Brunoy
Modèle:Infobox Commune de France
Brunoy (prononcé Modèle:MSAPI <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}}) est une commune française située à vingt et un kilomètres au sud-est de Paris dans le département de l’Essonne en région Île-de-France; elle se trouve dans la région historique de la Brie française.
Située dans une boucle de l’Yerres en bordure de la forêt de Sénart, lieu d’habitation dès le Paléolithique, très tôt intégrée au domaine royal français plus tard distribué aux seigneurs méritants, la commune conservera son attrait pour les grands du royaume, de l’empire puis les artistes. Banlieue pavillonnaire de villégiature dès la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Brunoy en a conservé les riches demeures. C’est aujourd’hui une ville de vingt-cinq mille habitants à mi-chemin entre Évry, Melun et Créteil, à la population relativement privilégiée, et un site culturel important du département avec son théâtre et les deux musées présents sur son territoire.
Géographie
Localisation
Brunoy est située à l’extrémité nord-est du département de l’Essonne dans la région Île-de-France, au sud-est de la capitale, elle est ainsi partie intégrante de la vaste agglomération parisienne. Ses frontières nord-est et est avec les communes de Villecresnes et Mandres-les-Roses marquent aussi la frontière avec le département voisin du Val-de-Marne. Placée aux portes de la région naturelle de Brie, elle est traversée par la rivière l’Yerres, affluent de la Seine, dont la vallée forme à cet endroit des méandres marqués, et bordée dans sa partie sud par la forêt de Sénart. Le territoire communal, relativement peu étendu, occupe quatre cent soixante-quatre hectares inscrit dans un rectangle imparfait long de cinq kilomètres et large de trois, 70 % de ce territoire est urbanisé, ne laissant que 15 % du territoire au paysage rural, intégralement constitué par la forêt de Sénart au sud du domaine municipal. L’Institut national de l'information géographique et forestière donne les coordonnées géographiques 48° 41' 48" N et 2° 30' 13" E au point central de la région Île-de-France.
Située sur la rive droite de la Seine, la commune est bordée au sud par la route nationale 6 et traversée par les routes départementales 33, 54 et 94 qui emprunte la vallée de l’Yerres entre Brie-Comte-Robert et Villeneuve-Saint-Georges principalement. Elle est aussi traversée du nord au sud par la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles aujourd’hui empruntée par la ligne D du RER et dispose sur son territoire d’une gare.
Excentrée dans le département, la commune est située à vingt et un kilomètres au sud-est de Paris-Notre-Dame<ref>Orthodromie entre Brunoy et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.</ref>, point zéro des routes de France, neuf kilomètres au nord-est de la préfecture d’Évry<ref>Orthodromie entre Brunoy et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.</ref>, vingt kilomètres à l’est de Palaiseau<ref>Orthodromie entre Brunoy et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.</ref>, quarante kilomètres au nord-est d’Étampes<ref>Orthodromie entre Brunoy et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.</ref>, onze kilomètres au nord de Corbeil-Essonnes<ref>Orthodromie entre Brunoy et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.</ref>, dix-neuf kilomètres au nord-est de Montlhéry<ref>Orthodromie entre Brunoy et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.</ref>, vingt-trois kilomètres au nord-est d’Arpajon<ref>Orthodromie entre Brunoy et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.</ref>, vingt-sept kilomètres au nord-est de La Ferté-Alais<ref>Orthodromie entre Brunoy et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.</ref>, trente-quatre kilomètres au nord de Milly-la-Forêt<ref>Orthodromie entre Brunoy et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.</ref> et quarante-deux kilomètres au nord-est de Dourdan<ref>Orthodromie entre Brunoy et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.</ref>.
Communes limitrophes
La commune de Brunoy est bordée de l’ouest au nord par Yerres, au nord-est et à l’est par les communes val-de-marnaises de Villecresnes et Mandres-les-Roses, et enfin au sud-est, frontière matérialisée par la rivière l’Yerres, avec la forêt de Sénart qui s’étend sur Épinay-sous-Sénart au sud-est, Soisy-sur-Seine au sud et Montgeron au sud-ouest dont la limite est en partie faite par la route nationale 6.
Géologie et relief
La géologie de la ville est celle de la Brie, constitutif du bassin parisien et caractérisée par sa nature sédimentaire.
Le sous-sol comprend des formations de calcaire, d’argile, de limon et de meulière<ref>%2FF Fiche géologique de Brunoy sur le site du Brgm. Consulté le 26/08/2012.</ref>. L’érosion et l’hydrographie ont façonné le relief de la commune : un plateau creusé par deux vallées s’inclinant vers la Seine à l’ouest. L’altitude varie entre quatre-vingt-quatorze mètres au nord-est du territoire à proximité du bois d’Auteuil sur la commune voisine de Villecresnes et trente-sept mètres au sud-ouest dans la forêt de Sénart où se trouve le fossé Daniel<ref>Modèle:Géoportail.</ref>.
Hydrographie
Le territoire communal est bordé au sud-est et au nord-ouest et traversé au centre par la rivière l’Yerres. Le nord est bordé par le ruisseau du Réveillon.
L’Yerres est un affluent de la Seine d’une longueur de près de cent kilomètres qui prend sa source en Seine-et-Marne à Courbon (commune de la Celle-sur-Morin), et se jette dans la Seine à Villeneuve-Saint-Georges dans le Val-de-Marne. Le Réveillon est un affluent de l’Yerres d’une longueur de vingt-quatre kilomètres. Il prend sa source dans la forêt d’Armainvilliers à Gretz-Armainvilliers en Seine-et-Marne et se termine dans la commune voisine d’Yerres. La gestion de l’Yerres et du Réveillon est confiée à un syndicat intercommunal, le SyAGE<ref>Site du SyAGE</ref>.
L’Yerres est une rivière dont le débit est très irrégulier. L’importante crue de 1978 a entraîné la construction de huit ouvrages régulateurs le long de son cours dont deux situés à Brunoy : le barrage des vannes rouges et le barrage de Brunoy<ref>Règlement d’information sur les crues, préfecture d’Île-de-France</ref>.
Climat
Modèle:Article connexe Brunoy est située en Île-de-France et bénéficie d’un climat océanique dégradé aux hivers frais et étés doux, avec des précipitations régulières sur l’ensemble de l’année. En moyenne annuelle, la température s’établit à 10,8 degrés celsius, avec une moyenne maximale annuelle de Modèle:Unité et une moyenne minimale de Modèle:Unité. Le record de température la plus basse fut établi le Modèle:Date avec Modèle:Unité. La moindre densité urbaine explique une différence négative de deux à trois degrés relevée entre Brunoy et Paris. L’ensoleillement totalisant Modèle:Nombre est comparable à l’ensemble des régions au nord de la Loire mais moindre qu’au nord du département par la présence fréquente de nappe de brume à proximité de l’Yerres et de la vaste forêt de Sénart. Enfin, les précipitations s’établissent à Modèle:Unité annuels, avec une moyenne mensuelle proche de cinquante millimètres et une pointe à soixante-trois millimètres en mai.
Milieux naturels et biodiversité
Approximativement cent hectares du territoire de la commune ont conservé un caractère rural, en quasi-totalité situés au sud de la commune, couverts en partie par la vaste forêt de Sénart, classée en forêt de protection par un décret du Modèle:Date-<ref>Les forêts de protection, Ministère de l’agriculture et de la pêche</ref>.
Le parc écologique du Muséum national d'histoire naturelle et les berges de l’Yerres complètent ces espaces protégés par leur recensement au titre des espaces naturels sensibles départementaux<ref>Carte des espaces naturels sensibles de Brunoy sur le site du conseil général. Consulté le 03/2019.</ref>.
Les six cent cinquante hectares avals de la vallée de l’Yerres sont en outre totalement classés, dont la partie sur le territoire de Brunoy, par décret du Modèle:Date- en loi du 2 mai 1930 dite paysage<ref>DIREN, rapport d’activités 2006</ref> au titre de son caractère pittoresque<ref>Page de la vallée de l’Yerres aval classée sur le site du ministère de l’Écologie. Consulté le 01/02/2009.</ref>.
Urbanisme
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Espace urbain construit | 71,1 % | 472,07 |
Espace urbain non construit | 14,0 % | 92,76 |
Espace rural | 14,9 % | 98,71 |
Source : Iaurif MOS 2008<ref>Occupation du sol simplifiée à la commune en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 01/11/2010.</ref> |
Typologie
Brunoy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Lieux-dits, hameaux et écarts
Territoire construit à 70 %, le tissu urbain est presque continu. On distingue cependant trois grandes parties divisées elles-mêmes en quartiers.
