Frank Vandenbroucke (homme politique)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité politique Frank Vandenbroucke est un homme politique belge néerlandophone, né le Modèle:Date de naissance à Louvain (province de Brabant). Il est membre du parti socialiste Vooruit. Il est vice-Premier ministre et ministre fédéral des Affaires sociales et de la Santé publique depuis le Modèle:Date-.

Il est élu membre de la Chambre des représentants en Modèle:Date-, et entre au gouvernement de Jean-Luc Dehaene en Modèle:Date- comme vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères. Il démissionne du cabinet au bout de cinq mois, mis en cause dans l'affaire Agusta<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Il fait son retour au fédéral en Modèle:Date-, en qualité de ministre fédéral des Affaires sociales et des Pensions du gouvernement arc-en-ciel de Guy Verhofstadt. Il troque en Modèle:Date- les Affaires sociales pour l'Emploi dans le gouvernement Verhofstadt II.

Il quitte l'exécutif en Modèle:Date-, après avoir été élu député au Parlement flamand puis nommé vice-président et ministre de l'Emploi, de l'Éducation et de la Formation du gouvernement flamand. Réélu député régional mais pas reconduit ministre en Modèle:Date-, il remonte au Parlement fédéral en Modèle:Date-, lors de son élection au Sénat. Il se retire un an plus tard de la vie politique.

En Modèle:Date-, alors que le sp.a fait son retour dans la majorité parlementaire après Modèle:Unité d'opposition, il devient vice-Premier ministre et ministre fédéral des Affaires sociales et de la Santé publique du gouvernement à sept partis d'Alexander De Croo.

Biographie

Jeunesse

Dans sa jeunesse, Frank Vandenbroucke a milité dans les rangs de la Ligue révolutionnaire des travailleurs, la section belge de la Quatrième Internationale trotskyste<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En 1978 il obtient son diplôme de licencié en Sciences Économiques à la KU Leuven<ref>De bouwstenen van de ekonomische doktrine van het Algemeen Belgisch Vakverbond, K.U.L., 1978, mémoire de licence non publiée, voir De industrie in België - Twee eeuwen ontwikkeling 1780-1980 (Gemeentekrediet van België, Nationale Maatschappij voor Krediet aan de Nijverheid, Bruxelles 1981), p. 204.</ref>.

Ministre de Jean-Luc Dehaene

Franck Vandenbroucke siège à la Chambre des représentants entre Modèle:Date- et Modèle:Date-. Il accède en Modèle:Date- à la présidence du Socialistische Partij (SP), le parti socialiste de la Région flamande.

Il succède en Modèle:Date- à Willy Claes, nommé secrétaire général de l'OTAN, aux fonctions de vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères. En conséquence, il cède à Louis Tobback la présidence du SP.

Il démissionne le Modèle:Date-, à la suite de son implication dans l'affaire Agusta, ayant reconnu avoir en 1991 découvert une somme d'argent noir de six millions de francs belges dans les comptes de son parti, dont il était alors président. Cet argent se trouvait sur un compte de la banque suisse CODEP. Il avait alors décidé de demander à Étienne Mangé de brûler les billets. Cependant, aucune preuve n'atteste que celui-ci l'ait fait<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>. Mangé avait été condamné en décembre 1998 à un an de prison avec sursis pour son implication dans cette affaire et décédé en 2012<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Son parti décide de le remplacer par le ministre de l'Intérieur Johan Vande Lanotte comme adjoint au chef de l'exécutif, et par le secrétaire d'État au Développement Erik Derycke pour la direction de la diplomatie.

Ministre de Guy Verhofstadt

À la suite des élections législatives fédérales de 1999, le libéral Guy Verhofstadt constitue une coalition Modèle:Citation de libéraux, socialistes et écologistes. Franck Vandenbroucke est alors rappelé au gouvernement fédéral pour occuper le poste de ministre fédéral des Affaires sociales et des Pensions.

Lorsque Verhofstadt instaure en Modèle:Date- une Modèle:Citation entre libéraux et socialistes, Franck Vandenbroucke conserve la compétence sur les Pensions mais abandonne les Affaires sociales au profit de l'Emploi.

Carrière flamande et suspension de la vie politique

Aux élections régionales du 13 juin 2004, il est élu député de Brabant flamand au Parlement flamand. Il n'y siège pas, étant choisi comme vice-président et ministre de l'Emploi, de l'Éducation et de la Formation du gouvernement régional du chrétien-démocrate Yves Leterme. S'il est réélu au scrutin de 2009, il n'est pas reconduit ministre par son parti.

Pour les élections législatives fédérales anticipées du 13 juin 2010, il occupe la Modèle:25e et dernière place de la liste du sp.a pour le Sénat. Avec Modèle:Unité, il réalise le deuxième meilleur résultat du parti Modèle:Incise et l'un des dix meilleurs scores belges.

Il se retire en Modèle:Date- de la vie politique et démissionne de son mandat parlementaire.

Retour en politique

Retraité depuis neuf ans, Franck Vandebroucke est rappelé par le Socialistische Partij Anders pour faire partie du gouvernement fédéral mis sur pied le Modèle:Date-. Dans cette équipe dirigée par Alexander De Croo et qui marque le retour du sp.a au pouvoir fédéral après Modèle:Unité d'opposition, il est vice-Premier ministre et ministre des Affaires sociales et de la Santé publique<ref>Modèle:Lien web</ref>.

L'État social actif

À la suite de sa démission en 1995, Frank Vandenbroucke se rend à l'université d'Oxford, où il fait une thèse de doctorat (soumise en 1999 et publiée en 2011 sous le titre "Social justice and individual ethics in an open society : equality, responsibility, and incentives" - Justice sociale et éthique individuelle dans une société ouverte: égalité, responsabilité, et incitants, non traduit)<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Modèle:Référence nécessaire.

Notes et références

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Liens externes

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