As (monnaie)
L'as (du latin æs, « bronze ») était une monnaie de bronze ou de cuivre de la Rome antique. Son poids et son aspect ont considérablement évolué au fil des siècles.
Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Av JCModèle:Vérification siècle, on se sert de gros lingots de bronze (jusqu’à 5 livres romaines soit environ Modèle:Unité), fondus sous forme rectangulaire, à l'effigie d'un bœuf ou d'un mouton (æs signatum). Peu maniable, l’æs signatum cesse d’être fabriqué au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. À la même époque apparaît l’æs grave ou æs libralis (c'est-à-dire bronze d’une livre), coulé en forme ronde, avec une masse normalisée, en théorie car les variations de coulée d’un moulage à l’autre engendraient des écarts. Assez lourd à l’origine (une livre romaine soit environ Modèle:Unité), cet as est subdivisé en monnaies plus petites, distinguées par les marques sur les faces.
L’as sous la République
L'as unité de compte
Dans son histoire des débuts de la République romaine au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Av JCModèle:Vérification siècle, Tite-Live fait référence à l’as comme unité de compte dans les montants d’amendes : en Modèle:Date-, une amende de Modèle:Unité frappe le consul sortant T. Menenius<ref>Tite-Live, Histoire romaine, livre II, 52</ref>, en 455 av. J.-C., une amende énorme de Modèle:Unité est infligée au consul sortant Romilius, et de Modèle:Unité à son collègue Veturius<ref>Tite-Live, III, 31 et Denys d'Halicarnasse, X, 9, 5</ref>. Une loi ignorée des annalistes et nommée tantôt lex Aternia, tantôt Tarpeia, date semble-t-il de 455 av. J.-C. et fixe les équivalences pour ces amendes à une brebis pour dix as et un bœuf pour cent as, permettant le passage des acquittements en têtes de bétail (pecunia) à ceux en poids de bronze<ref>Aulu Gelle, Nuits attiques, XI, 1 ; Jean Gagé, « La Lex Aternia. L'estimation des amendes (multae) et le fonctionnement de la commission décemvirale de 451-449 av. J.-C. », L'antiquité classique, tome 47, fasc. 1, 1978, pp. 70-95.[1]</ref>.
Les auteurs latins ultérieurs confirment cet usage de l'as comme unité de compte pour le cens hiérarchisant la population romaine<ref>Pline l'Ancien, Histoire naturelle', XXXIII, 43 ; Aulu Gelle, Nuits attiques, VI, 13, 1</ref>. Ces évaluations ne correspondent pas à une thésaurisation monétaire, mais sont des estimations de patrimoine familial faites par les censeurs. Les historiens romains faisaient remonter ces évaluations monétaires au règne de Servius Tullius, ce qui est considéré comme anachronique par les historiens modernes<ref>Claude Nicolet, Censeurs et publicains, économie et fiscalité dans la Rome antique, Fayard, 2000, Modèle:ISBN, p. 148-151</ref>.
Æs rude
L'æs rude (bronze brut ou non travaillé) est un type de pré-monnaie romaine constitué en pièces irrégulières de bronze. Techniquement on ne peut parler de monnaie parce qu’elle n'en a pas la forme : il y manque les signes d’identification, sa valeur et l’autorité qui émet.
Les populations d'Italie centrale, Rome et Étrurie comprises, utilisaient comme métaux d'échange uniquement le cuivre et le bronze, métaux abondants sur leurs territoires, à la différence des cités grecques d'Italie du Sud et de Carthage, utilisant l'argent<ref>Modèle:Harvsp</ref>.
Au début furent utilisées des pièces de métal de formes irrégulières, de diverses dimensions, directement issues de la fusion à l’état brut et sans aucune finition. Leur valeur était déterminée par la masse, qui n’était pas uniforme et variait de Modèle:Unité jusqu’à Modèle:Unité. Vu leur poids considérable, ces lingots doivent être interprétés comme réservés à la thésaurisation plutôt qu'au commerce quotidien. Ces lingots circulaient au centre de l’Italie, même si quelques lingots ont été découverts à Parme et Bologne.
Vu la grande variété de lingots, en masse et en forme, on suppose qu’ils étaient fabriqués selon les besoins. Modèle:Refnec, des empreintes, dont la plus connue est le « rameau », sont apposées sur les lingots, certainement pour les différencier d’autres pièces analogues ou pour en faciliter la découpe. Des lingots présentant ce genre d’empreinte ont été découverts dans différents points d’Italie, Bologne, Parme, Marzabotto, Mantoue, en Ombrie et en Toscane. Un fragment de bronze marqué d'un rameau a été découvert dans un puits pour offrandes à côté du temple de Déméter à Bitalemi près de Gela en Sicile, et d’après la stratigraphie, a été daté de 560-Modèle:Date-<ref>Orlandini P. 1965-67,Depositi votivi di bronzo premonetale nel santuario di Demetra Thesmophoros a Bitalemi, in "Annali dell'Istituto Italiano di Numismatica".</ref> D’autres empreintes adoptées sont l’arête de poisson ou une étoile à huit pointes.
