Organisation européenne pour la recherche nucléaire|Modèle:Abréviation discrète]], les nombreuses agences politiques et diplomatiques des Nations unies installées à Genève ou encore la NASA dont le principal centre de recherche situé hors des États-Unis est domicilié à Genève.

Elle a également accueilli, en qualité d'étudiants, de chercheurs ou d'enseignants treize récipiendaires du prix Nobel et trois récipiendaires de la médaille Fields.

Historique

Fondée en 1559 par Jean Calvin, sous le nom d'« Académie de Genève », comme un séminaire théologique et humaniste, elle obtient un rayonnement important<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Influence de la Réforme

L'histoire de la fondation de l'Académie de Genève est indissociable du mouvant de la Réforme protestante à Genève<ref name=":0">Modèle:Ouvrage.</ref>. L'académie entamera par la suite un long processus de laïcisation<ref name=":1">Modèle:Lien web.</ref>.

Le Modèle:Date-, les Genevois réunis en un conseil adoptent la Réforme et Genève prend une indépendance souveraine Modèle:Lang de tout pouvoir princier ou ecclésiastique. Ils adoptent également un « article des écoles » qui établit l'obligation d'envoyer ses enfants à l'école.

L'établissement des idées de la Réforme par Calvin, qui s'établit dans la cité en 1536, ne se fait pas sans heurts et Calvin est chassé de la Cité en 1538. Cet épisode est relaté dans un ouvrage de Marie Dentière La guerre et délivrance de la ville de Genève<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Calvin est rappelé en 1541 à Genève pour parachever son entreprise d'établissement de la Réforme et formule alors son programme scolaire dans les Ordonnances ecclésiastiques du Modèle:Date-. Afin d'asseoir la foi dans les mentalités, il faut avoir recours à des docteurs formés en théologie qui puissent acquérir des compétences en prédication et instruire la population. La nécessité d'une académie s'impose alors pour former ces futurs théologiens<ref name=":0" />.

Calvin se fonde sur l'exemple de l'Académie de Lausanne qui est fondée en 1537 par les autorités bernoises. À la suite d'un conflit religieux, Théodore de Bèze quitte l'Académie de Lausanne et vient à Genève en 1558 pour aider Calvin dans son projet d'académie. C'est le début d'une rivalité séculaire entre les deux institutions, ce qui fait croire au doyen Haller, pasteur de la ville de Berne que Genève a monté une conspiration contre Lausanne<ref name=":0" />.

La pratique de l'enseignement de l'exégèse est adoptée, inspirée probablement de l'expérience de Ulrich Zwingli à l'Académie de Zürich dès 1553. Elle consiste en des réunions des élèves et des pasteurs pour lire et commenter les textes religieux.

Ouverture de l'académie de Genève en 1559

L'académie est fondée en 1559, ce que retrace le document fondateur intitulé « Modèle:Lang »<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Calvin et Théodore de Bèze se partagent la chaire de théologie.

On y enseigne alors la rhétorique, la dialectique, l'hébreu et le grec ancien<ref>Irena Backus, « L'enseignement à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le cas genevois », Institut d'Histoire de la Réformation, Bulletin Annuel, XL (2018-2019), Université de Genève, 2019, Modèle:P..</ref>.

Théodore de Bèze en devient également le premier recteur élu par la Compagnie des pasteurs. Cette fonction à l'époque ne lui confère pas un réel pouvoir, mais lui donne les tâches de consigner dans le Livre du recteur la liste des étudiants inscrits (les étudiantes ne sont pas acceptées)<ref name=":0" />. Théodore de Bèze est dès le départ attaché à une mission éducatrice et internationale de l'académie qui va au-delà de l'endoctrinement religieux prôné par Calvin<ref name=":1" />. Il souhaite voir les enseignements de théologie complétés par la médecine et le droit.

Dès 1581, un lent mouvement de laïcisation se développe et le Conseil d'État de Genève nomme trois « scholarques » à l'académie.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Dans le contexte socio-politique en ébullition du Siècle des Lumières, l'Académie étend ses disciplines. Charles Bonnet, ancien étudiant, témoigne de l'entrée de branches scientifiques : mathématiques et physique expérimentale, par la porte de la philosophie. Deux nouveaux professeurs sont nommés par le Conseil<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Après la révolution

L'Académie prend le nom d'« université » en 1876, parallèlement à la création de la Faculté de médecine. Ces changements sont introduits par le conseiller d'État radical Antoine Carteret — le même qui, en 1872, rend l'école publique gratuite et obligatoire à Genève<ref>Antoine Carteret, dans le Dictionnaire historique de la Suisse.</ref>.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Crise de 2006

Modèle:Section à sourcer

Fichier:Unige 13528.jpg
Le bâtiment d'Uni-Dufour qui abrite notamment le rectorat.

