Boutiers-Saint-Trojan

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Modèle:Infobox Commune de France

Boutiers-Saint-Trojan est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Boutiérois et les Boutiéroises<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Géographie

Localisation et accès

Boutiers-Saint-Trojan est une commune de l'ouest du département de la Charente située à Modèle:Unité au nord-est de Cognac et Modèle:Unité d'Angoulême<ref>Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper</ref>. La population y est dense, tenant au fait du voisinage de la ville de Cognac, dont Boutiers est presque un faubourg.

Située sur la rive droite de la Charente, la commune de Boutiers-Saint-Trojan est formée par la réunion des deux anciennes communes de Boutiers et de Saint-Trojan. Le bourg de Boutiers se dresse au sommet d'une colline dominant le fleuve. Saint-Trojan est situé au sud de la commune, au-dessus de la vallée de la Soloire.

À l'écart des grandes routes, la commune est traversée par la D 24, route de Cognac à Sainte-Sévère et Macqueville, qui franchit la Charente à Saint-Marmet, et par la D 156 qui passe au bourg<ref name="ign">Carte IGN sous Géoportail</ref>.

La gare la plus proche est celle de Cognac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Saintes et Royan avec correspondance à Angoulême pour Paris, Bordeaux, Poitiers et Limoges, et à Saintes pour La Rochelle et Niort.

Hameaux et lieux-dits

Il y a peu de hameaux dans la commune ; on peut toutefois citer les Tuileries sur la route de Macqueville, Port-Boutiers le long de la Charente, l'Étang, le Solençon à l'ouest, etc.<ref name="ign"/>.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

La commune occupe le calcaire en limite du Jurassique au nord et du Crétacé au sud.

Le Jurassique supérieur occupe une moitié nord-est du territoire communal. Il s'agit du Purbeckien, marne riche en argile et en gypse de la fin du Jurassique mordant sur la période du Crétacé inférieur, et composant la dépression du Pays Bas, ancienne lagune.

Le Crétacé supérieur occupe le plateau de la moitié sud-ouest du territoire communal. Il se compose du Cénomanien inférieur, composé de grès, sable et calcaire détritique. Le Cénomanien moyen occupe la grande partie restante et surplombe la vallée de la Charente.

Les vallées (Charente, Soloire et Solençon) sont occupées par des alluvions récentes du Quaternaire (parties inondables). On trouve aussi une basse terrasse d'alluvions sableuses plus anciennes au sud (les Sablons)<ref>Visualisateur Infoterre, site du BRGM</ref>,<ref>Carte du BRGM sous Géoportail</ref>,<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Article connexe

La commune de Boutiers-Saint-Trojan occupe un plateau allongé bordé au sud par la vallée de la Charente, à l'est par celle de la Soloire, à l'ouest par le Fossé du Roi et au nord par la plaine du Pays bas. Ce plateau est couvert de vignobles. Le point culminant de la commune est à une altitude de Modèle:Unité, situé au bourg. Le point le plus bas est à Modèle:Unité, situé le long de la Charente et du Fossé du Roi. Le bourg de Saint-Trojan est à environ Modèle:Unité d'altitude, surplombant la Soloire<ref name="ign"/>.

Hydrographie

Réseau hydrographique

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Boutiers-Saint-Trojan.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Charente, la Soloire, un bras de la Soloire, le Muellon, Les Eaux Mortes, le Solençon, le ruisseau de Corbières, le ruisseau Fossé du Roi et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

Cette commune est limitée, au sud-ouest, par la Charente et au sud-est, par un affluent de ce fleuve, la Soloire. La Charente, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source en Haute-Vienne,dans la commune de Chéronnac, et se jette dans le Golfe de Gascogne, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>. La Soloire, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source en Charente-Maritime,dans la commune de Mosnac, et se jette dans la Charente à Châteaubernard, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Le Solençon est un bras de la Charente, ainsi que les Eaux Mortes qui limite la commune, et le ruisseau de Corbières alimenté par la Soloire.

Le Fossé du Roi limite la commune à l'ouest<ref name="ign"/>.

Gestion des cours d'eau

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Climat

Modèle:Article connexe Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme

Typologie

Boutiers-Saint-Trojan est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Cognac, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (35,3 %), zones urbanisées (21,5 %), zones agricoles hétérogènes (17,2 %), forêts (14,8 %), prairies (11,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Boutiers-Saint-Trojan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) Saintes-Cognac-Angoulême, regroupant Modèle:Nobr concernées par un risque de débordement du fleuve Charente (34 en Charente et 12 en Charente-Maritime), un des Modèle:Nobr qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de l'hiver 1779, de 1842, de 1859, du Modèle:Date- du Modèle:Date-, du Modèle:Date-, de mars-avril 1962, du Modèle:Date- et du Modèle:Date-. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr), moyen (temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr) et extrême (temps de retour de l'ordre de Modèle:Unité, qui met en défaut tout système de protection)<ref>Modèle:Lien web</ref>. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2013 et 2021<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:16058-Boutiers-Saint-Trojan-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Boutiers-Saint-Trojan.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 715 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

Toponymie

Boutiers

Les formes anciennes pour Boutiers sont Boteriis, Boteriaco (non datées)<ref>Modèle:Ref-Ang-Pouillé 3</ref>, et un nom de personne Botterius ou Boterius<ref>Cartulaire de Saint-Jean-d'Angély</ref>.

L'origine du nom de Boutiers remonterait à un nom de personne germanique Botthar latinisé auquel a été apposé le suffixe -acum (ou fundus sous-entendu), ce qui correspondrait au « domaine de Botterius »<ref>Modèle:Dic-Dauzat-1989</ref>.

Saint-Trojan

Une forme ancienne est Sanctus Trojanus prope Compiniacum (non datée, signifiant « Saint-Trojan près Cognac »<ref>Modèle:Ref-Ang-Pouillé 3</ref>. Le nom vient de Trojan, évêque de Saintes mort vers 532<ref>Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928</ref>.

Pendant la Révolution, la commune de Saint-Trojan s'est appelée provisoirement Trojan-la-Montagne<ref>Modèle:Ref-Charente-Toponymie-Révolution</ref>.

Histoire

Fichier:Eglise-commanderie Boutiers.jpg
L'église de Boutiers vue de la Commanderie.

Boutiers était habité à l'époque gallo-romaine : on a dégagé des vestiges de plusieurs villas gallo-romaines, situées aux lieux-dits les Sablons, les Coulées et les Frugères<ref>Modèle:Ref-Charente-Vernou</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Le premier château du Solençon qui a totalement disparu est attesté dès le Moyen Âge. En 1775, il est acheté par le comte d'Artois qui construit un immense logis rectangulaire qui a lui aussi disparu, mais dont il reste des gravures. Il ne construit pas la raffinerie de sucre qu'il avait prévu. Le château est vendu et détruit après la Révolution. Il ne subsiste qu'un pigeonnier circulaire couvert d'un dôme, ainsi que des écuries transformées en habitations et dont les ouvertures en anse de panier du rez-de-chaussée ont été murées et repercées de nouvelles baies<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Saint-Trojan était uni à Saint-Brice et les deux terres n'ont été séparées qu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Puis, en 1793, Saint-Trojan est devenu une commune séparée.

Le Modèle:Date-, les représentants de Boutiers à l'assemblée préliminaire des états généraux, qui se tient à la salle capitulaire des Récollets de Cognac, sont Jean Bonnin et Jean Cormenier, et ceux de Saint-Trojan Jean Sabouraud et Jean Chaillot<ref>Histoire de Cognac, Jarnac, Segonzac, abbé Cousin, 1882, réédition 2007, Modèle:ISBN</ref>.

En 1859, la commune de Boutiers absorbe celle de Saint-Trojan<ref name="Cassini"/>.

Le soir de Noël 1972, une famille entière de Boutiers-Saint-Trojan disparaît sans laisser de trace : Jacques Méchinaud, Pierrette son épouse et leurs deux enfants Bruno quatre ans, et Éric sept ans, ainsi que leur véhicule familial, une Simca 1100. L'affaire Méchinaud n'est toujours pas résolue<ref>Les disparus de Boutiers, Philippe Dumas</ref>.

