Il étudie le violon dès l’âge de six ans, un peintre professeur de son lycée lui révèle l’art, révélation confirmée lors de la visite de l'Exposition spécialisée de 1937.
Après des études classiques et musicales très poussées, Jean Dewasne s’inscrit à l’École des Beaux-Arts de Paris où il fréquente, pendant deux ans, les ateliers d’architecture avant de se tourner vers la peinture<ref name="Dewasne">Marianne Durand-Lacaze, « La longue marche de Jean Dewasne (1921-1999), artiste majeur de la peinture abstraite du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle » sur Canal Académie, 3 juin 2012</ref>.
Sa première exposition a lieu en 1941 à la galerie l’Esquisse, il réalise sa première œuvre abstraite en 1943.
En 1945, année où il participe au comité fondateur du Salon des réalités nouvelles, il reçoit le prix Kandinsky décerné pour la première fois. Il expose pour la première fois sa peinture abstraite à la galerie René Drouin en 1946<ref name="Dewasne"/>.
Jean Dewasne démissionne en 1949 du salon des Réalités Nouvelles.
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Il devient un artiste phare de la galerie Denise René (1945-1956) et voyage pour diffuser son art. Après 1956, il expose chez Daniel Cordier.
Il fonde en 1950 avec Edgard Pillet l'Atelier d'art abstrait à Paris.
En 1951, il innove en utilisant l’isorel pour réaliser L’apothéose de Marat et en utilisant une peinture industrielle, des laques glycérophtaliques en pot. Il crée aussi ses premières Antisculptures<ref name="Dewasne"/>, avec des pièces de carrosserie d'automobiles ou de moto qu'il peint en couleurs vives.
Il donne de nombreuses conférences en France comme à l'étranger où il participe à des expositions internationales.
1955 : La Toison d'or, collection de la Communauté française de Belgique<ref>Fernand Graindorge 1903-1985. Collectionneur et mécène. Donation à la Communauté française de Belgique, catalogue d'exposition, Liège, Musée de l'Art wallon, 2009, Modèle:P.</ref>.