Jacques Thomas Sarrut
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Jacques-Thomas Sarrut est un général français de la Révolution et de l’Empire, né le Modèle:Date- à Canté (Ariège) et mort le Modèle:Date-, des suites des blessures reçues le Modèle:Date- à la bataille de Vitoria.
Biographie
Jacques Thomas Sarrut naît le 16 août 1765 et est baptisé deux jours plus tard à Saverdun<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Il est le fils de Jean-Jacques Sarrut, bourgeois, et de Jeanne Sarrut.
Il entre en service en 1782 comme volontaire dans le régiment de Picardie. Promu adjudant en 1791, il devient l'aide de camp de l'adjudant-général Drouet et gagne ses galons de capitaine pendant la campagne de Belgique. Il se distingue à la bataille de Jemmapes le Modèle:Date- et prend les fonctions d'adjoint aux adjudants-généraux le Modèle:Date-. Pour sa conduite au siège d'Ypres, il est nommé chef de brigade de la [[3e régiment d'infanterie de ligne|Modèle:3e de bataille]] le Modèle:Date-, puis prend le commandement de la [[8e régiment d'infanterie de ligne|Modèle:8e d'infanterie]] le Modèle:Date-. Le Modèle:Date- il est à la bataille de Hohenlinden.
Nommé général de brigade le Modèle:Date-, il participe aux batailles de Lambach les Modèle:Date- et Modèle:Date-, de Iéna le Modèle:Date-, de Buçaco le Modèle:Date- et de Fuentes de Oñoro du 3 au Modèle:Date-. Il est élevé au grade de général de division le Modèle:Date-, avant de prendre part à la bataille des Arapiles le Modèle:Date- de l'année suivante.
Le Modèle:Date-, sa division est engagée à la bataille de Vitoria. Alors qu'il mène une contre-attaque à hauteur du village d'Arriaga, il est frappé d'une balle à la poitrine et est fait prisonnier par des soldats de la King's German Legion. Il succombe à ses blessures à l'hôpital anglais de Vitoria le Modèle:Date-<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Décorations et titres
- Commandeur de la Légion d'honneur le Modèle:Date-.
- Baron de l'Empire le Modèle:Date-.
Hommages, honneurs, mentions
- Le nom de Sarrut est gravé [[Noms gravés sous l'arc de triomphe de l'Étoile#Pilier Sud|au côté Sud (Modèle:21e) de l’arc de triomphe de l’Étoile, à Paris]].
- Les casernes d'infanterie de Pamiers, devenues casernes de gendarmerie mobile à leur reconstruction dans les années 1980, ont été baptisées du nom du général Sarrut<ref>Modèle:Article</ref>.