Bonneveau

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Modèle:Infobox Commune de France

Bonneveau est une commune française située dans le département de Loir-et-Cher en région Centre-Val de Loire. Ses habitants s'appelaient les Bonnevatiers et Bonnevatières, aujourd'hui ils s'appellent Bonnevaliers et Bonnevalières.

Localisée au nord du département, la commune fait partie de la petite région agricole « le Perche vendômois », région naturelle accidentée composée de vallons, de plateaux, de collines, de crêtes et de vallées.

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels qui occupent la quasi-totalité du territoire communal. Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est toutefois recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture des céréales et des oléoprotéagineux. À l'instar du département qui a vu disparaître le quart de ses exploitations en dix ans, le nombre d'exploitations agricoles a fortement diminué, passant de 25 en 1988, à 9 en 2000, puis à 7 en 2010.

Le patrimoine architectural de la commune comprend deux bâtiments portés à l'inventaire des monuments historiques : l'église Saint-Jean-Baptiste de Bonneveau, classée en 1961 et inscrite en 2008, et le château de Matval, inscrit en 1971 puis en 2009. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation et communes limitrophes

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La commune de Bonneveau se trouve au nord du département de Loir-et-Cher, dans la petite région agricole du Perche vendômois<ref name="RegAgri">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="PRA-carte">Modèle:PdfModèle:Lien web</ref>. À vol d'oiseau, elle se situe à Modèle:Unité de Blois<ref> Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, à Modèle:Unité de Vendôme<ref>Modèle:Lien web.</ref>, sous-préfecture, et à Modèle:Unité de Savigny-sur-Braye, chef-lieu du canton du Perche dont dépend la commune depuis 2015<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Calais<ref name="meta">Modèle:Lien web.</ref>.

Les communes les plus proches sont<ref> Modèle:Lien web.</ref> : Bessé-sur-Braye (Modèle:Unité)(72), Cellé (Modèle:Unité), Lavenay (Modèle:Unité)(72), La Chapelle-Huon (Modèle:Unité)(72), Sougé (Modèle:Unité), Troo (Modèle:Unité), Saint-Jacques-des-Guérets (Modèle:Unité), La Chapelle-Gaugain (Modèle:Unité)(72) et Fontaine-les-Coteaux (Modèle:Unité).

La commune se situe dans la région naturelle du Perche vendômois.

Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Hydrographie

Carte en couleur présentantle réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Bonneveau.

La commune est drainée par la Braye (Modèle:Unité), l'Anillé et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>.

La Braye, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Ceton et se jette dans le Loir à Vallée-de-Ronsard, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>. Sur le plan piscicole, ce cours d'eau est classé en deuxième catégorie, où le peuplement piscicole dominant est constitué de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)<ref name="Décret1958">Modèle:Lien web</ref>.

Climat

Modèle:Encadré La commune bénéficie d'un climat « océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France définie en 2010. Ce type affecte l'ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, et en particulier la plus grande partie du département de Loir-et-Cher. Le climat reste océanique mais avec de belles dégradations. Les températures sont intermédiaires et les précipitations sont faibles (moins de Modèle:Unité de cumul annuel), surtout en été, mais les pluies tombent en moyenne sur Modèle:Unité en janvier et sur 8 en juillet, valeurs moyennes rapportées à l'ensemble français. La variabilité interannuelle des précipitations est minimale tandis que celle des températures est élevée<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d'établir cette typologie comportent Modèle:Nb pour les températures et 8 pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref group=Note>Les normales climatiques sont des produits statistiques calculés sur des périodes de 30 ans, permettant de caractériser le climat sur cette période et servant de référence.</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer.

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

6 La_Fert%C3%A9-Imbault La_Fert%C3%A9-Saint-Cyr Fontaines-en-Sologne Fontaine-les-Coteaux Fontaine-Raoul La_Fontenelle_(Loir-et-Cher) Fortan Foss%C3%A9_(Loir-et-Cher) Fran%C3%A7ay Fresnes_(Loir-et-Cher) Fr%C3%A9teval Le_Gault-du-Perche Gi%C3%A8vres Gombergean Gy-en-Sologne Les_Hayes

Urbanisme

Typologie

Selon la terminologie définie par l'Insee et le zonage publié en 2020, Bonneveau est une commune urbaine<ref group=Note>Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.</ref>. Elle appartient en effet à l'unité urbaine de Bessé-sur-Braye, une agglomération inter-régionale regroupant deux communes<ref>Modèle:Lien web</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année<ref name="UU2020">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web</ref>.


