Kofun

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Fichier:Shogunyama kofun.JPG
Kofun gigantesque du type zenpō-kōen-fun : le kofun Shōgunyama de la préfecture de Saitama, estimé<ref>Selon le site du musée local.</ref> vers la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; l'un des derniers construits.

Les Modèle:Japonais sont des monuments funéraires (tumulus) japonais datés d’entre le Modèle:S mini- et le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, qui ont donné leur nom à la période Kofun<ref name="Hérail p38">François Macé dans : Modèle:Harvsp.</ref>.

Les kofun se présentent sous plusieurs formes, les ronds et les carrés étant les plus simples. Un style caractéristique est le kofun en forme de trou de serrure dont l'apparition sert de point de départ à la période. Ceux-ci sont composés, en plan, d'un triangle isocèle sécant à un disque placé sur son axe de symétrie. Mais le disque peut aussi être remplacé par une forme carrée<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. Leur taille varie de quelques mètres, en particulier les tertres ronds autour d'une dizaine de mètres, à plus de Modèle:Unité de longueur. Des terres cuites sans glaçure, appelées haniwa, sont à demi-enfouies, alignées autour ou disposées sur le tertre. Les plus nombreuses ont la forme générale d'un cylindre, parfois support de représentation de coupes, et tout un autre ensemble à caractère figuratif : maisons, personnages, objets, animaux.

Les chambres funéraires et leur dépôt funéraire, sous le tertre ainsi que les tertres eux-mêmes, ont eu une évolution considérable tout au long de la période Kofun et sur la partie ouest de l'archipel, avec de fortes variations d'une région et d'une période à l'autre. Ces variations reflètent les transformations culturelles et sociales, et les évènements politiques qui agitent cette période.

Ces vestiges archéologiques représentent une source contemporaine d'informations japonaises très précieuse puisque les sources écrites nippones sont postérieures.

Topographie

Ces tumulus, dont la forme a varié au cours des siècles et des lieux, sont souvent, vus de haut, en forme de trou de serrure (trapèze surmonté d'un cercle) mais peuvent être aussi Modèle:Japonais, Modèle:Japonais, Modèle:Japonais<ref>le Kasuga-Mukaiyama sur plan carré, sur cette vue aérienne.</ref>, Modèle:Japonais, etc. Les formes mixtes : Modèle:Japonais en trou de serrure sont les formes dominantes, mais il en existe aussi en forme de cône précédé d'une terrasse carrée (comme l'Otomeyama kofun<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Vue aérienne de la maquette, plan, etc. sur le site narayado.info.</ref>). La chambre funéraire, qui pouvait être peinte, se trouve dans la partie ronde, tandis que la partie arrière, montée vers la partie ronde, accueillait les offrandes. L'avant était généralement orienté vers le sud ou l'ouest. On y disposait dessus et tout autour des Modèle:Japonais, des terres cuites funéraires, qui délimitaient cet espace sacré et le protégeaient. Le tertre pouvait également être entouré de fosses contenant de l'eau qui symbolisaient alors la séparation entre le monde de la mort et celui de la vie.

En 2013, des fouilles archéologiques au kofun de Modèle:Lien (peut-être la tombe de l'empereur Hanzei) à Sakai ont mis au jour des trous de poteaux que l'on interprète comme les piliers d'un pont en bois. Il est possible que des rituels funéraires aient été accomplis sur cette structure<ref>Pillar holes found in moat around ancient burial mound in Osaka, Mainichi 22/2/2013; J. Murakami, Dig suggests elaborate ritual held at ancient burial mound in Osaka, The Asahi Shimbun 28 janvier 2016.</ref>.



Évolution

Fichier:KofunTumulus.JPG
Modèle:Japonais dans Setagaya-ku à Tokyo, début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle

On peut distinguer quatre périodes<ref>Modèle:Harvsp.</ref> :

  • Les premiers kofun ; période initiale, {{#switch: -
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   Modèle:S mini-{{#ifeq: IV|-| – | IV }}Modèle:S mini- siècle
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   Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècle

}}. Les plus anciens kofun, construits au sommet de collines, se trouvent simultanément au nord de Kyushu et jusqu'au Modèle:Japonais, la région du Kansai, au sud du bassin du Modèle:Japonais et sont datés de la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Leur distribution coïncide avec celle des premiers ports de commerce, sous forme de villages de pêcheurs et commerçants d'origine coréenne et du reste de l'archipel : dans les zones côtières de Kyushu et de l'ouest du Japon, plus densément le long du corridor de la Mer intérieure de Seto, et surtout le centre de la région du Kansai.

