Combs-la-Ville

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Combs-la-Ville est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

La commune appartient à la ville nouvelle de Sénart. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Combs-la-Ville est une commune située dans le département de Seine-et-Marne faisant partie de la communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart. La ville est située à Modèle:Unité au sud-est de Paris et à un peu plus de Modèle:Unité au nord de Melun, préfecture du département. Limitrophe du département de l'Essonne, elle est localisée entre la forêt de Sénart à l'ouest, la rivière de l'Yerres au nord et le plateau de Brie à l'est et au sud. Elle est traversée dans sa partie sud par la nationale 104 appelée « la Francilienne ». Modèle:Multiple image

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont :

Hydrographie

Réseau hydrographique

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Combs-la-Ville.
Fichier:L'Yerres à Combs-la-Ville.JPG
L'Yerres à Combs-la-Ville

Le réseau hydrographique de la commune se compose de dix cours d'eau référencés :

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de Modèle:Unité<ref name="siges">Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 23 octobre 2019</ref>.

Gestion des cours d'eau

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du Modèle:Date-, plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie<ref name="GestRiv">Modèle:Lien web.</ref>.

La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le Modèle:Date-. Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de Modèle:Unité, parcouru par un réseau hydrographique de Modèle:Unité de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon<ref name="SAGE-yerres">Modèle:Lien web.</ref>. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »<ref>site officiel du Syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)</ref>.

Climat

Modèle:Encadré La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>. Il est caractérisé par une pluviométrie répartie tout au long de l'année et des températures généralement modérées<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Fichier:77122-Combs-la-Ville-ZNIEFF2.png
Carte des ZNIEFF de Modèle:Nobr localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Combs-la-Ville comprend deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> :

Urbanisme

Typologie

Combs-la-Ville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Lieux-dits et écarts

La commune compte Modèle:Nobr lieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,3% ), zones urbanisées (29,8% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12,1% ), forêts (7,9% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (3% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Planification

La loi SRU du Modèle:Date- a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de Modèle:Unité et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Sénartdont l'étude a été engagée en 2013, portée par le syndicat Mixte de Sénart Val de Seine (SYMSEVAS)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme<ref group= Carte name="Géoport">Modèle:Lien web.</ref>.

Logement

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de Modèle:Nombre dont 54,4 % de maisons et 44,6 % d’appartements.

Parmi ces logements, 92,9 % étaient des résidences principales, 0,6 % des résidences secondaires et 6,6 % des logements vacants.

La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 64,9 % contre 34 % de locataires<ref name="insee">Statistiques officielles de l'Insee.</ref>, dont 17,4 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)<ref group="Note">Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).</ref> et 1,2 % logés gratuitement.

Voies de communication et transports

Voies routières

En venant de Paris :

En venant de province :

Transport ferroviaire

Toponymie

Le nom de la localité est mentionné sous la forme « Villa cognominata Cumbis in pago Parisiaco » en 576<ref>Poupardin, Saint-Germain-des-Prés, I, Modèle:P..</ref> et 655<ref>Histor. France, III, Modèle:P..</ref> ; In Cumbis au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Polypt. Irminon.</ref> ; « Villa Cumbis in territorio Briacensi sita » en 1061<ref>Prou, Philippe {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}, Modèle:P..</ref> ; Villa que Cons vocatur en 1153<ref>Archives nationales, LL 1599, Modèle:P..</ref> ; Cuns en 1197<ref>Archives nationales, S 5147a, fol. 36.</ref> ; Cons en 1198<ref>Ann. Gâtinais, XXIV, 1906, Modèle:P..</ref> ; Parrochia de Comis<ref>Archives nationales, S 2174a, fol. 26.</ref> et Combs en 1216<ref>Cartulaire de N.-D. Paris, I, 71.</ref> ; Consvilla en 1228<ref name="S 2138b">Archives nationales, S 2138b.</ref> ; Parrochia de Combisvilla en 1235<ref>Archives nationales, S 39.</ref> ; G. de Cumbisvilla en 1237<ref>Archives nationales, LL 1599, Modèle:P..</ref> ; Coms en 1272<ref>Cartulaire de N.-D. Paris, I, 136p. 183.</ref> ; Quons, Quoons la ville en 1319<ref>Archives nationales, S 204, Modèle:N°.</ref> ; Cons la ville<ref>Archives nationales, S 204, Modèle:N°.</ref>, Cuons la ville<ref>Archives nationales, S 204, Modèle:N°.</ref> et Coignevilla en 1331<ref>Archives nationales, S 204, Modèle:N°).</ref> ; Conz la ville en 1340<ref>Archives nationales, S 204, Modèle:N°.</ref> ; Conbisvilla en 1356<ref>Cartulaire de N.-D. Paris, III, Modèle:P..</ref> ; Combz la ville en 1405<ref>Archives nationales, S 2174a, fol. 30.</ref> ; Conlaville en 1409<ref name="S 2138b" /> ; Camps la ville en Brye en 1673<ref>Archives nationales, Q1 1401.</ref> ; Comblaville en 1770<ref>Archives nationales, Q1 1399.</ref>,<ref name="H-Stein">Modèle:Ouvrage.</ref>.

