Cossonay

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Modèle:Infobox Commune de Suisse

Cossonay est une commune suisse du canton de Vaud, située dans le district de Morges.

Géographie

Fichier:ETH-BIB-Cossonay-LBS H1-011712.tif
Photo aérienne (1949).

Situation

Située à une altitude de Modèle:Unité pour la vieille ville, sur un plateau surplombant la Venoge, Cossonay est situé à une quinzaine de kilomètres au nord de Lausanne, en Suisse.

Démographie

Lors du recensement du Modèle:Date-, Cossonay comptait Modèle:Nombre<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Surnom

Les habitants de la commune sont surnommés les Traîne-Gourdins (ou les Traîne-Maillets) et les Traîneurs-de-Sabre<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Hydrographie

Le territoire communal est traversé par la Venoge qui marque la frontière avec Penthalaz.

Toponymie

Ce nom fait partie du grand groupe de noms de lieux datant de l'époque romaine et qui ont été formés à partir d'un nom de personne latin avec le suffixe toponymique celtique -akos/-acum. Dans ce cas particulier, Cossonay signifie « domaine de Cossonus ou Cossinus » et témoigne d'une époque où la population celtique s'est mise à utiliser des noms de personne latins, tout en continuant à parler sa propre langue. Premières mentions : 1096, de Cochoniaco. 1142, de Cossonay<ref name=DTCS/>.

Les habitants de Cossonay sont surnommés les Traîne-Gourdins (lè Traîna-masse en patois vaudois)<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Armoiries

Parti d'azur et d'argent. Vu leur simplicité, ces armoiries bleues et blanches semblent plutôt anciennes. Elles auraient été mentionnées dès 1697 selon l'Armorial des communes vaudoises<ref name=Armorialcommunes/>.

Autorités

Municipalité

Autorité exécutive, la municipalité est composée de cinq membres. Ces derniers sont élus par le corps électoral tous les cinq ans. La Municipalité (2016-2021) est composée de Georges Rime (syndic), Nicole Baudet (vice-présidente), Valérie Induni, Claude Moinat et Bernard Ebener<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Conseil communal

Autorité avec compétence législative et fonction de surveillance, le conseil communal est constitué de cinquante-cinq membres, également élus tous les cinq ans. Cette autorité siège cinq à six fois par année, les séances se déroulent à la Maison de Ville et sont publiques<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Depuis la législature 2016-2021, le conseil communal est constitué de membres élus selon le scrutin proportionnel décidé le Modèle:Date- par les électeurs vaudois pour l'ensemble des communes de plus de Modèle:Nombre (art. 144 de la Constitution vaudoise<ref>Modèle:Lien web.</ref>). Les forces en présence sont : Ensemble pour l'Ouverture, l'Entente de Cossonay et le Parti Libéral-Radical (PLR).

Histoire

Lors de fouilles archéologiques, on a découvert des vestiges d'une villa gallo-romaine, et l'on sait qu'une route romaine passait dans ce secteur<ref name=Web2Cossonay/>.

Domination des sires de Cossonay

Uldrich (Uldricus de Cochoniaco), seigneur de Cossonay, donne en 1096 l'église du lieu au couvent de Romainmôtier<ref name=Linder/>.

Humbert {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}, qui succède à Uldrich, est à la fois seigneur de Cossonay et de Prangins. Il fonde le prieuré de Cossonay. À la même époque est cité le château fort, l'un des plus importants de la région.

Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Jean {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}, petit-fils d'Humbert, étend ses terres jusqu'à Bercher. Il devient alors l'un des seigneurs les plus puissants du Pays de Vaud. À sa mort, l’aîné de ses cinq enfants, Humbert II, hérite de Cossonay, tandis que son fils cadet reçoit Prangins<ref name=Charriere1845/>.

En 1246, Humbert II donne à Jean, évêque de Lausanne, les terres de Nyon et de Promenthoux<ref>Modèle:DHS (Consulté le Modèle:Date-).</ref>.

Jean II, petit-fils d'Humbert II, est sire non seulement de Cossonay, mais aussi de Bercher, de L’Isle et de Surpierre<ref name=Charriere1845/>.

Louis II de Cossonay, arrière-petit-fils de Jean II, a plus de trente-cinq vassaux et possède des fiefs dans de nombreux villages (voir Famille de Cossonay)<ref name=Charriere1845/>.

Jeanne, épouse du chevalier Jean Rougemont et héritière des sires de Cossonay, concède en Modèle:Date- des franchises aux habitants de Cossonay<ref name=Charriere1847A/>. En contrepartie, ils doivent entretenir les fossés, les tours et les murs de la ville. Les habitants de Bettens, de Pampigny et de Cottens, villages dépendant alors de Cossonay, ont également à participer aux travaux et aux frais<ref name=Charriere1847B/>.

