Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Creil, qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>, à Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal d'Oissery comprend une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref>,<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte name=GeoZNIEFF>Modèle:Géoportail.</ref>,
l'« Étang de Rougemont » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Oissery est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Pathus, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
La commune compte Modèle:Nobrlieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web.</ref> (source : le fichier Fantoir).
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (87,7 %), forêts (6,8 %), zones urbanisées (5,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
La loi SRU du Modèle:Date- a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de Modèle:Unité et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Roissy Pays de France, approuvé le Modèle:Date- et porté par la communauté d’agglomération Roissy Pays de France<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme<ref group= Carte name="Géoport">Modèle:Lien web.</ref>.
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de Modèle:Nobr dont 90,8 % de maisons et 9 % d'appartements.
Parmi ces logements, 95,7 % étaient des résidences principales, 0,1 % des résidences secondaires et 4,2 % des logements vacants<ref group="Note">En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.</ref>.
Oissery aurait pour origine étymologique la forme Oisseriaci, le pays des oseraies (terrains plantés d'osiers) Modèle:Sfn.
Le nom de la localité est mentionné sous différentes formes<ref>Voir Modèle:Ouvrage.</ref> : Osseri en 1112<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> et 1151<ref>Archives nationales, L 877, Modèle:N°.</ref> ; Oxeriacum en 1177 ; Oxiri en 1178<ref>Archives nationales, LL 1351, fol. 64 v°.</ref> ; Ossiri vers 1180<ref>Archives nationales, L 877, Modèle:N°.</ref> ; Terra de Oseriis en 1189<ref>Archives nationales, S 5190b, Modèle:N°.</ref> ; Oisseriacum en 1222<ref>Archives nationales, L 877, Modèle:N°.</ref> et 1229<ref>Bibl. nat., ms. latin 18355, fol. 42.</ref> ; Ouseriacum en 1254<ref>Archives nationales, MM 894, Modèle:N°.</ref> ; Oxeriacum en 1257<ref>Bibl. nat., coll. Picardie, vol. 314, Modèle:N°.</ref> ; Oisseriacum et Osseriacum en 1261<ref>Bibl. nat., coll. Picardie, vol. 314, nos 21 et 23.</ref>.
Huit familles ou maisons se sont succédé à la tête d'Oissery jusqu'à la Révolution.
La maison des Barres
Les membres successifs de la branche ainée de la maison des Barres sont seigneurs d'Oissery. Ces seigneurs, chevaliers et croisés, sont, dans l'ordre, Fredelus (mort vers 1160) suivi de sa descendance agnatique : [[Guillaume Ier des Barres|Guillaume {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]], Guillaume II, Guillaume III et Jean des Barres (d'Oissery) mort en 1289.
Guillaume II s'est illustré à la Bataille de Bouvines (1214), il a été inhumé au Prieuré de Fontaines-les-Nonnes, près d'Oissery.
Jean des Barres est connu de tous les ostéraciens : une rue et le collège de la commune portent son nom ; l'église abrite sa sépulture et sa pierre tombale où il est représenté, entouré de ses deux épouses successives.
Marguerite des Barres, deuxième fille de Jean des Barres qui n'a pas d' « hoir mâle », hérite entre autres d'Oissery.
Elle épouse, vers 1280, Gérard II Chabot dit « Gérard II de Retz », seigneur de Retz, de Machecoul, etc.
En 1285, il participe, avec le roi Philippe III le Hardi, à la croisade d'AragonModèle:Sfn.
Marguerite lègue à son époux le tiers de tous ses biens fonciers par charte du 28/04/1289. Celui-ci meurt en 1298 sans descendance. Oissery reviend alors à Jeanne, sœur de Marguerite<ref>D'après Modèle:Harvsp.</ref>,<ref group="Note">Fernand Labour suppose une fille à Marguerite et Gérard Chabot ; cette fille, Gérarde, semble être pure invention, d'après la généalogie des Chabot.</ref>.
La généalogie concernant la maison d'Ivry et son lien avec Oissery est en partie incertaine.
Jeanne des Barres (†<1310), sœur de Marguerite est supposée hériter d'Oissery.
Elle épouse un dénommé Guillaume d'Ivry (Guillaume II ?). Parmi ses descendants, Guillaume III est cité dans le Dictionnaire de la noblesse : « Guillaume III, baron d'Ivry et de Bréval, seigneur d'Oissery et de Saint-Pathus, épouse en 1363 Marie de Montmorency dont le père est maréchal de France »<ref>Voir la page sur les Guillaume d'Ivry dans le dictionnaire de la noblesse.</ref>.