Æs signatum
L’æs signatum, (en latin, bronze contresigné), est le terme que les numismates modernes utilisent pour désigner des lingots de bronze coulé qui étaient utilisés en Italie centrale avant l’émission de l'æs grave<ref name=Dep11>Modèle:Harvsp</ref>.
La datation de l’æs signatum est problématique et approximative. La tradition romaine qui fait remonter le marquage des bronzes au roi Servius Tullius soit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Av JCModèle:Vérification siècle<ref>Pline l'Ancien, Histoires naturelles, XXXIII, 13 : Servius rex primus signavit aes</ref> a largement été mise en doute, au profit d'une datation à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Av JCModèle:Vérification siècle<ref name=Sutherland17>Modèle:Harvsp</ref> ou dans la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Av JCModèle:Vérification siècle selon Crawford<ref>Modèle:Harvsp</ref>. Toutefois, l'interprétation comme un æs signatum du fragment marqué trouvé dans le trésor de Bitalemi confirmerait l'attribution des premiers as marqués à Servius Tullius<ref>Luigi Pedroni, « Censo, moneta e «rivoluzione della plebe» », Mélanges de l'École française de Rome, Antiquité T. 107, N°1, 1995, p. 198 lire en ligne</ref>.
En général, il s’agit de pièces de bronze coulées dans un moule, de forme approximativement parallélépipédique, dont les dimensions varient de 9 et 10 cm en hauteur et de 16 à 17 cm en largeur. Marquée sur une face pour les plus anciennes, puis sur les deux faces, elles présentent un poids d'environ Modèle:Unité, ce que les numismates font correspondre à 5 livres romaines<ref name=Sutherland17/>.
Les æs signatum n’avaient pas de poids régulier ni donc de valeur faciale précise, ces lingots, comme les æs rude, valaient ce qu’ils pesaient et pour cela, ils étaient « taillés » selon le besoin. Les lingots présentaient des figures, garantissant en principe la pureté du métalModèle:Sfn. Par exemple les couples : Aigle tenant un éclair sur une face et Pégase sur le revers, une épée et un fourreau, un éléphant et un porc. Ce dernier type a permis de dater le lingot de Modèle:Date-, année de la défaite de [[Pyrrhus Ier|Pyrrhus {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]] et du transfert à Rome, pour la première fois, de ces pachydermes, qui impressionnèrent le peuple. La présence du porc s'explique par le passage de Élien selon lequel ces animaux furent utilisés pour épouvanter les éléphants<ref>Élien, De Natura animalium I, 38.</ref>.
Les æs signatum furent remplacés par les æs grave, avec une période de recouvrement<ref name=Dep25>Modèle:Harvsp</ref> et cessèrent d'être fabriqués probablement vers le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Av JCModèle:Vérification siècleModèle:Sfn.
Æs grave ou æs libralis
L'æs grave (« bronze lourd ») est l'unité monétaire des premiers temps de la République romaine. C'est une monnaie coulée, en bronze, émise du Modèle:S mini- et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Av JCModèle:Vérification siècle en Italie centrale par diverses populations, et caractérisée par un signe indiquant la valeur. À Rome, ils circulent à la même période que l'Modèle:Latin, probablement à partir de 289 av. J.-C., année de création du collège des Modèle:LatinModèle:Sfn.
Dans les premières séries, un as pesait 320 gr environ, soit une livre romaine ou 12 onces, d'où son appellation æs libralis (du latin libra, livre), et la masse des sous-multiples était directement proportionnelle à leur valeur, un « semis » (qui valait 1/2 as), et ainsi de suite jusqu’à l’once, de la valeur de 1/12 d’as. Dans cette série, les monnaies étaient toutes coulées, et différenciées par le motif sur la face et le revers. Le tableau ci-dessous donne la série dérivée de l'æs libralis de Modèle:Unité environ, émise durant la période 290<ref>https://www.nbbmuseum.be/fr/2011/03/aesrude_aesgrave.htm Musée de la banque nationale de belgique</ref> à 250 environ<ref>Modèle:Harvsp</ref>,<ref name=Dep11/>.