Le centre-ville regroupe le cœur historique de la ville, ainsi qu'une partie de l'ancien quartier dit des "Bords de l'Yerres". Il compte de nombreux commerces, un marché et des rues pavillonnaires attenantes. C’est là aussi que se trouvent la gare RER, la salle des fêtes, le musée, l’école de musique et de danse, la Maison des arts - le Réveillon, sans oublier le prestigieux Théâtre de la Vallée de l'Yerres. Le quartier s'étend également le long de la rivière. On y trouve un centre commercial, une base de loisirs et un grand espace public particulièrement verdoyant : l’Île de Brunoy.
Les quartiers nord au-delà de la ligne de chemin de fer regroupent les quartiers dits des Deux Vallées, du Sauvageon, des Mardelles et des Provinciales. Il est délimité par les communes de Villecresnes et de Mandres-les-Roses (qui appartiennent au Val de Marne) par la vallée du Réveillon, et par la vallée de l'Yerres. Ce quartier comprend la cité des Hautes Mardelles et un important secteur pavillonnaire. C’est aussi un quartier qui a beaucoup d’équipements collectifs : un gymnase (Jean Gounot), une crèche, une halte-garderie, une P.M.I, quatre écoles maternelles et deux écoles primaires, une maison de retraite et deux équipements sportifs de proximité. On compte aussi deux centres commerciaux : la Vigne-des-Champs et le Plateau.
Le sud situé en deçà de l’Yerres regroupe les quartiers de Soulins où se situent le collège Louis Pasteur et la piscine municipale, des Bosserons où se situe le lycée Talma, de La Pyramide, de La Garenne (frontalier à Yerres) où se situe l'institut privé Saint-Pierre ; et enfin le quartier des Ombrages. La place de la Pyramide et son obélisque sont emblématiques de l’entrée de Brunoy par la RN6. Le quartier Sud est essentiellement un quartier pavillonnaire qui a été bâti à partir des anciennes allées forestières du massif de Sénart. Des résidences ont été nommées en souvenir d’anciens lieux-dits, tels le hameau de La Chambaudie ou le Port Mahon. Cette partie de la ville comprend plusieurs groupes scolaires, un stade (stade municipal), un marché (Les Bosserons), plusieurs maisons de retraite, un bureau de Poste, un petit centre commercial et une zone d’activités le long de la RN6.
Les vingt-et-un hectares de la cité des Hautes Mardelles, regroupant Modèle:Nombre en 1999 vivant à 88,4 % en HLM sont classés zone urbaine sensible, avec un taux de chômage à 17,8 % (contre 9 % pour l’ensemble de la commune), 47,1 % des ménages non imposés et un revenu médian fixé à 10 553 euros (contre 21 987 euros pour le reste des habitants)<ref>Fiche de la ZUS des Hautes Mardelles sur le site de la mission interministérielle à la Ville. Consulté le 02/01/2009.</ref>. Depuis 2015, la cité est classée quartier prioritaire sur un secteur plus petit que la zone sensible. On y compte Modèle:Nombre habitants pour un taux de pauvreté de 36 % et avec un classement d'intérêt national par l'Anru.
L’Insee découpe la commune en cinq îlots regroupés pour l'information statistique soit la Pyramide, les Bords de l’Yerres, Brunoy centre, les Deux vallées et les Hauts de Brunoy<ref>Carte du zonage de Brunoy sur le site de l’Insee. Consulté le 26/02/2011.</ref>.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 11 301, alors qu'il était de 11 090 en 2013 et de 10 893 en 2008<ref name="LogCom" group="I"/>.
Parmi ces logements, 93 % étaient des résidences principales, 1 % des résidences secondaires et 6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 48,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 50,6 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.
La commune ne respecte pas ses obligations issues de l'article 55 de la loi SRU de 2000, qui lui impose de disposer de 25 % de logements sociaux. À l'issue du recensement, elle disposait de Modèle:Unité en 2008 (17,1 % du parc des résidences principales). Ce nombre s'est réduit à 1 476 en 2018 (14,0 %)<ref name="LogT7" group="I"/>. À ce titre, la ville fait l'objet d'un arrêté de carence en 2015<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Brunoy en 2018 en comparaison avec celle de l'Essonne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1 %) inférieure à celle du département (1,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 66,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (65,9 % en 2013), contre 58,7 % pour l'Essonne et 57,5 pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.
Typologie | Brunoy<ref name="LogCom" group="I">Modèle:Lien web.</ref> | Essonne<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lien web.</ref> | France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lien web.</ref> |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 93 | 91,9 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1 | 1,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6 | 6,5 | 8,2 |
Voies de communication et transports
Voies de communications
Brunoy est située au carrefour de routes départementales et nationales.
Voie importante, la route nationale 6 passe au sud-ouest de la commune à son entrée dans la forêt de Sénart. Elle est rejointe par la RD 54 qui se prolonge au nord au-delà des limites communales vers Brie-Comte-Robert sous la numérotation RD 53 dans le Val-de-Marne. Suivant le cours nord de l’Yerres, la RD 94 assure la liaison entre Boussy-Saint-Antoine et la Seine à Villeneuve-Saint-Georges. Suivant en partie ce même itinéraire, la RD 32 passe au sud de l’Yerres, de Villeneuve-Saint-Georges à la route nationale 19 par Crosne, Brunoy, Épinay-sous-Sénart et Boussy-Saint-Antoine.
Transport ferroviaire
À proximité du centre-ville, la gare de Brunoy est desservie par le RER D (Transilien) de la SNCF (Gare de Paris-Lyon/Gare de Melun) et la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles.
Depuis le 1er aout 2022, Keolis Val d'yerres val de seine à repris quasiment toutes les lignes de la Transdev STRAV jusqu'au 1er aout 2027. Ci-dessous les lignes desservies à gare de Brunoy :
Keolis Val d'yerres val de seine :
Lignes : C, D, E, M, 9101, soirée Brunoy sud et N134
Transdev STRAV :
Ligne : B (uniquement le dimanche)
Toponymie
Le lieu est mentionné sous les formes Braunate in Brigeio en 633<ref name="Cocheris">Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.</ref>, Braunate en 635<ref>Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 1, Librairie Droz 1990. p. 163.</ref>, Brunnadum<ref>Jacques-Antoine Dulaure, Jules Léonard Belin, Histoire physique, civile et morale des environs de Paris, tome 2, 1825-1828, page 187</ref>, Brannadum, Braunadum en 638<ref name="Cocheris" />, Brennacum en 1147<ref name="Cocheris" />, Brunayum, Bruneium en 1171<ref name="Cocheris" />, Burneyum, Broni<ref name="Cocheris" /> en 1130, Bronai 1150, de Bronaio<ref>Ernest Nègre, Op. cité.</ref>, Broniacum en 1206<ref name="Cocheris" />, Bronaco en 1210, Bronayum en 1228, Bruneyum en 1270, Brunayum en 1273, Bronai<ref name="Cocheris" />, Brunai<ref name="Cocheris" />, Brounay<ref name="Cocheris" />, Brenay en 1397Modèle:Référence nécessaire, Bruney en 1411, Brunay en 1447. La ville s’est également orthographiée Brunois du temps de Bonaparte vu dans les archives du Journal de France<ref>sources : bibliothèque nationale, archives, collections privées) du 19 brumaire an 8 (10 octobre 1799), (titre de l’article: Le 18 Brumaire, Un coup d’État en douceur). Extrait de l’article : "Barras est parti la nuit dernière pour Gros-Bois, sa maison de campagne située près Brunois, à quatre lieues de Paris ; on dit même qu’il y est sous une garde d’honneur de 30 hommes ...".</ref>. L’orthographe moderne Brunoy s'impose par la suite.