Son fils, Jacques, hérite en 1479 de la chatellenie d'Oissery. Chambellan du Roi et prévôt de Paris après son père, il est le mari de Gillette de Coëtivy, petite-fille de Charles VII et d'Agnès Sorel. Pour l'anecdote, elle lui apporte en dotModèle:Unité, somme énorme pour l'époqueModèle:Sfn. Jacques meurt en 1509.
Marie, sa seconde fille, héritera d'Oissery. Elle épouse en 1513 Gabriel de Tourzeld'Alègre.
François (°1515 - †1542/1543) et Christophe {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} qui seront successivement sires d'Oissery. Ce dernier épouse en 1536 la petite-fille d'Antoine Duprat, seigneur de Nantouillet et chancelier de France sous [[François Ier (roi de France)|François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]].
Christophe II, Christophe III, Louis, Emmanuel seront des héritiers successifs.
Le dernier membre de la famille d'Alègre, seigneur d'Oissery, est Yves d'Alègre.
Marquis, il est fait maréchal de France en 1724, « après une carrière militaire des plus honorable ».
Il meurt en 1730. Avec lui s'éteint le dernier des seigneurs d'Oissery de cette maison d'Alègre qui a possédé la châtellenie pendant plus de deux sièclesModèle:Sfn.
D'après Fernand Labour, il semble que ce soit le fils de Noël Danycan, sieur de Landivisiau, mort en 1730, qui reçoive Oissery.
« La seigneurie d'Oissery ne resta pas longtemps entre leurs mains. En effet, le terrier d'Oissery indique qu'en 1745, Oissery passera à la maison de PontchartrainModèle:Sfn. »
En 1745, la comtesse de Pontchartrain, Hélène de L'Aubespine (1690-1770), achète la châtellenie d'Oissery.
Elle est la seconde épouse de Jérôme Phélypeaux de Pontchartrain, ancien secrétaire d'État de la Marine.
Ce dernier étant très dépensier, la comtesse est obligée de recourir à la séparation de biens pour sauver sa fortune.
Elle réside habituellement dans son château du Plessis-Pontchartrain tout près d'Oissery. C'est là que, pour se rendre compte de l'état de sa fortune, elle fait dresser par son procureur fiscal le terrier féodal et censuel de la châtellenie suzeraine d'Oissery<ref group="Note">C'est à partir de ce terrier, comprenant six volumes in-folio de plus de Modèle:Unité chacun, que Fernand Labour a rédigé son ouvrage cité en bibliographie.</ref>. Après analyse de ces biens, devant une situation financière désastreuse, elle est obligée de vendre Oissery en 1763 au prince de ContiModèle:Sfn.
En 1763, Louis-François-Joseph de Bourbon-Conti achète Oissery.
Louis-François-Joseph (1734-1814), est prince du sang. Il est successivement comte de la Marche puis prince de Conti en 1776.
La Révolution est une période qu'il traverse difficilement : arrêté en 1793, remis en liberté en 1795 par le Directoire, il est conduit à la frontière espagnole. Réfugié à Barcelonne, il y meurt en 1814. Sans descendance, il est le dernier membre de la maison Bourbon-Conti.
Oissery qu'il garde dix-huit ans sera vendu comme bien national en 1791 au sieur Brodelet<ref group="Note">En 1812, le sieur Brodelet transmettra ces biens fonciers au maréchal Jean-Baptiste Bessières, duc d'Istrie qui constituera ces terres en majorat attaché à son titre de noblesse.</ref>,<ref>PLU d'Oissery (Modèle:P.), accès en ligne.</ref>. Louis-François-Joseph est donc le dernier seigneur de la châtellenie suzeraine d'OisseryModèle:Sfn.
Des sceaux<ref>Voir tous les sceaux des Barres : accès en ligne.</ref> des seigneurs d'Oissery de l'époque, représentent un château fort stylisé. Ils ont inspiré les armes actuelles de la ville. Suivant certains auteurs, cette représentation peut donner une idée de l'architecture partielle du château.
En 1591, à l'époque de la Ligue, « quatre-vingts ligueurs, hommes d'armes, tant de pied que de cheval sont abrités derrière les puissantes murailles du château ». Assaillis par les paysans, ils décampent et se retirent à Meaux. Voulant reprendre Oissery en 1592, ils sont battus par les troupes royalistes vers Puisieux ; un an plus tard, le premier janvier 1594, Henri IV fait son entrée triomphale à Meaux ; le 22 mars, ce sera ParisModèle:Sfn,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> !
En 1745, la comtesse de Pontchartrain (voir supra) fait dresser le terrier de la châtellenie d'Oissery. On peut y lire que le châtel est ruiné, à moitié démoli. Il ne reste que les murailles de clôture et une grosse tour qui sert de prison et d'auditoire pour la juridiction. Elle est surplombée d'un colombier ; attenant à cette grosse tour, on trouve la chapelle de Jean des Barres rétablie par la comtesse et rebénie en 1752Modèle:Sfn.
Les ruines du château ne semblaient plus subsister en 1888 ; en 2020, à son emplacement, se trouve la mairie, jouxtant la rue des Chevaliers. Tout près, subsistait encore en 2014, la grange dîmière du seigneur, datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
La chatellenie
Oissery était, en droit seigneurial, une châtelleniesuzeraine.
Dans cette châtellenie, le seigneur concède à des vassaux des domaines ou fiefs, en contrepartie de certains services : l'investiture est réalisée par la cérémonie de l'hommage où le vassal promet fidélité, conseils, aide militaire et financière au suzerain. En échange, ce dernier doit protection et justice à ses vassaux.
Vers 1750, la comtesse de Pontchartrain, dame haute justicière, donne procuration à son notaire pour recevoir les déclarations et reconnaissance des vassaux de sa châtellenie suzeraine d'Oissery et des seigneuries de Saint-Pathus, Noêfort (sur Saint-Pathus), Forfry, La Ramée, Silly et les nombreux fiefs s'y rattachantModèle:Sfn.
Depuis l'époque des Barres, les seigneurs concèdent des fiefs à des particuliers ou des communautés religieuses. Sur le terrier de 1745, Fernand Labour en dénombre vingt-sept, sans tenir compte des arrière-fiefs. Ils se répartissent dans les seigneuries précitées et plus loin dans la régionModèle:Sfn, jusqu'à Lizy, OrlyModèle:Etc.
Pour le domaine direct des seigneurs d'Oissery, voici en quoi il consistait en 1747Modèle:Sfn :
le vieux château avec la grange du Champart (grange aux dîmes) dans la rue éponyme ;
les étangs d'Oissery et du Rougemont ;
le moulin hydraulique et le canal de Rougemont avec des prés ;
les prés de Clacquetel ( Claquette ?) et des marais sur Brégy ;
les bois des Barres et de l'Homme-Mort, vers Saint-Pathus ;
les terres labourables de la ferme seigneuriale.
Le tout pour une contenance d'environ Modèle:Unité, soit un peu moins de Modèle:Unité. C'est ce « beau domaine » qui sera vendu en 1763 au prince de Conti.
On peut trouver différents témoignages de cet épisode sanglant dans la commune, notamment à l'emplacement de la râperie, qui fut incendiée par les nazis et près de l'étang de Rougemont. L'odonymeModèle:Page h' commémore également cet évènement.
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au Modèle:Date-, mais la loi Ferrand-Fesneau du Modèle:Date- a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au Modèle:Date-<ref name="EauAss">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune d'Oissery est assurée par la communauté de communes Plaines et monts de France (CCPMF) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le Modèle:Date-<ref name=EaufranceCom>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=EaufranceCol>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel<ref name="ANC-Info">Modèle:Lien web.</ref>. La communauté de communes Plaines et monts de France (CCPMF) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Oissery est dans la petite région agricole dénommée la « Goële et Multien », regroupant deux petites régions naturelles, respectivement la Goële et le pays de Meaux (Multien)<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économiqueModèle:Note de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)<ref name="AgriGéné"/>.
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de Modèle:Unité par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations rester constant entre 1988 et 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010<ref name="AgriGéné"/>.
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles d'Oissery, observées sur une période de Modèle:Unité :
Évolution de l’agriculture à Oissery entre 1988 et 2010.
1988
2000
2010
Dimension économique<ref name="AgriGéné">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.</ref>
Cheptel (UGBTA<ref group=Note>L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).</ref>)
{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Jacques Cumont, Les Volontaires de Neuilly-sur-Marne du groupe Hildevert et le réseau Armand-SPIRITUALIST, le massacre d’Oissery - 1944, Lys Éditions Amattéis, 1991, rééd. 2008, Modèle:ISBN