Criticisme

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

{{#invoke:Bandeau|ébauche}}

Fichier:Kant Kritik der reinen Venunft 1781.jpg
Première de couverture de la Kritik der reinen Vernunft, 1781

Le criticisme, ou « philosophie critique », promeut l'idée que toute véritable recherche philosophique Modèle:Citation<ref>Modèle:Harvsp</ref>. La critique ne s'exerce pas tellement sur les productions de la raison mais sur la raison elle-même. Modèle:Citation<ref>Modèle:Harvsp</ref>.

La philosophie critique s'oppose directement au dogmatisme et au scepticisme. En effet, le criticisme peut être considéré comme un bouleversement non seulement des manières de penser pour ce qui concerne la spéculation métaphysique mais aussi dans la manière de se comporter eu égard à la morale et à la politique. Les successeurs de Kant lui reprochent d'ailleurs une certaine timidité, Modèle:Citation, rapporte l'historien Émile Bréhier<ref>Modèle:Harvsp</ref>.

Le criticisme postule que si l'être humain ne peut connaître la vérité des choses en soi (noumènes), il peut connaître la vérité de ce qu'elles sont pour soi (ce qu'elles représentent pour lui - phénomènes).

Toute connaissance serait formée de la combinaison d'observations issues des sens (et donc incertaines) et de catégories de pensée universelles (identiques pour tout être pensant) a priori (préexistant à toute expérience), tel que le principe de causalité par exemple. De cette universalité des catégories de pensée découlerait le fondement « certain » des connaissances (des phénomènes) a posteriori.

Principal représentant français du criticisme : Léon Brunschvicg.

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Bibliographie

Liens externes

Modèle:Liens

Modèle:Palette Modèle:Portail