L'Aveu

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Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

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L'Aveu est un film franco-italien réalisé par Costa-Gavras, sorti en 1970.

Il est adapté du livre du même nom d'Artur London.

Synopsis

En Modèle:Date à Prague, Artur London, dit Gérard, un haut responsable du régime communiste tchécoslovaque, se retrouve accusé d'espionnage au profit des États-Unis. Tout est fait pour lui extorquer des aveux de crimes qu'il n'a pas commis.

Brisé par la torture et les privations Modèle:Incise, il finit par avouer au tribunal des crimes qu'il n'a pas commis, récitant un texte d'aveux que ses geôliers lui ont fait apprendre par cœur. On veut notamment l'obliger à se dire partisan de Tito, dirigeant communiste yougoslave ou de Trotski, tous deux étant des ennemis notoires de Staline.

Après sa réhabilitation en 1956, Gérard émigre en France et, s'il condamne le stalinisme, reste fidèle à l'idéal communiste de sa jeunesse. Mais il se rend compte que, même après la mort de Staline, l'URSS et les démocraties populaires ne sont pas aussi libres qu'il l'imaginait et qu'il le voulait. Revenant en Tchécoslovaquie à l'occasion du Printemps de Prague, il assiste le jour même de son arrivée à l'invasion du pays par les forces du pacte de Varsovie.

Fiche technique

Distribution

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Production

Genèse et développement

C'est lors du montage du film Z, au cours du dîner de Noël, que Claude Lanzmann parle à Costa-Gavras de Lise et d'Artur London, ancien vice-ministre des Affaires étrangères de Tchécoslovaquie, un des trois rescapés des procès de Prague<ref name="Costa-Gavras2018">Modèle:Ouvrage</ref>. Ces procès, dont l'un des accusés est Rudolf Slánský, ancien Modèle:Lien du Modèle:Lien du Parti communiste tchécoslovaque, s'étaient tenus en Modèle:Date-.

Beaucoup d'intellectuels de sa génération s'étaient enthousiasmés pour le communisme parce qu'il leur semblait ouvrir des perspectives formidables, jusqu'à ce que, peu à peu, il y ait une prise de conscience de l'envers du décorModèle:Référence nécessaire.

Yves Montand, ancien compagnon de route du parti communiste, adhère aussi au projet et les financements se débloquent grâce au succès de ZModèle:Référence nécessaire.

Accueil

En France

Avec ce film, Costa-Gavras est accusé d'attaquer la gauche, après avoir été accusé d'attaquer la droite avec le film Z. Costa-Gavras répond qu'il ne voulait que dénoncer les totalitarismes. Par la suite, Modèle:Qui ne lui pardonnèrent pas d'avoir levé le voile sur le stalinisme et l'évitèrent ostensiblement.Modèle:Refsou

Le Parti communiste français (PCF), récemment arrivé en tête des élections cantonales, l'accuse d'avoir fait Modèle:Citation. Néanmoins, L'Aveu, sorti en Modèle:Date-, connaît un succès considérable et devient un véritable phénomène politique et culturel, bouleversant son époque. Le film réunit en effet en France plus de deux millions de spectateurs<ref name="Costa-Gavras2018" />,<ref name="Ferenczi2016"/>. En Modèle:Date-, Jean Kanapa, théoricien de la prise de distance du PCF avec Moscou, déclare après une projection du film que celui-ci Modèle:Citation et plaide l'ignorance. Yves Montand ne le croit pas et a plusieurs mots durs à son égard, tandis que Simone Signoret et Chris Marker (auteur d'un documentaire sur le tournage de L'Aveu) veulent voir dans ses propos un signe de changement de la part du PCF<ref name="Costa-Gavras2018" />,<ref name="Ferenczi2016"/>,<ref name="Forestier2018">Modèle:Lien web</ref>. Ils se trompent. En 1977, Georges Marchais, secrétaire général du PCF, persiste et signe : Modèle:Citation<ref name="Costa-Gavras2018" />,<ref name="Forestier2018" />.

Ailleurs dans le monde

Vincent Canby du New York Times considère que L'Aveu n'est pas un meilleur film que Z. Cependant, il le considère comme Modèle:Citation et donc Modèle:Citation. Il le qualifie de Modèle:Citation<ref>Modèle:Article</ref>. Roger Ebert écrit quant à lui : Modèle:Citation<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.Concernant l'orientation idéologique du film, il précise que Modèle:Citation. Pauline Kael du New Yorker voit pour sa part dans le film une Modèle:Citation<ref>Modèle:Article</ref>.

Distinctions

Le film reçoit notamment en 1971 une nomination pour le Golden Globe du meilleur film en langue étrangère. Il est également nommé aux United Nations Awards lors des British Academy Film Awards 1971<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata}}/{{#if:awards|awards|reference}} {{#if:||Awards}} sur l’Modèle:Lang</ref>.

À noter

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

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