Tréveneuc

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Modèle:Infobox Commune de France

Tréveneuc {{#ifeq:1|0|[tʁevənœk]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} est une commune du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France. Tréveneuc appartient au pays historique du Goëlo.

Géographie

Situation

La commune de Tréveneuc se situe dans la baie de Saint-Brieuc, sur la côte du Goëlo, à égale distance de Saint-Brieuc (préfecture, Modèle:Unité au sud-est) et de Paimpol (Modèle:Unité au nord-ouest).

Le village est traversé par l'ancienne route nationale D 786 de Saint-Malo (Modèle:Unité à l'est) et Saint-Brieuc à Lannion (sous-préfecture, Modèle:Unité à l'ouest) et Morlaix (Modèle:Unité au sud-ouest en passant par Guingamp).

Saint-Quay-Portrieux est à 4,2 km au sud-est, Guingamp (sous-préfecture) à Modèle:Unité au sud, Rennes à Modèle:Unité au sud-est<ref name="googlemapsTreveneuc">Carte de Tréveneuc sur google maps de google.fr.</ref>.

Description

Le littoral se caractérise par de hautes falaises dont la pointe du "Bec de Vir" avec panorama sur la baie de Saint-Brieuc, et plusieurs plages et grèves. Les falaises sont longées par le "sentier des douaniers" (sentier de grande randonnée GR34). L'anse de Saint-Marc abrite une zone de mouillage pour petits bateaux de pêcheurs plaisanciers locaux, ainsi qu'une grève facilement accessible aux personnes à mobilité réduite. La plage de Port Goret offre un très vaste estran à marée basse.

Communes limitrophes

Cadre géologique

Fichier:Batholite mancellien.svg
Carte géologique du Massif armoricain, avec au nord-est le batholite mancellien et ses nombreux plutons de granite cadomien (Trégor, Lanhélin, Louvigné, Vire, Avranches…). Ce batholite dessine une ellipse de Modèle:Unité (d'Alençon à la Rance) sur Modèle:Unité (de Vitré à Vire)<ref>Carte géologique de la France au 1/50000 Fougères 13-17, éditions du BRGM, 1981, p. 5</ref>.

Tréveneuc est localisée dans la partie médiane du domaine nord armoricain, unité géologique du Massif armoricain qui est le résultat de trois chaînes de montagne successives. Le site géologique de Tréveneuc se situe plus précisément dans un bassin sédimentaire essentiellement briovérien (constitué de formations volcano-sédimentaires) limité au nord-est par un important massif granitique cadomien, le batholite du Trégor, et au sud-ouest le pluton de Lanhélin qui font partie d'un ensemble plus vaste, le batholite mancellien<ref group=Note>De Modèle:Langue, nom latin de la région du Maine, domaine structural de la partie nord-est du Massif armoricain dénommé en 1949 par le géologue Pierre Pruvost. Il est caractérisé par un Précambrien récent au sein duquel se sont mis en place des granitoïdes intrusifs antérieurement au dépôt des terrains paléozoïques ; ce domaine surélevé a été épargné par les transgressions marines du Cambrien.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

L'histoire géologique de la région est marquée par le cycle cadomien (entre 750 et 540 Ma) qui se traduit par la surrection de la chaîne cadomienne qui devait culminer à environ Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>. À la fin du Précambrien supérieur, les sédiments briovériens environnants sont fortement déformés, plissés et métamorphisés par l'orogenèse cadomienne, formant essentiellement des schistes et des gneiss<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Les massifs granitiques du Mancellien<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> scellent la fin de la déformation ductile de l'orogenèse cadomienne<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

L'unité de Saint-Brieuc comporte ainsi, au-dessus d'un socle granitique (750-650 Ma), une épaisse séquence volcanique et sédimentaire (600 Ma)<ref>La formation de Lanvollon, en rive gauche de la baie de Saint-Brieuc, est une formation volcano-sédimentaire essentiellement constituée de volcanites (micaschistes, leptynites et amphibolites de Lanvollon dont les faciès les moins métamorphisés s'observent de part et d'autre de l'anse d'Yffiniac). La formation d'Erquy est son équivalent en rive droite. Ces roches sont surmontées par les sédiments détritiques de la formation de Binic.</ref>, elle-même intrudée par de nombreux plutons gabbro-dioritiques (580 Ma) contemporains de la déformation<ref>Modèle:Article.</ref>. Cette unité correspond à la subduction d'un domaine océanique au nord avec la marge septentrionale du Gondwana, ayant formé soit un bassin intra-arc, soit une zone de chevauchement, les deux hypothèses restant débattues<ref>Michel Ballèvre, p. 21</ref>.

