Claira

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Modèle:Voir paronymes Modèle:Infobox Commune de France

Claira <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} est une commune française située dans le nord-est du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Roussillon, une ancienne province du royaume de France, qui a existé de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Agly, la Llavanera, le ruisseau de Claira et par un autre cours d'eau.

Claira est une commune urbaine qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle est dans l'unité urbaine de Claira et fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Clairanencs ou Clairanencques.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

La commune de Claira se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Perpignan<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, et à Modèle:Unité de Saint-Laurent-de-la-Salanque<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton de la Côte salanquaise dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta group=I/>. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Laurent-de-la-Salanque<ref name=meta group=I/>.

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Saint-Hippolyte (Modèle:Unité), Torreilles (Modèle:Unité), Saint-Laurent-de-la-Salanque (Modèle:Unité), Pia (Modèle:Unité), Bompas (Modèle:Unité), Villelongue-de-la-Salanque (Modèle:Unité), Sainte-Marie-la-Mer (Modèle:Unité), Rivesaltes (Modèle:Unité).

Sur le plan historique et culturel, Claira fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Communes limitrophes

Modèle:Carte communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Modèle:... La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Hydrographie

Le village de Claira est situé sur la rive gauche de l'Agly, à environ Modèle:Unité de Perpignan, en Salanque.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 0,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 11,8 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Torreilles », sur la commune de Torreilles, mise en service en 1983<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Claira est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Claira, une unité urbaine monocommunale<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,3 %), cultures permanentes (36,7 %), zones urbanisées (6,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

La commune est accessible depuis l'autoroute A9 (échangeur 41) par la route départementale 83 (sorties 5 et 6).

Claira est également desservie par une voie verte de Modèle:Unité, entre Le Barcarès et Rivesaltes, le long de la rive gauche de l'Agly.

Au sud du village subsiste une partie de la plateforme de la ligne ferroviaire qui reliait Rivesaltes au Barcarès via Pia, Claira et Saint-Laurent-de-la-Salanque (Ligne de Perpignan au Barcarès). Il reste notamment un pont restauré qui enjambait un chemin de desserte locale. Le pont sur l'Agly a quant à lui été démantelé.

La ligne 503 du réseau régional liO relie la commune à la gare de Perpignan en partant de Salses-le-Château.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Claira est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage<ref name=DDRM-Liste>Modèle:Lien web, chapitre 1 - Liste des risques par commune.</ref>,<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de l'Agly. La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Perpignan-Saint-Cyprien, regroupant Modèle:Nobr du bassin de vie de l'agglomération perpignanaise, un des Modèle:Nobr qui ont été arrêtés le Modèle:Date- sur le bassin Rhône-Méditerranée. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr), moyen (temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr) et extrême (temps de retour de l'ordre de Modèle:Unité, qui met en défaut tout système de protection)<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref name=DDRM-TMD>Modèle:Lien web, partie 3 - chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

Sur le département des Pyrénées-Orientales, on dénombre sept grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des Modèle:Unité susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages, le barrage de Caramany sur l'Agly, un ouvrage de Modèle:Nobr de hauteur construit en 1994<ref name=DDRM-Barrage>Modèle:Lien web, partie 3 - chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.

Toponymie

Le nom désigne le domaine de Clarius, gentilice (« nom de famille ») latin formé sur le nom de personne Clarus (clarus = clair, brillant, illustre). Le suffixe latin -anum donne la finale catalane -à. La forme Modèle:Langue a été utilisée en catalan par le passé, mais elle ne respecte pas les conventions orthographiques de cette langue, et donc tend à disparaitre<ref name=terra>Modèle:Ouvrage.</ref>.

En catalan, le nom de la commune est Modèle:Langue<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}Modèle:Ouvrage.</ref>.

Histoire

L'antique Via Domitia passait à l'ouest du village actuel. Des chemins en reprennent d'ailleurs plus ou moins le tracé<ref>Ouvrage collectif, Voies romaines du Rhône à l'Èbre, Ed. de la Maison des Sciences de l'Homme, Paris, 1997, pages 90-91</ref>. Aux alentours de 118 Modèle:Av JC, le domaine d'un certain Clarus (ou Clarius) s'organise sur une petite éminence à proximité de la Via Domitia, constituant le point d'origine du village.

En 928 est mentionné un premier hameau autour de l'église de Saint-Jaume de Predacalç puis, plus tard, celui autour de l'église de Saint-Pierre. Autour de l'an 1000, Claira devient un village fortifié, avec son église Saint-Vincent et son château de Biterna ou réside le seigneur. En 1140, première mention du prieuré de Saint-Pierre-del-Vilar ou réside une communauté de moines. En 1233, des privilèges sont accordés aux habitants par le comte de Roussillon, Nuno Sanç, à qui avaient été confiés les biens de Bernard-Guillaume de Clayrà, condamné comme hérétique (cathare). En 1356, le roi Pierre III le Cérémonieux donne Claira en héritage à ses deux filles, les infantes Constance (14 ans), reine de Sicile, et Jeanne (12 ans), future Comtesse d'Empories. Les consuls et les habitants protestent car ils voulaient rester dans le domaine royal. En 1365, Claira est le village le plus important de la Salanque et le reste pendant plus de 250 ans. Il compte alors 143 feux. En 1372, création de la chapelle du Christ par Guillem Capdevilla. En 1428, vente du château de Claira à Raymond de Périllos par la reine Marguerite, veuve du dernier roi catalan Martin l'Humain. En 1443, charte de privilèges accordées par le roi Alphonse V d'Aragon pour la création du ruisseau de Claira et la création d'un moulin. Les habitants de Claira pourront prendre les eaux de l'Agly où ils le voudront et autant qu'ils en désireront. La digue est établie au pied de Rivesaltes.

Le 10 juin 1639 a lieu la bataille de Claira où la population entière lutte contre les soldats français. De 1639 à 1659, Claira connait deux exodes dont l'un dura 7 ans et les habitants abandonnent le village en grande partie détruit par les soldats français. Les cloches du village sont sauvées car Claira sert de garnison et les cloches à ameuter les alentours, les cloches des autres villages étant fondues pour faire des canons. En 1659, les habitants réintègrent le village avec leur curé, Francisco Cases et Claira devient française.

Le village est cité à partir du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle (1013, 1070 et 1091). Les siècles suivants (Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle), plusieurs textes font état des fortifications du village et des réparations à y effectuer. Lors des guerres qui opposèrent la France à l'Espagne au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, une des batailles prit place à proximité de la localité<ref>Lucien Bayrou, Entre le Languedoc et le Roussillon, 1258-1659, fortifier une frontière ?, Ed. Amis du Vieux Canet, 2004, pages 253-254</ref>.

Politique et administration

Fichier:Claira-01.JPG
Hôtel de ville et bureau de poste.

Canton

En 1790, la commune de Claira est incluse dans le canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque. Elle rejoint en 1801 le canton de Rivesaltes puis revient, en 1935, dans le canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque, qu'elle ne quitte plus par la suite<ref>Modèle:Paroisses et communes des PO.</ref>,<ref name="Cassini"/>.

À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton de la Côte salanquaise.

Administration municipale

Modèle:...

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie ancienne

La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

Modèle:Tableau population

Démographie contemporaine

Modèle:Population de France/section

Modèle:Tableau rang commune de France

Enseignement

Manifestations culturelles et festivités

Sports

Économie

Revenus

En 2018, la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>). 45 % des ménages fiscaux sont imposés<ref group=Note>La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.</ref> (42,1 % dans le département).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 73,9 % d'actifs (62 % ayant un emploi et 11,9 % de chômeurs) et 26,1 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 1 456 en 2013 et 1 186 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 602, soit un indicateur de concentration d'emploi de 106,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,3 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 1 602 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 413 travaillent dans la commune, soit 26 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 90,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % les transports en commun, 4,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités

Revenus de la population et fiscalité

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Euro<ref group=I> Modèle:Lien web.</ref>.

Entreprises et commerces

Modèle:Référence nécessaire

Culture locale et patrimoine

Monuments et lieux touristiques

Le vieux village était protégé par une enceinte fortifiée de plan rectangulaire flanquée de tours. Remontant au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, plusieurs fois réparée, elle fut rasée au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Il n'en reste que de rares vestiges et la trace sur le cadastre du village<ref name=bayrou>Lucien Bayrou, Entre le Languedoc et le Roussillon, 1258-1659, fortifier une frontière ?, Ed. Amis du Vieux Canet, 2004, page 254.</ref>.

À l’est se dresse l'église paroissiale Saint-Vincent, dont le chevet prenait appui contre le rempart est. Citée en 1091<ref name=bayrou/>, l'édifice roman fut reconstruit au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle puis remanié aux Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Le mur sud conserve des vestiges intéressants : une fenêtre romane en plein cintre, un enfeu gothique surmonté par un bas-relief et une inscription datée de 1372, encadré de deux gargouilles. L'édifice est dominé par un clocher gothique en brique, remanié postérieurement<ref>Jean Tosti, Claira (page consultée le Modèle:1er septembre 2007)></ref>.

Environ 2 kilomètres à l'ouest du village se dresse l'église Saint-Pierre-du-Vilar (catalan : Sant Pere del Vilar). Citée dès 951, possession de l'abbaye Sainte-Marie de Lagrasse, elle fut le siège d'un prieuré qui fut sécularisé au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. L'édifice actuel date du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et possède une nef unique terminée par une abside semi-circulaire. Elle fut surélevée et remaniée postérieurement (période indéterminée), comme le montre la fenêtre axiale de l'abside qui est maintenant au ras du sol. Les traces de reprise de la maçonnerie sont également très visibles sur la façade occidentale, avec l'adjonction d'un clocher-mur et d'un portail modernes. Les traces d'un ancien portail sont visibles sur le mur nord<ref>Modèle:Églises romanes oubliées Roussillon.</ref>.

  • Église Saint-Pierre-du-Vilar. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)<ref name=":0" />.
  • Église Saint-Vincent de Claira. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie<ref name=":1">Modèle:Lien web</ref>. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)<ref name=":1" />.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason commune

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail