Hotchkiss

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Hotchkiss est un constructeur automobile et manufacturier d'armes français, qui a produit des véhicules civils de 1904 à 1954 et des véhicules militaires jusqu'en 1969.

Histoire

Benjamin Berkeley Hotchkiss

Benjamin Berkeley Hotchkiss (1826-1885) est un citoyen américain, né à Watertown dans le Connecticut. Ingénieur talentueux dans le domaine des armes, il ne réussit pas à s'imposer auprès des militaires américains et s'installe en France en 1867 où il crée la société qui porte son nom : Hotchkiss, implantée sur la route de Gonesse à Saint-Denis, filiale de l'entreprise de construction d'armes et de munitions qu'il avait fondée en 1855. Il s'installe ensuite à Viviez, près de Rodez, pour fabriquer des étuis métalliques, juste avant que n'éclate la guerre franco-prussienne de 1870. Deux canons croisés surmontés d'une grenade en feu, le tout entouré par un ceinturon fermé par une boucle constituait son emblème, copie presque conforme de l'insigne militaire du corps du matériel de l’Armée de terre des États-Unis.

Le fabricant français d'armes et de munitions

Fichier:SAINT-DENIS-Vue générale des Ateliers Hotchkiss.JPG
L'usine de Saint Denis au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Fichier:Btv1b8433366m-p067.jpg
"Le Tour de France d'Hotchkiss" (Modèle:Unité en 58 jours - 1906).
Fichier:La première six cylindres Hotchkiss sortie des usines, en 1906 (roulant toujours en 1931).jpg
La toute première six cylindres Hotchkiss sortie des usines (même année 1906… et roulant toujours 25 ans plus tard).

Une nouvelle usine à Saint-Denis fut inaugurée en 1875. Depuis son installation en France, Benjamin Berkeley Hotchkiss avait déposé de nombreux brevets et la société était prospère.

L'usine, qui produisait des armes et des explosifs, devient rapidement un fournisseur attitré de l'armée française. Benjamin Berkeley Hotchkiss meurt en 1885, mais la société poursuit le développement d'une mitrailleuse automatique. Le premier modèle, produit en 1892, est adopté par l'armée française en 1897. Après quelques modifications et améliorations, le modèle devient en 1914 le « pistolet Hotchkiss », l'une des mitrailleuses lourdes à gaz standard utilisée par la Grande-Bretagne, la France et le Japon. Au début du siècle, la société, toujours aussi prospère, se diversifie et commence à fabriquer des composants pour les voitures, puis des véhicules complets. Hotchkiss était en passe de devenir l'une des plus grandes et des plus importantes sociétés d'ingénierie mécanique et automobile en France.

En août 1936, les usines d'armements de Levallois-Perret et Clichy sont nationalisées par le Front populaire.

La construction automobile

Fichier:2 Prescott Hill.JPG
Hotchkiss AM2, torpédo aluminium Melhuish & Co of Camden, 1925/26.
Fichier:1 Hotchkiss AM80S.JPG
Hotchkiss AM 80S, coach Riviera, 1932.
Fichier:Hotchkiss-411-av.jpg
Hotchkiss 411, avant.
Fichier:1948 Hotchkiss 686 S49 Provence.png
Hotchkiss Grand Sport type 686, 1937.
Fichier:051-2016 10 30 14-48Musée du Sapeur Pompier, Vieux-Ferrette, Hotchkiss Torpedo 1960.jpg
Camion de pompiers PL50.

Parallèlement à la fabrication d’armes, la branche française s’intéressait à la mécanique générale et, dès 1901, fabriqua sur commande des éléments mécaniques pour divers clients, dont des usines d’automobiles comme Panhard et De Dion-Bouton. Cela donne à la direction l’idée de se lancer à son tour dans la construction automobile. L'entreprise recrute l’ingénieur Georges Terrasse, qui avait travaillé chez Mors, et un anglais, H. M. Ainsworth qui dirigera la division automobile de 1923 à 1952.

En 1902, tout en continuant ses fabrications militaires, Hotchkiss se lance dans la sous-traitance de pièces détachées pour l'automobile, puis, en 1904, construit ses premiers châssis-moteurs de Modèle:Unité. Le type E Modèle:Incise fut préparé pour la compétition.