Ces tertres étaient marqués par des petites pierres blanches et des cylindres de terre cuite rouge, les haniwa. La chambre funéraire est alors à usage unique. L'entrée se fait par le haut. Les cercueils sont en bois, faits d'un tronc évidé. On plaçait un cercueil en bois au fond d'un puits creusé à cet effet qu'on recouvrait de grosses pierres et de terre. Les objets qui y ont été déposés sont des miroirs en bronze, des colliers de Modèle:Japonais et des bracelets. Leur apparition n'entraine pas la disparition des pratiques antérieures instantanément<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. Les plus grands se situent dans le bassin de Nara<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. Nara sera capitale de l'ancien Japon à partir de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, au centre de la région du Kansai. Ceci reflète le régime des alliances hiérarchisées et centralisées qui se met alors en place dans cette région.
Les kofun en trou de serrure se multiplient à la fin du {{#switch: - début du
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   Modèle:S mini-{{#ifeq: - début du|-| – | - début du }}Modèle:S mini- siècle

}} dans la région de Nara-Osaka, ce qui atteste du développement d'un pouvoir central autour de cette région. On y compte aujourd'hui 136 tombes impériales et 148 liées à l'entourage royal.

  • Période moyenne, Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Dès le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le volume des kofun augmente. Ils sont construits sur des terrasses et sont cernés de sortes de douves. Des Modèle:Japonais contenant un mobilier funéraire font leur apparition. Ils contiennent principalement des armes et des armures en fer ou en bronze, parfois doré. Ces objets, appartenant visiblement au monde des archers et des cavaliers, témoignent de l'apparition d'une nouvelle culture équestre et militaire.
Des nouveautés apparaissent au nord de Kyushu, face à la Corée. L'entrée se fait sur le côté. Les haniwa sont accompagnés de statues taillées dans la pierre qui représentent souvent des hommes et des chevaux. On voit aussi apparaître des tombes en hypogée (souterraines) et des tombes creusées à flanc de colline. Le cercueil devient un sarcophage de pierre (en forme de maison dans la région du Kansai). Le mort est accompagné par de nombreuses armes de bronze et des pièces de harnais.
  • Période postérieure, v. 500-550, au nord de Kyushu apparaissent des tombes à fresques. Les statues de pierre disparaissent. Les chambres funéraires à entrée sur le côté se répandent jusqu'à l'Est.
  • Période finale. La fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle voit disparaître les haniwa dans le Kinhai (ils perdurent à l'Est) et, quasi simultanément, les tombes en trou de serrure dans tout l'archipel.
La fin de cette période est caractérisée par une augmentation importante du nombre de kofun et la réduction de leur taille. Des kofun collectifs apparaissent également au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, utilisés par la population. Le mobilier funéraire se fait de plus en plus utilitaire et encombre la sépulture. Dans la région de Nara, vers la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les kofun disparaissent progressivement, tandis que la région de Tokyo connait l'âge d'or des kofun jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Cette disparition serait liée à la propagation du bouddhisme.
Remarque

Les kofun impériaux n'ont toujours pas été explorés car ils sont considérés comme des tombes privées et non comme un bien culturel. L'Agence impériale, qui est chargée de leur gestion, bloque les recherches archéologiques par souci de gestion et de conservation du patrimoine, pour des raisons religieuses, et peut-être aussi Modèle:Passage non neutre. Les chercheurs ont cependant des autorisations très occasionnelles d'y pénétrer lorsque ces tertres nécessitent des travaux de restauration.

Fichier:Takehara kofun.png
Peinture murale. Kofun Takehara. Préfecture de Fukuoka. Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Décoration des kofun

Les chambres intérieures des kofun pouvaient être décorées. Les plus anciennes, jusqu'à la deuxième moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, comportent des triangles peints en rouge et en noir. Dans le Kyūshū, les chambres funéraires de la dernière période comportent des parois et des sarcophages ornés de motifs incisés ou peints. Les couleurs alors utilisées sont le rouge, le noir, le jaune, le blanc et le vert. Cette pratique décorative va peu à peu toucher un secteur plus vaste.