La puissante dynastie de Cossonay s’éteint en 1406, à la disparition de Jeanne de Cossonay et de son mari Jean de Rougemont. Le comte d'Amédée VIII de Savoie et Thiébaut de Rougemont, archevêque de Besançon se disputent alors les terres de la seigneurie. L'évêque de Lausanne, Guillaume de Challant, arbitre le litige et adjuge en 1421 ces domaines au comte Amédée de Savoie<ref name=Charriere1847C/>.

Domination immédiate de la Maison de Savoie

Lorsque Cossonay passe à la Maison de Savoie au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la communauté urbaine reçoit encore de nombreux avantages et devient l'une des villes les plus importantes du pays, mais doit contribuer aussi aux frais de guerre du nouveau maître<ref name=Charriere1847/>.

En 1475, lors de la guerre de Bourgogne, les Bernois et les Fribourgeois incendient la ville et son château<ref name=Linder/>.

Domination bernoise

En 1536, les Bernois envahissent le Pays de Vaud et imposent la Réforme protestante. On détruit alors les autels de l’église et les autorités de la ville reçoivent une part des biens de l'Église<ref name=WebCossonay/>. Le prieuré est abandonné, mais les fortifications sont rénovées au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. En 1560, lorsque Berne se prépare à une guerre contre le duc de Savoie Emmanuel-Philibert, de grandes concentrations militaires ont lieu à Cossonay et à Morges.

En septembre 1565, la peste sévit dans la ville. Les malades sont transportés à la chapelle Notre-Dame, sur le site de l'actuel cimetière<ref name=Charlet/>.

La seigneurie passe en diverses mains, jusqu’à parvenir en 1693 aux Delessert<ref name=Linder/>, une famille qui joue de longue date un rôle important dans cette communauté urbaine. Jean-Jacques Delessert y est nommé gouverneur<ref>Modèle:DHS consulté le 22.12.1014.</ref>.

Grâce aux concessions faites par le gouvernement de Berne, les bourgeois de Cossonay peuvent gérer les fiefs de la ville dès 1702<ref name=Web2Cossonay />.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Après la Révolution vaudoise de 1798, Vaud devient canton suisse. Dès 1803, Cossonay est chef-lieu du district du même nom<ref name=WebCossonay/>.

Les foires et les marchés sont importants. La foire de Cossonay se nomme aujourd'hui « l'Expo de Coss »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Époque contemporaine

En 1910, Cossonay compte Modèle:Unité pour Modèle:Nobr. Cent ans après, la population a presque triplé ; elle est de Modèle:Unité en 2010<ref name=Chabanel/>.

Dès le Modèle:Date-, les districts vaudois sont remaniés. Cossonay et plusieurs villages voisins sont rattachés au district de Morges. Le reste du territoire rejoint le district du Gros-de-Vaud.

Patrimoine bâti

Fichier:Cossonay - Temple.jpg
Temple de Cossonay.
Fichier:CH-ACV AMH-C-1332.jpg
Intérieur de temple
Photo Eugène Würgler.

Lieux de culte

Cossonay possède une remarquable église d’origine médiévale, aujourd’hui temple protestant.

La chapelle catholique Saint-Pierre et Saint-Paul (chemin du Passoir 5) a été construite en 1964 par les architectes Bruno Schmid et Richard Knecht<ref name=GAS/>. Elle accueille les fidèles de Senarclens, Grancy, Dizy, Lussery-Villars et Gollion Modèle:Coord<ref>Université de Berne, base de données sur l'architecture religieuse moderne en Suisse (https://www.schweizerkirchenbautag.unibe.ch/moderner_kirchenbau/index_ger.html).</ref>.

Fichier:Cossonay sous la neige.jpg
Cossonay sous la neige.

Prieuré

Le prieuré de Cossonay a été fondé par Humbert {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. À l’introduction de la Réforme protestante, le prieuré est sécularisé et passe finalement aux mains de la famille Delessert<ref name=Linder/>. Dès 1803, soit à l’ère cantonale, le site abrite la prison de district. Cette fonction perdure jusqu'en 1970. À la suite d'un incendie, il est converti en habitations.

Château médiéval

L’ancienne forteresse médiévale, autrefois siège des puissants seigneurs de Cossonay, a aujourd’hui entièrement disparu. Elle se situait à l'angle nord-est de la ville, à côté du prieuré et n’est connue que par des fouilles archéologiques<ref name=Web2Cossonay/>.

Château Delessert

Ce château classique se trouve à droite en montant les côtes de Cossonay depuis la gare de Cossonay-Penthalaz. Cette maison de maître a appartenu à la famille Delessert, détentrice la seigneurie de Cossonay dès la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Fichier:Château de Cossonay.JPG
Le « château » de Cossonay.

En 1693, en effet, Jean-Jacques Delessert achète ici une propriété qui dépendait sans doute anciennement du prieuré (fenêtre gothique de l’aile nord-est). Vers la fin Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Benjamin Delessert fait reconstruire l’ensemble dans le style classique, appliquant son monogramme sur les ferronneries du balcon. Le bâtiment annexe, à arcades, est daté 1781<ref name=KFS/>.

Lorsque Cossonay était encore un district, le château abritait les locaux administratifs. Aujourd’hui, l’édifice comporte des habitations.

Auberge du Cerf

L’auberge du Cerf (rue du Temple 10), était l’ancienne maison de ville, celle-ci comportant également, comme cela arrivait fréquemment, un établissement public. Ce bel édifice, construit en 1664-1668 par des maçons neuchâtelois, a été augmenté d’un nouveau corps de logis en 1790. Le bâtiment a conservé au rez-de-chaussée sa structure à arcades en plein cintre sur colonnes à chapiteaux, ainsi que son bel escalier à paliers voûtés d’arêtes<ref name=GAS/>.

Hôtel de ville

L’actuel hôtel de ville (rue du Temple 9) a été bâti en 1826-1831 d’après les plans de l’architecte Jean-Siméon Descombes. Il est implanté sur le site des anciennes halles de Cossonay. Ce sobre édifice néoclassique, au rez-de-chaussée largement ouvert d’arcades, appartient à la typologie très caractéristique des maisons de commune servant également de marché couvert<ref name=GAS/>.

Cure

La cure (chemin du Prieuré 3), bâtiment cossu de 1756-1779, a été construit selon les plans de l’architecte lausannois Gabriel Delagrange<ref name=Cures/>.

Ancien hôpital puis école

L’ancien hôpital, puis école (rue de la Placette 13) était initialement une maison privée, reconstruite vers 1552. L’immeuble subit des transformations en 1793, servant alors d’hôpital. On y établit l’école dès 1835. Ce vaste édifice affiche depuis lors, en toiture, un clocheton d’aspect baroque, bâti en 1785 et provenant de l’ancienne porte de l’hôpital. En 1909, le rez-de-chaussée est transformé en abattoir par l’architecte Francis Isoz. C'est le lieu de naissance du controversé Conseiller Fédéral Marcel Pilet-Golaz<ref name=GAS/>.

Grand-Rue 7

Grand-Rue 7. Cette imposante maison d’habitation a été reconstruite après un incendie en 1742. On y installe le collège en 1793, puis l’édifice est transformé en auberge en 1832-1835, avec réfection de la façade sur rue et construction du majestueux perron<ref name=GAS/>.

Collège

Collège (rue Neuve 1). Cette ancienne maison d’habitation, construite vers 1798, a été transformée en 1873 en collège, selon les plans de l’architecte lausannois Auguste Mauerhoffer<ref name=GAS/>.

Culture

Théâtre

Le théâtre du Pré-aux-Moines (PAM), situé dans le complexe scolaire et communal du même nom, présente, durant la saison culturelle qui s’étend d’octobre à avril, une quinzaine de spectacles différents. Principalement humour, musique, théâtre, et comédie musicale. La capacité de la salle est de Modèle:Nobr assises. Durant l'été 2008, le groupe Genesis a fait quelques répétitions dans ce théâtre avant sa tournée mondiale.

Cinéma

Le cinéma casino de Cossonay projette des films depuis le début des années 1900. Ce petit cinéma de Modèle:Nobr possède une programmation variée pour accueillir les habitants de la région ainsi que les différents clubs tels que le Ciné-Club Coss, le Ciné-Seniors « Regards 9 » ou encore la Lanterne Magique<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="CINEMA-VRAC">Modèle:Lien web.</ref>.

Musique

Cossonay possède une école de musique depuis 1976. Celle-ci accueille plus de quatre cents élèves pour des cours de quinze instruments différents. Chaque année, elle organise des auditions, des concerts, des ateliers de musique ainsi que des examens<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Presse

Cossonay possède son journal, nommé Journal de Cossonay. Fondé en 1896, il est distribué tous les vendredis. Les articles concernent la vie associative, politique, sportive et économique de la région<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Gastronomie

Le restaurant du Cerf est un restaurant gastronomique se situant à Cossonay. Christine et Carlo Crisci sont aux commandes de ce lieu depuis plus d'une trentaine d'années. Le site possède deux étoiles au guide Michelin<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Manifestations

Le comptoir de Cossonay, nommé « Expo de Coss », a lieu chaque année, en octobre, et réunit plus de cent exposants<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Du 12 au Modèle:Date-, la jeunesse de Cossonay a reçu le giron du pied du Jura sous le thème de noël<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Sport

La commune accueille de nombreux clubs de sport tels que le basket, le cricket, le volley, le football, la course à pied, le cyclisme, l'équitation (Allens), la moto, la gymnastique, la pétanque, le tennis et le tir. On y trouve aussi un parcours vita dans les Bois du Sepey<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 2013, la construction d'une salle polyvalente a commencé. Celle-ci a été inauguré en mai 2015 mais est déjà utilisée par les écoles et les sociétés locales depuis octobre 2014<ref>Modèle:Article.</ref>.

Éducation

Concernant la petite enfance, on y trouve des garderies, des mamans de jour, ainsi qu'un lieu d'accueil pour les petits de Modèle:Nobr qui a lieu à la Maison Bleue afin qu'ils se rencontrent, accompagnés de leurs parents<ref name=":8">Modèle:Lien web.</ref>.

Pour les enfants de la Modèle:1re à la Modèle:6e (Harmos), des classes sont ouvertes dans plus de dix villages des alentours dont Cossonay<ref name=":8" />. Tous ces établissements sont gérés par un seul secrétariat qui se trouve à Penthalaz et dont le directeur est Pierre Déjardin<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L'école du Pré-aux-Moines à Cossonay accueille les élèves de plus de douze communes de la 7 à la Modèle:11e (Harmos). Il y a également quelques classes de 7 et Modèle:8e qui sont scolarisées à Penthalaz avant de terminer leur scolarité à Cossonay<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Tous les élèves de la 7 à la Modèle:11e (Harmos) sont gérés par le secrétariat de Cossonay qui a pour directeur Jean-François Borgeaud<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Réserve naturelle

Cossonay a un étang se nommant l'étang du Sépey. Il a été créé en 1954. Sa taille est composée de deux étendues d'eau faisant Modèle:Unité réunis. La réserve de cet étang se trouve dans un bois sur la route reliant Cossonay et L'Isle. L'étang du Sépey est un site de reproduction de batraciens d’importance nationale (Modèle:Unité). Celui-ci contient également plus de cents espèces d'oiseaux différentes, une flore très dense, ainsi que plus de trente espèces de mammifères<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Transports

Réseau ferroviaire

La gare de Cossonay-Penthalaz est située dans la commune de Penthalaz sur les lignes ferroviaires reliant Lausanne à Yverdon-les-Bains (Ligne du Pied-du-Jura) et Lausanne à Vallorbe<ref name=Transports/>. Le funiculaire de Cossonay, près de la gare, permet ensuite de relier Cossonay.

Réseau routier

Cossonay est relié au réseau autoroutier avec l'autoroute A1, reliant Lausanne à Yverdon. La sortie 20 dessert Cossonay même ainsi que les villages voisins<ref name=Transports/>.

Le village est aussi accessible par la Route principale 9 depuis Lausanne et Vallorbe ainsi que par des routes moins importantes venant de Morges, Aubonne, l'Isle, Lussery-Villars et Dizy<ref name=Transports/>.

Réseau de bus

Le village de Cossonay est desservi par le réseau de bus de Morges (MBC). Deux lignes de cars relient Cossonay à Morges, via Cottens ou via Aclens. Il y a également une ligne qui relie Le Pont à Morges en passant par Cossonay. Une dernière ligne raccorde la gare de Cossonay-Penthalaz à l'Isle et passe à Cossonay<ref name=Transports/>.

Funiculaire

Le funiculaire de Cossonay relie Cossonay-Penthalaz et Cossonay-Ville depuis 1897<ref name=Transports/>.

Notes et références

<references>

<ref name=DTCS>Dictionnaire toponymique des communes suisses (Centre de dialectologie, Université de Neuchâtel), Frauenfeld, Lausanne 2005, Modèle:P..</ref> <ref name=Armorialcommunes>Armorial des communes vaudoises, Lausanne 1972, Modèle:P..</ref> <ref name=KFS>Modèle:Ouvrage.</ref> <ref name=GAS>Modèle:Ouvrage.</ref> <ref name=Cures>Modèle:Ouvrage.</ref> <ref name=WebCossonay>Modèle:Lien web.</ref> <ref name=Web2Cossonay>Modèle:Lien web.</ref> <ref name=Charriere1845>Modèle:Ouvrage.</ref> <ref name=Charriere1847>Modèle:Ouvrage.</ref> <ref name=Charriere1847A>Modèle:Ouvrage.</ref> <ref name=Charriere1847B>Modèle:Ouvrage.</ref> <ref name=Charriere1847C>Modèle:Ouvrage.</ref> <ref name=Charlet>Fernand Charlet, Cossonay, Un bourg, Une dynastie, Société de développement 1304, Cossonay.</ref> <ref name=Linder>Modèle:Ouvrage.</ref> <ref name=Chabanel>Modèle:Ouvrage.</ref> <ref name=Transports>Modèle:Lien web.</ref> </references>

Liens externes

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