Byte
Modèle:Titre en italique Modèle:Voir homonymes Modèle:Confusion Le Modèle:Lang (prononcé {{#ifeq:1|0|/baɪt/|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}}), ou multiplet en français<ref>Modèle:CNRTL</ref>,<ref>Modèle:GDT.</ref>, est Modèle:Incise la plus petite unité « logiquement » adressable par un programme sur un ordinateur. Aujourd’hui, le besoin d'une structure commune pour le partage des données a fait que le Modèle:Lang de Modèle:Unité, appelé octet, s'est généralisé en informatique. Cependant,
- jusque dans les années 1970, il existait des processeurs avec des Modèle:Lang de tailles très variables ;
- il existe, pour la programmation des automates et autres équipements industriels simples, des processeurs utilisant des mémoires adressables par quantité de Modèle:Unité, voire moins ;
- beaucoup de microprocesseurs adressent physiquement la mémoire par mot de plusieurs bytes afin d'augmenter les performances.
La généralisation des bytes de 8 bits conduit à la confusion des notions de byte et d'octet. L'octet, comme son nom l’indique, contient exactement Modèle:Unité (en anglais eight-bit byte).
Histoire
Le terme Modèle:Lang est créé en 1956 par Werner Buchholz<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Article</ref> alors qu'il travaille à la conception de l'IBM Stretch. C'est une déformation orthographique volontaire de l'anglais Modèle:Lang, littéralement « bouchée », pour éviter toute confusion avec bit par élision du e final. Le terme désigne par analogie la plus petite unité de données accessible via un bus de données<ref>Byte, catb.org, Werner Buchholz et le terme byte.</ref>.
Sur l'IBM Stretch, il est constitué de 1 à 8 bits consécutifs dans la mémoire, sa longueur étant déterminée par l'instruction exécutée<ref name="BrooksBlaauw1959">Modèle:Article</ref>.
Le byte est l'unité de stockage d'un emplacement mémoire, qui selon le processeur peut varier de quatre à plusieurs dizaines de bits. Chaque constructeur définissait la taille du byte en fonction de ses besoins du moment. Ainsi, par exemple, le PDP-10 utilise un byte par le jeu d'instructions en langage machine, qui a une taille variable. Sur cette même architecture, les mots, utilisés pour l'adressage mémoire, font Modèle:Unité.
Distinction entre Modèle:Lang et octet
En anglais, la capacité de la mémoire informatique s'exprime généralement en Modèle:Lang, alors qu'en français elle s'exprime plutôt en octets, ce qui était différent jusqu'à la Modèle:Quand. On peut donc considérer qu'une documentation en français qui exprime la capacité de mémoire en Modèle:Lang a été mal traduite. Aujourd'hui, pour le Dictionnaire du multimédia. Audiovisuel, informatique, télécommunications<ref>1996, Modèle:P..</ref> de l'AFNOR, le byte est « l'unité d'information correspondant à un octet, soit Modèle:Nombre ». La normalisation « IEC 80000-13 » va dans le même sens : normaliser la taille des bytes à Modèle:Nombre. C'est de cette normalisation du byte de Modèle:Nombre que vient la confusion.
En anglais comme en français, si l'on veut explicitement désigner une quantité de huit bits, on utilise le mot Modèle:Lang ; tandis que si l'on veut exprimer l'unité d'adressage indépendamment du nombre de bits, on utilise le mot Modèle:Lang. Ainsi la description formelle d’un langage de programmation utilisera sciemment le mot Modèle:Lang si le langage ne nécessite pas qu’un Modèle:Lang ait une taille d’un octet. C’est par exemple le cas du langage C, où un Modèle:Lang peut contenir plus de huit bits. Le mot octet est sciemment utilisé en français comme en anglais pour décrire un format de données au bit près. Ainsi, on trouve le mot octet dans des textes anglais comme le Modèle:RFC qui décrit le protocole de communication TCP d'Internet, ou dans le standard H.263 qui décrit une norme de codage vidéo numérique.
La même distinction entre Modèle:Lang et octet existe donc dans les deux langues, seul change le mot que l'on utilise couramment dans les cas où le byte mesure huit bits.
Confusion entre bit et Modèle:Lang
La capacité mémoire d'une puce de mémoire informatique est généralement donnée en bits (b), mégabits (Mb) ou gigabits (Gb), alors que la capacité mémoire de l'ensemble des puces d'un ordinateur est généralement donnée en Modèle:Lang (B), mégabytes (MB) ou gigabytes (GB), ou en octets (o), mégaoctets (Mo) ou gigaoctets (Go). Des médias négligents font la confusion entre bit et Modèle:Lang et se trompent donc d'un facteur de huit, par exemple en écrivant « ordinateur doté de Modèle:Unité de RAM » au lieu de « ordinateur doté de Modèle:Unité de RAM » ou « ordinateur doté de Modèle:Unité de RAM »<ref>Pour être tout à fait précis, il faudrait l’exprimer en Gio, c’est-à-dire en giga binaire, donc en puissances de 2 (facteurs de Modèle:Nombre et non de Modèle:Nombre).</ref>.
La capacité des cartouches de jeu vidéo est généralement donnée en bits, ce qui fait exception à l'usage répandu du Modèle:Lang ou de l'octet pour la mesure d'une mémoire complète. Cela permet d'utiliser de plus grands nombres dans la communication, en écrivant « cartouche de Modèle:Unité » (Modèle:Unité) au lieu de « cartouche de Modèle:Unité » (Modèle:Unité).
Modèle:Lang multiples
Modèle:Voir En informatique, lorsqu’un processeur est capable de traiter plusieurs bytes en tant qu’entité unique, on appelle cette entité un « mot ». Les tailles de mot les plus courantes sont :
- Modèle:Unité, rarement appelé « seizet » ou « doublet » ;
- Modèle:Unité, rarement appelé « trente-deuzet » ou « quadlet » ;
- Modèle:Unité, rarement appelé « octlet ».
Comme pour les octets, les multiples sont kilobyte, mégabyte, gigabyteModèle:Etc.<ref>Bytes - Unités de mesures en multiples de "bytes", sur assiste.com, consulté le Modèle:Date</ref> des puissances de 10. Lorsqu'on utilise des puissances de 210 il faut intercaler un 'i'.
