Marolles-en-Brie (Val-de-Marne)
Modèle:Voir homonymes {{#invoke:Bandeau|ébauche}} Modèle:Infobox Commune de France
Marolles-en-Brie est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France.
Géographie
Situation
La commune, périurbaine, est située à une vingtaine de kilomètres au sud-est de Paris, à l’est du département du Val-de-Marne, et a une dominante résidentielle et de forêt. Sa partie urbaine est enserrée dans un espace forestier: le domaine de Grosbois à l’ouest, la forêt de Notre-Dame au nord et à l’est. Au sud le territoire est fermé par la vallée du Réveillon qui reçoit un golf devenu 18 trous en 2015.
La RN 19 qui relie Paris à Troyes, est la desserte routière majeure de la commune.
La commune fait partie du Plateau briard.
Au nord de la commune se trouve le bois Notre-Dame et elle est traversée par la rivière le Réveillon.
Au sud, le territoire communal est bordé par la ligne TGV.
Une modification du territoire a été engagée en 2016-2017, qui a attribué le chemin du Vieux-colombier, qui ne dessert que des pavillons situés à Boissy-Saint-Léger, à cette dernière commune<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Communes limitrophes
Rose des vents | Sucy-en-Brie | Rose des vents | ||
Boissy-Saint-Léger | Modèle:Abréviation discrète | Santeny | ||
Modèle:Abréviation discrète Marolles-en-Brie Modèle:Abréviation discrète | ||||
Modèle:Abréviation discrète | ||||
Villecresnes | {{#if:| | |||
Enclave : }} |
Hydrographie
La commune est drainée par le Réveillon, sous-affluent de la Seine par l'Yerres.
Urbanisme
Typologie
Marolles-en-Brie est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Modèle:… Le nord du territoire communal est marqué par une importante zone pavillonnaire, le lotissement Clos Saint-Marceau.
Toponymie
Une mention ancienne de la localité est : Marrolas 1190<ref>NEGRE (E.) Toponymie générale de la France (1990), t. 1, p. 385.</ref>
Du latin materia (bois de construction), suivi du suffixe latin, de présence ola, « endroit où il y a du bois de construction ».
Histoire
La terre seigneuriale appartenait, en 1088, à Dreux III de Mellot, archidiacre de l'église de Paris. Il la donna, en 1097 à des religieuses, et leur bâtit un prieuré qui existait encore à la RévolutionModèle:Référence souhaitée.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du Modèle:Date-<ref>Loi Modèle:N°64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF Modèle:N°162 du 12 juillet 1964, Modèle:P.6204–6209, fac-similé sur Légifrance.</ref>, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-de-Marne et son arrondissement de Créteil, après un transfert administratif effectif au Modèle:Date-.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1986 de la troisième circonscription du Val-de-Marne.
Elle faisait partie de 1801 à 1967 du canton de Boissy-Saint-Léger du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-de-Marne, elle est rattachée en 1967 au canton de Villecresnes<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton du Plateau briard.
Intercommunalité
La commune était, jusqu'en 2015, le siège de la communauté de communes du Plateau briard (CCPB), créée fin 2002.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le Modèle:Date-, la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre<ref name="D2015-1212">Modèle:Légifrance, sur Légifrance</ref>.
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du Modèle:Date- prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de Modèle:Unité habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).
La commune a donc également été intégrée le Modèle:Date- à l'établissement public territorial Grand Paris Sud Est Avenir, qui succède notamment à la communauté de communes du Plateau briard<ref name="Périmètre">Modèle:Légifrance sur Légifrance.</ref>.
Tendances politiques et résultats
Politique locale
En 2014, Sylvie Gérinte (SE) succède à Alain Josse en l’emportant face à Emmanuel Bezançon (DVD) avec 57 % des suffrages<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
En 2020, trois listes sont en lice. C’est Alphonse Boye (SE) qui l’emporte au second tour avec 46 % des suffrages face à Martine Harbulot (30%) et la maire sortante, Sylvie Gérinte (23%)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le nouveau maire, comme quelques-uns des membres de son équipe municipale appartenait à l’ancienne majorité menée depuis 2014 par Sylvie Gérinte, avec laquelle il s'est désolidarisé en cours de mandat<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Politique de développement durable
Modèle:Section à actualiser La commune s’est engagée dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2011<ref>FICHE | Agenda 21 de Territoires - Marolles-en-Brie, consultée le 14 novembre 2017</ref>.