L’attribution des formes en Bran-, Bren- à Brunay est peu vraisemblable : d’une part, elles sont isolées et d’autre part, l’évolution phonétique de Bren- / Bran- en Brun- est peu défendable théoriquement. On note aussi dans les formes anciennes une confusion de suffixe : tout d’abord, entre -ATE et -ACU, tous deux suffixes localisants d’origine gauloise, ensuite, plus tard, entre les deux précédents et -ETU, suffixe collectif d’origine latine. Il est plausible d’admettre l’existence d’un lieu proche qui appartient au type toponymique gaulois *BRINNACU qui est extrêmement répandu et qui est à l’origine des Modèle:Page h', Modèle:Page h', Brenay et Modèle:Page h'. De toute évidence, si la forme citée Braunate de 685 par Albert Dauzat et Charles Rostaing et reprise par Ernest Nègre est juste, il s’agit bien du nom primitif de Brunoy. En effet, elle l’explique phonétiquement BRAUNATE > Bronad- avec évolution AU > o, caractéristique du gallo-roman (cf. CAUSA > chose) et lénition de [t] en [d], puis amuïssement [ø]. Du nom de personne latin Braunius (TLL) + suffixe gaulois -àte ; attraction du suffixe collectif -oy (< -ETU)<ref>Ernest Nègre, op. cit.</ref>.
Pour Xavier Delamarre, Brunoy tire son nom du gaulois *Brāuoniācon, soit le « domaine de Brāvonios » ou le « domaine du moulin »<ref>Xavier Delamarre, Notes d'onomastique vieille-celtique, Keltische Forschungen 5, 2012, p.99-138</ref>.
Histoire
Préhistoire
Le territoire de la commune est fréquenté dès le Paléolithique. Plusieurs outils en pierre ont été retrouvés à la sablière, en forêt de Sénart, dont certains sont exposés au musée Robert Dubois-Corneau. Au Néolithique, deux alignements mégalithiques, dits des Pierres Frittes, sont érigés au bord de l’Yerres. Quatre autres menhirs et un dolmen incertains ont aussi été signalés autrefois mais ne sont plus visibles aujourd’hui<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Antiquité
Moyen-Âge
Modèle:Section à sourcer À partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les Francs s’installent dans la région. Childebert reçoit le royaume de Paris à la mort de son père Clovis en 511. Dans son testament de 638, [[Dagobert Ier|Dagobert {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]] distribue le domaine royal de Brunoy : l’église de Saint-Denis hérite des terres situées à Brunoy même. C’est dans ce testament que le nom de Brunoy apparaît pour la première fois : Brennadum en latin.
Les terres sont partagées en plusieurs fiefs. Celui de la Tournelle appartenait au roi. Dans ce fief, il y avait un château, situé près de la sablière en forêt de Sénart où Philippe VI de Valois édicte en 1346 la Charte des eaux et forêts (ou ordonnance de Brunoy). Seul un donjon subsiste jusqu’à une époque récente : la tour de Ganne, qui s’écroule en 1836.
Un autre fief appartenait aux Brunayo, et ce jusqu’au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. C’est cette famille qui construit le château près de l’Yerres, derrière le moulin, et qui donne à la ville son blason : d’or à la croix de gueules cantonnée de quatre lionceaux du même.
Les domaines sont éclatés, puis à nouveau rassemblés, en particulier grâce à la famille des Lannoy. La cité est à cette époque entourée de murailles défensives, tout comme le château des Brunayo. En 1656, Anne Élisabeth de Lannois, apporte la terre de Brunoy en dot à Charles de Lorraine. En 1676, une donation met ce domaine dans la famille de La Rochefoucault.
Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Modèle:Section à sourcer En 1722, le fief de Brunoy est vendu au gardien du trésor royal, Jean Pâris de Monmartel. Ce domaine est érigé en marquisat en 1757. C’est à cette époque que l’on transforme le château féodal bordant l’Yerres : une aile y fut ajoutée, les appartements sont richement décorés. L'importante fortune du propriétaire lui permet de créer les grandes eaux de Brunoy, sur la pente qui va du plateau de la forêt de Sénart vers l’Yerres. Les eaux venaient à la fois de la forêt elle-même et de l’Yerres grâce à un système de pompes. Le parc comporte alors plusieurs bassins, des massifs de fleurs, des statues, un long canal et une cascade, animée grâce à la machine de Pierre-Joseph Laurent. Les visiteurs sont nombreux : Louis XV, la marquise de Pompadour séjournent à Brunoy. Jean Pâris de Monmartel commence également la décoration intérieure de l’église Saint-Médard.
Son fils Armand, connus comme le marquis de Brunoy, prend la relève à sa mort. Cet extravagant, très porté sur les festivités religieuses, orne toute la ville de noir à la mort de son père : domestiques, château, arbres, fontaines, chevaux vaches et poules. Son étrange comportement (il travaillait avec ses ouvriers) et la dilapidation de sa fortune amènent sa chute : en 1774, le domaine est vendu à Monsieur frère du roi Louis XVI, futur Louis XVIII qui y reçoit plusieurs fois Marie Antoinette. Monsieur réside au petit château, qu’il transforme en une belle demeure selon son goût (actuelle école rabbinique). Par lettres patentes données à Versailles en 1777, les marquisats de Brunoy et de Grosbois sont érigés pour le comte de Provence et son épouse en duché pairie de Brunoy; lequel est ensuite donné en 1786 (sous réserve d'usufruit) à leur neveu, le duc de Normandie, second fils du roi, alors âgé d'un an<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. En 1780, une crue emporte le pont. Il est reconstruit par un architecte de renom, Jean-Rodolphe Perronet. Monsieur et le Roi aiment chasser en forêt de Sénart, et Soufflot est chargé d’y construire un obélisque, la Pyramide actuelle.
Sous la Révolution française, le grand château est rasé, et le domaine démantelé. Brunoy attire alors des personnages célèbres, tel l’acteur François-Joseph Talma (venu à Brunoy comme dentiste). Fidèle de Bonaparte, puis de Louis XVIII, c'est le grand tragédien de son époque. Sociétaire de la Comédie-Française, il a plusieurs propriétés à Brunoy comme la Malgouverne, la Gouvernerie, ou la maison des Nourrices. Le général Dupont-Chaumont est lui propriétaire d’un grand parc aux Bosserons comprenant un château, détruit lors du morcellement du parc au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Modèle:Refnec. De nombreux bourgeois choisissent Brunoy pour leur résidence secondaire. C’est l’époque des châteaux et des belles demeures. On peut citer le domaine de Soulins (acquis par Charles Christofle, orfèvre de génie, spécialiste du procédé de galvanoplastie), le château des Ombrages, le château du Réveillon (occupé aujourd’hui par la Maison des arts), le château Ruel, les bâtisses de l’actuel Muséum national d'histoire naturelle. Corot séjourna à Brunoy et y peignit plusieurs tableaux.
Le chemin de fer (Ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles) arrive à Brunoy en 1849. Sa venue impose la construction d’importants ouvrages d’art, comme le viaduc de Brunoy, long de trois cent soixante-quinze mètres et haut de trente-deux mètres. La gare de Brunoy ouvre en 1852, facilitant le déplacement des personnes et le transport des marchandises, accélérant le mouvement d'urbanisation de la commune.
La mairie actuelle est construite en 1898.
Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Modèle:Référence nécessaire. Brunoy se transforme en ville résidentielle, et les pavillons se développent. La population explose : Modèle:Nombre en 1906, 8 149 en 1936, 22 727 en 1975.
L’électricité est installée en 1907. Pendant la Première Guerre mondiale, la propriété Méla accueille un hôpital de 30 lits, l'Hôpital auxiliaire de la société de secours aux blessés militaires (HASSBM) Modèle:N°. Madame Guttierez accueille, elle, la clinique « Les Bosserons » de 30 lits également, au sein de l'HASSBM Modèle:N°<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Durant la Seconde Guerre mondiale, Christiane et Robert Vilgard s’illustrent en aidant des juifs, ils sont aujourd’hui reconnus par le comité pour Yad Vashem comme Justes parmi les nations<ref>Liste des Justes de France sur le site du comité français pour Yad Vashem. Consulté le 04/01/2009.</ref>.
Dans la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, on construit de grands ensembles immobiliers comme le Grand Parc ou le Parc de Talma au sud de la rivière. Les Hautes Mardelles, cité HLM de plus de trois mille habitants, sont construites en 1968. De violents affrontements opposent policiers et jeunes de ce quartier le weekend du Modèle:Date-<ref>Article de l’Humanité du 18/07/1992</ref>.
Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Brunoy reste une ville essentiellement résidentielle. Les berges de l’Yerres sont aménagées. La forêt de Sénart, autrefois chasse royale, est l’une des forêts les plus fréquentées de la région. Le musée contant l’histoire de Brunoy et de sa région, installé dans la demeure d’un historien, Robert Dubois-Corneau, devient musée de France. Brunoy se rapproche des communes voisines à travers la communauté d’agglomération du Val d’Yerres.
En 2005, des véhicules sont brûlés lors des violences urbaines dans les banlieues qui ont secoué tout le pays en octobre et novembre.
En 2017, le Moulin de la Galette, fermé depuis plusieurs années, est racheté par la Ville qui lance alors un appel à projets pour redynamiser la vie du quartier. Au printemps 2018, il devient ainsi un café associatif nommé le Zef<ref name=Brunoy>Le site internet du Zef, café associatif créé et géré par l'association les Ailes du Moulin à la suite de l'appel à projets lancé par la mairie au printemps 2017.</ref>.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964<ref>Loi Modèle:N°64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF Modèle:N°162 du 12 juillet 1964, Modèle:P.6204–6209, fac-similé sur Légifrance.</ref>, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son arrondissement d'Évry après un transfert administratif effectif au Modèle:Date-.
Elle faisait partie de 1801 à 1919 du canton de Boissy-Saint-Léger de Seine-et-Oise, année où elle intègre le Villeneuve-Saint-Georges. En prémisse de la mise en place de l'Essonne, la ville devient le chef-lieu du canton de Brunoy<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 désormais divisée entre les cantons d'Épinay-sous-Sénart et d'Yerres Modèle:Article détaillé
Pour l'élection des députés, la commune est intégrée à la huitième circonscription de l'Essonne. Modèle:Article détaillé
Intercommunalité
La ville adhérait depuis 2002 à la communauté d'agglomération du Val d'Yerres.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du Modèle:Date-, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le Modèle:Date- un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la « fusion de la communauté d'agglomération Sénart Val de Seine, de la communauté d'agglomération du Val d'Yerres et extension du nouveau regroupement à la commune de Varennes-Jarcy<ref>Modèle:Lien web.</ref> », jusqu'alors membre de la Communauté de communes du Plateau Briard. Celle-ci, après une consultation de ses habitants<ref>Modèle:Lien web.</ref> qui s'est tenue en avril 2015<ref>Modèle:Article.</ref>, intègre néanmoins la communauté de communes de l'Orée de la Brie le Modèle:1er janvier 2016, de manière à ne pas être concernée par la Métropole du Grand Paris<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.
Les communes de Sénart Val de Seine s'opposent à la création, et le maire de Draveil, Georges Tron, organise un référendum dans sa ville, qui aboutit à un rejet de la fusion par 98,3 %, mais avec une participation limitée à 23 % des électeurs<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.
La création de la nouvelle communauté d'agglomération est néanmoins créée par arrêté préfectoral du Modèle:Date- « portant création d’un établissement public de coopération intercommunale issu de la fusion des communautés d’agglomération Sénart Val de Seine et Val d’Yerres », dénommée communauté d'agglomération Val d'Yerres Val de Seine.
Tendances politiques et résultats
Les électeurs de Brunoy votent traditionnellement plutôt à droite, les extrêmes y étant moins marqués comme lors de l’élection présidentielle de 2002 où Jean-Marie Le Pen n’avait recueilli que 15,96 % au premier tour (troisième place derrière Lionel Jospin) et 15,04 % à Brunoy au second tour contre 17,79 % en France, la participation aux scrutins nationaux est souvent plus élevée.
Cependant, comme le reste du pays, Brunoy a placé en tête la gauche lors des élections européennes de 2004 et des élections régionales de 2004 et de 2010<ref>Résultats des élections régionales de 2010 à Brunoy sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 07/05/2012.</ref>, où la ville apporta plus de 58 % des suffrages au candidat de l'Union de la Gauche (PS, Front de Gauche et EELV), Jean-Paul Huchon, président du conseil régional sortant.
En outre, le canton de Brunoy bascula de droite à gauche en 2008, situation inédite depuis une cinquantaine d’année, le candidat socialiste Édouard Fournier profitant de la division de la droite locale au premier tour et du mauvais report de voix sur l’ancien conseiller général soutenu par la droite au second tour.
Néanmoins, l'élection présidentielle de 2012 montre que la ville de Brunoy commence peu à peu à basculer à gauche. En effet, au premier tour, François Hollande (PS) arrive en tête avec 27,92 % des suffrages contre 25,98 % pour le président sortant, Nicolas Sarkozy (UMP) ; la participation pour le premier tour était de 77,33 %<ref name="elections.interieur.gouv.fr">Résultats de l’élection présidentielle 2012 à Brunoy sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 07/05/2012.</ref>. Au second tour, c'est François Hollande qui est préféré avec une courte majorité de 50,65 % des voix ; la participation a d'ailleurs augmenté entre les deux tours pour atteindre 80,05 %.
Au niveau européen, Brunoy est une ville caractéristique des villes qui comptent des populations relativement privilégiées. En effet, les Brunoyens ont par deux fois validé les référendums européens, lors du référendum sur le traité établissant une constitution pour l'Europe et lors du référendum français sur le traité de Maastricht de 1992 (57,16 % de Oui<ref>Résultats du référendum de 1992 à Brunoy sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 02/01/2009.</ref>).
Les électeurs font aussi preuve d’un certain conservatisme en plébiscitant de 1977 à 2012 le maire Laurent Béteille. La ville, peu enclin au changement en ce qui concerne son premier magistrat, n’a ainsi connu que deux maires depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Même si depuis 2001, l'élection municipale connait un fort taux d'abstention et le maire n'est réélu qu'à la majorité relative des voix. En 2012, Laurent Béteille abandonne son fauteuil de maire au profit de son premier adjoint, Bruno Gallier. Celui-ci est réélu en 2014 dès le premier tour, avec 55,64 % des voix. Pour la première fois de son histoire, le Front National obtient deux conseillers municipaux à Brunoy.
Élections présidentielles
Résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 2002 : 85,78 % pour Jacques Chirac (RPR), 14,22 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 82,81 % de participation<ref>Résultats de l’élection présidentielle 2002 à Brunoy sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 02/01/2008.</ref>.
- Élection présidentielle de 2007 : 54,98 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 45,02 % pour Ségolène Royal (PS), 85,13 % de participation<ref>Résultats de l’élection présidentielle 2007 à Brunoy sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 02/01/2009.</ref>.
- Élection présidentielle de 2012 : 50,65 % pour François Hollande (PS), 49,35 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 80,05 % de participation<ref name="elections.interieur.gouv.fr"/>.
- Élection présidentielle de 2017 : 74,58 % pour Emmanuel Macron (LREM), 25,42 % pour Marine Le Pen (FN), 75,89 % de participation.
Élections législatives
Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections législatives de 2002 : 58,60 % pour Nicolas Dupont-Aignan (UMP) élu au premier tour, 23,04 % pour Marie Christine Ducassé (PS), 67,91 % de participation<ref>Résultats de l’élection législative 2002 à Brunoy sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 02/01/2009.</ref>.
- Élections législatives de 2007 : 59,34 % pour Nicolas Dupont-Aignan (DLR) élu au premier tour, 21,48 % pour Véronique Haché-Aguilar (PS), 60,75 % de participation<ref>Résultats de l’élection législative 2007 à Brunoy sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 02/01/2009.</ref>.
- Élections législatives de 2012 : 61,72 % pour Nicolas Dupont-Aignan (DLR), 38,28 % pour Aude Bristot (PS), 56,06 % de participation<ref>Résultats de l’élection législative 2012 à Brunoy sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 20/06/2012.</ref>.
- Élections législatives de 2017 : 53,00 % pour Antoine Pavamani (LREM), 47,00 % pour Nicolas Dupont-Aignan (DLF),, 47,99 % de participation.
Élections européennes
Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections européennes de 2004 : 25,12 % pour Harlem Désir (PS), 17,72 % pour Patrick Gaubert (UMP), 45,93 % de participation<ref>Résultats de l’élection européenne 2004 à Brunoy sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 02/01/2009.</ref>.
- Élections européennes de 2009 : 23,19 % pour Michel Barnier (UMP), 20,21 % pour Jean-Pierre Enjalbert (DLR), 42,59 % de participation<ref>Résultats de l’élection européenne 2009 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 11/06/2009.</ref>.
- Élections européennes de 2014 : 22,17 % pour Dominique Jamet (DLR), 16,40 % pour Aymeric Chauprade (FN), 44,72 % de participation<ref>Résultats de l’élection européenne 2014 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 12/10/2014.</ref>.
- Élections européennes de 2019 : 24,75 % pour Nathalie Loiseau (LREM), 16,79 % pour Yannick Jadot (EELV), 52,45 % de participation.
Élections régionales
Modèle:Section à actualiser Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections régionales de 2004 : 47,70 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 41,66 % pour Jean-François Copé (UMP), 65,95 % de participation<ref>Résultats de l’élection régionale 2004 à Brunoy sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 02/01/2009.</ref>.
- Élections régionales de 2010 : 54,05 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 46,95 % pour Valérie Pécresse (UMP), 46,14 % de participation<ref>Résultats de l’élection régionale 2010 à Brunoy sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 07/05/2012.</ref>.
- Élections régionales de 2015 : 46,57 % pour Valérie Pécresse (LR), 38,05 % pour Claude Bartolone (PS), 56,09 % de participation<ref>Résultats de l’élection régionale 2015 à Brunoy sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 27/12/2015.</ref>.
Élections cantonales puis élections départementales
Modèle:Section à actualiser Résultats des deuxièmes tours :
- Élections cantonales de 2001 : 51,30 % pour Michel Dumont (UDF), 48,70 % pour Christine Malcor (PS), 59,57 % de participation<ref>Résultats des élections cantonales 2001 sur le site du Ministère de l’Intérieur. Modèle:Xls Consulté le 29/03/2008.</ref>.
- Élections cantonales de 2008 : 50,69 % pour Édouard Fournier (PS), 49,31 % pour Michel Dumont (UMP), 50,71 % de participation<ref>Résultats de l’élection cantonale 2008 à Brunoy sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 02/01/2009.</ref>.
- Élections départementales de 2015 : 63,42 % pour Olivier Clodong et Martine Sureau (DLF), 36,58 % pour Élodie Jauneau et Kile Olivier Yenge (PS), 44,72 % de participation.
Élections municipales
- Élections municipales de 2001 : 39,96 % pour Laurent Béteille (RPR), 34,30 % pour Christine Malcor (PS), 61,59 % de participation<ref>Résultats de l'élection municipale de 2001 à Brunoy sur le site du quotidien Le Figaro. Consulté le 29/12/2010.</ref>.
- Élections municipales de 2008 : 49,02 % pour Laurent Béteille (UMP), 39,68 % pour Christine Malcor (PS), 51,55 % de participation<ref>Résultats de l’élection municipale 2008 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 22/01/2013.</ref>.
- Au premier tour des élections municipales de 2014 dans l'Essonne, la liste UMP-UDI menée par le maire sortant Bruno Gallier Modèle:Incise obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec Modèle:Unité (55,63 %, 28 conseillers municipaux élus dont 10 communautaires), devançant très largement celles menées respectivement par<ref>Résultats officiels pour la commune Brunoy</ref> :
- Édouard Fournier (PS-PCF-EELV , Modèle:Unité, 30,15 % , 5 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires) ;
- Marie-Thérèse Donzeau (FN, Modèle:Unité, 14,20 %, 2 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin, 45,45 % des électeurs se sont abstenus.
- Au premier tour des élections municipales de 2020 dans l'Essonne<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>, la liste LR menée par le maire sortant Bruno Gallier obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec Modèle:Unité (55,99 %, 28 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires) , devançant très largement celles menées respectivement par<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- Karim Sellami (EELV, Modèle:Unité, 25,14 %, 4 conseillers minicipaux élus dont 1 communautaire) ;
- Arnaud Degen (DIV, Modèle:Unité, 18,85 %, 3 conseillers municipaux dont 1 communautaires).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 66,68 % des électeurs se sont abstenus.
Référendums
- Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel : 73,08 % pour le Oui, 26,92 % pour le Non, 31,24 % de participation<ref>Résultats du référendum 2000 sur le site politiquemania.com Consulté le 09/05/2009.</ref>.
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l’Europe : 50,53 % pour le Oui, 49,47 % pour le Non, 71,96 % de participation<ref>Site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 30/11/2008.</ref>.
Liste des maires
Vingt-six maires se sont succédé à la tête de l’administration municipale de Brunoy depuis l’élection du premier en 1789.
Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3"| Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin Source : Modèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Instances de démocratie participative
Distinctions et labels
Modèle:Section à actualiser En 2003, la ville reçoit le prix spécial du jury du grand prix de l’environnement des villes d’Île-de-France<ref>Lauréats 2003 du grand prix de l’environnement des villes d’Île-de-France Consulté le 28/03/2009</ref>
Jumelages
Modèle:Début de carte[[Image:Modèle:Géolocalisation/Europe|200px|Localisation des villes jumelées avec Brunoy]] Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:G Modèle:Fin de carte
La commune a développé des associations de jumelage avec :
- Modèle:Jumelage, située à 1 225 kilomètres<ref>Fiche du jumelage avec Espinho sur le site du ministère français des Affaires étrangères. Consulté 07/01/2013.</ref>.
- Modèle:Jumelage, située à Modèle:Unité<ref>Fiche du jumelage avec Reigate sur le site du ministère français des Affaires étrangères. Consulté le 07/01/2013.</ref>.
- Modèle:Jumelage, située à Modèle:Unité<ref>Fiche du jumelage avec Wittlich sur le site du ministère français des Affaires étrangères. Consulté le 07/01/2013.</ref>.
Au-delà de l'Europe, elle a signé un pacte d'amitié avec la ville de Mendoza en Argentine.
Équipements et services publics
Modèle:… → Conseils pour la rédaction de cette section.
Eau et déchets
Modèle:... L’eau potable provient des usines de Vigneux-sur-Seine (40 %) et Morsang-sur-Seine (20 %) qui traitent l’eau de la Seine et l’eau souterraine captée en Seine-et-Marne (30 %) et dans le Val d’Yerres (10 %). Elle est calcaire (dureté de Modèle:Unité en moyenne) et peu fluorée<ref>Synthèse de la qualité de l’eau à Brunoy en 2005</ref>.
Enseignement
Modèle:Section à actualiser Les écoles de la commune relèvent de l’académie de Versailles et de l’inspection académique de l’Essonne. La circonscription fait partie du bassin d’éducation et de formation de Brunoy<ref>Inspection académique de l’Essonne, circonscription de Brunoy</ref>.
En 2010, la commune dispose sur son territoire des six écoles maternelles Les Sauvageons, Les Bosserons, La Sablière, Le Champ Fleuri, La Vigne des Champs et Soulins, des trois écoles élémentaires Les Ombrages, Les Mardelles et Jean-Merlette, des trois écoles primaires Le Chêne, François-Joseph Talma et Robert-Dubois<ref>Liste des écoles de l’Essonne sur le site de l’inspection académique. Consulté le 01/09/2010.</ref>. Les élèves poursuivent leur scolarité dans les collèges Louis-Pasteur et Albert-Camus et au lycée général et technique François-Joseph-Talma<ref>Liste des établissements du second degré de l’Essonne sur le site de l’Académie de Versailles. Consulté le 04/10/2010.</ref>.
La ville compte par ailleurs deux établissements privés, un établissement catholique sous contrat, l’Institut Saint-Pierre (de la maternelle au lycée)<ref>Liste des écoles privées sous contrat de l’Essonne sur le site de l’inspection académique. Consulté le 02/01/2009.</ref> et une école privée de pédagogie Montessori (primaire) ainsi que deux établissements pour personnes handicapées, l’institut médico-éducatif Les Vallées<ref>Liste des IME de l’Essonne sur le site de l’inspection académique. Consulté le 02/01/2009.</ref> et l’institut médico-éducatif La Cerisaie<ref>Annuaire des structures pour handicapés de l’Essonne sur le site de l’inspection académique. Consulté le 02/01/2009.</ref>.
Trois crèches et deux haltes-garderies accueillent les jeunes enfants, trois centres de loisirs (La Vigne des Champs, Robert-Dubois et Talma) assurent la garde durant les vacances scolaires.
Équipements culturel
La commune dispose de six installations à caractère culturelle sur son territoire. La bibliothèque municipale dotée de dix huit mille volumes en section jeunesse et vingt mille en section adulte<ref>Bibliothèque municipale de Brunoy</ref>, le centre municipal de culture et de loisirs qui accueille une école d’art, des ateliers et des expositions d’artistes<ref>Page sur le CMCL</ref>, l’école de musique et de danse, le théâtre de la vallée de l’Yerres, inauguré en 2007 disposant de cinq cent trente places<ref>Visite du Théâtre de la Vallée de l’Yerres</ref>, la salle des fêtes et la salle Leclerc.
