Alexandre II (pape)

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Modèle:Titre mis en forme {{#invoke:Bandeau|ébauche}} Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Prélat catholique Anselme de Lucques, né vers 1010 ou 1015 à Milan et mort à Rome le Modèle:Date, est élu pape en 1061 sous le nom d'Modèle:Nobr et reste en fonctions jusqu'à sa mort<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Jeunesse

Né à Modèle:Lien, dans la région de Milan, il est formé à Cluny, aux côtés du cardinal Hildebrand (futur Modèle:Souverain2) puis à l'abbaye du Bec dirigée par Lanfranc. Il commença sa carrière publique par la prédication. En Lombardie, il attaqua les mœurs du clergé, en particulier le mariage des prêtres. L'archevêque Guido, irrité, le dénonça auprès de l'empereur Modèle:Souverain2. Au lieu de le condamner, l'Empereur lui confia la prédication en Allemagne. En 1057, Anselme se vit confier l'évêché de Lucques. Par la suite, il fut nommé légat apostolique à Milan, la première fois en 1057 en compagnie d'Hildebrand, la seconde en 1059 en compagnie de Pierre Damien.

Pontificat

Modèle:Article détaillé À la mort de Modèle:Souverain2, en 1061, il fut élu pape par le Sacré Collège (Élection pontificale de 1061), conformément au décret du feu pape. Une notification fut adressée à la cour de l'Empereur, qui l'ignora. Les cardinaux considérèrent que le privilège impérial de confirmation avait été abandonné. Anselme fut couronné pape sous le nom d'Modèle:Souverain- le 30 septembre. Furieux d'être dépossédés de leur ancien droit d'élection, les Romains portèrent leurs griefs devant l'impératrice Agnès, régente pour son jeune fils Modèle:Souverain2. Celle-ci convoqua une assemblée à Bâle qui, en l'absence de tout cardinal, élut un autre pape, qui prit le nom d'Modèle:Souverain2.

Modèle:Souverain- condamna la simonie et le nicolaïsme. Il appuya Guillaume le Conquérant dans la conquête normande de l'Angleterre, politiquement et en lui fournissant un étendard consacré ainsi que des reliques sacrées. Il trouvait là un prétexte pour intervenir dans les affaires insulaires et combattre l'archevêque de Cantorbéry, Stigand, qui avait pris le parti de Harold<ref>Jean Favier, Les Plantagenêts, Fayard 2004 Modèle:P.</ref>.

Il refusa d'autoriser le divorce de Modèle:Souverain2 et le força à reprendre sa femme, Berthe de Saxe. En 1063, il transforma la Reconquista en guerre sainte, par l'octroi d'une indulgence plénière aux soldats qui participeraient à la prise de Barbastro, ville d'Aragon tenue par les Maures.

Notes et références

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Liens externes

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