Tréflévénez

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Modèle:Infobox Commune de France

Tréflévénez {{#ifeq:1|0|[tʁeflevenɛz]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Géographie

Tréflévénez est une commune située dans le centre-nord du département du Finistère, à l'ouest des Monts d'Arrée. Bordée au sud par le petit fleuve côtier la Mignonne, son finage est très vallonné, les altitudes s'échelonnant entre 163 mètres (au nord du bourg, à l'est du hameau d'Elléouet) et 36 mètres au sud-ouest du finage communal, dans la partie aval de la vallée de la Mignonne ; le bourg est vers 150 mètres d'altitude.

Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Le terroir de Tréflévénez est bocager et l'habitat est dispersé en de nombreux écarts formés de hameaux et fermes isolées.

Proche de Landerneau, la commune a vu ces dernières décennies des lotissements se construire au sud du bourg.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 0,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 0,8 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 16,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pencran », sur la commune de Pencran, mise en service en 1992<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Landivisiau », sur la commune de Saint-Servais, mise en service en 1966 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Selon la terminologie définie par l'Insee et le zonage publié en 2020, Tréflévénez est une commune rurale de la communauté de communes de Landerneau.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,1 %), zones agricoles hétérogènes (32,4 %), forêts (11,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,7 %), prairies (5,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,7 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Attesté sous la forme Trelevenez en 1394 et 1630<ref name=":0">Modèle:Ouvrage</ref>.

Ce toponyme dérive de Tref- désignant une trève ou entité administrative bretonne et -levenez, qui signifie en breton "village de la Joie"<ref>D'autres anciennes paroisses bretonnes portent le même suffixe : Merlevenez et Brélévenez.</ref>) faisant probablement à "Montjoie" » (un panneau de bois peint exposé dans l’église Saint-Pierre évoque une scène de rachat de prisonniers aux Turcs), laissant penser que le nom remonterait aux Croisades. Une autre hypothèse, moins probable, serait que le nom fasse référence à sainte Levenez, épouse du comte Romélius et mère de saint Gwenaël, qui vécut au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="r1">http://www.treflevenez.fr/assets/files/pdf-bulletin-municipal/avril-2012-n73-2.pdf</ref>.

Trelevenez en breton<ref name=":0" />.

Histoire

Tréflévénez provient du démembrement de la paroisse de l'Armorique primitive de Ploudiry<ref name=info>Modèle:Lien web.</ref>.

Tréflévénez était une trève du Tréhou, faisait partie de l'archidiaconé de Léon relevant de l'évêché de Léon et était sous le vocable de Saint-Pierre.

Du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Fichier:448 Maner Coz Kerezellec.jpg
Le Maner Coz ("vieux manoir") de Kerézellec et, à l'arrière-plan sa chapelle.

Tréflévénez était au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle au cœur de la zone toilière du Léon consacrée à la culture et à la transformation du lin et du chanvre : 17 kanndi y ont été dénombrés à ce jour ; selon les inventaires après décès la fréquence des métiers à tisser y était de 120 pour 100 inventaires, même si le lin n'y était apparemment assez peu cultivé et devait être souvent acheté ailleurs. Parmi les paysans-marchands, Olivier Le Roux, de Tromelin, dont la fortune s'élève lors de son décès en 1728 à 23 738 livres dont 77 % sont constituées par des produits textiles, des toiles de lin principalement, selon son inventaire après décès<ref>Andrée Le Gall-Sanquer, Jean-Luc Richard, Marie-Louise Richard, "L'or bleu (An aour glaz) : le lin au pays de Landerneau-Daoulas", Association Dourdon, Cloître Imprimeurs, 2005, [[[:Modèle:ISBN]]]</ref>.

Le manoir de Kerézellec est jusqu'en 1772 la propriété de la famille Huon de Kerézellec dont le membre le plus connu fut le chevalier Allain Huon de Kerézellec (1606-1676), époux de Louise de Kerret. Par un mariage célébré le Modèle:Date, à Saint-Pol-de-Léon, Jean de L'Estang du Rusquec<ref group=alpha>Jean de L'Estang du Rusquec, comte du Rusquec, né le Modèle:Date au château du Rusquec en Plouvorn, décédé le Modèle:Date à Cologne (Allemagne)</ref> épouse Marie Gabrielle Huon de Lesguern<ref group=alpha>Marie Gabrielle Huon de Lesguern, née le Modèle:Date à Tréflévénez. Lesguern est en Saint-Frégant.</ref> et Kerézellec, et le château passe aux mains de la famille de L'Estang du Rusquec<ref name="r2">Modèle:Lien web.</ref>, originaire de Plouvorn<ref name="r1" />.La chapelle domestique du manoir, construite, ou peut-être reconstruite, en 1645, se voit accorder les indulgences d'une confrérie du Sacré-Cœur en 1757<ref name="r3">Modèle:Lien web.</ref>.