Occupation des sols

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels (96,8 %). La répartition détaillée ressortant de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover millésimée 2012 est la suivante : terres arables (11,6 %), cultures permanentes (0,6 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), prairies (3,5 %), forêts (65,2 %), milieux à végétation arbustive ou herbacée (0,7 %), zones urbanisées (1 %), espaces verts artificialisés non agricoles (0,5 %), zones industrielles et commerciales et réseaux de communication (1,7 %), eaux continentales (0,5 %)<ref name="Fiche Siges"/>.

Planification

La loi SRU du Modèle:Date- a incité fortement les communes à se regrouper au sein d'un établissement public, pour déterminer les partis d'aménagement de l'espace au sein d'un SCoT, un document essentiel d'orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCOT des Territoires du Grand Vendômois, approuvé en 2006 et dont la révision a été prescrite en 2017, pour tenir compte de l'élargissement de périmètre<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En matière de planification, la commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Habitat et logement

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bonneveau en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (13,2 %) inférieure à celle du département (18 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,9 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.

Le logement à Bonneveau en 2016.
Bonneveau<ref name="logement">Modèle:Lienweb.</ref> Loir-et-Cher<ref name="logement41">Modèle:Lienweb.</ref> France entière<ref name="logementFr">Modèle:Lienweb.</ref>
Résidences principales (en %) 76,6 74,5 82,3
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 13,2 18 9,6
Logements vacants (en %) 10,2 7,5 8,1


Risques majeurs

Le territoire communal de Bonneveau est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement de la Braye ou par ruissellement), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique : le transport de matières dangereuses<ref name="DDRM-liste">Modèle:PdfModèle:Lien web, Modèle:P.</ref>,<ref name="Obs">Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Fichier:41020-Bonneveau-Zone inondable.png
Zones inondables de la commune de Bonneveau.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit liés au retrait-gonflement des argiles, soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines<ref name="DDRM-liste"/>. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques<ref name="RG">Modèle:Lien web</ref>. Une autre carte permet de prendre connaissance des cavités souterraines localisées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

L'inventaire des crues historiques en France établi par Maurice Campion en 1864 ne mentionne pas la Braye. L'atlas des zones inondables de la Braye élaboré en mai 2007 s'est donc appuyé sur les relevés hydrométriques existants depuis la mise en place d'échelles de crues. Le débit de la crue de référence varie ainsi entre 140 et Modèle:Unité selon les sections<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques technologiques

Le risque de transport de marchandises dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d'avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu'à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d'urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref name="DDRM-58">Modèle:PdfModèle:Lien web, Modèle:P.</ref>.

Toponymie

Les noms de Matval, Matovallum, Matvallis, et Bona Vallis seraient d'origine celtique.Modèle:Refnec

Le nom de chaque lieu dit émane de son utilité ou ses habitants. Par exemple, les Planches toujours d'actualité, étaient nécessaires pour traverser le ruisseau. La Barazerie ou Harazerie, évoquaient les haras. La Pouletterie datant de la fin du Modèle:19e siècle, pour vous surprendre était un lieu où le propriétaire avait tenté de fabriquer des couveuses artificielles.Modèle:Refnec

Histoire

Modèle:... Modèle:Style non encyclopédique section Matval ou Bonneveau.

Comme le dit l'Abbé Martin au début du Modèle:20e siècle, sa production consiste en blés, vins et foins, pommiers, poiriers, noyers, pruniers, cerisiers, cognassiers, cormiers etc.

Les Mérovingiens et Carolingiens ont séjourné à Bonnevau.

Le château de la Godelinière daterait du début du Modèle:15e siècle. Celui de la Massuère serait plus jeune de 100 ans.

César a évoqué dans bien des villages, comme à Bonnevau, les rochers dans lesquels les cavernes étaient habitées. Les souterrains du château de l'ancien château sont des galeries parallèles, larges et élevées.

Les autres souterrains avaient de nombreuses ramifications qui les menaient à l'église. Entre autres affaissements, en 1842, l'un s'est produit dans la sacristie.

Matval et les romains.

Pour reprendre les paroles de l'abbé Martin, l'étendue de ce territoire fut donné en partie, vers 240, comme récompense à Gajanus, un seigneur romain qui permit la construction d'églises.

Matval devint chef-lieu que Clovis agrandit de la source du ruisseau de Coulonges jusqu'à la rivière " la Braye", à Souge.

À sa mort, Childebert, son fils, hérita, entre autres domaines, de celui de Matval. Vers 524, Childebert s'installe à Matval avec la reine Ultrogothe, sa nouvelle épouse espagnole.

Après des heurts, une charte d'environ du 13 galendes de février, la IVe année de son règne fut signée par, entre autres, l'évêque du Mans, par le délégué roi Wilbrich et par cinq comtes et un vicomte. C'était, dit l'abbé Martin, la cour du roi rassemblée à Bonnevau auprès de Childebert.