Distinctions et labels
La ville, qui participe depuis plusieurs années au concours des villes et villages fleuris, possède en 2015 trois fleurs<ref>Modèle:Article.</ref>.
Jumelages
- Miguel Esteban, Espagne depuis 2004.
Équipements et Services publics
La commune est équipé d'un centre équestre, le Centre Equestre UCPA de Saint-Maur.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Enseignement
Les élèves de Marolles-en-Brie sont rattachés à l'académie de Créteil.
La commune Modèle:Quand : l'école maternelle des Buissons, l'école élémentaire des Buissons, et l'école maternelle et élémentaire de la Forêt.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune est riche culturellement : elle compte parmi ses bâtiments une des résidences secondaires des parents de l'Impératrice Sissi (Élisabeth d'Autriche), épouse de François-Joseph). Elle compte également une très ancienne église, l'église Saint-Julien-de-Brioude, au prieuré Saint Arnould, construit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Parcours">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- L'église Saint-Julien-de-Brioude
- L'église Saint-Julien-de-Brioude a été construite dans la première moitié du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle sur l'emplacement d'une chapelle carolingienne du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Certains de ses éléments architecturaux sont encore romans mais d'autres témoignent de l'apparition du style gothique. Elle a été classée monument historique en 1909<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Presbytère, 1 rue Pierre-Bezançon, datant de 1771. Déclaré bien national pendant la Révolution française, il sert de logement à l'instituteur vers 1820 et accueille la mairie en 1844<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Prieuré de bénédictins Saint-Julien-de-Brioude, 2 rue Pierre-Bezançon, fondé fin Modèle:S mini ou début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Vendu comme bien national à la Révolution, il devient château avec adjonctions aux extrémités et construction d'un canal et d'un abreuvoir avant 1810<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Grille d'honneur de l'ancien château du Buisson, 2-4 route de Santeny, de la fin du {{#switch: et du
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XVIII|-| – | XVIII }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: et du |-| – | et du }}Modèle:S mini- siècle
}}<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, et le nouveau château. construit pour Simon Arnout, contrôleur général de la maison de Marie de Médicis, démoli, dont ne reste que deux pavillons<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Ferme de Combault, 19 rue Pierre-Bezançon, ayant appartenu au prieuré Saint-Julien de Brioude. Le logis comprend un escalier du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, et a été remanié au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. La grange et l'étable sont antérieures à 1770<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Ferme de Veaurichard, 7 rue Pierre-Bezançon, ayant également appartenu au prieuré de Saint-Julien de Brioude. Acquise par la commune, qui y construit une école à son emplacement. Certains de ses bâtiments sont encore en place rénovés et dénaturés<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- La Belle Image, 3 rue du Pressoir, demeure du début du Modèle:S mini- et du début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Acheté en 1813 par Berthier de Wagram qui l'annexe au domaine de Grosbois. Son nom vient d’une chapelle dédiée à la Vierge, bâtie sur un rond-point devant l’entrée de la maison, et qui figure sur le plan établi par l’abbé Delagrive<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Monument aux morts, route de Santeny, érigé en 1922 par l'architecte Tillet et l'entreprise parisienne breton et Cie, à la mémoire des morts des guerres de 1914, 1918 et 1939, 1940<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Puits, 14 rue Pierre-Bezançon<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Personnalités liées à la commune
Le bourreau Charles-Henri Sanson, qui fit tomber à de nombreuses reprises le couperet de la guillotine, notamment sur celle de Louis XVI, est peut-être originaire de cette villeModèle:Référence nécessaire.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Site des Amis de Marolles
- Modèle:Lien web.