Les motifs dominants, à partir de la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, sont en rapport avec le dernier voyage de l'âme (chevaux, oiseaux, bateaux) ou abstraits (spirales magiques, cercles concentriques, doubles boucles en C). Ces Modèle:Japonais, décors de droites et de courbes) sont l'une des caractéristiques du kofun, où ils font l'une de leurs premières apparitions, mais ils deviendront par la suite une des dominantes de l'art japonais. Ils se constituent donc de séries d'arcs brisés opposés à des diagonales ou des croix. On les trouve essentiellement sur les lieux ou objets associés aux sépultures.

Description d'un très grand kofun : le Nintokuryō

Fichier:NintokuTomb Aerial photograph 2007.jpg
Daisen-kofun, kofun de l'empereur Nintoku, à Sakai, Ōsaka<ref>Article sur le Daisen-Kofun vu du ciel</ref>

Le kofun attribué à l'empereur « légendaire » Modèle:Japonais, à Sakai dans la région d'Ōsaka<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, est l'une des plus grandes sépultures du monde car l'ensemble mesure, avec les douves (trois fossés, dont un large et un étroit, pleins d'eau et entourés de bandes de terre boisée), Modèle:Unité. Le tertre mesure, pour sa part, Modèle:Unité de long, Modèle:Unité de large et Modèle:Unité en son point le plus haut. La partie ronde est constituée de trois vastes niveaux. Selon l'archéologue Sueji Umehara, environ mille hommes auraient travaillé pendant quatre ans pour la seule réalisation du terrassement.

Le site contient un grand nombre de haniwa sur son sommet et ses contours. L'intérieur du premier fossé en dénombre une rangée de Modèle:Nombre enterrées au total, dont la partie supérieure apparente mesure en moyenne Modèle:Unité de haut et offre un éventail varié de sujets.

Il n'a jamais été fouillé mais l'effondrement de la partie principale en 1872 a mis au jour la chambre funéraire. Elle contient un sarcophage de pierre d'un volume de Modèle:Unité et un mobilier funéraire contenant notamment des armures en bronze doré, des armes de fer et de bronze et un vase en verre perse.

Le monument est entouré d'une dizaine d'autres petites tombes. L'une d'elles, fouillée en 1912 a révélé de nombreux miroirs, perles et ornements divers dont un magatama de jade d'une longueur exceptionnelle de Modèle:Unité.

Autres exemples de kofun

Kansai

Également à Sakai, le kofun en zempōkoen de l'Modèle:Japonais, père de l'empereur Nintoku, dont les dimensions sont à peu près comparables au Nintokuryō, n'a pas été fouillé.

Le tombeau Ishiyama (Modèle:Langue, « la montagne de pierre ») dans la Préfecture de Mie (Modèle:Langue, Mie-ken) en zempōkoen, remarquable pour ses trois rangées de haniwa, contenait trois cercueils de bois creusés dans un arbre et enveloppés d'argile ainsi qu'un mobilier funéraire fort riche. Il est daté du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Le grand tumulus en zempōkoen de Shikinzan (Modèle:Langue) près d'Ōsaka, fouillé en 1947, contenait un important mobilier funéraire : armement complet, perles, magatama, miroirs… Il est daté aux environs du Modèle:S mini--Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. La chambre funéraire consiste en un long couloir dallé, encadré de murs en pierres irrégulières et recouvert d'énormes dalles plates.

La tombe de Senzoku (Modèle:Langue) dans la préfecture d'Okayama (Modèle:Langue, Okayama-ken), particulière pour sa forme dite en tategaishiki (en coquille Saint-Jacques), est célèbre pour son riche mobilier funéraire et la décoration gravée sur ses parois en chokkomon (décor de droites et de courbes).

Le kofun d'Ishibutai (Modèle:Langue) (environ Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) se situe dans le parc historique national d'Ishibutai à Asuka (Modèle:Langue) auprès de nombreux temples et vestiges d'anciens monuments importants. Excavé en 1933, il est caractérisé par une imposante entrée latérale en rochers massifs mais, à cause d'une érosion due à une immersion partielle sous des rizières, la chambre funéraire est exposée en plein air. Le poids du plus grand des rochers qui la compose (partie méridionale du plafond) est estimé à 75/Modèle:Unité. On l'attribue à Soga no Umako (Modèle:Langue).

On a récemment découvert le kofun de Shijun dans le département de Nara (Modèle:Langue), qui était jusque-là également immergé sous des rizières.

Fichier:Asuka Ishibutai Kofun front.jpg
Kofun d'Ishibutai à Asuka

Kyūshū

Saitobaru (Modèle:Langue), dans la préfecture de Miyazaki (Modèle:Langue, Miyazaki-ken), est une grande terrasse sur laquelle ont été trouvés 330 tumuli de taille et de forme diverses, dont 32 grands kofun en zempōkōen, voire en forme de « miroir à manche ». Le site est fouillé depuis 1912. Ces kofun sont caractérisés par leur qualité de construction et par leur mobilier funéraire plus régional.