Au Salon de Paris 1922, Hotchkiss lança l'AM 12 HP et adopta le slogan « La voiture du juste milieu » au milieu des années 1920. En fait, la marque synthétisait les suffrages d'une clientèle bourgeoise aisée qui recherchait le confort et la discrétion.

À partir de l'automne 1925 sortit une nouvelle lignée de moteurs à soupapes en tête. Ces moteurs de 4 ou de 6 cylindres furent produits avec quelques évolutions techniques jusqu'en 1954 : le 4 cylindres Modèle:Unité (13 CV) implanté dans la série des AM2, puis les 6 cylindres de Modèle:Unité (Modèle:Unité) à Modèle:Unité (Modèle:Unité) implantés dans les AM80.

À partir du Salon 1934, l'influence de l'aérodynamisme se fait sentir : calandre légèrement inclinée, malle intégrée et profilée. Ces carrosseries Modèle:Refsou.

En 1936, la firme présenta un camion à capot de 2 tonnes de PTC avec le moteur de Modèle:Nobr à essence (Modèle:Nb pour Modèle:Nb SAE).

Au Salon 1937, pour diversifier sa gamme, Hotchkiss, qui avait racheté Amilcar fin 1936, expose l'Amilcar Compound. Il s'agissait d'un prototype étudié par l'ingénieur Jean Albert Grégoire, avec le soutien de l'Aluminium Français. Voiture moderne (traction avant, roues indépendantes, châssis en alliage léger…), elle coûtait beaucoup plus cher que ses concurrentes et ne put s'imposer.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, seules la fourgonnette Amilcar Compound et la voiture électrique C.G.E.-Tudor continuèrent d'être produites. Sous l'égide du COA (Comité d'Organisation de l'Automobile), Peugeot prit une participation importante dans le capital d'Hotchkiss fin juillet 1942.

À la Libération, l'Hotchkiss reprit sa place dans les cortèges officiels. Pour ses déplacements dans Paris libéré, le général de Gaulle exigea une voiture française décapotable : une Hotchkiss, découverte non sans mal par son état-major, s'imposa.

Vers 1948-49, des essais de voiture furent réalisés à Molines, près d'Ispagnac, en Lozère.

Après la guerre, Hotchkiss reprit lentement ses activités en modifiant le camion de Modèle:Unité devenu PL20 (nouvelle cabine tout acier, nouveau châssis et freins hydrauliques) et les automobiles Modèle:Unité et Modèle:Unité (roues indépendantes à l'avant et freins hydrauliques). Au Salon 1950, les deux modèles 864 S49 et 686 S49 « Artois » furent remplacés par les 1350 et 2050 « Anjou » qui conservaient la même mécanique mais adoptaient une nouvelle carrosserie.

Au Salon 1951, fut exposée l'Hotchkiss Grégoire. L'ingénieur J.-A. Grégoire avait encore réussi à convaincre : son prototype, la Grégoire R, aux solutions techniques très modernes (moteur Modèle:Nb à plat, Modèle:Nb indépendantes, suspension à flexibilité variable et châssis en alliage léger) était aux antipodes des conceptions traditionnelles d'Hotchkiss. Le poids contenu et le Cx très favorables assuraient de bonnes performances et une consommation modérée, la voiture avait Modèle:Nb d'avance sur son temps. Mais l'industrialisation s'avéra coûteuse et difficile, avec un prix de vente élevé obligeant à l'arrêt de la fabrication après seulement Modèle:Nombre (numéros de série de 500 à 747), ce qui en fait une des plus rares automobiles jamais produites. Cette aventure aggrava les difficultés financières d'Hotchkiss et, peu après la fusion avec Delahaye, fin juillet 1954, Hotchkiss abandonne la construction de voitures de tourisme. Le dernier modèle, la Monceau, carrossée par Chapron, avec le moteur de Modèle:Unité, ne sera jamais vendue.

En 1956, Hotchkiss fusionne avec la Société Nouvelle Brandt et devient Hotchkiss-Brandt. À l'automne apparaît le camion PL50 (Modèle:Unité de PTC), version modernisée du PL25 de 1952 avec des projecteurs intégrés et le moteur Modèle:Unité poussé à Modèle:Nb. Depuis 1954, un bloc à Modèle:Nb était disponible sur la version pour les sapeurs-pompiers. Le premier véhicule de secours H 6 G 54 qui équipa toutes les casernes de la brigade des Sapeurs Pompiers de Paris, servira jusqu'à la fin des années 1970.