S’ajoutent un site du Muséum national d'histoire naturelle (le laboratoire et parc d’écologie générale) et le musée Robert Dubois-Corneau, musée d’histoire locale installé dans l’ancienne demeure du collectionneur et labellisé musée de France.
Équipements sportifs
Modèle:Section à actualiser Brunoy compte un centre nautique intercommunal, deux stades, deux gymnases, treize courts de tennis dont trois couverts, un dojo, un plateau d’évolution consacré aux sports de glisse ainsi qu’un terrain de boules lyonnaises et une aire de pétanque<ref>Équipements sportifs à Brunoy</ref>.
Postes et télécommunications
Modèle:Section à actualiser En 2010, trois bureaux de poste sont réparties sur le territoire en centre-ville<ref>Coordonnées de l'agence postale de Brunoy Centre sur le site officiel de La Poste. Consulté le 14/11/2010.</ref>, dans les quartiers sud<ref>Coordonnées de l'agence postale de Brunoy Monsieur sur le site officiel de La Poste. Consulté le 14/11/2010.</ref> et aux Provinciales<ref>Coordonnées de l'agence postale de Brunoy Provinciales sur le site officiel de La Poste. Consulté le 14/11/2010.</ref>.
Santé
Modèle:Section à actualiser En 2009, Brunoy ne dispose pas sur son territoire d’hôpital et relève pour les pathologies lourdes du centre hospitalier intercommunal de Villeneuve-Saint-Georges, les urgences étant traitées par le SMUR de Corbeil-Essonnes.
Deux cliniques médicales privées sont installées à Brunoy, la clinique Les Vallées et la clinique Les Jardins, auxquelles s’ajoutent quatre maisons de retraite privées, l’Arepa, la maison de la Fondation Balcarce et Gutierrez de Estrada, la maison du Tiers Temps et le Repotel.
Toujours en 2009, cinquante-huit médecins<ref>Annuaire des médecins sur le site du Conseil national de l’Ordre. Consulté le 03/01/2009.</ref>, vingt chirurgiens-dentistes<ref>%5Bnom%5D=&tx_oncdpraticien_pi1 %5Bprenom%5D=&tx_oncdpraticien_pi1 %5Brue%5D=&tx_oncdpraticien_pi1 %5Bville%5D=brunoy&tx_oncdpraticien_pi1 %5Bcp%5D=&tx_oncdpraticien_pi1 %5Bdepartement%5D=0&tx_oncdpraticien_pi1 %5Brecherche%5D=rechercher Annuaire des chirurgiens-dentistes sur le site de l’Ordre national. Consulté le 03/01/2009.</ref> et neuf pharmacies<ref>Annuaire des pharmacies sur le site de l’Ordre national. Consulté le 03/01/2009.</ref> et deux centres de la protection maternelle et infantile<ref>Annuaire du PMI sur le site des services publics. Consulté le 03/01/2009.</ref>,<ref>Annuaire du PMI sur le site des services publics. Consulté le 03/01/2009.</ref> sont implantés sur la commune.
Justice, sécurité, secours et défense
L’organisation judiciaire rattache les justiciables de Brunoy au tribunal d’instance de Juvisy-sur-Orge, aux tribunaux de Tribunal judiciaire, de tribunal de commerce et conseil de prud’hommes d’Évry, tous dépendants de la cour d'appel de Paris<ref>Organisation juridictionnelle sur le site du ministère de la Justice. Consulté le 02/01/2009.</ref>.
Le centre de secours d’Épinay-sous-Sénart<ref>Carte des centres de secours de l’Essonne sur le site du sdis91. Consulté le 03/01/2009.</ref> assure en 2009 la sécurité des biens et personnes de la commune.
Autres services publics
Modèle:Section à actualiser En 2009, la commune dispose d'un délégué du médiateur de la République qui tient une permanence au centre commercial des Provinciales<ref>Annuaire du médiateur de la République en Essonne sur le site des services publics. Consulté le 03/01/2009.</ref>, un centre d'information et d'orientation est installé rue Talma<ref>Annuaire du CIO sur le site des services publics. Consulté le 03/01/2009.</ref>, la caisse d’allocations familiales dispose d’une antenne dans la commune<ref>Annuaire de la CAF sur le site des services publics. Consulté le 03/01/2009.</ref> comme la caisse primaire d'assurance maladie<ref>Annuaire de la CPAM sur le site des services publics. Consulté le 03/01/2009.</ref>, une agence de l’Assedic reçoit les demandeurs d’emplois<ref>Annuaire de l’Assedic sur le site des services publics. Consulté le 03/01/2009.</ref> et une perception<ref>Liste des trésoreries de l’Essonne sur le site de la Drire d’Île-de-France. Consulté le 03/02/2010.</ref> accueille les contribuables.
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Brunoyens ou les Brénadiens<ref>Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 02/01/2009.</ref>.
Évolution démographique
Modèle:Article connexe Modèle:Population de France/section Gros bourg lors du premier recensement des personnes en 1793, Brunoy perd alors des habitants jusqu’au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et 1826 qui voit la première hausse, le passage de la barre des mille personnes en 1836, progression continue jusqu’à la petite baisse des années 1850. Au sortir de la guerre franco-prussienne de 1870, la commune connait une première hausse importante, dépassant les deux mille résidents en 1876. Au passage du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, deux mille six cent quarante-deux personnes vivaient à Brunoy. Le chiffre augmente rapidement en trente ans pour atteindre sept mille cinq cent dix neuf résidents permanents grâce à la construction des premiers lotissements pavillonnaires. Les deux guerres mondiales n’ont que peu d’impact démographique à Brunoy, la commune dépassant le seuil des dix mille habitants au sortir de la seconde en 1946. À partir de la fin des années 1950 intervient la deuxième forte progression avec la construction de grands ensembles, Brunoy étant située en relative proche banlieue et desservie par les axes de transports, de dix mille neuf cent vingt personnes en 1954, elle passa à plus de quatorze mille en 1962, plus de seize mille en 1968 et vingt-deux mille sept cent vingt-sept en 1975, fin des grands chantiers.
Elle se stabilise alors malgré un net recul entre 1990 et 1999 où elle perd plus de huit cent cinquante personnes en dix ans, mais progresse à nouveau pour atteindre vingt-cinq mille huit cent cinquante-six Brunoyens lors du recensement en 2006.
En 1999, 6,4 % des résidents de la commune sont de nationalité étrangère<ref>Données démographiques communales sur le site de la mission interministérielle à la Ville. Consulté le 02/01/2009.</ref>, dont 2,2 % originaires du Portugal, 0,7 % d’Algérie, 0,5 % d’Italie et du Maroc, 0,3 % de Tunisie, 0,2 % d’Espagne et 0,1 % de Turquie<ref>Répartition de la population par nationalités sur le site de l’Insee. Consulté le 02/04/2009.</ref>.
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 36,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 24,1 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 51,51 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,02 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Sports et loisirs
Modèle:Section à sourcer Parmi les équipes et les clubs, on peut citer l’Étincelle sportive de Brunoy (basket-ball), le Cercle nautique de Brunoy (natation), le Neptune Club de Brunoy (plongée sous-marine), le Football club de Brunoy (football) ou l’Athlétic Brunoy club (athlétisme), ainsi que l’ES Brunoy Handball mais également le Brunoy Floorball Club (hockey en salle).
Chaque année sont organisées les « dix bornes de la Saint-Médard », course à pied à travers la commune.
Diverses manifestations sont organisées dans la commune dont le festival international de music-hall, le festival d'orgue, la quinzaine de la danse et le salon des illustrateurs et du livre de jeunesse. Vingt-quatre associations animent la saison culturelle à Brunoy dont les compagnies de théâtre de la Brie et les Marivaux d’Yerres.
Cultes
Modèle:Section à actualiser La paroisse<ref>Présentation de la paroisse de Brunoy sur le site du diocèse d’Évry-Corbeil-Essonnes. Consulté le 03/01/2009.</ref> de Brunoy relève du doyenné de Brunoy - Val d’Yerres et du diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes<ref>Secteur pastoral de Brunoy - Val d’Yerres</ref>. Les fidèles sont accueillis dans les églises Saint-Médard, Saint-Pierre Fourier, la chapelle Notre-Dame de Lourdes (aussi appelée Notre-Dame du Sauvageon) et au relais Saint Paul.
