Alexandre Nevski (film)

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Alexandre Nevski parle à l’envoyé mongol au bord du lac Plechtcheïevo au début du film.

Alexandre Nevski (en Modèle:Lang-ru) est un film épique soviétique réalisé par Sergueï Eisenstein et Dmitri Vassiliev et sorti en 1938. La musique originale a été composée par Sergueï Prokofiev.

Synopsis

Le film retrace un événement phare de l'histoire de la Russie au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle : l’opposition du prince Alexandre Nevski à l’invasion des chevaliers teutoniques et notamment la bataille du lac Peïpous qui mit fin à leur expansion orientale.

Fiche technique

Distribution

Commentaires

Commande des autorités staliniennes<ref name="Monde">Jean-François Rauger, « Alexandre Nevski », Le Monde-Télévisions, 23-24 août, p. 6</ref>, Alexandre Nevski est conçu à l’origine comme un film épique de propagande contre l’expansionnisme nazi : les chevaliers teutoniques et porte-glaive, envahisseurs du territoire russe, évoquent clairement une menace.

Deux mois avant la sortie du film, les accords de Munich ont retardé la guerre. De ce fait la lecture du film doit toujours se faire à deux niveaux : le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle épouse un contexte contemporain. Par cette page d’histoire, l’URSS affirme qu’elle est prête à se défendre face à un envahisseur déjà tout désigné.

Alexandre Nevski harangue le peuple à faire face à une double menace : les Mongols et les Tatars à l’est, les Teutons et les Livoniens à l’ouest. Le Mongol est présenté comme fourbe et le Teuton comme un soldat sans pitié. Alexandre décide dans l’urgence de s’attaquer à l’homme de guerre, le fourbe patientera. La bravoure patriotique se mêle à des stéréotypes disséminés dans les deux camps : le lâche, le généreux, le brave, le sacrifié.

Les gros plans de visages d’Édouard Tissé, caractéristiques des films d’Eisenstein, accentuent la bravoure ou la traîtrise. Le traitement plastique des images (scène des chevaliers teutoniques engloutis dans les eaux, soldats des deux armées reposant côte à côte) ont fait date ; un réalisateur comme Guillermo Del Toro rend de fréquents hommages à Eisenstein<ref name="Monde"/>.

Eisenstein met ici en place le contrepoint audiovisuel : la musique de Prokofiev fait naître des contrastes, tantôt comiques, tantôt dramatiques, avec les images.

Acteur préféré de Staline et membre du parti, Nikolaï Tcherkassov fut imposé à Eisenstein pour ce film ainsi que le suivant, Ivan le Terrible<ref>La Belle Jeunesse (traduit du polonais par Anna Posner), Éd. Noir sur Blanc, 2012, p.109 Modèle:ISBN</ref>. Le réalisateur a été très surveillé pendant le tournage du film<ref name="Monde"/> et Modèle:Refnec. Modèle:Refnec ainsi que le montage intellectuel. Modèle:Refnec. Après la signature du pacte germano-soviétique, le film, devenu inutile pour les autorités soviétiques, fut retiré des salles<ref name="Monde"/>. Mais avec le déclenchement de l’opération Barbarossa le Modèle:Date, le film réapparut pour galvaniser l’élan patriotique contre l’attaque germanique.

Musique

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La partition du film, signée Sergueï Prokofiev, existe sous la forme d’une cantate de concert également titrée Alexandre Nevski. Il existe aussi une version de la partition transcrite pour orchestre d'harmonie par le compositeur canadien Yves Lapierre et créée par l'Harmonie de l’École municipale de musique de CastelsarrasinModèle:Référence nécessaire.

Influence culturelle

De nombreuses scènes du film ont été utilisées par le cinéaste Ralph Bakshi dans ses films sous forme de rotoscopie, notamment dans Les Sorciers de la guerre ou bien encore sa version animée du Seigneur des anneaux.

Le groupe Stupeflip fait référence au film à plusieurs occasions. Le titre La Religion du Stup, utilise un extrait du chant Peregrinus expectavi issue de la scène au camp des Teutons. Par ailleurs, des scènes de la bataille dans le clip de Stupeflip vite!!!.

Notes et références

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Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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