À la suite de travaux menés par une fiduciaire mandatée sur les comptes 2005, huit cas de notes de frais abusives de certains professeurs sont transmis au procureur général. Des pratiques concernant notamment les gains accessoires des professeurs et les fonds de prévoyance ont été mises en lumière.

Le Modèle:Date-, le journal Le Matin Dimanche publie un article intitulé Modèle:Citation, le journal ayant accédé au rapport d'audit de l’Inspection cantonale des finances<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. L'affaire pousse le recteur André Hurst, en place depuis le Modèle:Date-, à présenter sa démission<ref>Modèle:Article.</ref>. Le Conseil d'État genevois refuse sa démission mais accepte celle de la vice-rectrice Louisette Zaninetti. À la suite de l'implication de la vice-rectrice Nadia Magnenat-Thalmann dans ce scandale, le recteur Hurst, la vice-rectrice et le vice-recteur Peter Suter présentent leur démission le Modèle:Date- avec effet au Modèle:Date-. Cette démission collective est avalisée le Modèle:Date- par le Conseil d'État qui nomme alors une direction intérimaire dont le mandat court du Modèle:Date- au Modèle:Date-. Le professeur Jacques Weber, ancien doyen de la faculté des sciences, devient recteur alors qu'Anik de Ribaupierre, ancienne doyenne de la faculté de psychologie et des sciences de l'éducation, et Jean Kellerhals, professeur à la faculté des sciences économiques et sociales, sont désignés vice-recteurs. Le troisième vice-recteur Charles Bader, professeur à la faculté de médecine, est nommé le Modèle:Date-. Le Modèle:Date, le professeur Jean-Dominique Vassalli est finalement désigné à la fonction de recteur pour un mandat de quatre ans (2007-2011).

En 2007, Nadia Magnenat-Thalmann est totalement blanchie, l'audit n'ayant révélé quasiment aucune fraude. L'affaire a cependant été jugée suffisamment importante par le gouvernement pour justifier une réécriture totale de la loi sur l'UniversitéModèle:Citation nécessaire.

Loi sur l'Université

Modèle:Section à sourcer C'est à une commission externe à l'Université qu'est confiée la mission de rédiger un avant-projet de nouvelle loi sur l'Université, en réponse à la crise de 2006 (lire ci-dessus). L'ancienne conseillère fédérale Ruth Dreifuss en prend la présidence alors que le recteur de l'Université de Lausanne, Jean-Marc Rapp, fait aussi partie de cette commission de quinze membres. En Modèle:Date-, la Conférence universitaire des associations d'étudiants (CUAE), ainsi que Modèle:Unité du personnel de l'université, font savoir publiquement leur opposition à cette démarche jugée illégitime. Leur demande de prendre le temps de la réflexion et de confier aux quatre corps de l'université la mission de penser l'avenir de cette dernière est refusée par le gouvernement cantonal. Un groupe de travail interne sur la loi sur l'université (GTLU) se constitue, par auto-désignation, et adresse au Grand Conseil une liste de recommandations qui vont dans le sens d'une organisation plus démocratique de l'université. Entre-temps, l'avant-projet de loi rédigé par la commission externe est remis au gouvernement en Modèle:Date- et prévoit, entre autres mesures, une plus grande autonomie de gestion pour le rectorat de l'université.

Le Modèle:Date-, le parlement genevois accepte le projet de nouvelle loi à l'unanimité moins une voix et quatre abstentions. Durant l'été 2008, un comité référendaire composé d'étudiants, de syndicats et de partis de gauche récolte des signatures pour s'opposer à ce projet qu'il juge défavorable au personnel de l'Université et susceptible de conduire à une privatisation de l'institution. Le référendum ayant abouti, la loi est soumise au vote populaire le Modèle:Date- et est approuvée par 72 % des votants. Le Conseil d’État salue un vote qu'il interprète comme la volonté des citoyennes et citoyens genevois de doter l'Université d'une gouvernance efficiente au service de la formation et de la recherche de qualité. La nouvelle loi est entrée en vigueur le Modèle:Date-.

En 2009, l'Université de Genève célèbre son Modèle:450e à travers un programme de manifestations publiques<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Recherche

Fichier:Recherche wiki.jpg
Appareillage de microscopie à sonde locale pour l'étude des matériaux.