Les Antonins et les Hospitaliers

La terre de Boutiers fait partie des premières donations faites à l'ordre hospitalier de Saint-Antoine en 1095 et qui venait d'être créé six ans plus tôt. Modèle:Refnec. Le bourg de Boutiers devient alors le chef-lieu d'une commanderie appelée Saint-Antoine de Boutiers dans le diocèse de Saintes, dont l'église du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle a été détruite vers 1855 à la suite d'un procès perdu par la commune<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>. Les registres de Boutiers commencent en l'année 1600.

Une déclaration fut reçue par notaire le Modèle:Date-, à la demande du commandeur Guillaume de Franchiliens, en présence de Bernard de Cazelon, prieur de Saint-Léger de Cognac, et de Simonet de Vaucelles, capitaine du château de Merpins qui stipule que Bernard, évêque de Saintes, y est accueilli comme pèlerin et non en vertu d'un droit.

La commanderie de Saint-Antoine de Boutiers a appartenu à partir de 1777 à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem à la suite de l'intégration de l'ordre dit des Antonins sur le déclin au sein de cet ordre hospitalier<ref>Modèle:Chapitre</ref>.

Le Modèle:Date- fut parrain dans l'église de Boutiers « honorable homme Philippe Desmarais, sieur de la Grave de Saint-Vivien, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, chevalier et commandeur de Saint-Antoine de Boutiers. »

L'église de la commanderie servait d'église paroissiale, et il est mentionné que Porchaire, propriétaire du domaine de Bel-Air, mort au mois de Modèle:Date-, y fut enterré<ref>Paul Lacroix, Les anciens châteaux des environs de Cognac, 1906</ref>.

Administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Modèle:Refnec

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 27,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 33,6 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 50,25 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Remarques

En 1859, Boutiers a absorbé Saint-Trojan<ref name="Cassini"/>.

Les pertes de la Première Guerre mondiale (252 soit 30 %) mettront 60 ans à être surmontées, puis la croissance va continuer comme dans toutes les communes péri-urbaines de Cognac et d'Angoulême.

Économie

Agriculture

La viticulture occupe une partie importante de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Équipements, services et vie locale

Enseignement

La commune possède une école primaire comprenant cinq classes.

Le secteur du collège est Cognac (collège Félix-Gaillard)<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Lieux et monuments

Patrimoine religieux

L'église paroissiale Saint-Trojan dont la nef et le chœur sont du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'abside et le clocher du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, tout comme les sculptures des corniches de l'abside et le tombeau. Autrefois Saint-Urjan, c'était un ancien prieuré-cure dédié à Trojan, évêque de Saintes du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elle est inscrite comme monument historique depuis 1952<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Les ruines de l'église Saint-Marmet, des {{#switch: e

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}}

}}, dominent le promontoire qui surplombe la Charente. Jadis Saint-Marmert, elle aurait été construite par la commanderie d'Antonins de Boutiers. Elle fut dévastée à la Révolution et ne fut pas vraiment restaurée<ref name=gillet>Modèle:Ref-Charente-Gillet</ref>. Elle est inscrite comme monument historique depuis 1986<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

L'église Saint-Antoine, de Boutiers, date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elle a été édifiée par la municipalité pour remplacer l'ancienne église Notre-Dame, fondée en 1095 par les Antonins et qui était à l'origine une commanderie hospitalière, ruinée et vendue comme bien national à la Révolution<ref name=gillet/>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Patrimoine civil

Le patrimoine bâti est divers : pigeonniers, lavoir, moulin, fermes, maisons...

Il existe plusieurs vestiges de tuileries et de briqueteries du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.

Patrimoine environnemental

La Soloire, affluent rive droite de la Charente marque la limite de la commune. Elle fait partie de la zone Natura 2000 Charente amont.

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

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  • Cartes

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Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Palette Communauté d'agglomération du Grand Cognac

Modèle:Portail