Douvres-la-Délivrande
Modèle:Voir homonymesModèle:Infobox Commune de France
Douvres-la-Délivrande est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de Modèle:Unité<ref group="Note">Population municipale Modèle:Population de France/dernière année.</ref>.
Géographie
Situation
Douvres est située au nord de l'agglomération caennaise, juste en arrière de la Côte de Nacre, ce qui en fait un nœud routier assez important. Géologiquement, la ville est située sur des sols calcaires propices à la culture intensive ; cependant, cela entraîne fréquemment des teneurs trop élevées en nitrates et en calcaires dans les eaux communales.
Transports
La commune est desservie par la ligne 101 et les lignes scolaires 103, 145 et 146 du réseau des bus verts du Calvados.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sallenelles », sur la commune de Sallenelles, mise en service en 2004<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Douvres-la-Délivrande est une commune urbaine<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Douvres-la-Délivrande-Luc-sur-Mer, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,3 %), zones urbanisées (20,1 %), forêts (3,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Dopra au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle (enq. Modèle:T., Modèle:P.) ; Dovera vers 1160 (ch. de Saint-Étienne de Caen) ; Douvra en 1198 (magni rotuli, Modèle:P.) ; Dobra en 1228 (ch. de l’abb. d'Aunay) ; Doubra en 1246 (ch. de l’abb. d’Ardennes, Modèle:N°) ; Dubra vers 1257 (magni rotuli, Modèle:P.) ; Dovre en 1258 (ch. d’Aunay)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Albert Dauzat considère que le toponyme Modèle:Page h' représente le gaulois dŭbron « eau courante »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. René Lepelley lui emboite le pas tout en simplifiant quelque peu la désinence du mot gaulois, à savoir dubro « eau courante »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Xavier Delamarre fait la distinction entre *dubron (neutre singulier) « eau » et dubra « eaux ». Douvres signifie par conséquent « les eaux ». Ce mot celtique se poursuit dans les langues celtiques insulaires : vieil irlandais dobur (noms de lieux Dobhar en Irlande et en Écosse), gallois dwr, cornique dur et breton dour signifiant tous « eau »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
La Délivrande est une ancienne commune française<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Elle n'a connu qu'une brève existence : avant 1794, la commune est supprimée et rattachée à Luc. En 1839, le hameau de Modèle:Nobr est transféré à la commune de Douvres, qui prendra en 1961 le nom de Douvres-la-Délivrande<ref name=COG>Notice sur Douvres-la-Délivrande sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques.</ref>. Aujourd'hui le hameau où se dresse la chapelle Notre-Dame-de-la-Délivrande, fondée, dit-on, par saint Regnobert, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et détruite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par les Vikings, puis reconstruite en 1050 par Baudouin, seigneur de Reviers. Elle est devenue un lieu célèbre de pèlerinage<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Le déterminant complémentaire la Délivrande est selon une tradition locale assez répandue, un mot qui désigne depuis des siècles un sanctuaire marial<ref>Modèle:Article.</ref>.
Histoire
La baronnie de Douvres
Le fief de Douvres prend le titre de baronnie en 1072. À partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, tous les évêques de Bayeux qui s'y succédèrent portèrent le titre de baron de Douvres . Au Moyen Âge, la ville de Douvres-la-Délivrande était l'un des bourgs les plus peuplés du duché de Normandie.
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Jusqu'au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la commune était constituée de deux pôles distincts : d'un côté, Douvres, autour du domaine de la Baronnie et de l'église Saint-Rémi et de l'autre, la Délivrande autour de la chapelle Notre-Dame<ref name=ign-remonter>Modèle:Lien web.</ref>.
Depuis la Révolution, une partie du territoire de la Délivrande est rattachée à la commune de Luc-sur-mer ; l'actuelle rue du Général-de-Gaulle et la route de Langrune matérialisent la frontière entre Luc et Douvres<ref name=ign-remonter/>. La chapelle, puis basilique de la Délivrande se trouve ainsi sur le territoire de Luc. En 1839, le hameau de la Délivrande est entièrement réuni à la commune de Douvres<ref>Modèle:Cassini-Ehess</ref>. Ce n'est toutefois qu'en 1961 que la commune est renommée Douvres-la-Délivrande<ref name=COG/>.
Une nouvelle basilique est construite un peu plus au nord que l'ancienne entre 1854 et 1878.
Le bourg de Douvres conserve longtemps un caractère rural, alors que la Délivrande se densifie le long de l'actuelle rue du Général-de-Gaulle.