En mai 1963, Hotchkiss signa un accord de commercialisation avec Leyland qui durera jusqu'à la fin 1967 pour vendre ses camions en France. Au Salon 1964, les derniers camions Hotchkiss PL60/DH60 (Modèle:Unité de PTC) sont les premiers camions français de série équipés d'une cabine basculante. Avec une charge utile de Modèle:Unité/2, la gamme des nouveaux modèles à cabine avancée utilise des moteurs de Modèle:Unité à essence (115 CV SAE) ou diesel (91 CV SAE) avec des transmissions à 4 ou Modèle:Nb.

L'usine continua à produire des camions estampillés « Hotchkiss » jusqu'en 1969 et le nom survivra pour la production militaire avant de devenir en 1966 Thomson-Houston Hotchkiss-Brandt à la suite de la fusion de Thomson-Houston et Hotchkiss-Brandt, puis Thomson-CSF en 1971. Les véhicules militaires de la marque Thomson-CSF ont conservé l'emblème aux canons croisés uni à celui de Thomson.

Le nom Hotchkiss-Brandt fut utilisé pour la production de mortiers et celui de Hotchkiss-Brandt-Sogème pour le département des machines à trier le courrier.

Hotchkiss et la compétition

  • Hotchkiss commença par se faire connaître à travers de grands raids automobiles nationaux : tour de France avec une six-cylindres confiée à Blériot en 1906, puis un second toujours avec une six-cylindres entre les mains de Van Marcke en 1907<ref>La Vie au grand air Modèle:N°, 444 et 447</ref>, ce dernier enchaînant durant la même année avec un tour d'Angleterre<ref>La Vie au grand air du 11 mai 1907, Modèle:P..</ref>.
Fichier:1939 Hotchkiss 686 Paris-Nice Monte-Carlo.jpg
La 686 GS "Paris-Nice - Monte-Carlo" de Trévoux en 1939.
  • Après trois victoires de suite de la marque au Rallye Monte-Carlo (en 1932 et 1933 pour Maurice Vasselle, puis en 1934 pour Louis Gas) avec l'AM 2 puis l'AM 80S, la 686 GS (pour « Grand Sport », modèle Riviera) à châssis court équipée du nouveau moteur Paris-Nice apparut au Salon 1935. Ce modèle remporta encore le rallye Monte-Carlo, en 1939<ref>Modèle:1re ex-æquo avec la Delahaye type 135 en 1939.</ref> et 1949 avec Jean Trévoux Modèle:Incise, puis une ultime fois en 1950 quinze années après sa sortie, avec Marcel Becquart cette fois-là.
  • Hotchkiss remporta également le Grand Critérium international de tourisme Paris-Nice en 1929 avec cinq 12 CV ex-æquo, puis en 1934 avec Jean Trévoux sur modèle Modèle:Unité, ce dernier pilote finissant encore avec la Grand Sport Type 686 Paris-Nice - Monte-Carlo deuxième en 1935, et troisième en 1937 puis 1938.
  • En 1935, la marque s'imposa dans la coupe de l'Auto, la coupe Brisson (meilleur temps dans les épreuves françaises de vitesse et de côte), la coupe E. Mahé (meilleur temps sans compresseur dans la côte de La Turbie), et le Prix de l'A.C.I.F.<ref>Vogue, juin 1935, Modèle:P..</ref>.
  • En 1937, Trévoux remporta -cette fois pour cette marque- la troisième édition du Rallye du Maroc avec Marcel Lesurque.
Fichier:Trévoux (G.) et Lesurque (D.) à l'arrivée du rallye Monte-Carlo 1939.jpg
Trévoux (G.) et Lesurque (D.), à l'arrivée du rallye Monte-Carlo 1939.

Véhicules

Fichier:HOTCHKISS voiture.JPG
Hotchkiss Artois, 1948.
Fichier:Hotchkiss-Grégoire JAG (1953) pic1.JPG
Hotchkiss Grégoire, 1953.
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Hotchkiss Anjou, 1955.