Monnaie | Valeur | Marque | Motif face | Motif revers | |
---|---|---|---|---|---|
As | as | | | tête de Janus | tête de Mercure | - |
Semis | ½ as | S | tête de Minerve | tête de Vénus | Fichier:Roma, aes grave, semisse, 269-266 ac.JPG |
Triens | 1/3 as | oooo | foudre | dauphin | Fichier:Vecchi 003.jpg |
Quadrans | ¼ as | ooo | deux grains d'orge | main ouverte | Fichier:Aes Grave Quadrans1.jpg - |
Sextans | 1/6 as | oo | coquillage | caducée | Fichier:Vecchi 005.jpg |
Uncia | 1/12 as | o | osselet | point | - |
Semiuncia | 1/24 as | ∑ ou 𐆒 | grain de blé | ∑ |
Une deuxième série d'æs grave<ref>Modèle:Harvsp</ref> :
Monnaie | Valeur | Marque | Motif face | Motif revers | |
---|---|---|---|---|---|
As | as | | | tête d'Apollon | tête d'Apollon | Fichier:Roma, serie pesante di apollo-apollo, as, IV-III sec. ac..JPG |
Semis | ½ as | S | Pégase | Pégase | Fichier:Vecchi 009.jpg |
Triens | 1/3 as | oooo | tête de cheval | tête cheval | - |
Quadrans | ¼ as | ooo | sanglier | sanglier | Fichier:Aes Grave Quadrans2.jpg |
Sextans | 1/6 as | oo | tête Dioscure | tête Dioscure | - |
Uncia | 1/12 as | o | grain orge | grain orge | Fichier:Vecchi 013.jpg - |
-
As grave (environ 240-Modèle:Date-)
Janus aux deux visages et proue de galère -
Semis
Pégase sur les deux faces -
Quadrans. environ 230-226 av. J.-C.
Main ouverte
Poids 63,19 g
Thurlow-Vecchi 26; Crawford 27/8
La masse de l'as passe vers - 250 de 12 à 10 onces soit 260 gr environ et ses sous-multiples connaissent une diminution proportionnelle, alors que les valeurs nominales restent inchangées. Des motifs différents permettent de distinguer les nouvelles séries.
L'as frappé
La frappe de l'as commence au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, lors de la guerre contre Pyrrhus. La deuxième guerre punique voit l'apparition de deux monnaies romaines d'argent, le denier valant 10 as et le sesterce valant 2 as et demi, et provoque plusieurs dévaluations de l’as<ref>Modèle:Harvsp</ref>.
La masse théorique de l’as évolua ainsi durant la République<ref>Modèle:Harvsp</ref>,<ref name=Hacq105>Modèle:Harvsp</ref> :
Date | Type | Poids en onces | Poids en grammes | |
---|---|---|---|---|
vers 300 | æs libralis | 12 onces | Modèle:Unité | |
vers 250 | æs libralis | 10 onces | Modèle:Unité | |
217 | æs semilibralis | 6 onces | Modèle:Unité | |
214 | æs quadrantalis | 3 onces | Modèle:Unité | |
211 | æs sextantalis | 2 onces | Modèle:Unité | |
178-170 | æs uncialis | 1 once | Modèle:Unité | |
91 | æs semiuncialis | 1/2 once | Modèle:Unité |
Les dates sont approximatives et av. J.-C., et la chronologie de la période instable de l'as durant la deuxième guerre punique ne se retrouve pas d'un auteur à l'autre. Le tableau suit principalement Georges Depeyrot, spécialisé dans les questions numismatiques, le numismatique britannique Modèle:Lien considère l'as libral comme encore en vigueur en Modèle:Date-<ref>Modèle:Harvsp</ref>, tandis que Marcel Le Glay situe l'as de 4 onces en 217 et d'une once en 211<ref>Modèle:Harvsp</ref>.
Les motifs sur la face permettaient de distinguer l’as et ses sous-multiples, tandis que tous les revers arboraient une proue de navire.
Monnaie | Valeur | Motif face | Motif revers | |
---|---|---|---|---|
Dupondius | 2 as | Minerve | Proue | |
As | as | Janus | Proue | |
Semis | ½ as | Saturne | Proue | |
Triens | 1/3 as | Minerve | Proue | |
Quadrans | ¼ as | Hercule | Proue | |
Sextans | 1/6 as | Mercure | Proue | |
Uncia | 1/12 as | Rome | Proue | |
Semiuncia | 1/24 as | Mercure | Proue |
Vers Modèle:Date, le rapport entre l'as et les monnaies d'argent fut modifié<ref>Michel Christol et Daniel Nony, Rome et son empire, des origines aux invasions barbares, Hachette, collection HU, 2003, Modèle:ISBN, p 75</ref> :
En Modèle:Date, l’atelier monétaire de Rome arrêta ses émissions de monnaies de bronze, as et ses sous-multiples, par pénurie de cuivre. L’as cessait d’être une unité de compte, au profit du sesterce. Le commerce international romain employait le denier d’argent, et pour les échanges locaux, les anciens ateliers de villes d’Orient et quelques ateliers régionaux en Espagne ou en Gaule couvraient les besoins de petites monnaies. Les as frappés avant Modèle:Date- restèrent en circulation jusqu’à l’empire.
L’as sous l’Empire
Les guerres civiles firent réactiver la frappe romaine en bronze, par des ateliers locaux en divers points de l’empire, en Orient, en Espagne et en Narbonnaise, particulièrement à Nîmes. En Modèle:Date, Auguste réorganisa les émissions de façon cohérente et reprit la frappe de l’as dans les ateliers impériaux de Rome et de Lugdunum, avec les cotations suivantes<ref>Modèle:Harvsp</ref> :
- un denier d’argent = 16 as
- un sesterce en laiton de Modèle:Unité = 4 as
- un dupondius en laiton de Modèle:Unité = 2 as
- un as de 1/30e de livre de cuivre, soit Modèle:Unité
- un semis de 1/60e de livre de cuivre = ½ as
- un trians de 1/112 de livre de cuivre = 1/3 as.
Ce système reste en vigueur jusqu’au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Néron dans sa réforme de 64 alterne pour les émissions d’as entre le laiton, métal dédié au sesterce, et le cuivre, mais l’on revient à l’as de cuivre après sa mort en 68<ref>Modèle:Harvsp</ref>.
Le sesterce et le denier prennent progressivement le pas sur l'as, qui disparaît de la composition des trésors de la période des Antonins <ref>Modèle:Harvsp</ref>. La crise monétaire et économique du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle mit fin aux émissions de monnaie de cuivre et de bronze.
L’as sous le Bas Empire
Les émissions de bronze reprennent sous Dioclétien, mais ses successeurs ne parviennent pas à créer un système stable. Les types de monnaies de bronze varient, et leur poids diminue, sans que l'on connaisse leur dénomination précise. Par convention et malgré le peu de ressemblance avec l'as des siècles précédents, les numismates désignent par æs 2, æs 3 et æs 4 les petites monnaies de bronze émises durant les règnes des Valentiniens et de [[Théodose Ier|Théodose {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]] <ref>Modèle:Harvsp</ref>. La règle de dénomination est la suivante<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Ancient Greek & Roman Coins, Size Scales for Ancient Coins</ref> :
- Æs ou Æ1 : plus de Modèle:Unité de diamètre
- Æs 2 ou Æ2 : entre Modèle:Unité et Modèle:Unité de diamètre
- Æs3 ou Æ3 : entre Modèle:Unité et Modèle:Unité de diamètre
- Æs4 ou Æ4 : moins de Modèle:Unité de diamètre.
Deux trésors monétaires, l'un de 91 Æs4 et l'autre d'environ 700 Æs4, découverts dans le périmètre de Glanum, montrent la difficulté d'étude de ces monnaies : faible poids, allant de Modèle:Unité à Modèle:Unité, usure rendant illisible la titulature impériale dans la plupart des cas, avec néanmoins l'identification de Valentinien II, Théodose Ier, Arcadius, Honorius, Jean, types de revers définis sous Théodose et repris par ses successeurs ce qui gêne les classements chronologiques<ref>Claude Brenot, « Le bronze du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à la lumière de quelques sites provençaux », Revue numismatique, Modèle:6e - Tome 159, année 2003, pp. 41-56 en ligne sur Persée.</ref>.
Notes et références
Bibliographie
Ouvrages numismatiques
- Ouvrages anciens
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Akerman John Yonge, A Manual of Roman Coins, Londres 1865. Lien vers l'ouvrage
- Ernest Babelon, Moneta in Mémoire de l'Académie des Inscriptions et des Belles-Lettres, Paris 1913. Lien vers l'ouvrage
- Henry Cohen, Description historique des monnaies frappées sous l'Empire romain, deuxième édition, Paris, 1880-1892. Lien vers l'ouvrage
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Gnecchi Francesco, Roman Coins Elementary Manual, Londres 1903. Lien vers l'ouvrage
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Imhoof-Blumer Friedrich, Porträtköpfe auf Römischen Münzen der Republik und der Kaiserzeit, Leipzig 1892. Lien vers l'ouvrage
- Theodor Mommsen, Histoire de la monnaie romaine, traduction par Le duc de Blacas, 1865, tome I, II, III et IV. Tome I Tome II Tome IV
- Ouvrages modernes (après milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)
Ouvrages généralistes
Annexes
Articles connexes
- Monnaie romaine
- Atelier monétaire romain
- Symboles des monnaies romaines
- As de Nîmes
- Denarius
- Semis
- Sextans