Combs-la-Ville est formé sur le radical celtique Cumba, passé au roman et au français dialectal, combe qui désigne une vallée<ref>Michel Roblin - 1951 - Le terroir de Paris aux époques gallo-romaine et franque - page 74.</ref>.

Histoire

Modèle:... En 636, le roi Dagobert lègue sa terre de Combs (cumbis) à l’abbaye de Saint-VincentModèle:Refnec, qui se nommera plus tard Saint-Germain-des-Prés.

En 1783, le comte de Provence, frère puîné du roi Louis XVI et futur roi Louis XVIII, est propriétaire de Combs-la-VilleModèle:Refnec.

La gare de Combs-la-Ville - Quincy est inaugurée le 12 août 1849, puis reconstruite en 1981.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

La commune se trouve dans l'arrondissement de Melun du département de Seine-et-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription de Seine-et-Marne.

Elle faisait partie de 1793 à 1991 du canton de Brie-Comte-Robert, année où elle devient le chef-lieu du canton de Combs-la-Ville<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 4 à 5 communes.

Intercommunalité

Combs-la-Ville est l'une des communes qui composent la ville nouvelle de Melun-Sénart, administrée par deux « syndicats communautaires d'aménagement » (SCA) de la ville nouvelle de Sénart, le Grand-Melun et Sénart-Villeneuve.

Le Modèle:Date- le SAN prend l'appellation de syndicat d'agglomération nouvelle de Sénart-Ville Nouvelle en retirant Melun de son nom. Le Modèle:Date-, le SAN est transformée en communauté d'agglomération<ref>Communiqué sur le site de l'intercommunalité.</ref>, dont était membre la ville.

Cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines afin de former, le Modèle:Date-, la communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart, dont est désormais membre Combs-la-Ville.

Tendances politiques et résultats

Modèle:… Les élections municipales 2001 et 2008 ont vu les listes conduites par le candidat UMP Guy Geoffroy l'emporter de façon modérée au premier tour avec respectivement 54,57 % et 51,13 % des voix des votants<ref name="Minist">Modèle:Lien web.</ref>. Quant à l'élection de 2014, la victoire fut bien plus nette avec 69,85 % des voix des votants, contre la liste de Philippe Sainsard (PS) : 30,14 %, avec un taux de participation de 54,65 %<ref name="Minist" />. Cette élection a donc suivi la tendance nationale de 2014 à voter plus à droite que précédemment, notamment du fait de l'impopularité du gouvernement PS mené par François Hollande auprès de la population française. Modèle:Article connexe

Liste des maires

Modèle:Section à sourcer Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Politique de développement durable

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2005<ref>FICHE | Agenda 21 de Territoires - Combs-la-Ville, consultée le 26 octobre 2017</ref>.

Jumelages

Modèle:Jumelages

Équipements et services

Eau et assainissement

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au Modèle:Date-, mais la loi Ferrand-Fesneau du Modèle:Date- a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au Modèle:Date-<ref name="EauAss">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Assainissement des eaux usées

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Combs-la-Ville est assurée par le syndicat interdépartemental pour l'assainissement de l'agglomération parisienne (SIAAP) pour le transport et la dépollution<ref name=EaufranceCom>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=EaufranceCol>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel<ref name="ANC-Info">Modèle:Lien web.</ref>. La communauté d'agglomération Marne et Gondoire (CAMG) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Eau potable

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la Communauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine Essonne Sénart qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le Modèle:Date-<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Manifestations culturelles et festivités

Économie

Commerce

La commune se retrouve confrontée à de nombreuses grosses structures commerciales tout autour. Le centre commercial Carré Sénart n'est pas loin au sud, et il concentre nombre de commerces (tels que Carrefour, Célio, Desigual ou encore Darty) qui auraient pu s'implanter en son absence dans le centre de Combs-la-Ville. Enfin, il existe une forte évasion commerciale vers le centre commercial Val d'Yerres 2 de Boussy-Saint-Antoine, dans l'Essonne, qui par sa situation sert de lieu d'achats pour nombre d'habitants des environs.