Véhicules militaires

Fichier:Hotchkiss-H-39-latrun-3.jpg
Vue latérale du H 39
  • Char Hotchkiss H35
  • Char Hotchkiss H38, qui est en fait une variante du précédent
  • Char Hotchkiss H39 (idem)
  • Les chenillettes Hotchkiss TT 6 et Hotchkiss CC 2 sont des véhicules blindés conçu en 1950 pour l'armée française et adoptées massivement sous le nom de Schützenpanzer Kurz par la Bundeswehr en 1956<ref>SchutzenpanzerSPz 11-2, tanks-encyclopedia.com ; Stéphane Ferrard, Les engins blindés de combat français des origines à nos jours, Histoire & Stratégie Modèle:N°, H.-S. DSI, juin-juillet 2010, Modèle:P..</ref>. Il constitue un des plus gros succès d'exportation de l'industrie militaire française à cette période avec plus de 2600 exemplaires fabriqués, dont 600 sous licence en Allemagne<ref>Revue de défense nationale, 1962, Modèle:P. ; Revue d'Allemagne, Société d'études allemandes, ed. A. Colin, 1993, Modèle:Vol., Modèle:P., "chenillettes Hotchkiss de 1956 (2000 livrées à l'armée allemande de 1958 jusqu'en 1966)" ; Stéphane Ferrard, « Les engins blindés de combat français des origines à nos jours », Histoire & Stratégie Modèle:N°, H.-S. DSI, juin-juillet 2010, Modèle:P..</ref>.

Hotchkiss et la Jeep

  • En 1946, Hotchkiss s'associe avec Willys-Overland Export Corporation pour la vente et la diffusion en France de Jeep CJ 2A puis CJ 3A.
  • Le Modèle:Date-, Willys concède à Hotchkiss la licence de fabrication et de commercialisation des pièces détachées pour les marchés militaires et civils, puis la licence de construction de tous les types de véhicules produits par Willys-Overland. Le premier modèle monté fut la JH101.
Fichier:M201 1 s.jpg
Jeep Hotchkiss M201
  • Dès 1955, fut démarrée une chaine de fabrication et de montage sur le site de Saint Denis au 32, bd Ornano. L'armée française relança la production de Jeeps à la suite des échecs des essais du « programme français de véhicule léger de liaison tout-terrain » (VLR Delahaye, VSP Peugeot…) La première commande porta sur 465 véhicules dénommés « Jeep Hotchkiss licence MB ». En fait, ces véhicules étaient pratiquement identiques aux modèles américains.
  • La production était effectuée dans l'usine de Stains. Après quelques améliorations en juillet, les Jeeps prirent la dénomination « M201 licence MB » et furent produites à Modèle:Unité. Mis à part 24 exemplaires destinés à l'administration, la totalité de la production était destinée à l'armée. Modèle:Unité civils type JH 101, JH 102 et HWL furent aussi produits.
  • En 1960, à partir du châssis 08961, fut produit le Mle M201- 24 volts.
  • En 1962, la Jeep fut proposée avec un moteur diesel Indenor 85 XD P4.
  • Fin 1966, les contrats expirèrent et la production fut arrêtée.
  • En 2000, les dernières M201 - 24 V furent réformées.

Versions armées de la Hotchkiss M201

Au cours de la guerre d'Algérie, l'Armée de terre équipa certaines de ses M201 de canons sans recul de Modèle:Unité puis de Modèle:Unité (M40 US). À la fin des Modèle:Nobr, certaines des M201 étaient armées de missiles antichars SS10 filoguidés. En 1976, apparut la M201 Milan ; chaque véhicule emportait trois missiles.

Fiche technique de la Hotchkiss M201

  • Années de production : 1956-1967
  • Longueur/largeur/hauteur (en m) : 3,37/1,57/1,72
  • Masse : 1,06 t
  • Moteur : 4 cylindres en ligne à essence de 52 CV
  • Vitesse maxi : Modèle:Unité
  • Autonomie sur route : 400 km

Armement

Fichier:Hotchkiss.jpg
Hotchkiss CC 2 en mouvement.

Emblème

L'emblème ressemble à l’insigne militaire américain de « l’Ordnance Department » clin d’œil à la marque dans la fabrication d'armes. Deux canons croisés, avec dessus une grenade et entourés d'un ceinturon et la mention « Hotchkiss Paris ».

Notes et références

<references />

Bibliographie

Liens externes

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