Jean-Luc Warsmann

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Modèle:Infobox Personnalité politique

Jean-Luc Warsmann, né le Modèle:Date à Villers-Semeuse (Ardennes), est un homme politique français.

Biographie

Jeunesse et études

Jean-Luc Warsmann étudie à l'Institut d'études politiques de Paris<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Parcours professionnel

Jusqu'en 1996, Jean-Luc Warsmann dirige la Mutuelle générale des étudiants de l'Est.

Conseiller municipal de Douzy à partir de 1989, il en est le maire de la commune de 1995 à 2014. Il devient conseiller général des Ardennes en 1996.

Suppléant de Claude Vissac aux élections législatives de 1993 dans la [[Troisième circonscription des Ardennes|Modèle:3e des Ardennes]], il devient député le Modèle:Date; à la suite du décès de celui-ci. Il est réélu député en 1997, 2002, 2007, 2012 et 2017<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref name="MI_1862017">Modèle:Lien web.</ref>. Il fait successivement parties des groupes RPR, UMP, LR, LC, UAI et UDI.

Avec 2 671 questions écrites posées au gouvernement entre le 2002 et mi-2006, il est le député le plus actif de l'Assemblée nationale sur ce critère<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Vice-président de l'Assemblée nationale de 2005 à 2007, il est ensuite, lors de la [[XIIIe législature de la Cinquième République française|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIIe{{#if:|  }} }} législature]], président de la commission des Lois. En 2009; il est rapporteur d'une loi qui supprime notamment de l'arsenal juridique français la dissolution d'une personne morale convaincue d'escroquerie, ce qui de facto empêche la dissolution de l'Église de Scientologie pour ce grief<ref>« La scientologie ne pourra pas être dissoute », Le Figaro, 14 septembre 2009.</ref>. En 2010, il fait adopter une loi élargissant la possibilité de saisir puis de confisquer les avoirs frauduleux par la justice. Depuis, tous les suspects peuvent faire l'objet d'une saisie, même si les biens ont été acquis légalement par le passé. Ces biens peuvent ensuite être vendus au profit de l'État. L'année suivante, AGRASC commence à fonctionner<ref>Mathieu Delahousse, « Les confiscateurs », Vanity Fair n°12, juin 2014, pages 116-123 et 174-175.</ref>. En septembre 2017, il est nommé président de l'un des groupes de travail visant à réformer l'Assemblée nationale.

Tête de liste UMP aux élections régionales de 2010 en Champagne-Ardenne, il obtient au niveau régional 38,5 % des voix au second tour dans le cadre d'une triangulaire<ref>Les résultats aux primaires régionales »</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Réélu conseiller régional sur les listes de Philippe Richert lors des élections régionales de 2015 en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, il est vice-président du conseil régional de 2016 à 2017.

Comme d'autres personnalités de son parti, il renonce à soutenir le candidat LR à l'élection présidentielle de 2017, François Fillon, impliqué dans des affaires judiciaires<ref>Aurélie Marcireau, « Affaire Fillon : Bruno Le Maire dénonce le non-respect "de la parole donnée" et démissionne de l'équipe de campagne », lelab.europe1.fr, Modèle:1er mars 2017.</ref>.

Le Modèle:Date-, alors qu'il se trouve en tête du cortège d'une manifestation pour le maintien de la maternité de Sedan, il est enfariné par un homme qui lui reproche Modèle:Citation et d'être par conséquent Modèle:Citation qui Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Il est révélé par Mediapart en mars 2023 qu'il détient pour 28 409 euros d'actions de TotalEnergies, ce qui soulève des interrogations sur de potentiels conflits d'intérêts lors de ses votes concernant cette entreprise<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Détail des mandats et fonctions

Notes et références

Modèle:Références

Liens externes

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