Enfin, l'explosion, quoique ralentie et en légère régression depuis 2007, du nombre d'administrés à Combs-la-Ville depuis les années 1990 explique le manque de commerces, car la ville n'a jamais été très commerçante auparavant étant trop petite en nombre d'habitants.

La municipalité tente de redonner vie à l'hypercentre avec la finalisation récente de la place de l'An 2000 qui devrait redorer légèrement le commerce de centre-ville de la commune.

Un restaurant McDonald's est implanté depuis le Modèle:Date-, vers la sortie sud de la commune.

Secteurs d'activité

Agriculture

Combs-la-Ville est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économiqueModèle:Note de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)<ref name="AgriGéné"/>.

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de Modèle:Unité par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 7 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010<ref name="AgriGéné"/>. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Combs-la-Ville, observées sur une période de Modèle:Unité :

Évolution de l’agriculture à Combs-la-Ville entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique<ref name="AgriGéné">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.</ref>
Nombre d’exploitations (u) 7 4 4
Travail (UTA) 12 5 4
Surface agricole utilisée (ha) 652 535 549
Cultures<ref name="Expl">Modèle:Lien web.</ref>
Terres labourables (ha) 650 535 549
Céréales (ha) 421 377 324
dont blé tendre (ha) 299 255 185
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 114 s s
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) 72 83 s
Élevage<ref name="AgriGéné"/>
Cheptel (UGBTA<ref group=Note>L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).</ref>) 7 0 0

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Monuments civils

Fichier:Château de la Fresnaye à Combs-la-Ville.JPG
Château de la Fresnaye.
  • École Sommeville.
  • Parc Mennechy.
  • Château de la Fresnaye.
  • Rue des Vignes.
  • Château des Marronniers (ancien hôtel de ville).

Monuments religieux

Espaces verts

  • Parc Arthur-Chaussy.
  • Forêt de Sénart.
  • Promenades le long de la rivière l'Yerres.
  • Parc Central.
  • Bois l'évêque.
  • Site de la Couture

Patrimoine culturel

La Coupole, œuvre de l'architecte Jean Nouvel<ref>Modèle:Lien web.</ref>, est un lieu multiculturel qui inclut une médiathèque, un cinéma, une salle de musique, une salle de danse comme des espaces de réunion et de restauration<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

La Maison des Jeunes et de la Culture permet la pratique de la musique (tam-tam, rap, rock...), et accueille également un club d'aquariophilie.