L'Université de Genève est la maison-mère de sept pôles de recherche nationaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>, en génétique (Modèle:Lang), en sciences des matériaux (MaNEP), en étude des émotions (Modèle:Lang), en biologie chimique (en codirection avec l'École polytechnique de Lausanne), en étude des maladies mentales (Modèle:Lang, en codirection avec l'École polytechnique de Lausanne et l'Université de Lausanne), en étude des parcours de vie (en codirection avec l'Université de Lausanne) et en études des mathématiques et physique théorique (SwissMAP<ref>Modèle:Lien web.</ref> - en codirection avec l’École polytechnique de Zurich). L'UniGe se profile également dans le domaine des études internationales, avec la création, en 2013 du Modèle:Lang<ref name="GSI">Site web du Modèle:Lang.</ref>, celui de la finance, avec le Modèle:Lang<ref>Site web du Modèle:Lang.</ref>, et des études environnementales, avec la création, en 2009, de l'Institut des sciences de l'environnement<ref>Site web de l'Institut des sciences de l'environnement.</ref>.

Pas moins de Modèle:Unité de francs suisses ont été attribués par le Fonds national suisse de la recherche scientifique aux chercheurs genevois en 2016<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La communauté universitaire genevoise bénéficie en outre d'un accès à de riches bibliothèques et à des documents comme les archives de Jean Piaget. De plus, elle profite d'un esprit d'innovation dont témoignent des chercheurs de pointe comme Michel Mayor, avec la découverte des exoplanètes, Denis Duboule avec la génétique ou Nicolas Gisin avec la téléportation quantique.

Enseignement

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Campus

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Collaborations

L'UNIGE développe des liens avec les organisations internationales et non gouvernementales établies à GenèveModèle:Citation nécessaire. Ses programmes d'étudesModèle:Lesquels se développent dans ce domaine avec des organisations comme le BIT, l'OMS, l'ONU mais également les instituts rattachés à l'université : l'Institut de hautes études internationales et du développement et l'Institut œcuménique de Bossey.

Basé à Genève, le réseau suisse pour les études internationales vise ainsi à faire collaborer chercheurs et organismes internationaux sur des thèmes comme le droit humanitaire ou le développement durable. Depuis 2006, l'UNIGE propose un baccalauréat en relations internationales<ref>Modèle:Lien web.</ref>, une formation complète et pluridisciplinaire. En 2013, a été créé le Global Studies Institute<ref name="GSI" />, qui propose, outre le baccalauréat en relations internationales, un Master en études européennes et un master « Russie-Europe médiane ».

Conjointement avec les autres universités romandes, Genève propose plusieurs diplômes post-grades en sciences économiques et sociales, en pharmacie, en biomédecine, en psychologie, lettres, études genre, écologie humaine et science de l'environnement, sociologie et biologie.

Apprentissage en réseau

Modèle:Section à sourcer Sur le plan national, l'UNIGE participe notamment à deux réseaux de collaborations : Science, Vie, Société (SVS), programme d'innovation et de développement élaboré avec l'Université et l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne, et le Triangle azur, réseau comprenant les universités de Lausanne (UNIL) et de Neuchâtel (UNINE), qui visent à la mise sur pied de formations communes.

Les scientifiques de l'université collaborent avec ceux du CERN, de l'Observatoire européen austral, de l'Agence spatiale européenne et de la NASA. Dans le cadre du sixième « Russie-Europe médiane » PCRD, qui s'étend de 2002 à 2006, Modèle:Unité étaient en cours en 2004. Parmi ceux-ci, 17 portaient sur les technologies de l'information, 15 sur les sciences de la vie, quatre sur les nanosciences et l'étude des matériaux, trois sur les sciences sociales et humaines, deux sur l'énergie et un sur l'astronomie. Enfin, sur le plan international, l'UniGe ne compte pas moins de Modèle:Unité de collaboration avec des universités des cinq continents.

Afin de renforcer ses liens avec la Genève internationale, l'Université de Genève a également créé le Réseau universitaire international de Genève en 1999, en collaboration avec Institut de hautes études internationales et du développement, l'Office des Nations unies à Genève et le CICR. Cet organisme a été rebaptisé « réseau suisse pour les études internationales » en 2008, ouvrant sa participation aux chercheurs de toute la Suisse.

Instituts et fondations associés

Structure

L'UNIGE propose chaque année plus de Modèle:Unité de formation, dont Modèle:Unité de base (Bachelor et Master), Modèle:Unité de doctorat et plus de Modèle:Unité de formation continue dans des domaines variés<ref name="dernierepublication1" />. En 2016, l'université a délivré Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2005, l'université a rejoint l'espace européen de l'enseignement supérieur par le passage de toutes les facultés au processus de Bologne. Genève se positionne également, via son appartenance à la LERU (Ligue européenne des universités de recherche), comme l'une des vingt meilleures universités de recherche en Europe<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Rectorat

Le Rectorat est l’organe exécutif et dirigeant de l’Université. Il est responsable de la politique générale de l’université, de la stratégie et de la planification pluriannuelle ainsi que des relations extérieures avec les autorités et les autres institutions d’enseignement et de recherche.