Le culte juif dispose en 2009 de la yechiva Tomhei Temimim Loubavitch<ref>Site officiel de la Yechiva. Consulté le 03/01/2009.</ref>.
Egalement en 2009, le culte protestant est représenté par l’église protestante évangélique du Val d’Yerres<ref>Fiche de l’église protestante évangélique sur l’annuaire de l’Essonne. Consulté le 03/01/2009.</ref>. .
Médias
La ville de Brunoy diffuse chaque mois le magazine Un mois en ville<ref>Magazine municipal</ref>, complétée par la diffusion deux fois par an de La parole aux quartiers. La communauté d’agglomération publie chaque trimestre le Val d’Yerres Magazine.
Les pages locales du Parisien et Le Républicain couvrent le secteur de Brunoy en ce qui concerne la presse écrite.
Il existe une chaîne de télévision départementale : Téléssonne, ainsi qu’une radio locale : EFM. La radio Horizon FM fut un temps installée à Brunoy avant son déménagement en 1983 à Quincy-sous-Sénart.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Modèle:Section à actualiser Le revenu net imposable des ménages Brunoyens s’élevait à 23 103 euros, 71 % des ménages étant imposés sur le revenu<ref>%5CCOM%5CRS_COM91114.pdf Résumé statistique de Brunoy sur le site de l’Insee. Consulté le 04/01/2009.</ref>.
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Euro, ce qui plaçait Brunoy au 3 030e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Emploi
Modèle:Section à actualiser La population active de la commune est estimée à Modèle:Nombre en 1999 avec un taux de chômage fixé à 9,0 %, 90 % des actifs occupant un emploi exerçaient dans le secteur tertiaire, 5,7 % dans la construction, 3,8 % dans l’industrie et seulement 0,2 % soit huit personnes dans l’agriculture sans qu’il n’y ait d’exploitation sur le territoire communal<ref>%5CCOM%5CDL_COM91114.pdf Fiche statistique de Brunoy sur le site de l’Insee. Consulté le 04/01/2009.</ref>. En 2005
Répartition des emplois par catégorie socioprofessionnelle en 2006. | ||||||
Agriculteurs | Artisans, commerçants, chefs d’entreprise |
Cadres et professions intellectuelles supérieures |
Professions intermédiaires |
Employés | Ouvriers | |
---|---|---|---|---|---|---|
Brunoy | 0,1 % | 6,2 % | 19,6 % | 29,1 % | 32,6 % | 12,4 % |
Zone d’emploi de Créteil | 0,2 % | 5,4 % | 17,6 % | 27,3 % | 30,3 % | 19,3 % |
Moyenne nationale | 2,2 % | 6,0 % | 15,4 % | 24,6 % | 28,7 % | 23,2 % |
Répartition des emplois par secteur d'activité en 2006. | ||||||
Agriculture | Industrie | Construction | Commerce | Services aux entreprises |
Services aux particuliers | |
Brunoy | 0,3 % | 3,7 % | 5,6 % | 9,9 % | 8,8 % | 7,8 % |
Zone d’emploi de Créteil | 0,7 % | 9,4 % | 7,1 % | 14,4 % | 13,9 % | 7,2 % |
Moyenne nationale | 3,5 % | 15,2 % | 6,4 % | 13,3 % | 13,3 % | 7,6 % |
Sources : Insee<ref>Rapport statistique national sur le site de l’Insee. Consulté le 05/07/2009.</ref> |
Entreprises et commerces
Modèle:Section à actualiser En 2006, 1057 entreprises sont installées à Brunoy. En 2005, Modèle:Nombre salariés existent dans la ville<ref>Insee, répartition de l’emploi salarié sur la CA du Val d’Yerres</ref>. L’éducation, la santé et l’action sociale sont les secteurs les plus représentés, tout comme la fonction publique territoriale qui emploie cinq cents agents<ref>Insee, l’emploi sur le territoire de la CA du Val d’Yerres</ref>.
La région de Brunoy, très résidentielle, se caractéristique par un déficit d’emploi important : le taux d’emploi net de l’agglomération n’est que de 0,41, l’un des plus faibles du département<ref>Insee, Île-de-France à la page, janvier 2005</ref>. Pour y remédier, la communauté d’agglomération souhaite développer l’activité économique en favorisant l’installation d’entreprises le long de la RN6<ref>Le Val d’Yerres Magazine, octobre 2008</ref>. Les principales entreprises sur le territoire municipal sont le Crédit agricole titres (activités financières) qui occupe quatre cents salariés, la Société de transport automobile et de voyage et l’Association Saint-Pierre-Notre-Dame avec deux cents salariés chacune. Deux centres commerciaux sont implantés dans les quartiers Talma et La Vigne des Champs, deux marchés se tiennent en centre-ville les jeudis et dimanches matin et dans le quartier des Bosserons les mardis et vendredis matin<ref>Annuaire des marchés sur le site Marchés de France. Consulté le 25/04/2011.</ref>. Un office de tourisme a été mis en place pour promouvoir la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le patrimoine architectural de Brunoy est varié, avec des monuments de différentes époques.
Le patrimoine mégalithique se compose de deux alignements, situés aux bords de l'Yerres et dénommés tous deux Pierres Frittes (ou Fittes) c’est-à-dire « la pierre fichée en terre », tous deux classés monuments historiques respectivement en 1889 et 1977 (alignement dit de la propriété Talma, et celui incluant les menhirs de Haute-Borne et du Gros-Caillou).
L’église Saint-Médard, située au cœur de Brunoy, a été reconstruite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, sur l’emplacement d’une chapelle mérovingienne (les récents travaux ont découvert une tombe de cette époque). Elle possède de riches boiseries datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle en lambris sculptés, peints et dorés. Un chevet à cinq pans et un chœur Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, deux peintures de Jean Restout (1732-1797) : Saint Joseph et l’Enfant, la Vierge et l’Enfant, des vitraux du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle d’Émile Hirsch, élève de Delacroix complètent la richesse de l’édifice. Elle fut classée monument historique en 1981<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Deux ponts remarquables subsistent encore sur le cours de l’Yerres : le Pont de Soulins, peint par Caillebotte<ref>Brunoy, le pont de Soulins, 1872-1878, huile sur toile, collection privée</ref>, plus vieux pont de Brunoy, datant de 1745, qui constitue avec la gloriette et les petites îles sur l’Yerres un cadre pittoresque, inscrit à l’inventaire des monuments historiques en 1987<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> ; et le pont Perronet, reconstruit en 1780 (à la place d’un pont en bois emporté par une crue) par Jean-Rodolphe Perronet, architecte de renom constructeur, entre autres, du pont de la Concorde à Paris. Ce pont enjambe l’Yerres et permet de relier les deux rives de la ville. Son parapet est décoré d’une superbe grecque. C’est un point de vue intéressant sur la vieille ville et sur l’église Saint-Médard, classé monument historique en 1991<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
La Pyramide, en fait un obélisque, marque l’entrée de Brunoy sur la RN6 et la porte de la forêt de Sénart. Construite en 1779 par Soufflot, c’était le rendez-vous de chasse du roi Louis XVI. Lieu accidentogène, cet obélisque a été déplacé pour libérer la chaussée durant les années 1960. Il était entouré de deux sculptures de Maurice Prost jusqu’en 2003, date de leur déplacement. Ces deux sculptures ont ensuite été positionnées dans les jardins du musée Robert Dubois-Corneau. Classée monument historique en 1934<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Modèle:Article détaillé
Diverses riches demeures rappellent les villégiatures qui autrefois prévalaient dans la vallée de l’Yerres, dont le musée Robert Dubois-Corneau, le château du Réveillon, le château des Ombrages<ref>Fiche de la demeure des Ombrages sur le site topic-topos.com Consulté le 01/02/2009.</ref>, le Petit Château, ancienne résidence du comte de Provence<ref>Fiche du Petit Château sur le site topic-topos.com Consulté le 01/02/2009.</ref> et ses communs<ref>Fiche des communs du Petit Château de Brunoy sur le site topic-topos.com Consulté le 01/02/2009.</ref>, la demeure des Choquets<ref>Fiche de la demeure des Choquets sur le site topic-topos.com Consulté le 01/02/2009.</ref>, la maison des Nourrices, propriété de François-Joseph Talma au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Fiche de la maison des Nourrices sur le site topic-topos.com Consulté le 01/02/2009.</ref>.
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Le château du Réveillon.