Personnalités liées à la commune

  • Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, quatre filles de Jean Jouvenet (1644-1717), peintre ordinaire du roi, séjournent régulièrement à Combs-la-Ville, dans une maison de campagne ayant appartenu à la famille Lordelot. L'une se marie dans cette paroisse, les trois autres y décèdent<ref name="TheLhuil">Théophile Lhuillier, Note relative à Jean Jouvenet et à ses filles, In : Ministère de l'Instruction publique et des Beaux-Arts, Réunion des Sociétés des Beaux-Arts des départements, Treizième session, Plon, Paris, 1889, Modèle:Pp. (en ligne).</ref>.
    • Elisabeth-Anne Jouvenet (1684<ref name="Jal">Auguste Jal, Dictionnaire critique de biographie et d'histoire, Paris, Plon, 1872, Modèle:Pp.-711 (en ligne).</ref>-?) épouse le 9 novembre 1712 en l'église paroissiale Saint-Vincent de Combs Bernard-Claude Lordelot (v. 1677- ?), avocat au parlement, 35 ans, fils de Benigne Lordelot, également avocat au parlement. Jouvenet père, Modèle:Mlles Marie-Anne, Marie-Magdelaine et Catherine Jouvenet, sœurs de l'épousée assistent à la cérémonie. Ces dernières, non mariées, sont régulièrement accueillies dans l'ancienne maison de campagne des parents Lordelot qui échoit successivement à leur fils Bernard-Claude Lordelot (en 1720) et à sa veuve (vers 1738?). Les trois sœurs de celle-ci y décèdent et sont inhumées à Combs-la-Ville dans la nef de l'église Saint-Vincent<ref name="TheLhuil"/> ;
    • Marie-Anne Jouvenet (1681<ref name="Jal"/>-1740<ref name="TheLhuil"/>), « fille majeure », inhumée le 22 octobre 1740 (morte la veille).
    • Marie-Magdelaine (1682<ref name="Jal"/>-1746<ref name="TheLhuil"/>), « damoiselle », inhumée le 26 octobre 1746 (morte la veille).
    • Catherine Jouvenet (?-1750<ref name="TheLhuil"/>), « fille de défunt Jean-Jouvenet », inhumée le 23 novembre 1750 (morte l'avant-veille).
      Jean II Restout<ref>Jean II Restout (1692-1768), neveu et filleul de Jean Jouvenet, orphelin de sa mère Magdeleine Jouvenet vers l'âge de 6 ans et de son père à 10 ans, a des liens forts avec la famille Jouvenet, au sein de laquelle il a été recueilli, élevé et éduqué avec ses cousins et cousines et où il a notamment bénéficié d'une solide formation de peintre auprès de son oncle. Dans le registre des inhumations de Combs-la-Ville, il est qualifié de « peintre ordinaire du Roy, professeur de son académie royale » (1740), de « peintre ordinaire du Roy, adjoint recteur de l’accadémie Royalle de peinture » (1746), « de la paroisse St-Germain l'Auxerrois à Paris, dans le cloître St-Nicolas du Louvre, rue Fromenteau » (1740, 1746).</ref> (1692-1768), leur cousin germain, peintre ordinaire du roi, assiste aux funérailles de Marie-Anne et de Marie-Magdelaine Jouvenet<ref name="TheLhuil"/>.
  • Victor Cherbuliez (1829-1899), romancier, auteur dramatique, essayiste et critique littéraire, mort dans la commune.
  • Adolphe Paban (1839-Modèle:S mini-), littérateur, est né dans la commune.
  • Gustave Caillebotte (1848-1894), peintre impressionniste, vient souvent à la propriété Caillebotte à Yerres, à partir de 1872 jusqu'en 1879, puiser son inspiration sur les bords de la rivière du même nom. Il peint plus de 80 tableaux avec des vues de la région.
  • Laurent Tailhade (1854-1919), polémiste et poète, mort dans la commune.
  • René Lalique (1860-1945), achète en 1913 une verrerie installée dans la commune.
  • Helena Rubinstein (1870-1965), industrielle et fondatrice de la société du même nom, transforme en 1936 le moulin du Breuil, lieu historique de la commune, en résidence secondaire<ref>Catherine Jazdzewski, Helena Rubinstein, éd. Assouline, 1999, p. 78.</ref>.
  • Christiane Spoturno-Coty (1904-2005), mécène et fille du parfumeur François Coty, achète en 1963 le moulin du Breuil.
  • Edmonde Charles-Roux (1920-2016), femme de lettres, commence en 1961 l'écriture de son premier roman Oublier Palerme au Moulin du Breuil, dans une des maisons prêtée par son amie Helena Rubinstein. L'ouvrage sera couronné par le Prix Goncourt en 1966 et fera l'objet d'un film réalisé par Francesco Rosi en 1989.
  • Bernard Tapie (1943-2021), homme d'affaires, locataire depuis 1999 du moulin du Breuil comme résidence secondaire, achète cette propriété en 2010 à travers une société anglaise.
  • Laurent Fignon (1960-2010), cycliste, a pris sa première licence au club de la commune.
  • Patricia Girard (1968), athlète, entraîne une équipe dans la commune depuis 2009.
  • Erwan Baynaud (1983), acteur, né dans la commune.
  • Chris Mavinga (1991), footballeur, a joué dans la commune de 1999 à 2004.
  • Sheila (1945), chanteuse, a vécu dans la commune pendant son enfance.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Photos

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Histoire de Combs-La-Ville des origines à la Révolution (1995) de Joseph Perret édité par la ville de Combs-la-Ville
  • Histoire de Combs-La-Ville de la Révolution à l'an 2000 (2000) de Joseph Perret édité par la ville de Combs-la-Ville.
  • Modèle:Ouvrage
  • Évolution de Combs-la-ville, du fond des âges à nos jours, Hiltenbrand, Jackie, éditions Amatteis.

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette Modèle:Portail