Villars-le-Terroir
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de Suisse
Villars-le-Terroir (Modèle:MSAPI) est une commune suisse du canton de Vaud, située dans le district du Gros-de-Vaud. La commune est peuplée de Modèle:Population suisse habitants en Modèle:Année population suisse, sur un territoire d'une surface de Modèle:Unité.
Géographie
La commune s'étend sur un plateau du Jorat occidental, dans le Gros-de-Vaud, à 2 km au nord d'Échallens<ref>Modèle:Dictionnaire géographique de la Suisse Modèle:Lire en ligne</ref>. Elle comprend les hameaux du Grand et du Petit Buron et de Montandrey<ref>Modèle:DHS</ref>.
Le territoire de Villars-le-Terroir s'étend sur Modèle:Superficie suisseModèle:Référence superficie suisse. Lors du relevé de Modèle:Période relevé superficie suisse, les surfaces d'habitations et d'infrastructures représentaient Modèle:Utilisation sol suisse de sa superficie, les surfaces agricoles Modèle:Utilisation sol suisse, les surfaces boisées Modèle:Utilisation sol suisse et les surfaces improductives Modèle:Utilisation sol suisseModèle:Référence superficie suisse par domaine.
Toponymie
Le nom de la commune, qui se prononce Modèle:MSAPI, est composé d'un premier élément qui dérive du substantif roman villāre (du bas latin villāris, qui appartient au domaine) et d'un deuxième élément qui dérive du latin terrĭtōrĭu (territoire, subdivision territoriale), apposé pour distinguer la commune des autres Villars<ref name=":3">Modèle:Toponymes.ch</ref>.
La première occurrence écrite du toponyme date de 1438, sous la forme de Villard le Terrioz<ref name=":3" />.
La commune se nomme Velâ-lou-Tèryâ en patois vaudois<ref name=":1" />.
Population et société
Gentilé et surnoms
Les habitants de la commune se nomment les Villardiers<ref name=":0">Modèle:Ouvrage</ref>.
Ils sont surnommés les Molliets<ref name=":1" /> (lè Molliet<ref>Modèle:Lien web</ref>, soit les mouillés<ref name=":1">Modèle:Ouvrage</ref> ou amateurs de bonne chère et de boisson en patois vaudois<ref name=":0" />), les Râpes et les Noyés<ref name=":1" />.
Démographie
Évolution de la population
Modèle:Section démographie commune suisse
Pyramide des âges
Modèle:Section pyramide des âges commune suisse
Étrangers, langues et religion
En 2020, la commune compte 598 personnes de nationalité suisse (93,3 %) et 43 ressortissants étrangers (6,7 %). La langue la plus parlée est le français, avec 605 personnes (94,4 %). La deuxième langue est l'allemand (15 ou 2,3 %)<ref name=":2">Modèle:Lien web</ref>.
Sur le plan religieux, la communauté catholique est la plus importante avec 414 personnes (64,6 %), suivie des protestants (138 ou 21,5 %). 53 personnes (8,3 %) n'ont aucune appartenance religieuse<ref name=":2" />.
Histoire
Le village comporte une chapelle dès 1150, dédiée à Saint Nicolas. Cette chapelle est consacrée en église en 1228 et une confrérie du Saint-Esprit y est rattachée en 1446<ref name="DHS">Modèle:DHS</ref>.
Durant l'ère bernoise, le village appartient au bailliage d'Orbe-Échallens. Les autorités de Berne et Fribourg administrent le village à l'aide de deux gouverneurs, tandis que la commune est gérée par un conseil composé de douze membres<ref name="DHS" />.
Deux évènements marquent la commune. Le Modèle:Date-, durant la Fête-Dieu, quatre enfants, six femmes et quatre hommes, soit onze personnes au total, décèdent après s'être réfugiés sous le porche de l'église pendant un orage lorsque la foudre frappe le clocher<ref name="communesEtArmoiries" />. Le second évènement se produit en hiver 1811. Une épidémie de fièvre atteint le village et le Petit Conseil de l'État de Vaud dépêche un médecin, un pharmacien et des gardes-malades pour enrayer la maladie<ref name="communesEtArmoiries" />.
Héraldique
Patrimoine bâti
L'église paritaire, sous le vocable de Saint Nicolas, d'origine médiévale, a vu sa nef rectangulaire reconstruite, plus grande, en 1724, tandis que le chœur à cinq pas a été renouvelé en 1733 sous la conduite de l'architecte Jean-Gaspard Martin. La statue de Saint-Nicolas date du troisième quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Vitraux de 1939 par Gaston Thévoz, de 1949 par Paul Monnier. Fait rare, l'église comporte encore deux chaires à prêcher, une pour les catholiques, une pour les protestants. On ne trouve plus d'équivalent que dans l'église d'Assens, mais cet agencement existait anciennement aussi dans les églises de Bottens et d'Échallens<ref>Modèle:Article</ref>. L'édifice a été restauré en 1908 (transformation néo-baroque de l'intérieur et reconstruction du clocher), 1948 (intérieur) et 2001 (extérieur). Devant l'église, une croix en ferronnerie est datée 1827<ref name="GAS4a">Modèle:Ouvrage.</ref>.
Politique
Lors des élections fédérales suisses de 2011, la commune a voté à 31,51 % pour l'Union démocratique du centre. Les deux partis suivants furent le Parti libéral-radical avec 21,90 % des suffrages et le Parti socialiste suisse avec 18,31 %<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Lors des élections cantonales au Grand Conseil de Modèle:Date-, les habitants de la commune ont voté pour l'Alliance du centre à 38,48 %, le Parti libéral-radical à 22,30 %, l'Union démocratique du centre à 18,02 %, le Parti socialiste à 11,45 % et les Verts à 9,76 %<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Sur le plan communal, Villars-le-Terroir est dirigé par une municipalité formée de 5 membres et dirigée par un syndic pour l'exécutif et un Conseil communal, composé de 35 élus, dirigé par un président et secondé par un secrétaire, pour le législatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Économie
Jusqu'à la seconde moitié du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, l'économie de Villars-le-Terroir était principalement tournée vers l'agriculture, l'arboriculture fruitière et l'élevage qui, de nos jours encore, représente une part importante de l'emploi local. Dans les dernières décennies, le village s'est développé pour accueillir des personnes travaillant soit à Échallens, soit dans la région lausannoise. Ce développement s'est accompagné de la création de plusieurs entreprises locales. La commune compte également un motel, une boucherie, une boulangerie et un café-restaurant<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Transports
Au niveau des transports en commun, Villars-le-Terroir fait partie de la communauté tarifaire vaudoise Mobilis. La ligne de bus CarPostal reliant Yverdon-les-Bains à Échallens<ref>Modèle:Lien web</ref> et celle reliant Échallens à Chavornay<ref>Modèle:Lien web</ref> s'arrêtent dans la commune. Elle est également desservie par les bus sur appel Publicar, qui sont aussi un service de CarPostal<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Vie locale
La commune compte plusieurs associations ou groupement, parmi lesquels une société d'accordéonistes, une chorale, un club de football, un groupe de gymnastique, une société de jeunesse et une société équestre<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Références
Modèle:Traduction/Référence Modèle:Références
Bibliographie
Voir aussi
Liens externes
Modèle:Autres projets Modèle:Palette Communes du district du Gros-de-Vaud Modèle:Portail