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Ancienne demeure bourgeoise.
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Le pont Perronet.
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Le pont de Soulins.
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La grange de l’île sur l’Yerres.
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L’ancien moulin de Brunoy.
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Intérieur de l'église Saint-Médard.
Brunoy dans les arts
- Brunoy est aussi le patronyme choisi par Blanchette Brunoy (1915-2005), actrice française.
- Brunoy a servi de lieu de tournage pour plusieurs films dont La Cage de Pierre Granier-Deferre sorti en 1975<ref name="L2TC Brunoy">Liste des films tournés à Brunoy sur le site L2TC.com Consulté le 23/08/2012.</ref>, Lucy en miroir de Raphaël Bassan sorti en 2003<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata}}/{{#if:||reference}} {{#if:||Lucy en miroir}} sur l’Modèle:Lang.</ref>, Intrusions d’Emmanuel Bourdieu sorti en 2007<ref name="L2TC Brunoy"/> et Après mai, d'Olivier Assayas (2012).
Personnalités liées à la commune
Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Brunoy<ref>SAHAVY, les personnages de la Vallée de l’Yerres</ref> :
- Louis Denis Lalive de Bellegarde (1680-1751), financier, seigneur de Brunoy.
- Jean Pâris de Monmartel (1690-1766), marquis de Brunoy, financier, garde du Trésor royal, banquier de la Cour, y a habité.
- Jacques-Germain Soufflot (1713-1780), architecte français, y séjourne.
- Pierre-Louis Davous (1749-1819), comte d’Empire, membre du Sénat conservateur, pair de France, agent puis président de l’administration centrale de la municipalité du canton de Brunoy de floréal an V (avril-mai 1797) à nivôse an VIII (décembre/janvier 1799/1800).
- Le comte de Provence, Monsieur, futur Louis XVIII (1755-1824), y vécut.
- Jules-David Cromot du Bourg (1725-1786), surintendant des finances et bâtiments de Monsieur, gouverneur du château de Brunoy, est inhumé à Brunoy.
- Pierre Antoine Dupont-Chaumont (1759-1838), officier supérieur dans l’armée révolutionnaire, puis avec [[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]]. Il achète en 1799 l’ancienne faisanderie des Bosserons.
- François-Joseph Talma (1763-1826), tragédien français, révolutionne la scénarisation du théâtre classique. Il a habité à Brunoy où ses anciennes possessions foncières ont marqué profondément l'urbanisation de la commune dans les années 1970, avec la création d'un nouveau quartier sur leur emplacement : résidence Talma, lycée Talma, centre commercial, Centre d'Information et d'Orientation (CIO), commissariat de police, stade Parfait-Lebourg. Ce projet immobilier « pharaonique » fait alors l'objet d'une violente opposition et voit la naissance d'une association environnementaliste menée par le Dr Jean Gautier, Jean Monestier (acteur-animateur) et Pierre Gavary (comédien).
- Antoine Alexandre Dejean (1765-1848), général des armées de la République et de l'Empire, y est mort.
- Charlotte Vanhove (1771-1860), actrice française, y vécut.
- Pierre Lafon (1773-1846), né Pierre Rapenouille, tragédien français, surnommé « le beau Lafon », fait ombrage à Talma. Habite Brunoy, rue du Pont-Perronnet ; sa maison est toujours visible au carrefour de la Poste.
- Général José de San Martín (1778-1850), général argentin, y est inhumé entre 1861 à 1880 avant que sa dépouille soit rapatriée à la cathédrale de Buenos Aires. Sa petite-fille Modèle:Mme Balcarce y Gutiérrez de Estrada a fondé à Brunoy une institution caritative.
- Jean-Baptiste Camille Corot (1796-1875), peintre, y séjourne. L'un des tableaux qu'il y a peint, Grange à Brunoy, fait partie de la collection du Palais Fesch-musée des Beaux-Arts d'Ajaccio.
- Charles Christofle (1805-1863), orfèvre, achète le domaine de Soulins, démoli en 1967.
- Ferdinand Hoefer (1811-1878), médecin, lexicographe, écrivain, habite les Bosserons au 27 rue des Grès.
- Henri Sellier (1849-1899), ténor français, interprète de Sigurd, Salambo, La Juive, Les Huguenots, habite à Brunoy la villa Rhadamès.
- Marguerite Delaroche (1873-1963), peintre française, née à Brunoy.
- Marie Curie (1867-1934), physicienne française, double prix Nobel.
- Louis Gervais dit Gervaise (1883-1967), créateur du premier parc d’attraction avec vélos comiques "Chez Gervaise" à Brunoy.
- Francis Carco (1886-1958), écrivain, habite longtemps rue des Vallées.
- Henri Fruchaud (1894-1960), chirurgien, officier des forces françaises libres, Compagnon de la Libération, y décède.
- Jean Gounot (1894-1978), gymnaste triple médaillé olympique, y a vécu et y est enterré<ref>Un mois dans la ville, magazine de la ville de Brunoy, Modèle:N°, février 2015, page 30.</ref>.
- Perikl Stavrov (1895-1855), écrivain grec d'origine russe, y est décédé.
- Valéry Inkijinoff (1895-1973, acteur français, d’origine russe, y décède.
- Georges Bataille (1897-1962), écrivain et philosophe français.
- Paul Grimault (1905-1994), réalisateur français, passe son enfance en bordure de la forêt de Sénart, aux « Bosserons ».
- Robert Miquel (1905-1995]), dit Romi, écrivain français, homme de radio, collectionneur, antiquaire, historien de l'insolite, des mœurs privées, des arts mineurs et de l'érotisme, il a été journaliste à Paris Match et au Crapouillot. Habitait rue des Vallées.
- Helmut von Zborowski, (1905-1969) comte autrichien, ingénieur en aéronautique, inventeur de concepts innovants : décollage vertical, aile annulaire. Pris par les Français à la fin de la Seconde Guerre mondiale en 1945, il est assigné à résidence à Brunoy au château du Réveillon et fonde ensuite un bureau d'études pour promouvoir ses inventions avant de retourner en Autriche. Il travaillait sur le projet "Coléoptère" de la SNECMA en 1955.
- Henri Pollès (1909-1994), écrivain et poète, y est décédé.
- Henry Coston (1910-2001), journaliste, éditeur, essayiste et militant d'extrême droite français, vécut avant la Seconde Guerre mondiale avenue du Parc où il domicilia différentes structures militantes ou éditoriales, dont les Nouvelles Éditions Nationales.
- Léo Valentin (1919-1956), l’homme-oiseau, résidait dans le quartier des Bosserons.
- Jean Boulet (1920-2011), pilote d'essai et détenteur du record d'altitude en hélicoptère.
- Jean Bruce (1921-1963), écrivain français, créateur du personnage d’OSS 117, habite rue Tronchard.
- Bernard Clavel (1923-2010), écrivain français, y vécut rue Jules-Ferry. Claude Silberzahn (1935-2020) lui racheta la maison où il vécut, alors qu'il était directeur de la DGSE.
- Michel Serrault (1928-2007), acteur français, est né dans la commune mais n’y a jamais séjourné.
- André Brugiroux (1937- ), écrivain, y vécut.
- Michel Roche (1939-2004), cavalier de sauts d'obstacles, champion olympique, y est né.
- Élie Delamare-Deboutteville (1947-2013), poète français, y est décédé.
- François Lamy (1959- ), député-maire de Palaiseau, y est né.
- François Levantal (1960- ), acteur français de film et de série policière, y passa une partie de son enfance.
- François Lenglet (1961- ), journaliste économique français actuellement à la rédaction de France 2, après avoir travaillé chez BFM TV et RMC, et pour des journaux comme Les Échos, La Tribune et Le Point. Vit à Brunoy.
- Jason Mayele (1976-2002), footballeur international, y fut licencié.
- Mélanie Georgiadès dite Diam’s (1980- ), chanteuse de rap, y vécut vers 1990, rue du Pont-Perronnet.
- Maxime Bourgeois (1991- ), footballeur professionnel français, y a grandi et y fut licencié.
- Claude Vedel (1942-2013), né et mort à Brunoy, économiste, Professeur de sciences économiques à l'Université Panthéon-Assas-Paris II. Auteur du livre "Théorie monétaire internationale".
Héraldique, logotype et devise
La commune s'est en outre dotée d'un logotype qui reprend le blason historique de la ville de façon stylisée.
Voir aussi
Bibliographie
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