Corcoué-sur-Logne
Modèle:Infobox Commune de France
Corcoué-sur-Logne ([{{#ifeq:1|0|kɔʁ.kwe.syʁ.lɔɲ|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}}]) est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.
Le territoire de la commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais. Avant 1830, la commune était divisée entre trois paroisses : La Benâte, Saint-Étienne-de-Corcoué et Saint-Jean-de-Corcoué. À la veille de la Révolution, toutes trois faisaient partie des Marches communes de Bretagne-Poitou sur le plan temporel et du diocèse de Nantes sur le plan spirituel.
Les habitants de la commune s'appellent les Corcouéens.
Corcoué-sur-Logne comptait Modèle:Unité au recensement de Modèle:Dernière population commune de France.
Géographie
Corcoué-sur-Logne est située à Modèle:Unité au sud de Nantes, Modèle:Unité au nord de La Roche-sur-Yon, Modèle:Unité à l'ouest de Cholet et Modèle:Unité au sud de Saint-Nazaire.
Située en plein bocage armoricain, Corcoué-sur-Logne est traversée par la Logne qui coupe en deux bourgs l'agglomération centrale de Corcoué : Saint-Jean-de-Corcoué à l'ouest, Saint-Étienne-de-Corcoué à l'est ; à l'ouest de Saint-Jean-de-Corcoué se trouve le village de La Bénate. Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rocheservière », sur la commune de Rocheservière, mise en service en 1985<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Corcoué-sur-Logne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42 %), zones agricoles hétérogènes (31,8 %), cultures permanentes (10,6 %), forêts (7,2 %), prairies (4,5 %), zones urbanisées (3,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Corcoiacum en 1059, Corcoue en 1287<ref name="D&R">Modèle:Ouvrage.</ref>.
Il s'agit d'un type toponymique gallo-romain en -(i)acum, suffixe localisant à l'origine, puis marquant la propriété. Le premier élément Corcoi- représente l'anthroponyme latin Corcuius<ref name="D&R"/> qui se superpose au gaulois Curcus. La terminaison -é est la forme usuelle prise par -(i)acum dans l'ouest, y compris dans les parties de la Bretagne où le Breton n'a jamais été parlé.
Homonymie avec Courcoué (Indre-et-Loire, Curcue vers 1094, Corcoe en 1131)<ref name="D&R"/>.
La commune se trouve dans le domaine linguistique du poitevin. En gallo, la langue d'oïl de Haute-Bretagne, Corcoué a été baptisée Corcóaé (écriture ELG, prononcé Modèle:MSAPI)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Histoire
La commune de Corcoué-sur-Logne a été créée en 1971, de la fusion des communes de Saint-Jean-de-Corcoué<ref>Modèle:Cassini-Ehess</ref> et Saint-Étienne-de-Corcoué<ref name="Cassini"/>. L'ancienne commune de Saint-Jean-de-Corcoué était elle-même composée des paroisses de Saint-Jean-de-Corcoué et de La Bénate, fief d'une ancienne châtellenie, intégrée en 1830<ref>Modèle:Cassini-Ehess</ref>.
Les trois anciens villages
À la veille de la Révolution française, le territoire de la commune actuelle faisait partie des basses marches communes entre le Poitou et la Bretagne. Les trois paroisses de Saint-Jean-de-Corcoué, La Bénate et Saint-Étienne-de-Corcoué faisaient partie du diocèse de Nantes. Avant 1700, Saint-Étienne-de-Corcoué faisait partie du celui de Luçon.
Saint-Étienne-de-Corcoué
La paroisse de Saint-Étienne-de-Corcoué est citée sous l'appellation Sanctus Stephanus dans des textes du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Au sein des basses marches communes entre le Poitou et la Bretagne du Moyen Âge à la Révolution, elle a dépendu du diocèse de Luçon jusqu'en 1790, la constitution civile du clergé l'intégra au diocèse de la Loire-Inférieure (devenu diocèse de Nantes).
Saint-Jean-de-Corcoué
La paroisse de Saint-Jean-de-Corcoué est mentionnée dans les écrits dès 1059. Au sein des basses marches communes entre le Poitou et la Bretagne du Moyen Âge à la Révolution, elle dépendait du diocèse de Nantes.
La Bénate
La paroisse de La Bénate (anciennement La Bénaste, La Bénâte) est mentionnée dans des écrits du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (première mention en 1150). Elle devient au fil des siècles le siège d'une importante châtellenie, de taille considérable puisqu'elle va s'étendre sur Modèle:Nombre. Parmi celles-ci se trouvent des paroisses situées dans le pays des Marches Bretagne-Poitou :
- 26 placées presque tout entières sous sa juridiction, dont :
- 13 paroisses bretonnes : La Bénate, Saint-Jean-de-Corcoué, Saint-Étienne-de-Corcoué, La Limouzinière, Saint-Philbert-de-Grand-Lieu, Saint-Colomban, Vieillevigne,Saint-André-Treize-Voies, Touvois, Paulx, Bouaye, Saint-Aignan-Grandlieu, et Saint-Étienne-de-Mer-Morte,
- 13 paroisses poitevines : Saint-Philbert-de-Bouaine, Rocheservière, La Grolle, Montaigu,Saint-Sulpice-le-Verdon, Mormaison, Saint-Christophe-de-Chastruce, Remouillé, Legé,Saint-Pierre-du-Luc, Saint-Étienne-du-Bois,Grand'Landes et Saint-Paul-Mont-Penit ;
- le seigneur de La Bénate avait, en outre, quelques fiefs dans Modèle:Nobr paroisses plus éloignées : La Garnache, La Marne, La Trinité de Machecoul, Saint-Pierre de Bouguenais, Le Bignon, Haute-Goulaine et Monnières.
Le seigneur Renaud de La Bénate part en croisade en 1160.
La construction du château de La Bénate débute en 1383.
Révolution française
À la Révolution française, La Bénate dépend du canton de Legé, alors que Saint-Jean-de-Corcoué et Saint-Étienne-de-Corcoué dépendent de l'éphémère canton de La Limouzinière.
Lors de la création des départements français en 1790, les trois paroisses, devenues des communes, sont intégrées à la Loire-Inférieure.
La commune est fortement secouée par les guerres de Vendée avec le massacre de la Chapelle Notre-Dame-la-Blanche en 1794. La même année, l'église de La Bénate est incendiée.
Fusions et création de Corcoué-sur-Logne
La commune de La Bénate est rattachée à Saint-Jean-de-Corcoué le Modèle:Date sur décret de Modèle:Souverain2, et devient une paroisse succursale de Saint-Jean-de-Corcoué en 1839.
Saint-Jean-de-Corcoué et Saint-Étienne-de-Corcoué sont rattachés au canton de Legé au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Ce n'est qu'en 1971 que Saint-Jean-de-Corcoué et Saint-Étienne-de-Corcoué fusionnent pour devenir Corcoué-sur-Logne. En 1985, les trois anciennes paroisses (Saint-Jean-de-Corcoué, Saint-Étienne-de-Corcoué et La Bénate) n'en font plus qu'une seule.
Politique et administration
Ancienne châtellenie de La Bénate
Jarnigon et Geffroy de La Bénate, vivant au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, sont les premiers seigneurs connus de la châtellenie. La Bénate passe en 1189 à Guillaume de Clisson, époux de la dernière héritière Flavie de La Bénate, puis en 1232 à Olivier de Coché, époux de Pétronille de Clisson, fille de Flavie de La Bénate et de Guillaume de Clisson. Marquise de Coché, fille d'Olivier de Coché, l'apporte ensuite son époux, le capétien Olivier de Machecoul, qualifié de seigneur de La Bénate en 1265. Lui succèdent, de père en fils, Jean de Machecoul en 1285, Gérard de Machecoul, et Louis de Machecoul, qui ne laisse qu'une fille nommée Catherine. Catherine de Machecoul apporte La Bénate à son mari Pierre de Craon, qui la transmet à son fils Jean de Craon. La fille de ce dernier, Marie de Craon, devient baronne de Retz en épousant en 1404 Guy de Montmorency-Laval, dit Guy de Retz, baron de Retz. Leur fils Gilles de Retz hérite donc de la châtellenie de La Bénate à la mort de son grand-père maternel en 1432. À partir de cette époque, La Bénate appartiendra aux barons puis ducs de Retz ; elle sera cependant vendue un temps en 1437 par Gilles de Retz au duc Modèle:Souverain3, qui en fera don à son frère Arthur de Bretagne ; mais après la mort de Gilles de Retz en 1440, La Bénate reviendra à la fille de Gilles de Retz, Marie. Elle passera ensuite à René de Retz, frère cadet de Gilles de Retz, qui en rendra aveu en 1461. La châtellenie sera réunie au duché de Retz en 1581 et appartiendra aux ducs de Retz jusqu'à la Révolution française<ref>Corcoué-sur-Logne sur InfoBretagne.com.</ref>.
- De ???? à ???? : Fichier:Escutcheon to draw-fr.svg Jarnigon de La Bénate, seigneur de La Bénate
- De ???? à ???? : Fichier:Escutcheon to draw-fr.svg Geffroy de La Bénate, seigneur de La Bénate, apparenté au précédent
- De ???? à ???? : Fichier:Escutcheon to draw-fr.svg Renaud Agnel de La Bénate, seigneur de La Bénate, apparenté au précédent
- De ???? à ???? : Fichier:Escutcheon to draw-fr.svg ?????? de La Bénate, seigneur de La Bénate, fils du précédent
- De ???? à 1212 : Fichier:Escutcheon to draw-fr.svg Flavie de La Bénate (????-1212), dame de La Bénate, fille du précédent
- De 1189 à 1213 : Fichier:Blason Clisson.svg Guillaume de Clisson « le Vieux » (1180- 1213), seigneur de La Bénate (du chef de sa femme), mari de la précédente
- De 1213 à ???? : Fichier:Blason Clisson.svg Pétronille de Clisson, dame de La Bénate, fille des deux précédents
- De 1232 à ???? : Fichier:Escutcheon to draw-fr.svg Olivier de Coché, seigneur de La Bénate (du chef de sa femme), mari de la précédente
- De ???? à 1268 : Fichier:Escutcheon to draw-fr.svg Marquise de Coché (1235-1268), dame de La Bénate, fille des deux précédents
- De 1250 à 1279 : Fichier:Blason Maison de Machecoul.svg [[Olivier Ier de Machecoul|Olivier de Dreux dit Olivier {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Machecoul]] (1231-1279), seigneur de La Bénate (du chef de sa femme), mari de la précédente
- De 1279 à 1308 : Fichier:Blason Maison de Machecoul.svg Jean de Machecoul (1255-1308), seigneur de La Bénate, fils des deux précédents
- De 1308 à 1343 : Fichier:Blason Maison de Machecoul.svg Gérard de Machecoul (1278-1343), seigneur de La Bénate, fils du précédent
- De 1343 à 1360 : Fichier:Blason Maison de Machecoul.svg Louis de Machecoul (1316-1360), seigneur de La Bénate, fils du précédent
- De 1360 à 1410 : Fichier:Blason Maison de Machecoul.svg Catherine de Machecoul (1344-1410), dame de La Bénate, fille du précédent
- De 1360 à 1376 : Fichier:Ecu losangé d'or et de gueules.svg Modèle:Souverain3 (1315-1376), seigneur de La Bénate (du chef de sa femme), mari de la précédente
- De 1410 à 1432 : Fichier:Ecu losangé d'or et de gueules.svg Jean de Craon (1355-1432), seigneur de La Bénate, fils des deux précédents
- De 1432 à 1437 : Fichier:Blason Gilles de Rais.svg Gilles de Montmorency-Laval dit Gilles de Retz (vers 1405-1440), seigneur de La Bénate, petit-fils du précédent
- De 1437 à ???? : Fichier:COA fr BRE.svg Jean de Montfort dit Modèle:Souverain3 « le Sage » (1389-1422), seigneur de La Bénate, par achat au précédent
- De ???? à 1440 : Fichier:Blason Arthur III de Bretagne (1393-1425) comte de Richemont.svg Arthur de Montfort dit Arthur de Bretagne (1393- 1458), seigneur de La Bénate, frère du précédent
- De 1440 à 1457 : Fichier:Blason Gui II de Laval-Rais.svg Marie de Montmorency-Laval dite Marie de Retz (vers 1433 ou 1434-1457), dame de La Bénate, fille de Gilles de Retz (par restitution à la famille)
- De 1441 à 1450 : Fichier:Blason Famille de Coëtivi.svg Modèle:Souverain3 (1399-1450), seigneur de La Bénate (du chef de sa femme), premier mari de la précédente
- De 1451 à 1457 : Fichier:Blason André de Lohéac.svg André de Montfort-Laval (1408-1485), seigneur de La Bénate (du chef de sa femme), second mari de Marie de Retz
- De 1457 à 1473 : Fichier:Blason Gui II de Laval-Rais.svg René de Montmorency-Laval dit René de Retz (vers 1414 ?-1473), seigneur de La Bénate, oncle paternel de Marie de Retz
- De 1473 à 1481 : Fichier:Blason Gui II de Laval-Rais.svg Jeanne de Montmorency-Laval dite Jeanne de Retz (????-????), dame de La Bénate, fille du précédent
- De 1473 à 1481 : Fichier:Blason ville fr Chauvigny (Vienne).svg François de Chauvigny (1430-1491), seigneur de La Bénate (du chef de sa femme), mari de la précédente
- De 1481 à 1503 : Fichier:Blason ville fr Chauvigny (Vienne).svg André III de Chauvigny (????-1503), seigneur de La Bénate, fils des deux précédents
- De 1503 à 1524 : Fichier:Blason famille FRA Tournemine.svg Georges de Tournemine (????-1524), seigneur de La Bénate, cousin éloigné du précédent
- De 1524 à ???? : Fichier:Blason famille FRA Tournemine.svg Françoise de Tournemine (????-????), dame de La Bénate, fille du précédent
- De ???? à 1552 : Fichier:Blason ville fr Bailleul (Nord).svg Claude d'Annebault (1495-1552), seigneur de La Bénate (du chef de sa femme), mari de la précédente
- De 1552 à 1562 : Fichier:Blason ville fr Bailleul (Nord).svg Jean III d'Annebault (????-1562), seigneur de La Bénate, fils des deux précédents
- De 1562 à 1603 : Fichier:Blason Clermont-Tonnerre.svg Claude Catherine de Clermont (1543-1603), dame de La Bénate, seconde épouse et héritière douairière du précédent
- De 1565 à 1602 : Fichier:Blason Albert de Gondi (1522-1602).svg Albert de Gondi (1522-1602), seigneur de La Bénate (du chef de sa femme), second mari de la précédente
- De 1596 à 1634 : Fichier:Blason Henri de Gondi (1590-1659) Duc de Retz.svg Henri de Gondi (1590-1659), seigneur de La Bénate, petit-fils des deux précédents
- De 1634 à 1676 : Fichier:Blason Albert de Gondi (1522-1602).svg Pierre de Gondi (1602-1676), seigneur de La Bénate, cousin germain et gendre du précédent
- De 1676 à 1716 : Fichier:Blason Albert de Gondi (1522-1602).svg Paule-Marguerite Françoise de Gondi (1655-1716), dame de La Bénate, fille du précédent
- De 1676 à 1681 : Fichier:Blason fam fr Créquy-Blanchefort.svg François Emmanuel de Blanchefort-Créquy (1645-1681), seigneur de La Bénate (du chef de sa femme), mari de la précédente
- De 1716 à 1734 : Fichier:Blason fam FRA Neufville de Villeroy.svg [[Louis Nicolas de Neufville de Villeroy|Louis Modèle:Souverain- de Neufville-Villeroy]] (1663-1734), seigneur de La Bénate, petit-cousin de Paule-Marguerite Françoise de Gondi et arrière-petit-fils d'Henri de Gondi
- De 1734 à 1766 : Fichier:Blason fam FRA Neufville de Villeroy.svg Louis-François Anne de Neufville-Villeroy (1695-1766), seigneur de La Bénate, fils du précédent
- De 1766 à 1778 : Fichier:Blason fam FRA Neufville de Villeroy.svg Gabriel Louis François de Neufville-Villeroy (1731-1794), seigneur de La Bénate, neveu du précédent
- De 1778 à 1790 : Fichier:Blason famille fr Alexandre de Brie-Serrant.svg Clément Alexandre de Brie-Serrant (1748-1814), seigneur de La Bénate, par rachat au précédent
- De 1780 à 1790 : Fichier:Escutcheon to draw-fr.svg Auguste Thomas des Rotais, Joseph Gazel, Simon de Portnavaleau, Philippe de Biré, seigneurs de La Bénate, par démantèlement de la seigneurie et rachat au précédent
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Gilles de Montmorency-Laval dit « Gilles de Retz » (1404-1440), seigneur de La Bénate de 1432 à 1437.
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Jean de Montfort dit « Modèle:Souverain3 le Sage » (1389-1422), seigneur de La Bénate de 1437 à ????.
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Arthur de Montfort dit « Arthur de Bretagne » (1393-1458), seigneur de La Bénate de ???? à 1440.
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Modèle:Souverain3 (1399-1450), seigneur de La Bénate de 1441 à 1450.
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André de Montfort-Laval dit « André de Lohéac » (1408-1486), seigneur de La Bénate de 1451 à 1457.
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Claude d'Annebault (1495-1552), seigneur de La Bénate de 15?? à 1552.
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Modèle:Souverain- d'Annebault (????-1562), seigneur de La Bénate de 1552 à 1562.
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Claude Catherine de Clermont (1543-1603), dame de La Bénate de 1562 à 1603.
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Albert de Gondi (1522-1602), seigneur de La Bénate de 1565 à 1602.
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Henri de Gondi (1590-1659), seigneur de La Bénate de 1596 à 1634.
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Pierre de Gondi (1602-1676), seigneur de La Bénate de 1634 à 1676.
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Paule-Marguerite Françoise de Gondi (1655-1716), dame de La Bénate de 1676 à 1716.
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Louis-François Anne de Neufville-Villeroy (1695-1766), seigneur de La Bénate de 1734 à 1766.
Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ArbreModèle:Boîte déroulante/fin
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Modèle:Section à actualiser Selon le classement établi par l'Insee, Corcoué-sur-Logne fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme Modèle:Citation : 71 % des habitants résidaient dans des zones Modèle:Citation et 29 % dans des zones Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web, données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.</ref>.
Évolution démographique
La commune absorbe Saint-Jean-de-Corcoué en 1971.
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 37,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 20,6 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 52,18 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,58 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Patrimoine et culture
Lieux et monuments
- Menhir de la Pierre Folle à la Bénate, datant du Néolithique.
- Chapelle Notre-Dame-la-Blanche à Saint-Jean-de-Corcoué, datant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, où une quinzaine de personnes furent massacrées en 1794.
- Le manoir de Bayers, à Saint-Jean-de-Corcoué, construit par la famille de La Rochefoucauld-Bayers.
- Le château de la Grange, à Saint-Jean-de-Corcoué, remanié au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle par la famille de Goulaine.
Héraldique
Personnalités liées à la commune
- Robert de Goulaine (1933-2010), écrivain.
- Jacques Couturier (1924-2022), acteur, y est né et mort<ref>https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/nantes-necrologie-jacques-couturier-comedien-et-ex-directeur-de-la-maison-de-la-culture-3b8560ce-d853-11ec-8904-9cb8c32f5ee6</ref>.
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Ouvrage Modèle:Plume Modèle:Commentaire biblio
- Modèle:Ouvrage Modèle:Plume Modèle:Commentaire biblio