Le tumulus d'Iwatoyama (Modèle:Langue) à Yame est l'un des plus grands du Kyūshū. On en trouve une description dans le Nihon Shoki (Modèle:Langue) et dans le Chikugo kuni fudoki rédigé au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et sa célébrité a malheureusement provoqué la dissémination de ses éléments.

Le kofun de Funayama (Modèle:Langue) (préfecture de Kumamoto, Modèle:Langue, Kumamoto-ken), toujours en zempōkōen, appartient à un ensemble de tombes (kofungun) près du fleuve Kikuchi. Fouillé en 1873, il révéla un sarcophage en « forme de maison » (Modèle:Langue, iegata) et une épée droite (Modèle:Langue, tsurugi) inscrite particulièrement intéressante datée de 438 et indiquant la présence d'écriture chinoise au Japon.

Le tumulus rond d'Idera (Modèle:Langue) (Modèle:Langue, Préfecture de Kumamoto) a commencé à être fouillé dès la fin de l'ère Edo (Modèle:Langue) . Il est remarquable pour ses dalles incisées et peintes (notamment des chokkomon). La chambre funéraire, bâtie en roches volcaniques du mont Aso (Modèle:Langue), a été fouillée en 1902. La Seconde Guerre mondiale a hélas endommagé la sépulture.

Ouvert en 1934, le tumulus d'Ōtsuka (Modèle:Langue) (préfecture de Fukuoka, Modèle:Langue, Fukuoka-ken), malgré la perte de sa partie « carrée », reste un monument d'importance, particulièrement grâce à sa chambre funéraire peinte et gravée. L'illustration la plus saisissante est peut-être la représentation de deux cavaliers dans le passage entre l'anti-chambre et la chambre proprement dite. Il contenait également l'un des plus riches mobiliers funéraires du Kyūshū.

Le kofun de Sekijinyama (Modèle:Langue) (préfecture de Fukuoka) en zempōkoen tient son nom d'un « homme de pierre » (Modèle:Langue, sekijin) en armure situé à l'entrée du tumulus rond. Le tumulus, initialement entouré de douves, est actuellement particulièrement endommagé dans son ensemble. Lors de sa fouille (1938), le mobilier funéraire avait déjà disparu mais le sarcophage d'une superbe manufacture était toujours en place. Le couvercle « en forme de toit » (Modèle:Langue, yanegata), décoré en chokkomon (non sans rappeler les décors de Senzoku dans le Kansai), en est particulièrement impressionnant. Il est cependant tellement massif que l'accès au sarcophage, une fois le couvercle mis en place, se faisait par une porte aménagée sur l'un des petits côtés.

Le petit tombeau de Takehara (Modèle:Langue) (toujours dans la préfecture de Fukuoka) a été découvert en 1956. Il est remarquable pour ses peintures qui ornent le mur du fond de la chambre funéraire. Ces peintures en font l'un des sōshoku kofun (Modèle:Langue) (tombeaux à décor) les plus originaux. Le temps a transformé ce tumulus en zempōkoen en tumulus rond. Les autres parois de l'antichambre et de la chambre funéraire sont également peintes.

Un cheval a été enterré dans le kofun de Kamidaimachi (Tsukawara, préfecture de Kumamoto), où l'on a également trouvé d'autres restes osseux équins ainsi qu'un harnais<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Kantō et Chūbu

Le tumulus Shōrinzan (Modèle:Langue) près d'Iwata (Modèle:Langue) dans la préfecture de Shizuoka (Modèle:Langue, Shizuoka-ken) également en forme de zempōkoen a été fouillé en 1931. Il a dévoilé un important mobilier funéraire (de très beaux miroirs, des perles, des magatama, des armements…) qui semble être le plus ancien de la région d’Iwata.

La région de Yoshimi Hyakketsu (Modèle:Langue), dans la préfecture de Saitama (Modèle:Langue, Saitama-ken), est particulièrement riche en sépultures anciennes et notamment en tumuli ronds ou en zempōkoen, témoignant d'une société divisée en nombreuses petites chefferies.

Hokkaidō

Alors que la période Kofun se termine en principe au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les kofun de type Hokkaido sont construits du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle environ.

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

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Liens externes

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