En Modèle:Date-, le conseil d'État a nommé le professeur Yves Flückiger au poste de recteur de l'université. Économiste, le professeur Flückiger a succédé à Jean-Dominique Vassalli, recteur de 2007 à 2015.

Le mode de collaboration entre l'État et l'université est formalisé par une convention d'objectifs quadriennale<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Facultés

L'Université de Genève est composée de neuf facultés<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Modèle:Colonnes Il convient d'y ajouter une école facultaire, l'École de langue et de civilisation françaises<ref>Modèle:Lien web.</ref> intégrée à la Faculté des lettres.

Centres et instituts

L'Université compte également treize centres et instituts interfacultaires<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Modèle:Colonnes Il existe également plusieurs instituts étroitement liés à l'université : Modèle:Colonnes L'université s'est aussi associée à IHEID pour créer le Centre d'études humanitaires de Genève<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Programme d'intégration

Le programme Horizon académique vise l’intégration de personnes du domaine de l'asile, c'est-à-dire avec un permis N, F, B ou C réfugié. Il est aussi accessible aux Suisses de l'étranger à leur retour. En pratique, il permet la reprise d'études dans une haute école : Université de Genève, HES-SO, Institut des hautes études internationales et du développement ou une orientation professionnelle adaptée. Il comprend un cursus Langue et intégration. Il est organisé en partenariat avec le Bureau de l'intégration des étrangers du canton de Genève et soutenu par plusieurs fondations privées<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il fait partie des mesures de l'Agenda Intégration Suisse<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Personnalités liées

Prix

L'Université de Genève a accueilli, en qualité d'étudiants, de chercheurs ou d'enseignants, plusieurs récipiendaires du prix Nobel, de la médaille Fields ou d'autres prix importants.

Année Lauréat Prix
1933 Modèle:Tri prix Nobel de la paix
1957 Modèle:Tri prix Nobel de physiologie ou médecine
1974 Modèle:Tri prix Nobel d'économie
1978 Modèle:Tri prix Nobel de physiologie ou médecine
1984 Modèle:Tri prix Nobel de physiologie ou médecine
1988 Modèle:Tri prix Nobel d'économie
1990 Modèle:Tri médaille Fields
1992 Modèle:Tri prix Nobel de physiologie ou médecine
1994 Modèle:Tri prix Nobel de physiologie ou médecine
2000 Modèle:Tri prix Nobel de chimie
2001 Modèle:Tri prix Nobel de la paix
2010 Modèle:Tri médaille Fields
2011 Modèle:Tri prix Vautrin-Lud (géographie)
2014 Modèle:Tri médaille Fields
2017 Modèle:Tri prix Nobel de chimie
2019 Modèle:Tri prix Nobel de physique
2019 Modèle:Tri prix Nobel de physique
2022 Modèle:Tri médaille Fields

Anciens élèves notables

Modèle:Catégorie détaillée Modèle:Colonnes

Fictifs

Enseignants notables

Modèle:Catégorie détaillée Modèle:Colonnes

Liste des recteurs

Le premier recteur est Théodore de Bèze, dès 1559 ; Recteurs depuis 1800<ref>Modèle:Lien web.</ref>. : Modèle:Colonnes

Docteur Modèle:Lang

Modèle:Catégorie détaillée

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Bibliographie

  • Charles Borgeaud, Histoire de l'Université de Genève, L'Académie de Calvin 1559-1798, Genève, Georg & Cie, 1900.
  • Charles Borgeaud, Histoire de l'Université de Genève, L'Académie de Calvin dans l'Université de Napoléon 1798-1814, Genève, Georg & Cie, 1909.
  • Charles Borgeaud, Histoire de l'Université de Genève, L'Académie et l'Université au Modèle:S mini- siècle, 1814-1900, Genève, Georg & Cie, 1934.
  • Histoire de l'Université de Genève, L'Académie et l'Université au Modèle:S mini- siècle, Annexes, Genève, Georg & Cie, 1934.
  • Paul-E. Martin, Histoire de l'Université de Genève, L'Université de 1914 à 1956, Genève, Georg & Cie, 1958.

Articles connexes

Modèle:Autres projets

Liens externes

Modèle:Liens

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