Jean-Jacques Bertrand

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité politique Jean-Jacques Bertrand, né le Modèle:Date de naissance- à Sainte-Agathe-des-Monts et mort le Modèle:Date de décès- à Montréal, est un homme politique québécois. Il est premier ministre du Québec du Modèle:Date- au Modèle:Date- sous la bannière de l'Union nationale.

Biographie

Début de carrière

Modèle:... Après avoir étudié à l'Université d'Ottawa et à l'Université de Montréal, il est admis au Barreau du Québec en 1941<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Ministre sous Daniel Johnson (1966-1968)

Bertrand exerce les fonctions de ministre de l'Éducation et de ministre de la Justice au sein du gouvernement de Daniel Johnson et lui succède lorsque ce dernier meurt dans l'exercice de ses fonctions.

Premier ministre du Québec (1968-1970)

En 1969, à la suite de la crise de Saint-Léonard, où la commission scolaire de Saint-Léonard, à Montréal, annonçait que seules les écoles de langue française ouvriraient leur porte à l'automne 1968, provoquant la colère de la communauté anglophone, le gouvernement de Bertrand introduit le projet de loi 63 qui garantit explicitement le droit aux parents de choisir la langue d'éducation de leurs enfants. Ce projet, censé renforcer les protections de la langue française, facilitera en réalité le passage vers l'école anglaise. Cette décision extrêmement impopulaire provoquera des émeutes et des manifestations dans le Québec francophone, ainsi que la défection de nombreux militants de l'Union nationale vers le Parti québécois<ref>Herbert F. Quinn, The Union Nationale, University of Toronto Press, Modèle:2nd-en edition, 1979, Modèle:P..</ref>. Aux élections de 1970, Bertrand et l'Union nationale sont défaits. Il est chef de l'opposition jusqu'au Modèle:Date-.

Il perd l'élection de 1970. Le Modèle:Date-, peu de temps après le conseil national du parti, il annonce qu'il quitte la direction. Un congrès à sa succession sera convoqué pour le mois de Modèle:Date-<ref>Herbert F. Quinn, op. cit., p. 268. Voir aussi Gilles Daoust, «L'UN élira un nouveau chef au cours de 1971», Le Devoir, 7 novbembre 1970, p. 1.</ref>. Son successeur sera l'ancien ministre Gabriel Loubier.

Son fils, Jean-François Bertrand, est ministre dans le gouvernement péquiste de René Lévesque. Son épouse, Gabrielle Bertrand (née Giroux), est députée de Brome-Missisquoi à la Chambre des communes du Canada en 1984 et 1988.

Mort

Jean-Jacques Bertrand meurt en fonction le Modèle:Date- à Montréal, à l'âge de 56 ans. Trois jours plus tard, le Modèle:Date-, il est inhumé au cimetière de la paroisse Sainte-Rose-de-Lima de Cowansville.

Toponymie

Résultats électoraux

Modèle:Colonnes

Résultats électoraux de l'Union nationale sous Bertrand

Modèle:Tableau Résultats d'une élection générale québécoise

Références

<references> <ref name="palais">Modèle:Lien web.</ref> </references>

Archives

Le fonds d’archives de Jean-Jacques Bertrand est conservé au centre d’archives de Québec de la Bibliothèque et Archives nationales du QuébecModèle:Commentaire biblio

Voir aussi

Liens externes

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