Claude-Alexandre Ysabeau

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Claude-Alexandre Ysabeau, né le Modèle:Date de naissance à Gien (Loiret) et mort le Modèle:Date de mort à Paris, est un homme politique français<ref name=AssembléeConvention>Claude, Alexandre Ysabeau, publié sur le site de l'Assemblee-nationale.fr (consulté le 2 juillet 2019)</ref>.

Biographie

Ysabeau est prêtre d'abord (oratorien), puis professeur à l'École militaire de Vendôme et au collège de Tours en 1789, puis curé constitutionnel de Saint-Martin de Tours en 1791<ref name=AssembléeBio>Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889, publié sur le site de l'Assemblee-nationale.fr (consulté le 2 juillet 2019)</ref>. Il est nommé vicaire supérieur le 21 juin 1791 par Suzor, le nouvel évêque élu le 14 mars précédent. Secrétaire de la Société des Amis de la Constitution depuis sa création en mai 1790, il en anime les séances pendant plusieurs mois. Le 8 septembre 1791, il est élu administrateur au département d'Indre-et-Loire.

Il est élu député à la Convention par le département d'Indre-et-Loire<ref name=AssembléeConvention/>. Il vote la mort de Louis XVI. Envoyé en mission, en Modèle:Date- avec Jean-Lambert Tallien, il réprime la révolte fédéraliste de Bordeaux (Modèle:Unité à mort environ), puis en 1794, organise l'armée des Pyrénées-Orientales<ref name=AssembléeBio/>.

C'est lui qui, le 9 Thermidor (Modèle:Date-), lance la célèbre apostrophe à Robespierre : Modèle:Citation.

Membre du Comité de sûreté générale en Modèle:Date-, il est élu au Conseil des Anciens en Modèle:Date-. Sous le Consulat et le Premier Empire, il devient inspecteur des services postaux à Paris<ref name=AssembléeBio/>.

Révoqué à la Première Restauration, il tombe sous le coup de la loi du 12 janvier 1816 contre les régicides. Le Modèle:Date-, il s’exile pour la ville de Mons en Belgique et se retire dans la ville néerlandophone de Vilvorde<ref name=AssembléeBio/>.

En 1818, il rencontre Modèle:Lien, le pionnier de l'infrastructure ferroviaire britannique qui lui remet le résultat de ses études<ref>Modèle:Ouvrage</ref> afin qu'un tel système soit déployé en France.

Malgré maintes demandes, il ne peut obtenir l'autorisation de rentrer en France et la Révolution de 1830 fait cesser son exil une année avant sa mort<ref name=AssembléeBio/>.

Il est inhumé à la Modèle:37e du cimetière du Père-Lachaise<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Notes et références

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Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

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Liens externes

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