Trévillach

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}
Révision datée du 16 octobre 2023 à 20:57 par >William Jexpire (→‎Géographie)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)

{{#invoke:Bandeau|ébauche}} Modèle:Infobox Commune de France

Trévillach <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} (Modèle:En langue) est une commune française située dans le nord du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Desix, la Riberette et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « sites à chiroptères des Pyrénées-Orientales ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Trévillach est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1836. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Trévillais ou Trévillaises.

Modèle:Sommaire

Géographie

Modèle:Carte communes limitrophes

Localisation

Modèle:Maplink La commune de Trévillach se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Perpignan<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, à Modèle:Unité de Prades<ref>Modèle:Lien web.</ref>, sous-préfecture, et à Modèle:Unité de Rivesaltes<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Agly dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta group=I/>. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Ille-sur-Têt<ref name=meta group=I/>.

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Montalba-le-Château (Modèle:Unité), Tarerach (Modèle:Unité), Trilla (Modèle:Unité), Caramany (Modèle:Unité), Pézilla-de-Conflent (Modèle:Unité), Campoussy (Modèle:Unité), Ansignan (Modèle:Unité), Arboussols (Modèle:Unité).

Sur le plan historique et culturel, Trévillach fait partie du Fenouillèdes, une dépression allongée entre les Corbières et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly. Ce territoire est culturellement une zone de langue occitane<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Modèle:Communes limitrophes

Fichier:Map commune FR insee code 66214.png
Situation de la commune

Géologie et relief

Trévillach possède une superficie de Modèle:Unité et son altitude varie de 346 à 800 mètres<ref name="Cassini"/>. Le point le plus élevé de la commune se situe au Sarrat d'Espinets, au nord-ouest du village qui est situé quant à lui au pied du petit sommet du Cascailla (665 m).

La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Hydrographie

Plusieurs cours d'au parcourent le territoire de la commune :

  • La Desix constitue la limite occidentale de la commune, avec Campoussy, Sournia et Prats-de-Sournia. Celle-ci se dirige du sud vers le nord.
  • Plusieurs de ses affluents de la rive droite traversent cette même partie occidentale de la commune, dont notamment le Rau de Rapane qui descend du col des Auzines jusqu'aux environs des ruines de Roquevert.
  • La Riberette prend sa source sur la commune et y reçoit divers affluents, avant de se diriger vers l'est puis vers le sud en direction de la Têt.

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000

Fichier:66215-Trévillach-Natura2000.png
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « sites à chiroptères des Pyrénées-Orientales »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>, d'une superficie de Modèle:Unité, abritent d'importantes colonies d'espèces de chauves-souris d'intérêt communautaire<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : les « garrigues de Sournia et grotte du Desix » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> et le « massif du Sarrat d'Espinets » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> : le « massif du Fenouillèdes » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont une dans l'Aude et 39 dans les Pyrénées-Orientales<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Trévillach est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (70,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (86,1 %), zones agricoles hétérogènes (10,7 %), forêts (3,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

La commune de Trévillach est traversée par la route départementale D2, en provenance à l'est de Montalba-le-Château et en direction vers l'ouest de Campoussy. Depuis le Col des Auzines démarre vers le sud la route départementale D13, en direction de Tarerach. De nombreuses routes communales rejoignent ces deux axes.

La ligne 511 du réseau régional liO relie la commune à Ille-sur-Têt depuis Rabouillet.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Trévillach est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon<ref name=DDRM-Liste>Modèle:Lien web, chapitre 1 - Liste des risques par commune.</ref>,<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Fichier:66215-Trévillach-Zone inondable.png
Zones inondables de la commune de Trévillach.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau des bassins de l'Agly et de la Têt<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs, soit des effondrements liés à des cavités souterraines<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>

Risque particulier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Trévillach est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Toponymie

Formes du nom

La première mention de Trévillac remonte à 1026, comme indication d'une des limites de l'alleu de Sequera (Séquières)<ref name=js>Modèle:Le pays catalan 2.</ref>. Le lieu est alors désigné sous le nom de Trivilano. On trouve à la même époque Trivilanum, puis au {{#switch: e

 | e | er | = 
   {{#switch: e
 | e | er | = 
   Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
 | 
   Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècleXV

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècle
 | 
   Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles

}}

}} Trivilacho, suivis au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle de la forme occitane Trevilhac<ref name=thcn>Modèle:Toponymie historique de Catalunya Nord.</ref>.

