Léopard de mer
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Le léopard de mer (Modèle:Langue) est un mammifère carnivore de la famille des phocidés et représente actuellement la seule espèce du genre Modèle:Langue. Décrit pour la première fois en 1820 par le zoologiste et anatomiste français de Blainville, il fait partie des cinq espèces de phoques présentes en Antarctique.
Puissant et imposant Modèle:Incise, il doit son nom de léopard aux petites taches sombres qui couvrent son corps et à sa vie de prédateur. Craintif et solitaire dans son aire de vie faisant partie des lieux les plus inhospitaliers au monde, les observations et son étude scientifique sont difficiles. C'est pourquoi les biologistes ne connaissent pas suffisamment son mode de vie et son effectif qu'ils estiment à environ Modèle:Nombre. Bien que le krill et les juvéniles d'autres espèces de phoques constituent sa principale nourriture, il est renommé pour sa férocité envers les manchots qui constituent également son alimentation. Il surprend également l'observateur par ses allures reptiliennes et par des comportements extrêmement vifs. Malgré cette réputation, le léopard de mer, qui est avant tout un animal sauvage, s'avère davantage curieux que dangereux et on note très peu d'attaques recensées envers l'homme.
Bien que l'espèce ne soit pas visée par la pêche ni considérée comme menacée, elle est citée dans la Convention pour la protection des phoques de l'Antarctique (CPPA). Son image du plus puissant prédateur du continent antarctique Modèle:Incise est reprise au cinéma où il apparaît comme le « grand ennemi du manchot ».
Étymologie et dénomination
Son nom de léopard provient de ses petites taches sombres qui couvrent son corps et à sa vie de puissant prédateur, qui rappellent l'espèce de félin éponyme. Il est aussi appelé « phoque-léopard »<ref name="CNRS"/> et Jean-Baptiste Charcot le nomme léopard de mer<ref name="CNRTL"/> ou phoque aux petits ongles<ref name="Charcot"/>. Quant à Robert Jameson, il l'appelle « veau marin léopard »<ref name="Jameson"/>.
Dans de nombreuses langues, ce phoque est nommé avec les termes « léopard » et « mer » comme en anglais, Modèle:Langue (ou Modèle:Langue), en allemand, Modèle:Langue ou bien en espagnol, Modèle:Langue (ou Modèle:Langue).
Le nom du genre, Modèle:Langue, provient d'une association du grec ancien Modèle:Langue (hydro) et du verbe latin Modèle:Langue (pousser en avant, faire avancer) que l'on peut traduire par « déplacement par poussée d'eau » ; la dénomination spécifique, Modèle:Langue, est une combinaison du préfixe grec Modèle:Langue (lepto) et du mot Modèle:Langue (onux) et signifie « griffe (ou ongle) mince ».
Description
Taille et poids
Des cinq espèces de phoques présentes en Antarctique<ref name="5 phocidés" group="Note"/>, c'est la plus grande après l'Éléphant de mer du sud (Modèle:Langue). Fait rare chez les mammifères, les femelles adultes sont généralement plus grandes et plus lourdes que les mâles adultes. Elles mesurent en moyenne Modèle:Unité pour un poids moyen de Modèle:Unité, le record étant détenu par le cas rare d'une femelle mesurant Modèle:Unité et pesant Modèle:Unité. Les mâles, quant à eux, mesurent de 2,8 à Modèle:Unité pour un poids moyen de Modèle:Unité<ref name="Hadoram"/> mais malgré cet écart, ce n'est pas suffisant pour bien marquer leur dimorphisme sexuel.
Morphologie générale
Proche du Phoque de Weddell (Modèle:Langue) et plus particulièrement du Phoque crabier (Modèle:Langue) au stade juvénile, il s'en distingue nettement par sa large tête et ses imposantes mâchoires ainsi que par son pelage sombre et tacheté. Par son long et puissant corps effilé, il se démarque des autres phoques corpulents et gras, ce qui lui donne des apparences d'animal reptilien, presque de serpent, mises en exergue par sa locomotion par reptation, son long museau, sa large mâchoire ainsi que ses « petits » yeux noirs<ref name="MMW"/>. Il a la particularité d'avoir son dos bombé approximativement au centre de son corps, fait qui est la conséquence d'un large thorax. La livrée est d'un ton foncé bien prononcé, variant du noir au gris bleu-argenté mais s'éclaircit nettement à partir de ses flancs où toute sa partie ventrale, de sa tête à sa queue, est de couleur gris foncé à gris clair et présente des tâches de différentes tailles sombres grises et/ou noires. Comme tous les phoques, les léopards de mer possèdent des membres postérieurs atrophiés où seules les extrémités se sont développées pour former une nageoire caudale. Ses deux nageoires pectorales sont longues et fines<ref name="Amapof"/>. Son cou est dans le prolongement de son corps et ne démarque pas la tête, imposante, qui ne possède pas de front marqué. Sa grande et large mâchoire possède une dentition composée de 16 dents particulières, spécifiques et complexes car elles lui permettent à la fois de filtrer l'eau afin de garder le krill antarctique à l'instar des fanons et également de s'en servir dans son rôle de carnassier grâce à de puissantes canines longues de Modèle:Unité<ref name="FAO"/>. Par ailleurs, sa formule dentaire est I 2/2, C 1/1, PC 5/5<ref name="MMW"/>,<ref name="Dents" group="Note"/>.
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Un léopard de mer qui, par sa gueule ouverte, laisse apparaître ses dents caractéristiques.
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Une photographie d'un léopard de mer sur un iceberg où l'on apprécie sa nageoire pectorale droite et sa nageoire caudale.
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Un léopard de mer au repos observé en Péninsule antarctique proche de l'île Dundee.
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Une femelle léopard de mer protégeant son petit.
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Détail d'un crâne de léopard de mer.
Écologie et comportement
Reproduction et cycle de vie
Les mâles atteignent la maturité sexuelle entre trois et six ans et les femelles entre deux et sept ans<ref name="Hadoram"/>. Animal solitaire, il n'existe ni site de reproduction ni colonie comme on peut trouver chez l'Éléphant de mer du sud. Il semble que l'accouplement se fasse dans l'eau. La gestation dure neuf mois, les premières naissances surviennent sur la banquise à partir de septembre avec un pic entre novembre et décembre<ref name="Hadoram"/>. La femelle donne naissance à un petit d'environ Modèle:Unité et mesurant jusqu'à Modèle:Unité de longueur<ref name="ADW"/>. L'allaitement dure un mois, durant lequel la femelle se trouve seule à élever son petit. On observe à de très rares occasions la présence du mâle, mais celui-ci n'a jamais été vu apporter protection et soin à sa progéniture<ref name="Hadoram"/>,<ref name="ADW"/>. La longévité de ces animaux est de vingt ans, mais certains peuvent dépasser vingt-six ans<ref name="AAD"/>.
Comportement et alimentation
Le léopard de mer est un prédateur opportuniste<ref name="CNRS"/> et il est considéré comme le plus féroce des phoques de l'Antarctique<ref name="AntCon"/>. Il se nourrit principalement de krill et de jeunes phoques, dont la part dans son alimentation est estimée respectivement à 45 % et 35 %<ref name="ADW"/>. En effet, sa taille lui permet de s'attaquer à des otaries et des juvéniles des espèces de phoques courantes en Antarctique comme le phoque de Weddell, le phoque crabier mais aussi l'éléphant de mer du sud et l'otarie antarctique<ref name="Marinebio"/>. Il s'attaque également à tous les types d'oiseaux aptères (gorfous et manchots) mais, contrairement à la culture populaire, ce n'est pas sa principale proie puisqu'ils ne constituent que 10 % de l'ensemble de son régime alimentaire<ref name="ADW"/>. Mais certaines observations indiquent que ces oiseaux pourraient être son mets favori : quatre léopards de mer ont été observés manger Modèle:Nombre manchots Adélie en l'espace de 15 semaines, soit environ 35 manchots par jour, par léopard, et les restes de 16 manchots adultes ont été trouvés<ref name="Antarctica"/> dans l'estomac d'un léopard de mer capturé. Son régime alimentaire est également composé de poissons, de céphalopodes — consommation estimée à 10 %<ref name="ADW"/> — et très occasionnellement les restes d'une carcasse de cétacé<ref name="UICN"/>. Malgré cette diversité de proies, le léopard de mer n'est pas pour autant un superprédateur et peut être la proie des orques (Modèle:Langue) et des grands requins blancs (Modèle:Langue)<ref name="CNRS"/>.
C'est un animal solitaire qui peut pratiquer différents types de chasse : assaut sur la glace, poursuite en mer, chasse à l'affût comme celle du crocodile. Une fois qu'un manchot est capturé, il est tué, pelé puis dépecé avant d'être mangé<ref name="Antarctica"/>. Très habile et véloce dans l'eau, sa locomotion l'est beaucoup moins sur la glace sur laquelle il se déplace par reptation tel un serpent<ref name="Hadoram"/>. Puissant, il est capable de sauter hors de l'eau jusqu'à Modèle:Unité de hauteur avec une vitesse de six mètres par seconde<ref name="Antarctica"/>. Souvent craintif comme la plupart des animaux sauvages face à l'homme, il peut être curieux et s'approcher des embarcations avec lesquelles il montre quelquefois des comportements agressifs sans pour autant être un animal dangereux<ref name="Hadoram"/>. On reconnaît l'animal à sa tête imposante et massive qu'il laisse bien souvent hors de l'eau lorsqu'il nage près de la surface<ref name="Hadoram"/>.
L'animal possède tout un registre de sons de basses et longues fréquences comme des gémissements, des grognements, des gargarismes ou bien des souffles et des variations gutturales d'alarme, qu'ils utilisent aussi bien dans l'eau qu'en dehors<ref name="Hadoram"/>.
Habitat et aire géographique
Pélagique, le léopard de mer vit dans les eaux froides des océans de l'hémisphère Sud, principalement dans l'océan Austral, l'Atlantique Sud et le Pacifique Sud.
Son aire géographique est large puisqu'on le trouve sur tous les abords côtiers de l'Antarctique et ceux des îles sub-antarctiques. Toutefois il est rare de l'observer au-delà du [[78e parallèle sud|Modèle:78e sud]]<ref name="Hadoram"/>. Il vient y chercher une abondante nourriture durant l'été austral, c'est pourquoi il n'est pas rare de voir un ou deux individus à proximité d'une rookerie d'oiseaux aptères. Les jeunes plus particulièrement migrent au nord du [[60e parallèle sud|Modèle:60e sud]] durant l'hiver austral tandis que les plus âgés préfèrent rester près de la banquise hivernale<ref name="Antarctica"/>. On l'observe en Terre de Feu, en Patagonie, en Afrique du Sud, en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Tasmanie et exceptionnellement sur l'archipel Tristan da Cunha, sur l'île Lord Howe, sur l'Île Cook et l'archipel Juan Fernández<ref name="Hadoram"/>. C'est un visiteur de la Géorgie du Sud et de l'ensemble des îles sub-antarctiques<ref name="Hadoram"/>. Animal pagophile<ref name="Pagophile" group="Note"/>, on l'observe, inactif, davantage sur la banquise, les icebergs et les parties glacées que sur la terre ferme ou des rochers dénudés de glace<ref name="Antarctica"/>.
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Un léopard de mer sur un iceberg dérivant sur le chenal Lemaire (péninsule Antarctique).
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Un léopard de mer se reposant sur des petits icebergs appelés bourguignons ou growlers.
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Un léopard de mer nageant dans un champ de kelp géant (Macrocystis pyrifera) en Géorgie du Sud.
Population
Les données de recensement de cette espèce sont très difficiles à établir compte tenu de la vie solitaire et de son aire de distribution située dans les régions les plus isolées et les plus difficiles d'accès. Toutefois l'étude Scheffer en 1958 estime sa population entre Modèle:Unité et celle de Laws en 1984, entre Modèle:Unité<ref name="UICN"/> — voire entre Modèle:Unité en 1980<ref name="Hadoram"/> —. Une étude plus récente en 1990 recense quant à elle Modèle:Nombre<ref name="UICN"/>.
Systématique
Taxinomie
Déjà connue sous le nom de « léopard de mer » par les pêcheurs des mers du Sud<ref name="Ebooks"/>, l'espèce est scientifiquement décrite pour la première fois en 1820 dans le Journal de physique, de chimie, d'histoire naturelle et des arts par le zoologiste et anatomiste français Henri-Marie Ducrotay de Blainville, sous le protonyme de Modèle:Langue. Cette description a été réalisée à partir d'un crâne trouvé en Géorgie du Sud par une expédition anglaise en 1788 dirigée par William Kearn et étudiée par Blainville en 1819 au Collège royal de chirurgie de Londres<ref name="Blainville"/>,<ref name="Zoology"/>. On retrouve également la description de ce squelette par Sir E. Home en 1822 dans Modèle:Langue, la revue scientifique de la Royal Society<ref name="Zoology"/>. À l'occasion de l'expédition vers le pôle Sud de James Weddell<ref name="Weddell" group="Note"/>, une autre description de l'animal est faite par le capitaine Jameson sous le simple nom de Modèle:Langue. L'animal est alors considéré comme différente de l'espèce telle que décrite par de Blainville<ref name="Zoology"/>. Frédéric Cuvier déplace en 1826 le Modèle:Langue de Blainville pour un genre nommé Modèle:Langue, qu'il partage un temps avec le phoque de Weddell en raison de ses dents tricuspides<ref name="Webb"/>. Ce genre qui signifie en grec ancien « museau court » a même été utilisé pour désigner certaines grenouilles, mais est désormais réservé à des crabes.
Phylogénie
Parmi les phocidés, la famille des phoques « vrais » ou « sans oreilles », le léopard de mer appartient à la sous-famille des Monachinae et est placé dans la tribu des Lobodontini, les lobodontinés, parfois nommés « phoques antarctiques ». Cette tribu comprend également le Phoque de Ross (Modèle:Langue), le Phoque crabier (Modèle:Langue), le Phoque de Weddell (Modèle:Langue) et auxiliairement le genre fossile Modèle:Langue. Les relations phylogénétiques exactes entre les quatre espèces actuelles ne sont pas encore connues<ref name="Mikko"/>. Le genre Modèle:Langue est monotypique, en 2010 aucune espèce fossile n'y a encore été décrite.
Le léopard de mer et l'homme
Statut de conservation
L'espèce n'est pas considérée comme menacée par l'UICN puisqu'elle classe l'espèce comme « préoccupation mineure » (LC) dans sa liste rouge depuis 1996<ref name="UICN"/>. L'espèce n'est pas citée dans les annexes de la CITES. La Modèle:Langue (SAREM) considère que les données de l'espèce sont insuffisantes pour estimer son statut de protection. Cité dans la Convention pour la protection des phoques de l'Antarctique (CPPA), le léopard de mer peut être tué et capturé dans la limite de Modèle:Nombre par an, ce chiffre étant révisable chaque année par les pays membres<ref name="ATS"/>.
Danger pour l'homme
Le léopard de mer peut s'attaquer à l'homme mais les cas sont rares. Thomas Orde-Lees, membre de l'expédition Endurance d'Ernest Shackleton, fut attaqué puis poursuivi par un léopard de mer alors qu'il skiait sur la banquise. Orde-Lees réussit à s'en sortir et l'animal fut abattu par Frank Wild, le second de Shackleton, qui intervint à la suite des cris de son compagnon<ref name="NatGeo"/>. Gareth Wood, lors de l'expédition antarctique « Sur les traces de Scott » en 1985, a été saisi violemment à la jambe par un léopard de mer alors qu'il marchait sur la banquise. Il a été libéré par ses compagnons à coups de crampons assenés sur la tête de l'animal<ref name="PBS"/>. Seulement connu pour son agressivité ainsi que pour mordre les embarcations pneumatiques<ref name="NatGeo"/>, c'est le Modèle:Date que le premier cas mortel survient. Une biologiste qui faisait de la plongée libre en Antarctique meurt noyée<ref>Modèle:Lien web</ref> après avoir été saisie et entraînée au fond de l'eau par l'animal<ref name="Zweiacker"/>. Âgée de 28 ans, Kirsty Brown appartenait à une équipe du British Antarctic Survey (BAS) de la base Rothera située sur la péninsule Antarctique<ref name="NatGeo2"/>. Le léopard de mer est considéré comme le plus puissant prédateur du continent antarctique à l'instar du grizzly en Amérique du Nord ou du lion en Afrique. Le cinéaste Göran Ehlmé qui ne s'étonne pas de cette réputation, témoigne : Modèle:Citation tout en estimant que l'animal est davantage curieux que dangereux<ref name="NatGeo"/>. Cependant par mesure de précaution, le BAS interdit toute plongée et exige que les plongeurs sortent de l'eau lorsqu'un léopard de mer est aperçu à proximité des embarcations<ref name="NatGeo"/>.