Les romains

Les mérovingiens

Dans chaque grand domaine, il y avait un officier monétaire.

Frappe de monnaie à Bonnevau

Des pièces en or ou trien, pour respecter le langage de l'abbé martin et celui de Incendie de la godelinière.l'époque, de l'époque mérovingienne ont été retrouvées dans différents coins de France. En Vendée, sous le nom significatif de Matoval.

Les Carolingiens.

L'abbé Voisin livra bataille à Matval, à ses fils révoltés de jalousie par la préférence de leur père pour un garçon issu du mariage avec Judith, la fille du comte de Bavière. Ce fut le dernier roi à habiter Bonnevau.

Dans toutes les provinces, l'excès du mal produisit une révolution. Ces luttes qui prirent de l'ampleur et les mystères menèrent à la reconnaissance de deux familles, celle des ducs de France et des comtes d'Anjou.

Après Charles le Chauve, Robert devint la source des capétiens. Puis, son beau-fils Hugues lui succéda, puis ses deux frères, Eudes et Robert.

Depuis cette époque, malgré sa notoriété, l'histoire ne parle plus de Matval. Sa célébrité, malgré tout, au Moyen-Âge comme aux temps modernes sera conservée. Puis, les années passant, l'histoire, les évènements et les prêtres continueront à faire vivre et bouger ce territoire jusqu'en 1814.

Bonneval sur Braye et le manoir féodal

Après tous ces combats et bouleversements et destructions, les habitants réfugiés et vécurent dans les carrières du voisinage comme à Trôo ou Troü pour les Anglais. Les Scandinaves renversèrent les villas royales. Il reste aujourd'hui, des débris de châteaux féodaux restent visibles. le château de Matval, on ne peut douter, date du Moyen Âge.

Au {{#switch: XV

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}}, l'ancien manoir fut remplacé par un nouveau château. Seule la tour fut conservée.

Une villa gallo-romaine devait être placée à l'extrémité d'une plaine, au sommet d'où la vue s'étendait. Les coteaux fertiles, les voies de communication et les cours d'eau semblaient indispensables. La villa de Bonnevau avait tous ces avantages. Les seigneurs de la châtellerie de Bonneveau furent nombreux aussi bien que les usufruitiers. Les comtes et ducs de Vendôme furent propriétaires mais n'hésitèrent pas à distribuer leur possession à titre précaire.

Le Prochassy de Bonnevvau, maisons, caves, cour contenait trois arpents. Le lieu-dit actuel, Porchassy et, ou Pourchassy serait bien le lieu dont il est question. Le fief de la Godelinière aurait appartenu à Jacques Godelin.

La cure de Bonnevau relevait de la châtellerie d'après l'aveu de Jean Bâtard de Bourbon.

Église de Bonnevau

La première église fut sans doute dépendante de la villa de Gajanus. Les mérovingiens et carolingiens embellir cet oratoire. Agrandie, elle fut détruite par les Normands et reconstruite les comtes de Vendôme vers la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, elle est remarquable par ses peintures murales. Les stalles du chœur furent agrandies en 1792.

En 1845, une restauration importante fut effectuée par la commune. En 1853, trois contreforts sud furent construits pour une éventuelle inclinaison du côté du cimetière.

En 1894, la pose d'un vitrail sur la façade principale, lustres et autres ornements s'embellir.

Jusqu'en 1892, le cimetière, comme presque partout, entourait l'église. Vers 1820, acheta un nouveau terrain, à une centaine de mètres sur la route de Tröo, pour y établir un nouveau cimetière.

L'ancien et le nouveaux presbytère.

En 1793, à l'est de l'abside, c'était une maison à étage, à grands toits. Depuis la Révolution, elle passa dans différentes mains.

Un autre fut construit sur un terrain donné par la famille de Montesquiou. Petite et en mauvais état, elle fut restaurée, embellie et agrandie en 1869.

Poème dédié au paysage "J'aime à rêver près de ton onde, Braye, dont les flots silencieux Semblent dire aux heureux du monde: Le bonheur est dans ces lieux.

Le nénuphar, d'étoiles jaunes, Constelle l'émail de tes eaux, Où se mire, parmi les aulnes, La blanche aigrette des roseaux.

Je vous aime, ô belles prairies Où j'ai goûté tant de plaisir; Riants coteaux, rives fleuries, de vous, j'aime à me souvenir !"

P.H.

Politique et administration

Découpage territorial

La commune de Bonneveau est membre de la Communauté d'agglomération Territoires Vendômois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Elle est rattachée sur le plan administratif à l'arrondissement de Vendôme, au département de Loir-et-Cher et à la région Centre-Val de Loire<ref name="meta"/>, en tant que circonscriptions administratives<ref name="meta"/>. Sur le plan électoral, elle est rattachée au canton du Perche depuis 2015 pour l'élection des conseillers départementaux<ref name="Décret 2014">Modèle:Lien web.</ref> et à la troisième circonscription de Loir-et-Cher pour les élections législatives<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.

Politique et administration municipale

Conseil municipal et maire

Le conseil municipal de Bonneveau, commune de moins de Modèle:Unité, est élu au scrutin majoritaire plurinominal<ref>Article Modèle:Légifrance du Code électoral</ref> avec listes ouvertes et panachage<ref>Modèle:Lien web</ref>. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges au conseil municipal est de 11. Le maire, à la fois agent de l'État et exécutif de la commune en tant que collectivité territoriale, est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Elu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 25,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 36,0 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 50,33 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,45 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Économie

Secteurs d'activité

Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à Bonneveau selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés<ref> Modèle:Lien web.</ref> :

Établissements actifs par secteur d'activité au Modèle:Date-.
total % com (% dep<ref>Modèle:Lien web.</ref>) 0 salarié 1 à 9 salarié(s) 10 à 19 salariés 20 à 49 salariés 50 salariés ou plus
Ensemble 35 100,0 (100) 28 7 0 0 0
Agriculture, sylviculture et pêche 11 31,4 (11,8) 7 4 0 0 0
Industrie 4 11,4 (6,5) 3 1 0 0 0
Construction 5 14,3 (10,3) 4 1 0 0 0
Commerce, transports, services divers 14 40,0 (57,9) 14 0 0 0 0
dont commerce et réparation automobile 6 17,1 (17,5) 6 0 0 0 0
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 1 2,9 (13,5) 0 1 0 0 0
Champ : ensemble des activités.

Le secteur du commerce, transports et services divers est prépondérant sur la commune (14 entreprises sur 35) néanmoins le secteur agricole reste important puisqu'en proportions (31,4 %), il est plus important qu'au niveau départemental (11,8 %). Sur les Modèle:Nobr implantées à Bonneveau en 2016, 28 ne font appel à aucun salarié et 7 comptent 1 à Modèle:Nobr.

Au Modèle:Date-, la commune est classée en zone de revitalisation rurale (ZRR), un dispositif visant à aider le développement des territoires ruraux principalement à travers des mesures fiscales et sociales. Des mesures spécifiques en faveur du développement économique s'y appliquent également<ref name="ZRR">Modèle:Lien web</ref>.

Agriculture

En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage<ref name="AgriGéné"/>. Le département a perdu près d'un quart de ses exploitations en Modèle:Unité, entre 2000 et 2010 (c'est le département de la région Centre-Val de Loire qui en compte le moins)<ref name="PiloteAgri">Modèle:Lien web</ref>. Cette tendance se retrouve également au niveau de la commune où le nombre d'exploitations est passé de 22 en 1988 à 12 en 2000 puis à 9 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010<ref name="AgriGéné"/>. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Bonneveau, observées sur une période de Modèle:Unité :

Évolution de l'agriculture à Bonneveau (41) entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique<ref name="AgriGéné">Modèle:Lien web</ref>
Nombre d'exploitations (u) 22 12 9
Travail (UTA) 25 18 13
Surface agricole utilisée (ha) 1 073 1 085 979
Cultures<ref name="Expl">Modèle:Lien web</ref>
Terres labourables (ha) 991 1 065 953
Céréales (ha) 617 593 559
dont blé tendre (ha) 460 442 419
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 45 21 s
Tournesol (ha) 60
Colza et navette (ha) 34 s 189
Élevage<ref name="AgriGéné"/>
Cheptel (UGBTA<ref group=Note>L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d'espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).</ref>) 491 331 277

Produits labellisés

Vue de trois bœufs du Maine à la robe claire.
Bœuf du Maine.

Le territoire de la commune est intégré aux aires de productions de divers produits bénéficiant d'une indication géographique protégée (IGP) : le bœuf du Maine<ref>Modèle:Lien web</ref>, les porcs de la Sarthe<ref>Modèle:Lien web</ref>, le vin Val-de-loire<ref>Modèle:Lien web</ref>, les volailles de Loué<ref>Modèle:Lien web</ref>, les volailles de l’Orléanais<ref>Modèle:Lien web</ref>, les volailles du Maine<ref>Modèle:Lien web</ref> et les œufs de Loué<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref name="INAO">Modèle:Lien web</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Bibliographie

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Portail