Eysson

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Modèle:Infobox Commune de France

Eysson est une commune française située dans le département du Doubs en région Bourgogne-Franche-Comté.

Les habitants d' Eysson sont appelés les Eyssonais et Eyssonaises.

Géographie

Modèle:Encadré texte

Toponymie

Essun en 1188 ; Aysson en 1248 ; Asson en 1330 ; Aisson en 1342 ; Heisson à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle ; Heusson au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle ; Aissun en 1688 ; Aisson en 1720<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

La commune d'Eysson se situe à mi plateau du massif du Jura, au nord-ouest de Vercel. Elle est limitée à l'est par la prolongation du mont de Vercel, et à l'ouest par la petite cluse de Creuse. On trouve dans cette cluse, en amont du moulin de Creuse, la source de l'Audeux, au lieu-dit la Conche. Cette source est une exsurgence, qui prend les teintes mystérieuses d'une petite "source bleue". Le territoire de la commune est essentiellement couvert de pâturages et de forêts de hêtres. L'emplacement du village est toujours resté le même, comme en témoignent les appellations de deux quartiers : Derrière la Ville et Le Faubourg.

Communes limitrophes

Urbanisme

Typologie

Eysson est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valdahon, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (41,9 %), forêts (40,2 %), prairies (17,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

L’histoire d’Eysson est liée à la fondation d’un prieuré, dont une première installation daterait du {{#switch: e

 | e | er | = 
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   Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleIX

}}. On sait avec certitude qu’une communauté de moines bénédictins de Cluny s’installe à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, en lien avec le prieuré de Morteau. Jusqu’à la Révolution française, les habitants d’Eysson resteront sujets du prieur de Morteau. Les droits et devoirs des habitants d’Eysson à l’égard du prieur de Morteau sont décrits dans un texte de 1188, conservé aux archives départementales du Doubs.

On ne sait rien du prieuré d’Eysson. Il en reste toutefois le beau chevet roman de l’église, du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. L’église Saint-Georges d’Eysson porta le titre d’église-mère, jouissant d’une grande considération dans la région. La paroisse s’étendit sur les villages environnants de Grandfontaine, Domprel, La Sommette, Plaimbois-Vennes, et le curé d’Eysson nommé à la cure de Passonfontaine.
La paroisse était suffisamment importante pour que la charge de bailli d’Eysson, collecteur de l’impôt pour le prieur de Morteau, fut recherchée. En 1532, c’est Antoine Vernerey, également bailli de la seigneurie de Cicon, qui tint cette charge. Sa maison, toujours visible à Passonfontaine, est une preuve des revenus qu’il en retirait.
Eysson eut une école dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Le village fut sans doute ravagé par les mercenaires suédois de Louis XIII en 1641.
Ses habitants prirent part, durant la Révolution française, à la « petite Vendée » des paysans du Haut-Doubs, cachant des prêtres réfractaires à la constitution civile du clergé. Plusieurs habitants furent emprisonnés.

Politique et administration

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Démographie

Modèle:Population de France/section

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

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Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

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