En 1875, la commune est reliée à Caen et à la côte de Nacre par la ligne de Caen à la mer. Deux gares, distantes de moins d'un kilomètre l'une de l'autre<ref name=ign-remonter/>, sont établies à la Délivrande : la gare de Douvres-la-Délivrande (place des Marronniers, derrière l'ancienne mairie) et la gare de Chapelle-la-Délivrande (rue du Bout-Varin) pour desservir la basilique. Après la fermeture de la ligne en 1950, la plateforme est réutilisée en espace vert dans le vieux Douvres et en voie routière à l'est de la rue du Général-Leclerc (nouvel axe principal entre Caen et Luc-sur-Mer)<ref name=ign-remonter/>.
La Seconde Guerre mondiale
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Douvres est le site d’installation d’une station radar allemande, qui prend part à la défense stratégique du mur de l’Atlantique. Terminée à l’automne 1943, la station est ensuite divisée en deux zones par la route de Douvres à Bény-sur-Mer et massivement fortifiée par des bunkers, mitrailleuses et champs de mines.
Sur la zone nord se situe un radar Wasserman Siemens à longue portée et des structures associées. La zone sud a deux radars à portée intermédiaire Freya et deux radars Würzburg à courte portée, ainsi que des bunkers de commandement et une infirmerie, des garages et des emplacements d'artillerie. Quelque Modèle:Unité de la Luftwaffe sont basés sur cette zone, y compris des électriciens, des ingénieurs et 36 contrôleurs aériens.
À 23 heures dans la nuit du Modèle:Date, les Alliés commencent un brouillage intensif des fréquences qui aveugle le réseau radar allemand tout entier de Cherbourg (Cherbourg-en-Cotentin depuis 2016) au Havre. Le matin du 6 juin, les antennes de Douvres sont rendues inopérantes par les bombardements alliés de l’artillerie navale.
Les troupes canadiennes qui ont débarqué à proximité, sur « Juno Beach » tentent d’isoler la station, mais les Allemands la défendent avec succès pendant douze jours, en attente d'une contre-attaque des Panzers.
Le 17 juin, une offensive massive par les Britanniques (Modèle:Unité des Royal Marines), précédée par un bombardement d'artillerie et appuyée par des déminages et des chars antibunker de la Modèle:79e blindée, obtient la capitulation de la garnison.
La station radar de Douvres-la-Délivrande abrite aujourd'hui un musée montrant l'évolution et le rôle du radar, qui conserve également un des rares exemples conservés d’antenne radar Würzburg.
La commune a un cimetière de guerre avec les tombes de Modèle:Unité à la fois des Alliés et des forces de l'Axe :
- 927 Britanniques ;
- 180 Allemands ;
- 11 Canadiens ;
- 3 Australiens ;
- 1 Polonais ;
- 1 soldat inconnu.
Après la Seconde guerre mondiale
En 1973, la commune de Tailleville, où l'on recense moins de cent habitants (72 au recensement de 1968), est rattachée à Douvres-la-Délivrande en tant que commune associée<ref>Modèle:Cassini-Ehess.</ref>.
La commune connait un fort accroissement démographique dans le dernier quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. La population double entre 1968 et 1990. La croissance continue jusqu'à la fin des années 2000 où elle se stabilise autour de Modèle:Unité. De nombreux lotissements sont aménagés à la Délivrande comme dans l'ancien bourg et les deux entités sont finalement réunies dans un même pôle urbain.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Modèle:…
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Politique de développement durable
La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2008<ref>FICHE | Agenda 21 de Territoires - Douvres-la-Délivrande, consultée le 26 octobre 2017.</ref>.
Démographie
Modèle:Population de France/introduction
Modèle:Population de France/tableau
Modèle:Population de France/graphique
Douvres-la-Délivrande est le pole principal de l'unité urbaine de Douvres-la-Délivrande - Luc-sur-Mer, formée par les communes de Bernières-sur-Mer, Douvres-la-Délivrande, Langrune-sur-Mer, Luc-sur-Mer et Saint-Aubin-sur-Mer<ref>Liste des unités urbaines officielles en France avec les villes les composant, disponible en téléchargement au format texte (Insee).</ref>.
Économie
Comme la plupart des grandes villes situées en plaine alluviale, Douvres-la-Délivrande a développé une culture maraîchère propre à lui permettre un approvisionnement régulier en produits frais. Ainsi, le sud-est et le nord de la ville sont des zones traditionnellement dévolues à ce type de cultures. Cependant, cette pratique tend à diminuer, les surfaces disponibles se réduisant sous la pression foncière.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La basilique Notre-Dame-de-la-Délivrande, inscrite aux monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Au sein du couvent Notre-Dame-de-Fidélité, la chapelle de la Vierge-Fidèle, ornée par des œuvres classées aux Monuments Historiques : René Lalique<ref>Le Christ de lumière de Lalique et la chapelle de la Vierge Fidèle à Douvres la Délivrande (1930).</ref> et Alix Aymé<ref>Présentation de la chapelle et du chemin de croix sur le site de la Congrégation Notre-Dame-de-Fidélité.</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.
- L'ancien prieuré de Tailleville dont la chapelle fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 17 mai 1933<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Le domaine de la Baronnie<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> : située au cœur de Douvres près de l'église, la baronnie est constituée de deux bâtiments dans un enclos de trois hectares. C'est au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle que la Baronnie est unie à la mense épiscopale (possession de l'évêque). Il est mentionné dans les histoires que Douvres était le plus beau fief du chapitre. Le fief de Douvres prend le titre de baronnie en 1072 à l'époque de la promotion de Thomas de Douvre, puis devient manoir et maison de campagne de l'évêque de Bayeux<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le domaine est classé aux monuments historiques.
- La gare de Douvres.
- La gare de Chapelle-la-Délivrande.
- Station radar Distelfink (musée du Radar)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. À la fin de la dernière guerre, le radar n'est qu'à ses balbutiements, cependant certains modèles sont à même de détecter de jour comme de nuit les mouvements sur la mer à une distance supérieure à l'œil humain. Les occupants comme les alliés vont intensifier le perfectionnement et l'installation de ces « oreilles de sorciers ». Douvres, du fait de son altitude, sera équipée dès la fin de 1942 d'un radar long range afin d'informer les états-majors de toute tentative de débarquement dans la région. Cependant, comme à chaque fois qu'un engin de guerre est inventé, on invente le moyen de le neutraliser : la contremesure faite de brouillard du radar ou de faux échos fera merveille cette nuit du 5 au 6 juin 1944. Cette station radar restera un camp retranché jusqu'au 17 juin (dix jours après la libération de Douvres elle-même). Aujourd'hui la ville de Douvres-la-Délivrande a repris en gestion directe cette station radar qui est devenue un musée unique sur la côte. Elle est inscrite aux monuments historiques.
- L'église Saint-Rémi, classée aux monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Le cimetière militaire britannique.
- La pharmacie Lesage, inscrite aux monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, de style Art nouveau.
- Le centre aquatique AquaNacre.
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La basilique. -
Le chevet de la chapelle de la Vierge Fidèle. -
Le chœur de la chapelle de la Vierge Fidèle. -
Lampe fleur de lys. -
Chapelle du prieuré de Tailleville. -
Le domaine de la Baronnie. -
L'ancienne gare de Chapelle-la-Délivrande de la Compagnie de chemin de fer de Caen à la mer. -
Radar de type Würzburg Riese. -
La pharmacie Lesage. -
Le cimetière militaire britannique.
Douvres-la-Délivrande est aussi connue pour la culture de la violette, pour ses fleurs et son parfum.
Activité et manifestations
Jumelages
Un comité de jumelage coordonne les échanges avec deux villes européennes :
Personnalités liées à la commune
- Les membres de la famille de Douvres, une famille d'ecclésiastiques originaire de Douvres, dont :
- Thomas de Douvres, plus souvent appelé Thomas de Bayeux, décédé le Modèle:Date, prêtre royal de Guillaume le Conquérant puis archevêque d'York de 1070 à 1100 ;
- Samson de Douvres, frère de Thomas, plus souvent appelé Samson de Worcester, chapelain royal puis évêque de Worcester de 1096 à sa mort, en 1112 ;
- [[Thomas de Douvres|Thomas Modèle:II de Douvres]], fils de Samson, chapelain du roi Modèle:Monarque, puis prévôt de la collégiale de Beverley et archevêque d'York de 1108 à 1114 ;
- Richard de Douvres, fils de Samson, trésorier de l'Église de Bayeux, puis évêque de Bayeux de 1107 à 1133 ;
- Isabelle de Douvres, fille de Samson, née avant 1082, morte en 1166. Maîtresse de Robert de Gloucester, fils bâtard du roi Modèle:Monarque- ;
- [[Richard de Gloucester|Richard Modèle:II de Douvres]], fils bâtard de Robert de Gloucester et d'Isabelle de Douvres, évêque de Bayeux de 1135 à 1142.
- Jean Clémentin (1924 à Douvres-la-Délivrande-), journaliste et écrivain.
- Sylvain Lebel, auteur-compositeur et éditeur gastronome, né à Douvres-la-Délivrande.
- René Cédolin, né en 1940 à Douvres-la-Délivrande, footballeur professionnel, vainqueur à deux reprises de la coupe de France.
Héraldique
Voir aussi
Notes et références
Notes
Cartes
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)