La qualité des affleurements, excellente sur le littoral<ref>Cette qualité décroît rapidement à l'intérieur des terres, par suite de l'altération du socle et des placages limoneux.</ref>, permet d'observer au niveau de la grève de Port Goret la diorite quartzique traversée de filons d'hématite (rouge) et de l'épidote, formations secondaires dues à la circulation de l'eau dans les fractures de la roche. La texture grenue de la diorite (plagioclases blancs, amphiboles noires nettement visibles à l'œil nu), essentiellement isotrope, est caractéristique<ref>Modèle:Pdf E. Égal, É. Le Goff, P. Lebret ; avec la collaboration de J.-A. Barrat, A. Carn, J. Chantraine, A. Cocherie, C. Guerrot, B. Hallégouët, J.-L. Monnier, Notice explicative de la feuille Pontrieux-Étables-sur-mer à 1/50000, éditions du BRGM, 1999, p. 154</ref>. En suivant la grève vers l'Ouest pendant Modèle:Unité (à marée suffisamment basse), on observe la zone de contact entre le pluton de diorite et son encaissant, la formation de Binic constituée ici de grès fins très métamorphisés, d'abord cataclasés (broyage tectonique sur près de Modèle:Unité) puis migmatisés (couches orientées nord-est sud-ouest, à pendage 70 °, localement recoupées par des failles décrochantes senestres). Ces couches sont traversées de lentilles et filonnets de quartz et feldspath qui évoquent une fusion partielle indiquant une migmatisation de contact<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Touristiquement, les principaux aspects de la géologie de cette bande côtière peuvent être abordés au cours de promenades géologiques qui permettent d'observer sur un espace réduit des roches d'âge et de nature différents, des structures géologiques (cisaillement, faille, pli, schistosité) témoins de phénomènes géologiques d'ampleur (magmatisme, tectogenèse, métamorphisme, érosion…)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 0,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 0,4 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lanleff », sur la commune de Lanleff, mise en service en 1987<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Tréveneuc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Binic-Étables-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Brieuc, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du Modèle:Date-, dite loi littoral<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des Modèle:Nb, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,9 %), zones agricoles hétérogènes (20,5 %), zones urbanisées (12,9 %), forêts (12,5 %), prairies (5,3 %), zones humides côtières (0,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Trevenech en 1224 et en 1225<ref>Dans les chartes de l'abbaye de Beauport et dans un acte de donation du quartier de la Ville Hailech.</ref>, Trevenoc en 1231 et en 1277 et Trevenec en 1240<ref>Anciens Evêchés, IV, 81, 83, 90, 110.</ref>.

On trouve l'appellation Trevenec en 1414<ref>Dans des lettres de Jean V, Modèle:N°.</ref> et Treveneuc dès 1428<ref>Archives de Loire-Atlantique, B2979.</ref>.

Le nom de la commune viendrait du breton treb (village) et de Venec ou Veneuc, variante de Saint Guéthénoc le frère de Saint Guénolé. Il s'agit du fondateur du monastère de Landévennec au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

« Les "Crapauds rouges", c'est le sobriquet donné aux enfants nés dans la commune. Depuis que l'accouchement à l'hôpital est devenu la norme, les quelques héritiers du titre se font rares ». Ce surnom proviendrait d'un jeu de palets que des marins auraient ramené des Flandres : « il fallait lancer le palet dans la gueule d'un crapaud en métal (...) peint en rouge » dit Christiane Carré, ancienne secrétaire de mairie<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le nom de la localité est Trév'neu en gallo<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Histoire

Le Moyen Âge

Sous l’ancien régime, Tréveneuc était une paroisse appartenant à l’évêché de Saint-Brieuc et au comté du Goëlo.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Les guerres du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Le monument aux morts porte les noms des 38 soldats morts pour la Patrie<ref>Modèle:Lien web.</ref> :

Politique et administration

La commune fait partie de Saint-Brieuc Armor Agglomération depuis sa création, le Modèle:Date-.

Administration municipale

Modèle:...

Liste des maires

Période Identité Etiquette Qualité
1872 1893 Henri Chrétien de Tréveneuc Légitimiste Propriétaire

Conseiller général du canton d'Etables (1848-1852) Député (1848-1851 et 1871-1876) Sénateur (1876-1893) Mort à Paris le 10 février 1893

1893 1925 Robert Chrétien de Tréveneuc Conservateur Propriétaire

Député (1893-1898) Sénateur(1901-1921) Décédé à Tréveneuc le 5 février 1940

1925 1953 Xavier de Froidefond de Florian Conservateur Chimiste

Croix de guerre 1914-1918 Gendre du précédent

1953 1965 Arthur Espivent de La Villesboisnet

(1906-1966

Avant 1981 ? Henri Garel
Mars 1989 2001 Yves Chuinard PCF Enseignant
2001 2008 Alain Le Cornec DVG
2008 2014 Louis Gauffeny Retraité
2014 En cours Marcel Sérandour DVD Agriculteur retraité

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Modèle:... L'école primaire St-Jean a fermé en 2019.

Manifestations culturelles et festivités

La fête des jardins a lieu tous les ans à Tréveneuc.

Santé

Modèle:...

Sports

Modèle:...

Économie

Modèle:...

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

La chapelle Saint-Marc
caption=La chapelle Saint-Marc
Chapelle Saint-Marc

Patrimoine naturel

L'inventaire national du patrimoine naturel comprend plusieurs sites de la commune, sous deux classifications différentes<ref>Tréveneuc, fiche sur inpn.mnhn.fr.</ref>.

La ZNIEFF continentale de type 2 des « Falaises de Plouha »<ref name="znFalaisesPlouha">« Falaises de Plouha » - 530014725. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.</ref>, soit 4 256,4 hectares sur six communes : Binic, Étables-sur-Mer, Plouha, Pordic, Saint-Quay-Portrieux et Tréveneuc<ref group=Note name="Lanloup">La cartographie de l'INPN montre une zone qui inclut aussi une petite partie de la commune de Lanloup, vers Kerjolis.</ref>. Elle vise les côtes rocheuses et falaises maritimes.
La ZNIEFF continentale de type 1 de la « Pointe de Saint-Marc »<ref name="znStMarc">« Pointe de Saint-Marc » - 530013338. Fiche ZNIEFF Natura 2000.</ref>, soit 15,96 hectares sur les deux communes de Saint-Quay-Portrieux et Tréveneuc. Elle vise les côtes rocheuses (les rochers de l'estran) et les falaises maritimes entre la plage Saint-Marc sur Tréveneux et la Grève de Fonteny sur Saint-Quay-Portrieux.
La ZNIEFF continentale de type 1 du « Bec de Vir »<ref name="znBecVir">« Bec de Vir » - 530013344. Fiche et cartographie ZNIEFF Natura 2000.</ref>, soit 15,54 hectares sur Tréveneuc. Elle prolonge vers le nord-ouest la ZNIEFF de la Pointe de Saint-Marc, visant elle aussi les côtes rocheuses dont les rochers de l'estran et les falaises maritimes ; elle entoure complètement la pointe du Bec de Vir, s'étendant depuis la plage Saint-Marc au sud-est jusqu'à la plage de Port Goret sur le côté nord-ouest de la pointe.
  • L'espace protégé et géré des « Falaises du Goëlo »<ref name="epgFalaises">« Falaises du Goëlo » - FR1100710. Fiche et cartographie espace protégé et géré Natura 2000.</ref> est un ensemble de terrains acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une surface totale de 148 287 hectares soumis à un arrêté préfectoral de protection de biotope passé le Modèle:Date-. Il s'agit de petits terrains isolés et disséminés le long des falaises et des cours d'eau de la région, et sur les plateaux en bord de falaises. Sur la commune, six terrains se regroupent en deux lieux : le plateau et la falaise de la plage de Port Goret (terrain d'environ 180 m de large descendant le long de la falaise, incluant l'estran en bas et environ 100 m de plateau), et le même type de terrain à Saint-Marc.

Cyprès de Tréveneuc

Fichier:Cyprès de la chapelle Saint-Marc de Tréveneuc 1.jpg
Le cyprès de la chapelle Saint-Marc.

Près de la chapelle Saint-Marc de Tréveneuc se trouve un grand cyprès de Lambert (Cupressus macrocarpa). Cette espèce est originaire de la côte centrale de la Californie. L'arbre aurait été planté en 1875 +/- 30 ans. En 2018, on mesurait une circonférence de 7,20 m et une hauteur de 13,50 m. Sa circonférence croit de 5 cm par an.

Ses longues branches retombantes se sont marcottées au sol et forment comme des tentes<ref>http://jenovefa.canalblog.com/archives/2018/01/07/36017973.html</ref>,<ref>https://www.monumentaltrees.com/fr/fra/cotesdarmor/treveneuc/11141_kust/</ref>.

Personnalités liées à la commune

  • Robert de Treveneuc (1860-1940) : homme politique né à Tréveneuc.
  • Hervé Chrétien de Tréveneuc : son portrait figure dans la galerie des croisades du château de Versailles.
  • Armand Maloumian, rescapé du Goulag qui vînt finir ses jours à Tréveneuc.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

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