Le léopard de mer dans la culture
Littérature
Le léopard de mer n'est pas seulement décrit dans les ouvrages scientifiques liés à la faune de l'Antarctique, il apparaît également dans les récits d'exploration et d'aventure. Le capitaine Joseph J. Fuller dans Le Maître de la Désolation explique lors de son exploration des îles Kerguelen les interactions entre les hommes et les léopards de mer que les premiers chassent et mangent et que les seconds attaquent par leur puissante mâchoire les embarcations. Jean-Baptiste Charcot décrit cet animal comme le « roi des phoques antarctiques » lors de ses rapports d'expéditions<ref name="Marthe"/>. Alors que ces hommes abattent un léopard de mer, il se sent mal à l'aise et écrit : Modèle:Citation<ref name="Charcot"/>. En 2006, lors de son voyage en Antarctique sur le voilier d'Isabelle Autissier, Erik Orsenna dans son livre Salut au Grand Sud décrit la rencontre avec Modèle:Citation<ref name="Stock"/>.
Cinématographie
L'animal est apparu dans les films et documentaires suivants :
- Antarctica de Koreyoshi Kurahara, 1983 ;
- Le léopard de mer, seigneur des glaces, un documentaire animalier de Jérôme Bouvier et Jean-François Barthod, 2003 ;
- La Marche de l'empereur, de Luc Jacquet, 2004 ;
- Antartica, prisonniers du froid (titre original : Modèle:Langue), de Frank Marshall, 2005 ;
- Happy Feet, de George Miller, 2006 ;
- Océans de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud, 2010 ;
- Le Brise-glace de Nikolaï Khomeriki, 2016.
Philatélie
Un timbre polonais de quarante złoty a été émis en 1987 sur lequel sont illustrés, au premier plan, deux léopards de mer et au second plan le navire Kapitan Ledochowski<ref name="Colnect"/>. Un timbre d'un réal brésilien a été émis en 2009 et commémore l'année polaire internationale (2008-2009). Il représente, à gauche, un léopard de mer et à droite, un ours blanc (Modèle:Langue)<ref name="TimbreBrésil"/>. Trois timbres des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) ont été émis représentant l'image du léopard de mer soit un de quatre francs de 1959, un de Modèle:Unité et un de Modèle:Unité de 1980<ref name="TimbresTAAF"/>.
Annexes
Articles connexes
- Phoque, espèces de la famille des Phocidae
- Faune de l'Antarctique
Bibliographie
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Australian Mammal Society, Modèle:Date-, volume 17. D. Rounsevell et D. Pemberton, The status and seasonal occurrence of leopard seals, Hydrurga leptonyx, in Tasmanian waters, Modèle:P.. Consultable en ligne sur Google livres.
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage - Page 673
- Modèle:Ouvrage
Références taxinomiques
- Modèle:MSW
- Modèle:Tolweb
- Modèle:CatalogueofLife
- Modèle:TPDB
- Modèle:Fr+en Référence ITIS : Modèle:Trim Hydrurga leptonyx (Blainville, 1820){{#ifeq:|nv| Non valide}}Modèle:Consulté le
- Modèle:WRMS espèce
- Modèle:ADW
Liens externes
- Modèle:UICN
- Modèle:NCBI
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Biologie du léopard de mer (Hydrurga leptonyx) sur le site de Samuel Blanc
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Fiche descriptive du léopard de mer (Hydrurga leptonyx) sur le site de la Seal Conservation Society (SCS)
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Fiche descriptive du léopard de mer (Hydrurga leptonyx) sur le site de la National Geographic
- Modèle:Pdf {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Rapport du British Antarctic Survey sur les interactions entre les hommes et les léopards de mer consultable en ligne sur le site de waterproof-expeditions.com
Liens multimédias
- Galerie de photos de léopards de mer sur la database du site de CalPhotos
- Galerie de photos de léopards de mer sur le site de David Barr
- Vidéo de la National Geographic consultable en ligne sur Conservationreport.com présentant le travail du photographe Paul Nicklen alors qu'il est sous l'eau en compagnie d'un léopard de mer
- Photos et vidéos de léopards de mer sur le site de ARKive