La Révolution française

Les deux députés représentant les paroisses et trèves de Le Tréhou, Tréflévenez et Trévéreur lors de la rédaction du cahier de doléances de la sénéchaussée de Lesneven le Modèle:Date étaient Yves Macquerle et François Touruellec<ref>J. Madival et E. Laurent, "Archives parlementaires de 1787 à 1860 : recueil complet des débats législatifs et politiques des Chambres françaises" , imprimé par ordre du Corps législatif. Modèle:1re série, 1787-1799, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k480097g/f495.image.r=Locquenole.langFR</ref>.

Jean de l'Estang du Rusquec émigre à Cologne où il est assassiné le Modèle:Date<ref name="r1" />.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Lors du Concordat de 1801, Tréflévénez est érigée en paroisse indépendante du Tréhou.

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Tréflévénez en 1853 : Modèle:Citation bloc

Plusieurs membres de la famille de L'Estang du Rusquec furent maire de Tréflévénez durant le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et les premières décennies du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. François-Louis de L'Estang du Rusquec (1818-1902), petit-fils de Jean de L'Estang du Rusquec, fut longtemps aussi conseiller général du Finistère, et son fils Hilarion de L'Estang du Rusquec (1848-1907), qui fut zouave pontifical, lui succéda<ref name="r2" />.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La Belle Époque

Fichier:248 Tréflévénez.jpg
Le monument aux morts et l'église paroissiale Saint-Pierre.

Des petits gisements de kaolin furent exploités avant la Première Guerre mondiale à Tréflévénez, Irvillac et Daoulas pour le compte d'une usine de sulfate d'alumine située à Landerneau afin de fabriquer de la porcelaine<ref>Modèle:Article.</ref>.

En réponse à une enquête épiscopale organisée en 1902 par Mgr Dubillard, évêque de Quimper et de Léon en raison de la politique alors menée par le gouvernement d'Émile Combes contre l'utilisation du breton par les membres du clergé, le recteur de Tréflévénez écrit : « Trois personnes seulement, l'instituteur, sa femme et l'institutrice, sont à même, en dehors de la famille de M. le maire, de suivre avec fruit des instructions [religieuses] faites en français »<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le Modèle:Date, Madec, curé de Tréflévénez, fait partie des 31 prêtres du diocèse de Quimper dont les traitements<ref>En vertu du Concordat, les prêtres étaient alors payés par l'État</ref> sont retenus par décision du gouvernement Combes « tant qu'ils ne feront pas emploi de la langue française dans leurs instructions et l'enseignement du catéchisme » car ils utilisaient le breton<ref>Journal La Croix n° 6064 du 18 et 19 janvier 1903, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2199243/f1.image.r=Pouldreuzic.langFR</ref>.

La Première Guerre mondiale

Le monument aux morts de Tréflévénez porte les noms de 25 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale<ref name="r4">Modèle:Lien web.</ref>. Une fratrie locale, les de l'Estang du Rusquec, perdit 5 de ses membres (Adrien<ref group=alpha>Adrien De L'Estang du Rusquec, né le Modèle:Date à Tréflénévez, caporal fourrier au 118e régiment d'infanterie, disparu le Modèle:Date dans les combats de Maissin (Belgique).</ref>, Charles<ref group=alpha>Charles de L'Estang du Rusquec, né le Modèle:Date à Tréflénévez, sous-lieutenant au 355e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le Modèle:Date à Braine (Aisne), décoré à titre posthume de la Légion d'honneur et de la Croix de guerre.</ref>, Jacques<ref group="alpha">Jacques de L'Estang du Rusquec, né le Modèle:Date à Tréflévénez, brigadier au 50e régiment d'artillerie de campagne, tué à l'ennemi le Modèle:Date à Verdun (Meuse, décoré à titre posthume de la Croix de guerre et de la Médaille militaire.</ref>, Julien<ref group=alpha>Julien de l'Estang du Rusquec, né le Modèle:Date à Tréflévénez, sergent au 219e régiment d'infanterie, blessé et fait prisonnier le Modèle:Date, mort le Modèle:Date alors qu'il était interné en Suisse après avoir été prisonnier en Allemagne.</ref> et René<ref group=alpha>René de L'Estang du Rusquec, né le Modèle:Date à Tréflévénez, avocat, décédé le Modèle:Date à Quimper.</ref> de L'Estang du Rusquec), tués au front ou morts pendant la Première Guerre mondiale<ref name ="Les Frères Ruellan">Modèle:Ouvrage</ref>. Seule une autre fratrie française, les frères Ruellan de Paramé (aujourd'hui Saint-Malo, en Ille-et-Vilaine) en perdit plus (6). Deux autres familles - Les Jardot, d'Evette-Salbert (Territoire de Belfort) et les Falcon de Longevialle des Côtes-d'Arey (Isère) - perdirent également 5 de leurs membres.

Tous les autres soldats morts pendant la Première Guerre mondiale et originaires de Tréflévénez sont morts sur le sol français, à l'exception de Louis Orcil, marsouin au 2e régiment d'infanterie coloniale, tué à l'ennemi le Modèle:Date à Rossignol (Belgique).

La Seconde Guerre mondiale

Le monument aux morts de Tréflévénez porte les noms de 3 personnes (Pierre Bideau, résistant mort lors des combats d'Irvillac le Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Jean Roignant et Jean Salaun) mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale<ref name="r4" />.

Images d'antan

Politique et administration

Fichier:Mairie de Tréflévénez, Finistère.JPG
La mairie de Tréflévénez.

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/tableau

Modèle:Population de France/graphique

Économie

  • L'entreprise Rolland<ref>Modèle:Lien web.</ref>, installée zone artisanale des Landes, construit des véhicules agricoles. Créée en 1946 dans la commune voisine de Pencran par Joseph Rolland, l'entreprise fabrique depuis plus de 60 ans des remorques agricoles, mais aussi des bétaillères, des épandeurs, des plateaux fourragers. L'entreprise continua de se développer sous la direction de Jean-Yves Émily et désormais de Béatrice Le Gall, la présidente directrice-générale depuis 2006, et de Myriam Leret, la directrice achats, toutes deux petites-filles du fondateur.

L'entreprise, qui emploie en 2012 près de 200 personnes, reste Modèle:N°1 du marché des véhicules agricoles en France avec 14 % des parts de marché, avec un chiffre d'affaires de 26 millions d'euros en 2010 et de 32 millions d'euros en 2011. L'entreprise s'appuie sur un réseau de plus de 300 concessionnaires, y compris à l'étranger (Grande-Bretagne, Benelux, Suède, Canada...) où est exporté environ le quart de la production. L'entreprise s'efforce d'innover sans cesse grâce à un département « recherche et développement » très actif, avec par exemple la mise au point de la nouvelle gamme de bennes Rollspeed, équipée de roues indépendantes et de suspension hydraulique<ref>Journal Le Télégramme n° 20784 du 27 avril 2012</ref>.

Langue bretonne

L’adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le Conseil municipal le Modèle:Date.

Le centre Minihi Levenez, voulu par le diocèse, assure une présence chrétienne en langue bretonne dans le diocèce (messe, pèlerinage, revue, maison d'édition).

L'association Emglev An Tiegezhioù, association de familles bretonnantes d'inspiration catholique et nationaliste bretonne, y a aussi son siège.

Monuments

  • L'église paroissiale Saint-Pierre date dans son état actuel des {{#switch: XVI
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}} ; son chevet est de style Beaumanoir ; l'église a été restaurée à partir de 1987 ; à l'intérieur se trouvent plusieurs retables et tableaux peints dont une peinture murale représentant le Christ en croix entouré des instruments de la Passion, les personnages étant habillés en costumes de l'époque de Louis XIII<ref>http://www.treflevenez.fr/assets/files/pdf-eglise/eglise-saint-pierre.pdf</ref>. L'église comprend une nef de six travées avec bas-côtés et un chœur à chevet polygonal avec sacristie en saillie datant de 1715<ref name=info/>.

  • Le « Maner coz » de Kerézellec : la chapelle, qui avait subi les outrages du temps et dont la charpente avait été en bonne partie emportée par l'ouragan de 1987, a été restaurée depuis<ref name="r3" />. Le manoir est construit en moellons associant du microgranite jaunâtre de Logonna avec un microgranite de provenance locale, l'encadrement de la porte étant en kersanton. « L'utilisation de ces trois roches confère à la façade du manoir un aspect des plus singuliers »<ref>Modèle:Article.</ref>.

Événements

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Personnalités

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Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

Notes

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Cartes

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Voir aussi

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