Pierre Macon
Modèle:À sourcer Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité militaire
Pierre Macon, né le Modèle:Date de naissance à Chasselay dans le Lyonnais et mort le Modèle:Date de décès à Leipzig, en Allemagne, est un général français de la Révolution et de l’Empire.
Biographie
Il entre en service le Modèle:Date- comme soldat au [[61e régiment d'infanterie|Modèle:61e d’infanterie]], il devient caporal le Modèle:Date-, sergent fourrier le Modèle:Date-, sergent-major le Modèle:Date-, adjudant sous-officier le Modèle:Date-, et lieutenant le Modèle:Date- suivant. Il est promu capitaine le Modèle:Date-, et il est blessé le 19 au combat du Mas Deu. Le Modèle:Date-, il est désigné commissaire des guerres par commission des représentants du peuple Rouyer et Letourneur, mais il aime trop la gloire pour rester dans un bureau, et trois mois après il retourne en service actif dans son ancien régiment. Le Modèle:Date- il est nommé chef du Modèle:2e du Modèle:61e d’infanterie, par le général Dugommier. Il fait toutes les campagnes de 1793, de l’an II et de l’an III, à l’armée des Pyrénées orientales.
Le Modèle:Date-, il passe chef de brigade à la [[122e régiment d'infanterie|Modèle:122e de bataille]], et le Modèle:Date-, il rejoint la [[57e régiment d'infanterie|Modèle:57e d’infanterie de ligne]], puis le Modèle:Date-, la [[58e régiment d'infanterie|Modèle:58e demi-brigade d’infanterie]] par ordre du général en chef Bonaparte. Le Modèle:Date-, il prend le commandement de la [[81e régiment d'infanterie|Modèle:6e légère]], et il franchit le col du Grand-Saint-Bernard le Modèle:Date-, à la tête de la colonne d’avant-garde. Le Modèle:Date- suivant, il trouve l’occasion de se distinguer, en décidant par une manœuvre hardie le succès du combat de Romano. Malgré un feu terrible d’artillerie et de mousqueterie, il fait passer sa demi-brigade dans la Chuisella, qui a cinq pieds d’eau au moment où les grenadiers chargés d’attaquer le pont sont repoussés par l’ennemi. Le Modèle:Date-, à la bataille de Montebello, il tient en échec, avec 400 hommes seulement, un corps de Modèle:Unité, qui cherche à contourner la droite de l’armée, il les attaque vigoureusement et leur fait 600 prisonniers. Le Modèle:Date-, à la bataille de Marengo, avec 200 hommes qui n’ont pas une seule cartouche, il charge à la baïonnette et arrête une colonne de Modèle:Unité.
Le Modèle:Date-, sous le commandement du général Brune, il passe le premier le Mincio à la tête de sa demi-brigade, et soutient victorieusement trois charges d’infanterie et une du corps des grenadiers hongrois. Le Modèle:Date-, de retour en France, il est nommé adjudant supérieur du palais du gouvernement. Il est promu général de brigade le Modèle:Date-, et il rejoint le camp d’Étaples. Il est fait chevalier de la Légion d’honneur le Modèle:Date-, et le 13, il prend le commandement de la Modèle:1re des grenadiers de la réserve, réunis à Arras, sous les ordres du général Junot, et provisoirement le commandement de cette division le Modèle:Date- suivant. Il est nommé commandeur de la Légion d’honneur le Modèle:Date-, et l’Empereur l’attache à sa personne. Le Modèle:Date-, après la prise de Leipzig, Napoléon lui en confie le commandement. Il meurt le Modèle:Date-, dans cette ville, d’une fièvre putride. Son nom figure sur l’arc de triomphe de l'Étoile, Modèle:40e.