En occitan le nom de la commune est Trevilhach, et en catalan Trevillach, avec le h final si l'on souhaite respecter les graphies traditionnelles, ou sans, Trevilhac (occitan) et Trevillac (catalan), pour se conformer aux normes orthographiques modernes<ref name=thcn/>.

Étymologie

L'origine du nom de Trévillac suit le modèle courant des noms de domaines gallo-romains, suivis d'un suffixe adjectival, soit -anum, soit -acum. Ceci explique que le nom présente dans son histoire des formes en -an et en -ac. Bien que le -ac désigne souvent une influence gauloise, l'absence de vestiges gallo-romains dans les environs laisserait cependant plutôt supposer un nom de domaine carolingien, par la suite calqué sur les noms des environs. Quant au nom de la personne ayant donné son nom au domaine, ce pourrait être Trebillaco, dérivé de Trebellius et présent ailleurs dans le sud de la France (par exemple, Travaillan dans le Vaucluse)<ref name=thcn/>.

Histoire

Plusieurs grottes prouvent l'occupation du territoire de Trévillach durant la préhistoire, tandis qu'un dolmen et un oppidum attestent de même pour la période protohistorique<ref name=js/>. Par contre, aucun ne vestige ne concerne l'Antiquité<ref name=thcn/>.

Durant le Moyen Âge, Trévillach est rattaché à la baronnie de Rabouillet, elle-même détenue par les seigneurs de Peyrepertuse<ref name=js/>. L'église Saint-Martin était quant à elle inféodée au diocèse d'Alet<ref name=pcpo>Modèle:Paroisses et communes des PO.</ref>.

En 1790, Trévillach devient une commune. La population est alors de 290 habitants<ref name=pcpo/>.

En 1906, le village n'échappe pas à la querelle des inventaires et le maire est suspendu de ses fonctions. Il lui est reproché d'avoir participé aux manifestations contre l'autorité<ref>Modèle:66 PHPC.</ref>.

Politique et administration

Administration municipale

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie ancienne

La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

Modèle:Tableau population

Démographie contemporaine

Modèle:Population de France/section

Modèle:Tableau rang commune de France

Enseignement

Modèle:...

Manifestations culturelles et festivités

Santé

Modèle:...

Sports

Modèle:…

Économie

Revenus

En 2018, la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 84,1 % d'actifs (63,6 % ayant un emploi et 20,5 % de chômeurs) et 15,9 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui du département en 2008.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 8 en 2013 et 16 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 57, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,8 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 57 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 8 travaillent dans la commune, soit 14 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 87,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,6 % les transports en commun, 5,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

11 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Trévillach au Modèle:Date-<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,3 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 11 entreprises implantées à Trévillach), contre 14,3 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Entreprises et commerces

Agriculture

Modèle:Tableau La commune est dans les Fenouillèdes », une petite région agricole occupant le nord-ouest du département des Pyrénées-Orientales<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020Modèle:Note (28 en 1988). La superficie agricole utilisée est de Modèle:Unité<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Langue locale

Le village se trouve actuellement dans la zone de langue catalane de transition vers la langue occitane (comme Bellestar, Latour de France et Montalba le château).

Monuments et lieux touristiques

 | e | er | = 
   {{#switch: XVIII
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVIII|-| – | XVIII }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}

}}

 | 
   {{#switch: et
 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XVIII|-| – | XVIII }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason commune

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail